• JOUI12R!, T'OBSERVE UN INSTANT:

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  • Commentaires

    1
    Vendredi 16 Janvier 2015 à 22:35
    Que cache tes jolies yeux?
    il paraisse si humble tout à coup!
    ton regard ne trahi rien de plus qu'un intérèt de pure politesse.
    2
    Samedi 17 Janvier 2015 à 00:15
    MASTU12RBER
    C’était un après-midi de novembre. J’étais revenu un peu plus tôt à la maison que prévu. Comme à mon habitude, je passai par la porte de derrière. Je devais, apparemment, ne pas être très bruyant, puisqu’en arrivant dans le salon, je surpris ma mère, pantalon et culotte baissés, devant un film porno. Elle était à moitié allongée, portait un top blanc et avait décidé de laisser pendre ses longs cheveux bruns.

    En me voyant, ma mère poussa un cri. Surpris moi aussi et des plus gênés, je baissai les yeux pendant qu’elle remontait tout de suite sa culotte et fermait les jambes. Elle me demanda ce que je faisais là, je lui répondis qu’un de mes professeurs était absent ce jour-là et je ne pus m’empêcher de rire de la situation. Ma mère était embarrassée, toute rouge, elle était désolée et s’excusait. Elle ne savait plus où se mettre, je lui dis donc que tout allait bien, que ce n’était pas un drame, que tout le monde le faisait de toute façon. Je pense qu’elle fut un peu rassurée.

    Dans le saisissement de la situation, elle avait oublié d’éteindre la télé et je ne pus m’empêcher de regarder quel genre de porno elle regardait. Il s’agissait d’un vieux film, sûrement des années 80 ou 90, une vieille VHS qu’elle avait dû garder. Quand elle le remarqua, elle éteignit de suite la télé. Cela me fit rire, ce n’est pas tous les jours qu’on surprend sa mère en train de faire « une bêtise ». Je la rassurai encore un peu, en lui expliquant que cela n’avait rien de grave, que c’était sain, surtout que cela faisait un moment qu’elle n’avait plus connu d’hommes – mon père étant décédé 10 ans plus tôt, lorsque j’avais 9 ans.

    Avant de partir pour monter dans ma chambre, je lui dis que si elle le voulait, je pouvais lui prêter quelques films de temps à autre, on en fait des beaucoup mieux de nos jours. Elle prit ça sur le ton de la rigolade et me fit signe de m’en aller, mais je lui dis avant de quitter la pièce que j’étais sérieux, qu’il n’y avait aucun souci. Les traits de son visage changèrent ; je pense qu’elle considérait la chose.

    Et j’avais raison, puisque quelques semaines plus tard, ma mère vint toquer à ma porte, timidement, toujours avec ses petites joues rouges, caractéristiques de quand elle est gênée.

    « Tu te rappelles quand…, commença-t-elle, tu te rappelles quand tu m’as surpris en train de…, enfin, tu sais quoi !
    – Quand tu te masturbais joyeusement dans notre salon ? La taquinai-je, elle baissa la tête, honteuse.
    – Oui…, tu m’avais dit que tu pouvais m’avoir des vidéos…, est-ce que c’est toujours le cas ? »

    Je lui gravai alors deux DVD que je remplis de vidéos pornos en tous genres, celles que j’avais appréciées le plus et que j’avais gardées. Bizarrement, j’espérais qu’elles plaisent aussi à ma mère, j’avais envie, pour je ne sais quelle raison, qu’elle se fasse plaisir un peu grâce à moi.

    Et puis…, plus rien, au moins pendant un moment. Je lui avais demandé, au dîner, si les films que je lui avais choisis lui plaisaient et elle m’affirma que c’était le cas. Elle prit même plaisir à me raconter quelle scène lui avait particulièrement fait de l’effet : celle où une jolie rousse se faisait prendre en levrette sur un lit à baldaquin et où l’homme lui tirait subitement les cheveux en arrière, la faisant gémir bruyamment dans sa soumission. Cela m’avait étonné que ma mère en parle si ouvertement, cela me fit même un peu bizarre d’imaginer ma mère appréciant la soumission. On essaye souvent d’éviter d’imaginer sa mère comme une personne sexuelle, et pourtant…

    Un peu plus tard, je crois que c’était deux mois après le premier évènement, je l’ai de nouveau surprise en train de se masturber, toujours dans le salon. Elle fut encore étonnée de me voir et cette fois-ci, éteignit la télé en premier, mais ne remonta pas tout de suite sa culotte, parce que j’eus le temps de lui dire, cachant la vue avec ma main, qu’il n’y avait pas de souci, qu’elle pouvait continuer et que je montais directement dans ma chambre. Elle fut surprise par mon geste, hésita un instant, mais en montant les escaliers je pus entendre qu’elle avait rallumé la télévision.

    Il faut me comprendre : ma mère, Lucie, 39 ans, n’a pas connu d’hommes – du moins, pas que je sache – depuis la mort de mon père. On en avait déjà discuté auparavant, elle m’avait expliqué qu’une relation avec un autre homme ne la tentait plus, le souvenir de mon paternel était trop fort et que cela ne la dérangeait pas du tout. Alors je n’allais tout de même pas abréger le peu de plaisir sexuel qu’elle avait.

    Un beau jour, lorsque j’étais dans ma chambre, travaillant sur un de mes cours, ma mère m’appela au rez-de-chaussée. Le film qu’elle voulait regarder ne se lançait pas, me dit-elle alors. En cherchant un peu, je trouvai rapidement la solution au problème et le film porno commença à l’écran. Sauf que cette fois, au lieu de remonter dans ma chambre, afin de m’assurer que le problème n’allait pas revenir, je décidai de rester un peu. Je m’assis dans le fauteuil, plutôt à l’écart de ma mère.
    Elle avait choisi, sans le savoir, un de mes films préférés, à propos d’une femme d’âge mûr et de ses aventures sexuelles avec des jeunots. Ma mère me dit alors, en rigolant :

    « Je ne savais pas que tu aimais les femmes plus âgées ! »

    Je rougis et ne savais plus où me mettre, j’hésitai même à partir. Surtout que l’excitation commençait à se faire sentir, mon cœur battait de plus en plus fort, j’avais chaud et cela commençait à me serrer dans le pantalon. Je voulus bouger mon sexe dans une position plus confortable, ma mère me regarda à ce moment et crut probablement que je voulais me masturber, je sortis alors tout de suite la main de mon caleçon et fit semblant de ne pas avoir croisé son regard. Elle me dit alors quelque chose qui me surprit beaucoup :

    « Tu sais… si tu veux te caresser…, tu peux ! Cela ne me dérange pas, c’est ton film après tout, je ne vais pas t’empêcher de le regarder ! Je ne regarderai pas et tu ne me regarderas pas… ! »

    J’hésitais, mais la scène passa à un gros plan de l’actrice qui suçait goulûment l’homme, elle lui dit, en anglais, qu’il pouvait l’appeler maman s’il voulait. Je ne savais pas si ma mère avait compris, mais moi, cela me fit bander encore plus. Je lui répondis :

    « Tu es sûr que ça ne te dérange pas ?
    – Non, vas-y ! Il n’y a pas de souci ! »

    Je me touchai, d’abord, au travers de mon pantalon. Mais j’avais une telle érection que cela me faisait mal. Je décidai alors, pris par l’excitation, de me lancer et de sortir mon sexe. Du coin de l’œil, j’avais pu voir que ma mère avait jeté un bref coup d’œil à ce que je faisais, puis elle s’efforça de ne regarder que la télévision.

    J’étais terriblement excité, je ne sais pas trop pourquoi, ce n’était pas tant le film porno, que j’avais vu trop de fois, c’était le fait de me masturber là, devant ma mère, j’étais comme un petit garçon tout fier de montrer sans honte son zizi tout dur à sa maman. Je n’étais pourtant pas attiré par ma mère, mais j’aurais voulu qu’elle le regarde, qu’elle fût impressionnée par la taille du sexe de son garçon qui était devenu homme. Je suppose qu’il y a quelque chose de freudien là-dedans. Il n’empêche que j’étais terriblement excité, cela me prenait au ventre. Tellement que je n’ai pas tenu longtemps, mon sexe en main, avant d’atteindre l’orgasme. Comme je n’étais pas préparé et n’avais pas de mouchoirs sous la main, et surtout étant trop pris par la jouissance, j’éjaculai abondamment devant moi, sur le sol.
    Ma mère, en entendant le bruit des gouttes de mon sperme s’étaler sur le carrelage, ne put s’empêcher de regarder de mon côté, je crus même la voir accélérer le mouvement de sa main dans sa culotte, mais je fis semblant de ne rien voir.

    Bizarrement, après coup, je ne ressentais aucune honte. Il y eut bien le moment un peu nul où j’ai dû nettoyer le sol de mon sperme devant ma mère. Mais à part ça, je me sentais plutôt bien. Je pensais que ce ne serait jamais le cas, mais j’avais même envie de recommencer.

    Mais je me trompais puisque ma mère, à peine quelques jours plus tard, entra de nouveau dans ma chambre pour me dire cette fois qu’elle allait regarder une de mes vidéos et me demanda si je voulais la rejoindre. Évidemment, j’ai tout de suite accepté.




    C’était devenu une petite habitude que l’on prit : quand il n’y avait rien à la télé le soir, on se proposait parfois de se faire un petit porno, comme on aurait proposé un jeu de société ou un film. Sauf que notre jeu, avec maman, était bien plus amusant. Nous nous masturbions, chacun de notre côté, avec encore moins de gêne que la première fois, n’hésitant pas à jeter quelques coups d’œil sur ce que faisait l’autre et dans quel état il était. Je pouvais facilement savoir lorsque ma mère appréciait particulièrement une vidéo à la vitesse de sa main sur son sexe, main qu’elle ne cachait plus, enfouie dans son pantalon, non, celui-ci était maintenant un peu baissé, j’avais ainsi une vue lointaine sur la touffe de ma mère. Elle, elle pouvait facilement deviner qu’une vidéo me plaisait en regardant mon sexe bandé, gorgé de sang, sur le point d’exploser, dans ces moments-là, je me branlais lentement, me focalisant sur mon gland ; j’avais l’impression que c’est aussi à ces instants-là que ma mère me zieutait le plus.

    Puis une idée me vint à l’esprit, je la gardais en tête pendant quelques jours, espérant que cela me passe, mais ce ne fut pas le cas. Je pris alors mon courage à deux mains, un soir où nous nous masturbions à deux :

    « C’est devenu si banal ce qu’on fait là… ! Commençai-je.
    – Comment ça ?
    – Eh bien, pour beaucoup, ce serait quelque chose de bizarre, mais pas pour nous, c’est devenu presque normal !
    – Tu trouves ça, bizarre, toi ?
    – Je ne sais pas, mais ça me plaît en tout cas !
    – À moi aussi, mon cœur ! »

    La conversation s’arrêta là, ma mère poursuivit ses caresses, mais moi, n’étant pas arrivé à dire ce que je voulais, je repris :

    « Je veux dire… – ma mère fronça les sourcils, comprenant que je voulais lui dire quelque chose et s’arrêta de se toucher pour m’écouter – je veux dire : pour les autres, c’est quelque chose de bizarre parce qu’ils accordent trop d’importance à ce qu’est la masturbation, mais pas nous !
    .. On fait ça, comme on pourrait faire toute autre chose ! Moi, je vois ça comme un massage, et il n’y a pas de honte à se faire un massage, pas vrai ?
    – Non, acquiesça ma mère, il faut se faire un peu de bien dans la vie, c’est toi qui me l’as dit, et on ne fait rien de mal à le faire en même temps, selon moi ! »

    Elle me sourit et la conversation retomba encore une fois, je n’avais plus le choix, il fallait que je tente le coup :

    « Mais tu dois savoir aussi bien que moi que les massages, lançai-je alors timidement, c’est quand même mieux quand on les reçoit, plutôt que de se les faire nous-mêmes… ! »

    Ma mère se mit à rire :

    « C’est donc là où tu voulais en venir…, Il faut que j’y réfléchisse… ! »

    Elle se tut alors et je pensai que c’était peine perdue, que j’étais allé et voulais aller trop loin. Mais après une minute à paraître pensive, ma mère dit alors à voix haute :

    « C’est vrai que si l’on considère ça comme un massage mutuel, il n’y a pas vraiment de mal…, mais il faut que ça reste de l’ordre du massage alors, tu comprends ?
    .. On utilise que nos mains et rien d’autre… !
    – Moi, ça me va…, je n’avais que ça en tête, de toute façon !
    – Bien sûr…, me répondit-elle, espiègle, pour me faire rougir. Et…. tu veux le faire maintenant ?
    – Pourquoi pas…, et toi ?
    – Je veux bien…, comment se met-on ? »

    J’ai alors proposé que l’on s’asseye l’un à côté de l’autre, en face de la télévision, où le film tournait toujours. Nous avons mis, par pudeur, quelques coussins entre nous, comme pour instaurer une limite. Pour ne rien cacher, nous étions plutôt mal à l’aise et timides, malgré notre envie. Ma mère était encore en train de se positionner quand je lui ai mis la main au panier : pour la première fois, j’ai pu toucher son mont de Vénus. Elle fut un peu surprise et lâcha un petit « hou ! » et se mit tout de suite à me caresser à son tour, comme si elle était en retard. La position n’était pas parfaite, mais je n’en demandais pas plus, nous n’aurions d’ailleurs pas osé nous mettre dans une autre posture, cela aurait paru trop « sexuel ».

    Ma main venait frotter son entrejambe, je pouvais toucher ses poils et descendre jusqu’en bas de sa fente humide. Petit à petit, j’essayai d’y aller plus profondément : ses lèvres s’écartaient chaque fois que mes doigts passaient sur sa vulve. Par moment, je m’attardais sur son clitoris. Je ne savais pas du tout si je m’y prenais bien, non pas que ce fut ma première fois, mais on ne sait jamais tout de suite de quelle façon une femme aime être caressée. Puis, ma main a glissé vers le bas, et deux de mes doigts sont entrés en elle. Je pouvais sentir sa tendre chair et à quel point elle était trempée, j’en bandais encore plus. Je suis ressorti de son trou, je suis remonté vers le haut de cette pente du paradis et j’ai de nouveau caressé son petit bouton, m’aidant cette fois de sa mouille comme lubrifiant. Nous ne faisions pas de bruit, nous n’osions pas, nous avalions juste notre salive ou prenions une inspiration lorsque ce que l’autre nous faisait était trop bon pour y résister. Ce fut le cas pour ma mère lorsque mes doigts osèrent fouiller en elle, ses petites joues étaient devenues un peu rouges et je l’ai même vu se mordre la lèvre inférieure, était-elle excitée à l’idée que ce furent les doigts de son propre fils qui étaient en elle et qui lui faisaient du bien ? C’était le cas pour moi, même si je n’osais pas me l’avouer à l’époque, quand elle bougeait sa main en rythme et venait tendrement caresser le bout de mon gland, avec son pouce, d’un geste circulaire.

    Je sentais l’intérieur de son vagin se contracter sur mes doigts, j’essayais désespérément de trouver son point G. Elle relâcha ma queue une seconde, la repoussa sur mon ventre pour mieux me caresser la tige de tout mon long, jusqu’à arriver à mes bourses. Elle lâcha un léger gémissement quand elle les prit en main. Je n’en pouvais plus et elle le savait, elle se remit donc à me masturber encore plus vigoureusement. Je fis la même chose avec mes doigts. Je pense que nous aurions tous deux aimé utiliser nos deux mains pour le coup, mais nous devions nous contenter que d’une seule. Tous deux sur le point de jouir de nos caresses incestueuses, nous ne pouvions plus nous empêcher de gémir et surtout de montrer notre plaisir. C’en était trop pour moi, je ne pus tenir et j’ai alors joui entre les mains de ma mère. Nous n’avions toujours pas prévu de quoi limiter les salissures, mais nous n’en avions rien à faire à ce moment-là : j’éjaculai tout ce que j’avais, mes premiers jets partirent vers le plafond, pour retomber sur mes jambes ou mon t-shirt et les quelques dernières décharges coulèrent sur la main maternelle. Ma mère me suivit de près dans son orgasme : peut-être était-ce à la vue de la jouissance de son fils que son corps se contracta et elle serra mon poignet de son autre main pour que je reste là, en elle, et elle bougea ses hanches machinalement, se branlant elle-même sur mes doigts.

    Après que nous ayons tous les deux joui, nous sommes restés plantés là, sans rien faire, sans un mot, savourant notre orgasme. Mais il fallut bien bouger à un moment ou un autre, et surtout il fallait que je me nettoie ; maman aussi, sa main était souillée de mon sperme. Nous n’avons échangé aucune parole après ça et je me suis alors demandé si c’était parce que ma mère était pleine de regrets ou parce qu’elle pensait vraiment, comme moi, que nous n’avions rien fait de mal et qu’il n’y avait donc rien à dire







    Très vite, nos masturbations incestueuses sont devenues une habitude à moi et à ma mère, c’était notre rendez-vous hebdomadaire, c’était la meilleure façon de se détendre qu’on n’avait jamais trouvée. Nous ne nous faisions toujours pas face l’un à l’autre lors de nos petits jeux, mais nous ne mettions plus de coussins entre nous ; nos corps se touchaient pour notre plus grand plaisir, mais nous portions toujours nos vêtements. Nous étions aussi beaucoup moins timides l’un envers l’autre : on se laissait gémir, on encourageait l’autre et aussi on dévorait le sexe de l’autre des yeux. Ma mère et moi étions bien d’accord et avions admis que le corps de l’autre nous attirait et la situation nous excitait, ce tabou que l’on transgressait, même qu’à moitié – parce que pour nous, nous ne faisions pas encore d’inceste, tant que seules nos mains touchaient l’autre.

    Les jours sont passés, et ce fut alors mon anniversaire, en mars. Trop fatigué par les cours que je suivais à l’université, j’avais décidé de ne pas fêter ça avec mes amis, j’avais plutôt en tête de me branler avec ma mère en cette fin de semaine difficile, histoire de bien me détendre. Après avoir mangé, je lui ai proposé de « regarder un film », c’était notre code pour nos jeux érotiques, cela sonne tout de suite mieux. Elle accepta, évidemment. J’allai pour l’aider à débarrasser la table, mais elle refusa. Comme c’était mon anniversaire, elle voulait que j’aille m’asseoir dans le canapé et l’attendre, ce que je fis.

    Ma mère arriva ensuite dans le salon, mais plutôt que de se mettre à côté de moi, elle se planta devant moi, me donna un petit coup dans la jambe pour que je les écarte, puis s’agenouilla avec un de ses sourires en coin qui me font fondre. Elle se mit entre mes jambes, mon cœur, lui, s’emballait.

    « C’est ton anniversaire aujourd’hui, me dit-elle alors, j’avais envie de t’offrir quelque chose d’un peu spécial, qui change un peu de nos habitudes, j’espère que ça te plaira… ! »

    Le film porno avait déjà démarré, mais ni elle ni moi ne nous en préoccupions. Dans une bien meilleure position que jamais auparavant, ma mère avait bien l’intention de me donner une branlette inoubliable. Pour l’occasion, j’avais retiré entièrement mon pantalon, maman, elle, était restée habillée dans son léger pull noir où je pouvais y voir la forme de ses seins.
    Elle se mit à me branler doucement, et pour la première fois, le visage à quelques centimètres de mon sexe. Directement, son autre main est venue se placer sur mes bourses, elle les avait bien en main et s’amusait à les masser, toujours doucement. Rien n’entravait plus ses mouvements et Dieu sait que c’était bon ! Il ne me fallut pas longtemps avant d’afficher une érection complète. Cela se voyait qu’elle voulait vraiment me faire plaisir, et qu’elle y prenait plaisir à son tour, elle me regardait de ses beaux yeux bruns pour voir ma réaction à tout ce qu’elle me faisait et quand j’en gémissais, elle me gratifiait d’un grand sourire. Je crois que c’est la première fois où j’ai réellement pris conscience que ma mère était une superbe femme, avec un sourire sublime, à en faire ressusciter un mort. J’aurais aimé qu’elle me prenne en bouche, qu’elle me goûte et me satisfasse avec sa langue, mais je savais qu’il ne fallait rien espérer, c’était contre nos règles, notre dernier rempart avant de commettre l’irréparable.

    Ce qui me plaisait le plus dans mon cadeau d’anniversaire, c’est que ma mère se lâchait. Elle avait l’air vraiment dans son truc, et n’hésitait pas à me chauffer, en me disant des choses telles que : « Ça te plaît quand maman fait ça, mon chéri ? Oui, je vois ça que tu aimes ça, tu bandes comme un cochon, comme le gros cochon que tu es…, et que je suis aussi ! Si tu savais l’état de ma culotte, maintenant ? Quelle queue, regarde-moi ça ! Hmmm, oui…, tu vas jouir, mon cœur ? Vas-y, donne-moi tout ce que tu as, rends maman fière ! ».

    Et sur ses paroles des plus coquines, je me suis mis à éjaculer abondamment. Ce fut l’une des plus grosses éjaculations de ma vie, je crois. Je ne pouvais plus m’arrêter et ma mère ne voulait plus s’arrêter de me branler, je me déchargeais de toutes mes forces, salissant son pull noir au passage de certains de mes jets. Pendant tout le temps que je me déversais entre ses mains, elle massait mes testicules à un endroit bien spécifique qui semblait me faire jouir bien plus fort.
    Seulement, une fois certaine que je m’étais bien vidé, lentement, elle arrêta ses va-et-vient, déposa un baiser sur ma cuisse encore tremblotante, et me dit : « bon anniversaire, mon chéri ! Je dois aller faire la vaisselle maintenant ! ». Et elle m’a laissé là, seul, sur le canapé, pendant que je reprenais mes esprits.

    Waouh ! Je n’en revenais pas. Bien sûr, je comptais bien lui rendre la pareille, mais son anniversaire à elle n’était que dans six mois. Il fallait que je trouve quelque chose d’autre en attendant et j’eus tout de suite une idée : la fête des Mères approchait à grands pas…



    Je comptais bien donner à maman autant de plaisir qu’elle m’en avait donné pour mon anniversaire. Je voulais, moi aussi, la surprendre en changeant la donne, j’avais donc préparé quelque chose de spécial.

    Cela faisait trois semaines que nous n’avions plus rien fait ensemble. Non pas que l’occasion ne s’était pas présentée, ma mère m’ayant demandé plusieurs fois si je voulais « regarder un film », mais parce que je l’avais décidé. J’avais envie de la faire languir. Maman s’en inquiéta d’ailleurs, lorsque je refusais chacune de ses offres, elle me demanda même s’il y avait quelque chose qui n’allait pas ou si elle avait fait quelque chose de mal, je lui répondais que je n’avais juste pas envie et elle avait l’air un peu triste. Je mentais bien évidemment et cela me fit bizarre de retourner à mes plaisirs solitaires, étant tellement habitué maintenant à les faire avec elle. Mais il fallait que je résiste, pour que notre libération fût-ce encore meilleure. Si moi je m’étais masturbé de mon côté, je ne pense pas que ce fut le cas pour ma mère, ces dernières propositions étant des plus suppliantes, comme si elle avait vraiment besoin de moi pour se toucher.

    Finalement, la fête des Mères arriva et je pouvais enfin lui donner son cadeau ! C’était un dimanche, je lui ai souhaité bonne fête dès son réveil, mais j’ai attendu que nous ayons déjeuné pour lui donner son présent.

    « Tu es prête pour ton cadeau ? Lui demandai-je.
    – Oh, mon cœur, tu as pensé à moi ? Il ne le fallait pas !
    – Mais si qu’il le fallait, lui dis-je en souriant, aujourd’hui, je vais m’occuper de toi !
    .. Tu n’auras rien à faire, je ferai le dîner, la lessive, tout !
    – Oh, merci, mon amour ! Me dit-elle.
    – Attends, ce n’est pas tout : j’ai acheté une huile apaisante et je compte bien te masser, dès que tu en as envie…, maintenant, si tu veux ! »

    Elle accepta avec joie, très contente de l’attention que je lui portais. Nous sommes montés dans sa chambre, elle pourrait s’allonger tranquillement et où j’aurais toute la place pour la masser confortablement. Une fois devant le lit, je lui dis, en lui tendant une serviette à mettre sur ses fesses :

    « Voilà, déshabille-toi et mets-toi sur le ventre ! Tu m’appelles quand tu es prête ! »

    Ce qu’elle fit et elle m’appela quelques instants après. J’entrai dans la chambre et je pus découvrir ma mère nue, bien que son postérieur fût caché par la serviette et que le matelas ne dévoilait rien de ses seins, cela restait terriblement excitant de la voir comme ça. Elle me sourit, impatiente de recevoir son massage, et enfouit sa tête entre les oreillers.
    Je n’osais pas monter sur le lit tout de suite. J’ai enduit mes mains de l’huile relaxante que j’avais spécialement achetée et je me suis mis à lui masser le dos, en commençant d’abord par les épaules. J’essayais de faire ça du mieux que je le pouvais, évitant les côtés où elle était trop chatouilleuse, descendant jusqu’à ses reins où je pouvais voir le début de la raie de ses fesses bombées et remontant son échine jusqu’à son cou. La chambre était silencieuse, seuls quelques oiseaux sifflaient dehors par cette matinée ensoleillée et je pouvais entendre maman respirer à chaque mouvement de mes mains sur son corps. Je suis ensuite monté sur le lit, et je me suis mis de part et d’autre de ses jambes pour faire face à son dos. Cela a duré comme ça plusieurs minutes, jusqu’à ce que je lui demande de se retourner :

    « Ça te plaît ? Je vais faire le devant maintenant ! »

    Elle releva sa tête, surprise.

    « Tu…, tu es sûr que c’est raisonnable ? »

    Il faut comprendre que, malgré nos masturbations ensemble, ma mère ne s’était jamais mise nue devant moi, ce qui est plutôt paradoxal puisque j’avais déjà vu son sexe maintes fois, mais il y avait quelque chose de plus puissant, un tabou plus grand je pense, à l’idée de se mettre complètement nue devant son fils. Je la rassurai, lui disant que ce n’était qu’un massage… Je ne pense pas qu’elle ait gobé mon excuse, mais après trois semaines sans masturbation à deux, ce que je lui faisais lui plaisait de toute évidence et toute excuse était alors bonne à prendre.

    « Oui, c’est vrai, c’est juste un massage… ! Rien de mal à ça ! Se répéta-t-elle.

    Elle se retourna et, pour la première fois, me dévoila sa superbe poitrine, son ventre, ses hanches. Elle recouvrit son sexe et ses cuisses avec la serviette, remit ses longs cheveux en place et prit une grande inspiration. Son cœur battait fort, cela se voyait. Le mien aussi et mon sexe était dur comme la pierre dans mon jogging. Il me fallut un grand sang-froid pour ne pas lui sauter dessus, tant elle était belle et attirante. Elle était excitée, mais anxieuse aussi, elle n’osait pas me regarder. Moi, j’avais peur qu’elle sente mon érection sur ses jambes. Je me suis à nouveau penché sur elle, et j’ai repris mon massage. Ses doutes s’envolèrent lorsque mes mains passèrent pour la première fois sur ses seins et ses amples hanches.

    « Hm, gémit-elle dans une respiration, c’est agréable ce que tu me fais… ! »

    Elle ferma les yeux pour en profiter encore plus. Ses mamelons devinrent plus durs sous mes doigts, sa respiration s’accéléra. J’adorais la voir passer sa langue sur ses lèvres ou mordre celles-ci quand mes doigts frottaient et malaxaient un endroit sensible. Je lui demandai si c’était bon, elle me répondit en hochant la tête, visiblement en train d’essayer de se contrôler et de ne pas gémir bruyamment.

    Je me suis ensuite penché pour ramasser quelque chose au bord du lit, un objet-surprise que je lui réservais. En entendant le bruit que faisait l’objet, elle ouvrit les yeux et me demanda ce que c’était, elle put alors découvrir un vibromasseur allumé entre mes mains.

    « Je ne crois pas que c’est une bonne idée d’utiliser ça… ! Me dit-elle, alors un peu en panique.
    – Tu es sûre ? » Lui demandai-je, alors que je passais le vibromasseur sur son téton.

    Elle laissa échapper un petit cri de plaisir et s’allongea de nouveau, profitant des vibrations et du nouveau plaisir qu’elles procuraient ; j’en profitai pour enlever la serviette de ses jambes. Je passai d’abord l’engin sur le haut de son corps, sur ces fameux endroits sensibles où mes mains avaient fait tant d’effets : autour de ses aréoles, sur la pointe de ses seins, le long de son ventre. Je descendis ensuite en passant sur l’os de sa hanche, contournant le fruit défendu, pour arriver à l’intérieur de sa cuisse épaisse et ferme. Elle essayait de se contrôler, de se retenir de gémir tout haut, mais lorsque mon autre main vint fermement agripper son sein plein d’huile en même temps que je plaçai le sex-toy sur son clitoris, elle ne résista plus et lâcha un long gémissement de plaisir. Et à partir de là, j’eus tout le champ libre pour faire ce que je voulais.

    Elle gémit encore plus lorsque je rentrai le gode en elle. Je massais son clitoris en même temps, passais ma main sur le long de son corps ; elle bougeait ses hanches par réflexe, cambrer ses reins. Pour ne pas qu’elle jouisse tout de suite, je retirais par moment le sex-toy et le repassais sur ses seins, pendant que mes doigts prenaient le relais et venaient la fouiller. Elle était trempée et serrée. C’était à mon tour d’être dans une bonne position, comme ma mère le fut lors de mon anniversaire, pour la branler comme il fallait. J’enfouis deux de mes doigts au plus profond d’elle ; elle écarta ses jambes encore plus grand, en voulant toujours plus. Moi, quand je voyais son corps suinté d’huile, sa vulve trempée, je n’avais qu’une envie, c’était de la lui lécher, de l’embrasser et de la goûter. Je voulais prendre son clitoris en bouche, mais c’était au-delà de règles que nous nous étions fixées.

    J’ai continué mes mouvements de mains et de gode jusqu’à amener ma mère à l’orgasme. Elle s’est alors cambrée d’un coup, eut un gémissement étouffé, tout en se cramponnant aux draps maintenant humides. Comme elle, lors de mon anniversaire, je ne m’arrêtai pas tout de suite, je continuai à la doigter jusqu’à ce qu’elle n’en put vraiment plus. Je la laissai alors haletante, des étoiles dans les yeux et il lui fallut quelques minutes pour reprendre ses esprits. J’étais très content de moi d’avoir réussi à faire jouir ma mère comme ça, j’étais comme un petit garçon tout fier d’avoir fait quelque chose de bien pour sa maman.

    Une fois remise, ma mère s’est levée, ses jambes tremblèrent un peu. Elle me demanda si je n’avais rien prévu d’autre avant qu’elle aille se doucher, je lui ai répondu « pas pour l’instant ».
    Elle s’est servie de la serviette pour s’essuyer un peu avant d’entrer dans la salle de bain, juste à côté de sa chambre. Je regardais son corps avec des yeux avides : un brin de soleil venait taper contre sa peau qui brillait grâce à l’huile, ses seins remuaient sous les mouvements qu’elle faisait pour se sécher et je réalisai seulement sur le coup que j’avais, moi aussi, joui dans mon pantalon pendant la chose.

    Depuis qu’elle s’était entièrement dévoilée, je portais sur ma mère un regard tout autre…























    3
    Lundi 19 Janvier 2015 à 19:00
    Accueil le 15 Janvier 2015 à 23:43


    ....... VIENS SI TU VEUX DE MOIS....

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    4
    Lundi 19 Janvier 2015 à 19:02
    viens discuter avec la plus belle petite bète du pays
    si tu veux faire des coc*onn*rit c'est ici qu'il faut que tu viennes
    i!i!i!
    tu serais s*um*se à moi du début jusqu'à la faim
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