• BLOG DE pullip dream

    Quand on a 18 ans, on n’a pas toujours une idée très claire de ce qu’on veut faire dans la vie. Alors, on cherche, on tâtonne, avant de trouver sa voie.

    Florence en était là. Ravissante petite jeune fille brune, elle avait déjà exercé plusieurs petits boulots sans réellement parvenir à se fixer sur aucun. Chaque fois, ses employeurs l’auraient bien gardée, surtout que sa bonne humeur et sa gentillesse la faisait apprécier de tous, mais elle préférait invariablement partir, aller voir ailleurs, essayer autre chose. Trouverait-elle jamais une activité à son goût ? Cette question commençait à la turlupiner, mais ce n’était rien comparé à l’inquiétude de ses parents, qui auraient aimé qu’elle se fixe pour de bon, trouve un emploi stable, se marie et surtout puisse avoir des enfants.

    Finalement, c’est une de ses tantes, Suzanne, qui vint offrir à Florence une nouvelle opportunité, en lui proposant de venir travailler dans la maison de retraite dont elle était la gérante. Chacun espérait que, cette fois, cela fonctionnerait, durablement.

    Florence n’était pas particulièrement attirée par l’activité en elle-même. Comme on peut le comprendre, une maison de retraite était plutôt un lieu répulsif pour une jeune fille pleine de vie comme elle. Cependant, c’était surtout le fait de travailler pour sa tante qui l’intéressait.

    En effet, depuis son adolescence, tante Suzy était, sans que personne ne s’en fut jamais vraiment aperçu, en quelque sorte devenue son modèle. Il faut dire que Suzanne était un peu la rebelle de la famille. Contrairement à son frère, le père de Florence, elle s’était rapidement opposée à l’autorité morale de ses parents. Dans cette famille de la petite bourgeoisie, teintée d’un catholicisme rigide, l’ambiance était parfois assez pesante. Dès ses 18 ans, donc, Suzy avait quitté le foyer parental pour partir faire le tour du monde avec un aventurier qui avait à peu près le double de son âge. Cette histoire ne dura pas très longtemps, et elle revint rapidement au pays pour s’installer avec le fils d’une bonne famille, dans un quartier chic de la capitale. Elle en profita pour nouer des contacts avec des gens influents et fortunés, tout en consacrant l’essentiel de son temps à la peinture. Quelques années plus tard, redevenue célibataire, elle parvint à réunir quelques amis autour d’elle pour investir dans la création d’une maison de retraite dont elle prit la direction. Rapidement, le business apparut lucratif, et Suzanne acquit une situation sociale enviable. Surtout, au grand dam de ses parents, à quarante ans passés, elle refusait obstinément de se marier, préférant voguer d’aventure en aventure, plus ou moins durables.

    Pour Florence, comparée à celle de ses propres parents, la vie de sa tante ne semblait pas loin d’être romanesque et exerçait sur elle une indéniable fascination. Ainsi, même si elle n’avait jamais eu vraiment l’occasion de passer beaucoup de temps avec elle, elle aspirait à mieux la connaître. Travailler pour elle serait l’occasion idéale, imaginait-elle.

    Naturellement, Suzanne refusa d’accorder un quelconque traitement de faveur à sa nièce qui dut donc commencer au bas de l’échelle, en tant que femme de chambre. Les débuts furent d’ailleurs difficiles. Non seulement le travail était physiquement éprouvant, mais c’était aussi moralement difficile à supporter. Il fallait composer avec des pensionnaires pas toujours aimables, et surtout, apprendre à s’habituer à cette proximité, inhabituelle pour une jeune fille, avec la maladie, et même, parfois, avec la mort. Pour ne rien arranger, même sa tante lui apparaissait différente dans le contexte professionnel. D’ailleurs, tous les employés la craignaient, non parce qu’elle était particulièrement odieuse, mais parce qu’elle exigeait toujours l’excellence de ses subordonnés. Elle avait l’image d’une femme juste mais dure.

    De fait, il lui arrivait même d’être sévère avec Florence. Plusieurs fois, la jeune fille songea à abandonner, surtout la première semaine, mais elle s’accrocha. Elle n’était pas du genre à se laisser faire. D’ailleurs, plus le temps passait et moins sa tâche lui semblait insurmontable. À dire vrai, c’était juste au moment où ce travail commençait presque à lui plaire qu’elle rencontra un autre genre de problème.

    Cela se passa avec le pensionnaire de la chambre 124, un vieux grabataire de 84 ans qui ne quittait plus que rarement son lit et qui, d’ailleurs, ces derniers mois, semblait lentement mais sûrement s’avancer vers la fin. Toutefois, depuis quelques jours, Florence avait noté un petit regain d’activité.

    Ce matin-là, lorsqu’elle entra dans la pièce, le vieux la regarda d’un air un peu hébété. Elle lui sourit en lui disant bonjour. Elle était toute mignonne, avec sa petite blouse blanche, ses longs cheveux bruns attachés un peu négligemment en chignon sur sa tête. Elle commença à s’affairer dans la chambre, lorsqu’il lui sembla que le vieux monsieur essayait de lui dire quelque chose. Sa voix n’était cependant qu’un souffle presque inaudible. Elle s’approcha, se pencha au-dessus du lit pour essayer de saisir le sens de ses mots. Et là, la main du grabataire vint soudain se plaquer sur son sein droit. Elle recula d’un pas, hésitant entre la surprise et l’effroi. Aussitôt, cependant, elle reprit ses esprits. C’était sans doute un de ces gestes brusques et involontaires auxquels les vieilles personnes sont parfois sujettes… Alors, elle continua sa besogne et n’y pensa plus.

    Les jours suivants, cependant, le même genre d’incident se répéta. En fait, elle ne pouvait plus s’approcher du lit de ce pensionnaire sans qu’il essaye de la toucher. En définitive, on pouvait même dire qu’il tentait véritablement de la tripoter, en particulier aux endroits que les hommes aiment à tripoter. Elle avait beau essayer de le raisonner, même lui faire des remontrances, rien n’y faisait. D’ailleurs, elle n’était même pas sûr que le vieux puisse la comprendre ou même l’entendre.

    Les jours passèrent et le vieux semblait reprendre de plus en plus de vigueur, ne faisant finalement qu’aggraver le problème de Florence. Maintenant, elle parvenait à saisir certains mots qu’il marmonnait et qui ne laissaient guère de doute sur ses motivations : « Nichon… cochonne… cul… ». Elle ne savait pas bien s’il fallait en rire ou en pleurer. En l’espèce, ça la contrariait plus qu’autre chose. Il lui devenait en effet de plus en plus difficile de faire son boulot dans la chambre 124. Plus l’élocution du vieux s’améliorait et plus il en profitait pour lui tenir des propos salaces. Plus ses gestes se faisaient vifs et moins elle parvenait à les éviter. Au bout du compte, chaque jour, elle appréhendait le moment d’arriver à cette chambre devenue fatidique et y passait, de fait, le moins de temps possible, se contentant du strict minimum.

    En même temps, elle n’osait pas en parler autour d’elle, parce qu’elle s’imaginait qu’elle était sans doute la seule, en tant que petite débutante, à ne pas savoir gérer ce genre de situation. De toute façon, elle ne voyait pas comment en parler sans que ce soit gênant. Finalement, ce fut Suzanne qui, lors d’une inspection, s’aperçut des négligences de sa nièce dans la dite chambre, sans en connaître toutefois la cause. Elle décida aussitôt de la convoquer dans son bureau pour tirer ça au clair.

    Ça avait beau être sa tante, Florence n’était pas vraiment rassurée de se retrouver face à elle, dans ce contexte. Ce fut d’ailleurs assez sèchement que Suzanne lui demanda des explications. Au début, Florence se contenta de se tordre les doigts en regardant ses chaussures mais, sous l’insistance de sa tante, elle finit par lui raconter toute l’histoire. En l’écoutant, il lui sembla que Suzy avait esquissé un petit rictus, sans qu’elle puisse trop bien en saisir la signification. Elle resta d’ailleurs très froide pendant tout leur entretien. Elle avait un regard bleu-acier qui accompagnait assez bien son habituel petit air de supériorité :

    — Je vois. Ce sont des choses qui arrivent… Il est trop tard pour s’en occuper ce soir mais, demain, avant d’aller faire la chambre 124, tu passeras me chercher : nous réglerons ça !

    Florence ne sut pas trop quoi en penser. En un sens, elle était soulagée que la chef prenne les choses en main et résolve son problème. D’un autre côté, n’aurait-elle pas du régler ça toute seule ? En fait, elle craignait surtout que sa tante ne la prenne pour une cruche, ce qui l’aurait fortement vexée.

    Le lendemain, ce fut donc accompagnée de sa tante que Florence se présenta à la porte de la chambre 124. La pièce était baignée d’une lumière blanche et crue de néon blanc. Suzanne lui emboîta le pas et verrouilla la porte derrière elle. Le pensionnaire de la 124 accueillit la jeune fille dans une éructation essoufflée :

    — Voilà ma petite cochonne.

    Elle répondit par un timide bonjour. Le vieux aperçut aussi la patronne. Il en fut surpris mais ne s’y attarda pas plus que ça. Suzy poussa alors Florence devant elle et s’adressa au vieux, d’une voix forte :

    — Alors, il paraît qu’on fait des misères à la p’tite ?

    Il haussa les épaule et retroussa sa lèvre supérieure :

    — C’est une petite cochonne…
    — Comment ça, c’est une cochonne ?

    Bizarrement, il regarda alors par la fenêtre, à l’opposée des deux femmes, et marmonna :

    — … des gros seins…
    — Je vois, dit Suzanne en levant les yeux au ciel, comme si elle s’attendait tout à fait à ce genre de situation.

    Elle se tourna aussitôt vers Florence et, d’un ton conciliant mais ferme, lui dit :

    — Montre-lui ta poitrine !

    Un instant, Florence en eut le souffle coupé. Déjà, son cœur battait la chamade. Surtout, elle ne comprenait pas bien ce que venait de lui demander sa tante. Elle la regardait d’un air apeuré. Alors, Suzanne reprit :

    — Ça arrive à cet âge : il fait une fixation. Si tu lui montres tes seins, il sera content et il passera à autre chose.
    — Mais, Suzy…
    — Allons, allons, Florence, ne fais pas ta prude, on dirait ta grand-mère ! Ça fait partie de ton travail que de savoir te sacrifier parfois… et, pour te donner du courage, pense au petit plaisir que tu apporteras à ce pauvre vieux bougre !

    Pendant que les deux femmes parlementaient entre elles, le vieux restait affalé sur son lit sans sembler comprendre tout ce qui se disait. En même temps, il tendait avidement les mains vers Florence, qu’il ne pouvait toutefois pas atteindre. Finalement, la jeune fille finit par s’incliner devant l’expérience de sa tante, non sans en ressentir aussitôt une certaine honte. Elle ôta alors sa blouse et la déposa sur une chaise. Ensuite, elle se rapprocha timidement du lit, tout en prenant soin de rester hors de portée du pensionnaire, et retira son débardeur. En haut, elle n’avait plus alors que son soutien-gorge en imprimés mauves, avec une petite bordure de dentelles. Le vieux la fixait sans piper mot. Muette, elle aussi, Florence regarda sa tante, qui l’encouragea d’un simple geste du menton. Alors, elle dégrafa son soutif, hésita un instant puis libéra enfin son opulente poitrine qui rebondit légèrement avant de se stabiliser dans l’air tiède. Elle avait de vraiment beaux seins : gros et bien ronds, ils se tenaient encore bien étant donné son jeune âge ! Ses aréoles étaient assez étroites mais d’un rose presque brun. Ses tétons étaient épais et cours, légèrement durcis pour la circonstance. Le vieux n’en revenait pas, il en prenait plein les pupilles. Florence baissait les yeux et Suzy couvait la scène d’un œil bienveillant, presque maternel.

    Une fois la première gêne légèrement passée, Florence releva le regard et vit le vieux qui la fixait. Il n’avait pas l’air bien méchant. Simplement, il la dévorait du regard, fasciné, un peu bêtement, comme un gamin, captivé par ses seins. Elle s’aperçut alors qu’elle ne l’avait jamais vraiment regardé. Il avait la peau toute fripée, des sourcils broussailleux et une mince couche de cheveux gris rejetés en arrière. Ses yeux étaient légèrement vitreux et mi-clos, sa bouche vaguement tordue. Elle trouva cette vision plutôt rassurante et se détendit légèrement. Elle regarda Suzy comme pour savoir si elle faisait ce qu’il fallait. Le vieux recommença à tendre les bras vers la jeune fille, avec un air un peu désespéré. Suzy posa alors délicatement la main sur le dos de sa nièce et lui glissa à l’oreille :

    — Allons, approche-toi un peu.

    Florence se sentait dans un état vaguement hypnotique, tout en ayant parfaitement conscience de tout ce qui se passait. En tous cas, elle sentit nettement qu’elle n’avait pas les moyens de résister. Elle s’avança donc vers le lit, jusqu’à ce qu’une des mains du vieux prenne appui sur sa hanche. Puis elle se pencha légèrement en avant. Alors, le vieux se redressa dans un râle et plaqua ses mains sur chacun de ses seins voluptueux. Il était excessivement maigre, presque squelettique, et ses mains étaient toutes tendineuses, sèches, un peu râpeuses. Ça contrastait avec la peau lisse de Florence, ses seins lourds, son teint légèrement mat. Il les caressa d’abord un peu maladroitement puis les malaxa bientôt sans ménagement. Il était parcouru de petites secousses, on avait l’impression qu’il riait. Florence regardait ces mains fripées qui parcouraient sa poitrine et les yeux espiègles du vieux. Elle était proche du dégoût mais était en même temps animée par un certain sentiment de devoir. Les sensations qu’elle ressentait étaient contradictoires.

    Le vieux s’agitait de plus en plus, il s’inclina soudain sur le côté pour fourrer son nez entre les deux seins de la jeune fille. Dans le mouvement, il attrapa le téton droit entre ses lèvres sèches, sans que Florence n’ait eu le temps de réagir. C’est Suzanne qui la tira en arrière et calma les ardeurs du vieux bonhomme :

    — Allons, allons, papy, du calme : tu vas finir par te tuer…

    Et elle le repoussa sur son oreiller. Le vieux se radoucit un instant, puis reprit ses discours décousus :

    — Cochonne, c’est beau… c’est bon… le cul… le cul.

    Tout en pointant clairement du doigt le nouvel objet de sa convoitise. Ça fit sourire Suzanne :

    — Hé là, grand-père, il t’en faut toujours plus, c’est ça ?

    Lui, il faisait un peu une tête de chien battu :

    — Le cul… joli… le cul…
    — Et après, tu nous fous la paix, hein !?

    Le vieux n’approuva pas vraiment mais Suzy se retourna vers sa nièce :

    — Allez, montre-lui, ça lui fera plaisir et on sera débarrassé.

    Florence, qui était restée en retrait, torse nu, avait un peu froid. Elle regarda sa tante avec des yeux tout ronds :

    — Tu es sûre, Tatie ?

    Suzanne hocha la tête et cela devait suffire, semblait-il. Elle laissa à la jeune fille sa place au bord du lit. Toujours seins nus, Florence s’avança à portée de main du vieux. Il s’agrippa aussitôt à son jean, ce qui énerva la patronne :

    — Allons, tu es sage où ça s’arrête-là !

    Du coup, le vieux reposa ses bras sur le lit. Il n’en fixait pas moins la petite jeunette qu’on lui donnait en spectacle. Florence défit donc les boutons de son jean, laissant apparaître le haut d’une petite culotte en coton toute simple, assortie au soutif. Elle sentait une boule dans sa gorge tout en sachant qu’elle devait faire ce qu’on lui avait demandé. Elle baissait les yeux mais elle sentait bien le double regard qui pesait sur elle, celui du vieux bonhomme et celui de sa tante Suzy, attentifs, inquisiteurs. Elle se tourna lentement, dos au lit, se pencha légèrement en avant, glissa ses pouces dans sa culotte puis les fit glisser le long de sa cuisse, découvrant ainsi ses fesses amples, pleines, généreuses. Elle descendit son pantalon et sa culotte jusqu’aux genoux dans un geste aussi chaste que possible mais déjà bigrement indécent. Dans le mouvement, sa raie s’écarta légèrement, laissant apparaître un fin duvet de poils bruns. Le vieux s’en étouffa presque. Elle se redressa aussitôt et lui, il apposa ses mains tremblantes, constellées de taches brunes, sur la chair fraîche de ce cul presque juvénile qu’on lui offrait. Il n’avait rien vu de tel depuis un moment ! Rapidement, il glissa un doigt entre ses fesses, sentit la rugosité des poils. Ce contact était si étrange que Florence en avait la tête qui tournait. Elle avait envie de s’enfuir ou envie d’aller plus loin, elle ne savait plus trop. Elle avait envie de tout et de rien. Elle sentait les doigt de ce vieux qui cherchaient à la fouiller, à s’immiscer en elle. De plus en plus, elle se raidissait, se crispait puis, soudain, sans réfléchir, elle se pencha en avant et écarta légèrement les jambes. Elle serra les dents.

    Aussitôt, la main osseuse du vieux s’infiltra entre les cuisses de la jeune fille. Son doigt tordu par les rhumatismes glissa entre les lèvres charnues de son sexe dégoulinant. Ce contact l’électrisa. Le vieux jubilait :

    — Bon dieu… la cochonne… le cul…

    Il en bavait ! Même Suzanne était comme paralysée par la scène qui se déroulait sous ses yeux. Tout en continuant de labourer le sexe de la fille avec sa main malhabile, le vieux bonhomme pencha sa tête entre ses fesses, en huma l’odeur exquise et glissa un instant sa langue dans sa raie. Elle s’offrait de plus en plus, écartant les jambes, laissant maintenant clairement apparaître son sexe ouvert, et même son anus qui se dévoilait de plus en plus nettement.

    C’est alors que sa tante l’agrippa par les épaules pour la soustraire aux assauts du vieux :

    — Allons, allons…

    Florence était dans un état second, son excitation était à un point qu’elle n’avait jamais connu. Elle se débattait presque, au bord des larmes :

    — Non, je ne peux pas arrêter, maintenant ! Je vais exploser.

    Le vieux, lui, incapable de se lever, s’était écroulé sur son oreiller hors d’haleine. Luttant contre sa nièce, au corps à corps, Suzanne ne pouvait s’empêcher d’admirer ce corps nu si désirable qui ne cessait de se frotter contre elle. Elle n’avait jamais été attirée par une femme auparavant mais, là, il fallait reconnaître que tout ceci l’avait troublée, qu’elle la regardait désormais avec envie. Alors, subitement, elle saisit Florence par les poignets, la retourna et la plaqua contre le mur. Les mouvements de la jeune fille étaient entravés par son pantalon qui avait glissé jusqu’à ses chevilles. Tout en la maintenant fermement en respect, Suzanne dit alors :

    — Ah, tu veux jouir, hein !? Alors, tu vas voir, petite cochonne.

    Dans son esprit, elle se justifiait en considérant cela comme un mélange de punition et de nécessité induite par la situation précédente. En quelque sorte, elle se persuadait qu’elle ne faisait là que son devoir de patronne, et de tante. De force, elle écarta les cuisses de sa nièce et y glissa sa main. Elle introduisit aussitôt un doigt dans son sexe, tout en titillant son clitoris :

    — Oh, Tata ! Tata !

    Florence n’en revenait pas, mais c’était exactement ce dont elle avait envie à ce moment-là. Suzanne, de son côté, ne se souvenait pas qu’un corps de jeune fille pouvait être aussi beau. Surtout, elle n’aurait jamais soupçonné que sa propre nièce pouvait lui apparaître aussi désirable. Elle avait envie de la posséder complètement, de lui donner du plaisir comme jamais, et Florence se laissait visiblement faire, sous la dictature de son désir. Les caresses de sa tante sur sa vulve lui faisaient un effet incroyable. Il faut dire qu’une pratique régulière de la masturbation avait donné à Suzy un certain savoir faire en la matière. En même temps, de son autre main, elle caressait les seins magnifiques de sa nièce, lui pinçait les tétons. À son tour, Suzanne sentait que sa culotte devenait toute humide : elle ne se contrôlait plus tout à fait.

    Elle commença à l’embrasser dans le cou, puis elle se pencha pour pouvoir glisser un téton dans sa bouche. Il lui sembla qu’il avait un léger goût de réglisse. Florence continuait de gémir :

    — Suzy ! Suzy…

    Elle n’était capable de rien de plus. Alors, Suzanne s’agenouilla et se retrouva avec le visage à hauteur des fesses de sa nièce. Elle les empoigna pour en éprouver la consistance : c’était parfait, ni trop ferme, ni trop flasque. La peau était douce, les courbes aguicheuses. Elle ne put se retenir de les mordiller. Elle la débarrassa ensuite complètement de son jean pour qu’elle puisse écarter les jambes et lui donner un accès plus aisé à sa vulve. Un instant Suzy contempla le sexe de Florence avec fascination : les chairs étaient tendres, roses, juteuses. Ça lui rappelait sa jeunesse. Elle imaginait la sensibilité de sa nièce et les sensations que ses propres attentions pouvaient lui procurer. Elle y passa alors goulûment la langue en se contorsionnant légèrement. Florence se mit à hurler pour de bon.

    Au même moment, Suzy s’était déboutonnée pour pouvoir glisser une main sur son sexe et se masturber : elle avait la vulve en feu. Ses propres caresses décuplèrent son désir. Il lui fallait plus. Il lui fallait tout. Elle empoigna alors de nouveau les fesses de sa nièce et les écarta pour en exposer l’intimité le plus indécemment possible : son sexe béant, les poils qui couraient le long de sa raie et son petit œillet rose qui trônait au milieu, comme frémissant. Elle trouva cela irrésistible. Elle déposa aussitôt un baiser sur l’anus de sa nièce, puis le lécha avec avidité tout en masturbant le clitoris de la jeune fille, qui frétillait comme jamais sous ces caresses. Alors que Suzy tentait de faufiler sa langue dans le passage étroit, Florence fut agité de spasmes orgasmiques incontrôlables. Elle hoqueta puis s’effondra au sol paralysée par le plaisir. Aussitôt, tout à côté de sa nièce, Suzanne se déculotta complètement puis se masturba avec entrain. Se penchant légèrement en avant, elle glissa même un doigt dans son anus, comme son désir lui commandait de le faire. Elle atteignit rapidement la jouissance, pour s’écrouler enfin contre le corps tiède de Florence. Dans son lit, le vieux était, lui, resté complètement immobile depuis un long moment.

    Ainsi mourut le pensionnaire de la chambre 124… de mort naturelle.

     
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