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Par JOUIBRULANCE dans LE BLOG DE NESUMI le 18 Janvier 2015 à 01:12
Suite à un accident, Raoul, retraité de soixante deux ans, très séduisant, sort de l’hôpital. On lui a plâtré le bras droit et la cheville, pour une durée de trois semaines. Raoul est veuf. C’est donc chez son fils Julien, vingt quatre ans, qu’il va passer sa convalescence. C’est son frère Roger qui le ramène. Les deux frères sont des joyeux fêtards. Les bringues, le sexe, rien ne leur fait peur.
Marion, belle blonde de vingt et un ans, épouse de Julien, arrive du boulot. Elle travaille comme aide à domicile.— Bonjour tout le monde, dit-elle. Bonjour chéri. Mais que se passe-t-il ? Je vous sens inquiet.
— Aucune infirmière n’est disponible avant trois semaines, dit Julien. Et moi, je pars en déplacement pour huit jours.
— Et moi, je travaille, poursuit Roger.
— Si ça pose un problème, dit Raoul, ramenez-moi à l’hôpital.
— Hors de question, s’exclame Marion, on va se débrouiller, trois semaines, c’est vite passé.
— Mais il faut le laver, le changer, reprend Julien. Tu feras ça toi ? Je sais que tu as l’habitude de le faire chez les autres, mais là, c’est mon père.
— Ah, j’avais pas pensé à ça, répond Marion, mais s’il le faut, pourquoi pas. Il n’est pas impotent quand même.
— Je peux pas t’imposer ça, dit Julien, c’est toi qui décide. Moi, ça me gêne pas. Et toi papa ?
— Comme vous voulez, répond Raoul. Tu n’auras pas à le regretter ma chérie.Deux heures plus tard, Marion et Raoul, se retrouvent en tête à tête.
— Vous avez un traitement, demande-t-elle.
— Non, pas ce soir, répond-il, juste la toilette. Je te dérange ma chérie. Tu seras récompensée pour tout ce travail.
— Je le fais pas pour ça, précise Marion. Ce qui me gêne, c’est de vous voir tout nu et de vous toucher.
— Un homme est un homme, la rassure Raoul, on est tous fait pareil. Tu me passes mes béquilles, s’il te plait. Je vais à la salle de bains.
— Je vous rejoins, dit-elle.Marion reste pensive. Va-t-elle s’en sortir ? Elle pousse la porte et voit Raoul essayer de se déshabiller. Le pauvre. Elle s’avance derrière lui pour l’aider.
— A partir de demain, il faudra mettre une tenue plus appropriée, propose Marion. Un caleçon ou une liquette suffira. D’accord ?
— Comme ça t’arranges ma chérie, le plus simple pour toi.Deux minutes après, Raoul est tout nu devant sa belle fille. Gêné, il ferme les yeux. Marion le découvre dans le miroir de la salle de bains.
« Putain, beau papa, comme il est monté, se dit-elle. Il n’a rien laissé à son fils. Qu’est-ce que ça doit être quand il bande ».
Elle savonne un gant de toilette et commence à le laver. D’abord le dos et les fesses. Elle passe bien entre la raie des cuisses puis fini par les mollets. Des gestes qu’elle pratique tous les jours. Mais là, c’est son beau père. Elle se met sur le côté, lave les cuisses et les jambes. Le plus dur reste à venir. Marion hésite à laver le sexe de Raoul, d’autant que son membre est maintenant bien raide. Elle prend son courage à deux mains.— Et bien beau papa, qu’est-ce qu’il vous arrive ? Cochon.
Marion fait de son mieux pour laver la queue de Raoul. Elle est obligée de la décalotter pour nettoyer le gland. Elle fini par les couilles. La première séance est terminé.
— Voilà, vous êtes tout propre, dit-elle. Vous allez manger et faire un gros dodo.
De sa main droite, Raoul maintient celle de Marion sur sa queue.
— Oh là, qu’est-ce-que vous voulez, vous croyez pas que…
— Tu vas me laisser comme ça ? Regarde dans quel état je suis.
— Mais ça va pas. Et si Julien apprend ça ? Non, non et non.
— Il n’en saura rien, ça restera entre nous. S’il te plait.Marion le sent triste, elle le plaint. Après tout, ils sont que tous les deux, et l’âge n’est pas un obstacle. Elle se place derrière lui, lui saisit la queue et commence à le masturber. Elle sent un peut d’humidité envahir sa culotte. Raoul se tend en avant.
— Vas y ma chérie, fais jouir ton beau père, branle.
Marion fait coulisser ses doigts sur le frein, bien à la base du gland. Raoul est pris de tremblement.
— Ha..ha..oui, que c’est bon ça, ha..hou..
Raoul envoie son sperme contre le miroir, en donnant de violents coups de reins.
— Voilà, je peux nettoyer la glace maintenant. Quelle giclée, ça en avait besoin, polisson, ça fera deux fois que je vous nettoie la queue.
— Avec la bouche, demande-t-il.
— Quoi, rugit-elle, pas question. Allez, je vous rhabille.Le repas se termine vers vingt et une heure.
— Je vais me coucher, dit Raoul, ça te fais rien ?
— Pas du tout. Vous m’appelez si vous avez besoin de quoi que ce soit.Marion fini de débarrasser et va à la salle de bains pour se rafraichir. Elle se caresse la chatte et le clitoris, en pensant au sexe de son beau père. Elle préfère en rester là, et se couche. Vers une heure du matin, Raoul l’appelle. C’est en chemise de nuit qu’elle regagne la chambre.
— Que vous arrive-t-il ? Demande Marion.
— C’est mon caleçon, il me serre.Elle soulève le drap. Raoul est en érection.
— Hey, beau papa, faut se calmer.
Elle ne sent pas la main qui passe sous sa chemise. Raoul glisse deux doigts dans la fente humide. Surprise, Marion essaie de se reculer.
— Oh, lâchez moi, je vous en prie.
Raoul la tire vers lui. Il ne sent pas une résistance farouche. Elle écarte volontairement les jambes, en gloussant de plaisir. Elle se penche sur lui et lui murmure à l’oreille.
— Où vous voulez en venir ? Vous voulez me baiser, c’est ça ?
Elle lui quitte le caleçon, ôte sa chemise de nuit, et l’enjambe. Raoul n’est pas handicapé de partout. La queue est là, prête à l’accueillir. Elle écarte ses jambes et s’y empale dessus.
— Ha, gémit-elle, ça c’est de la bite. Allez-y, niquez moi. Je suis toute mouillée là. Attendez que je décalotte mon bouton. Voilà, c’est mieux. Putain, je me fais prendre la chatte par mon beau père, quel salaud. Mais que c’est bon.
Marion se prend les seins, se cambre en arrière. L’orgasme est là. Elle hurle de plaisir. Raoul se retient au maximum, puis se lâche dans la chatte de sa belle fille.
— Comme tu m’as régalé, dit Marion en l’embrassant. Je peux te tutoyer ?
— Entre nous, bien sur. Tu aimes faire l’amour toi. Mon fils doit pas s’ennuyer avec toi, hein ? Petite vicieuse.
— J’aime que ça, répond-elle. Surtout quand la queue en vaut la peine.
— Mon frère Roger passe demain. Tu veux qu’on te prenne tous les deux ?
— Oh là, doucement, je suis pas une trainée, répond Marion. Mais j’avoue que d’un autre côté, une partie à trois peut être intéressante. On verra demain. En attendant, tu peux me niquer encore ? Regarde comme je mouille. Si tu me grattes le bouton, je serai sage toute la nuit.Prise de fatigue, Marion se blottit contre son beau père. Le couple s’endort.
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