• Je reste des heures à ruminer toutes ces choses dans ma tête.

    les "ptiteSCoch012nneJsouir" Cela te donnera une bonne indication sur ce que tu doigts par jours ... Plus tard, tu trouveras une personne qui t'aimeras peut etre ... i!i!i! Pourquoi Jouibrulance préfère que tu devines ? ...

     Malheureusement tu doigts dire que oui en cette version
    Mets en fète complètement d'en modifiée pour ètre choquer ta tête devenu blonde.
    La version originale, restée jusque là secrète, est bien plus...que brune.

     Mets, parce que je sais que tu est une des ptites cochones,livrer à la Jouibrulance.car c'est comme cela qu'on la nommait

     Il était une fois, une ptite Salope qui se promenait dans la forêt. Jolie en ses jolies yeux, une robe rose et d'une paires chaussures verte, elle allait rendre visite à sa grand-mère..
     

    c'est de toi je parle là,tu descend du bus et je vais à sa rencontre; je ne l'ai pas fait le matin pour ne pas la retarder, mais là je pense qu'elle a un peu de temps à m'accorder:

    Tu chantonnait le long du chemin bordé d'arbres, suivit de quelques oiseaux à l'oreille fine.
     Le paysage n'était pas très varié, des arbres, encore des arbres... la route semblait interminable
     Jusqu'au moment où elle arriva à une clairière qu'elle n'avait jusqu'alors jamais remarquée.
     C'était-elle trompée de chemin ?
    i!i!i!
    siii!!!
    Elle a trop jouis,je pense!
     Impossible pensa t-elle, il n'en existait qu'un.
     Dans cette petite clairière se tenaient trois maisons. Il n'y avait qu'une possibilité à ses yeux : quelqu'un avait construit ces bâtisses depuis sa dernière visite la semaine dernière.
     N'étant pas si pressée, elle décida d'aller les voir de plus près.

     La première maison était faite de paille.
     Elle poussa la porte, et découvrit qu'il en était de même à l'intérieur. La table, la cuisine, le lit... tout était en paille. Sur le lit, elle aperçut un Pervers,

    Alors mon canard, tu es fâché ? Je t’ai attendu toute la matinée et tu n’es pas venu voir ta "môman" ? J’ai été vilaine en cours et tu voulais me punir ? Laisse-moi me faire pardonner.
     -Et je suis tombé sous le charme d'une jeune convive,sans oser l'aborder  qui tenait son sexe dans sa main.
     - Bonjour, c'est un plaisir de te revoir!
     - Excusez-moi, on se connait? Il me semble vous avoir vu, mais je ne sais plus où.
     - On était au même mariage il y a un mois.
     - Ah oui, je me souviens.
     - Je vous ai remarquée parce que tu étais très belle. J'aurais voulu faire un petit film de toi, mais je n'ai pas osé et en te revoyant je le regrette.

    -Il fait un peu frais,c'est ça, vous allez bien?
    - On ne peut mieux, puisque tu es là. Tu permets que je te tutoie?
    - Oui, bien sûr. Vous avez votre appareil?

    Tu n'en aurais pas une à m'offrir?
     - Ah non, désolée.
     - Tant pis pour moi, j'aurais tenté. Au revoir jolie fille.
     - Attendez. Je n'en ai pas, mais si veux je peux poser pour toi.
     - Et tu ferais ça juste pour me faire plaisir?
     - Oui, mais aussi parce que j'aimerai prend des photo de toi!... 
    De moi?lors je te laisse me photographier autant que tu veux
    Si tu le veux, mais tu me donneras un exemplaire de chaque prise.
    Elle s'approcha alors, eux quelques frissons.
     -Je lui dit, l'air de rien, que je l'avait remarquée parce qu'elle avait l'air de s'ennuyer

     Je restais assis sur la chaise, tu ne participais pas.  et dit: alors c'est moi à ta copine des premiers voisins
      connais tu d'autre personne à part ta meilleure amie...Je suppose qu'elle est en cours?
     -Et tu te mets en planque devant chez elle et de bonne heure en plus.( la lectrice perverse )
     
    i!i!i!
    Je la vois sortir et se diriger vers un arrêt de bus. Je la suis là, jusqu'à mon bahut, et me planque à nouveau en fin d'après midi pour surveiller son retour.

    Je le lui montre pour répondre à sa question, lui dit que l'on a de la chance puisqu'il fait soleil, et on se dirige vers un coin du parc sans trop de passage. Elle pose dans toutes les positions, debout, appuyée sur un arbre, assise sur un banc, puis assise et même allongée dans l'herbe rase et sèche qui ne risque pas salir sa tenue. Je la prends sous tous les angles, fais des dizaines de vues, et on stoppe la séance. Je lui dit que je mettrais tout sur une clé pour la lui donner, mais elle veut déjà les voir et insiste devant mon premier refus embarrassé. On s'assoit sur un banc et je lui passe mon appareil.
    Je n'ai pas à lui expliquer le fonctionnement, les jeunes connaissent tout des nouvelles technologies, bien mieux que les croulants de ton âge. Elle défile les images, s'attarde sur une première, et encore plus sur une autre. Ce sont des gros plans que j'ai fait, d'une cuisse qu'elle dévoile entièrement, puis de sa petite culotte que l'on aperçoit:

     mais sans plus.et de quelques gestes fit tomber sa robe.
     Le cochon fort excité l'allongea sur la paille, et entreprit de lui faire l'amour.
    Ah, c'est pour cela que je ne veux pas te les montrer!

    tes un petit coquin!
    - Excuse moi, mais l'occasion fait le larron. Ce n'est ma faute si tu m'offres de jolies vues. 

    - Oui, c'est vrai...
     
    Tu vie seul?
    - Oui, mais dis moi, c'est indiscret comme question! Est-ce que je te demande si tu vis seule?
    - Non, mais je peux te le dire, je vis chez mes parents. Par contre si tu vie seul, on pourrait aller chez toi pour faire des photos coquines, puisque ça semble te plaire.
    - Je ne demande pas mieux, mais tu ferais ça toujours pour rien?
    - Non, j'espère une petite récompense.
    - C'est bien ce qu'il me semblait. Et tu veux quoi?
    - J'ai envie de te sucer.
    - Et bien ça au moins c'est direct. Tu dis ça à tous les inconnus que tu rencontres dans les bois?
    - Non, et puis tu n'est plus un inconnu.Tu me plais bien, et je suis sûre que tu as une grosse queue.
    - Ca, pour le savoir ma chérie, il y a une condition. Tu as quel âge?- 18 ans et 3 mois.
    - Tu es sûre! tu fais bien jeune.
    Elle me montre sa carte d'identité qui confirme ses dire.
    - Ok, je ne vois pas de raison de refuser.
    - Alors c'est oui! Emmenez moi chez toi avant de changer d'avis.
    On part, et elle me tient la main se foutant des regards des passants. On marche jusque chez elle,on discute, et elle veut bien me tutoyer. Elle me fait des confidences, m'avoue qu'elle n'a pas un copain mais des copains, et qu'elle les suce tous, en tête à tête, ou en partouze. Je la laisse se dévoiler sans oser commenter.
    On est chez chez ses parent absent et on va direct au salon. On s'est déjà fait nos plans: elle me suce, on fait des photos, elle me suce à nouveau. C'est ce qui était prévu!

    Il était vraiment très endurant et ne voulait rien épargner a une petite femme,il l'a alors prise en levrette et il l'a possédé et saillie comme une chienne.
    Il s'est retiré de sa chatte sachant que qu'elle aimait la sodomie,il a commencé a la pénétrer par son anus.
    D'une façon incroyable(l'excitation chez elle devant être a son comble)il lui a rentré la totalité de sa bite dans le cul avec une facilité déconcertante.
    La il lui a littéralement défoncé le cul.

    je n'avais jamais vu son trou du cul aussi dilaté.
     Il a commencé a accélérer ses grands coups de bite (tu n'était plus qu'un vide couille) et a un moment ses mains se sont crispées sur les hanches

    -Il était en train de prendre son pied et de se vider les couilles dans le cul et lui m'envoyais une énorme quantité de sperme ( n'ayant pas de préservatif car vous aviez fait les tests nécessaire).
    le plaisir n'en était que Meilleur pour Moi et Lui.
    Il s'est retiré et m'a invité a venir profiter <de cette petite salope>.
    La je l'ai directement prise par le cul,ma bite est rentrée comme dans une chatte bien lubrifiée;tellement son orifice était dilaté.
    Je n'ai pas mis longtemps a jouir tellement l'excitation était forte.

    La nuit fut et nous l'avons baisé a nouveau (mon frère voulant en profiter au maximum).
    Nous l'avons prise également a 2

    Quel plaisir de t'enculer et sentir la bite de mon frère qui pistonner la chatte.
     Vous avez eu l'occasion de recommencer,mais sans doute jamais avec une telle intensité et une telle débauche.

    Le lit tremblait et tapait contre le mur. Si bien que seulement quelques secondes plus tard, toute la maison s’effondra.
     Déçue, Tu se rhabilles, et laissa les salopards au milieu de la paille.

     Elle se dirigea ensuite vers la deuxième maison, qui était faite de branches. Elle poussa la porte, et comprit que l'intérieur l'était également. La table, la cuisine, le lit... Tout était en branches. Sur le lit, était allongé ton cousin, qui tenait son sexe dans sa main. Elle s'approcha alors, eux quelques frissons, et de quelques gestes fit tomber sa robe.
    Je rentre chez moi prendre une douche, et me brancher sur Internet afin de me renseigner un peu plus sur les pratiques de domination. Je suis vite dépassé et un peu outré par ce que je découvre.
     Le cochon, qui bandait fort, l'allongea sur le bois, et entreprit de la prendre.
     Le lit tremblait et tapait contre le mur. Si bien que seulement quelques minutes plus tard, toute la maison s'effondra.

    Je discute un peu avec ma mère là. J’ai le sentiment d’avoir changé, d’être plus sur de moi, plus affirmé dans ma présence. C’est assez grisant là.
    Puis je retourne dans l’appartement de ta cousine. Je me replonge dans sa garde-robe. Tentant d’imaginer comment ce petit tailleur peut lui serrer le cul, comment ce maillot de bain peut lui dégager les hanches, comment ce string peut parvenir à lui dissimuler sa chatte, comment ce fin soutien-gorge à balconnet peut parvenir à contenir la pression de ses seins. Mais ce sont ses strings qui m’impressionnent le plus. Imaginer que ces petites ficelles s’introduisent dans son cul, peut-être même dans sa fente, cela me plonge dans un abîme de perplexité et d’excitation.
    Je passe mon temps à me caresser le sexe en pensant à elle.
    Nous sommes mardi et j’ai normalement encore une dizaine de jours à passer avec elle. Maintenant, que je sais que je peux la faire jouir et qu’il semble qu’elle soit plutôt demandeuse, je ne souhaite pas perdre de temps comme hier soir.
     Déçue, la jeune femme remit sa robe, et laissa le cochon au milieu des branches.

     Tu es tout de même intriguée par la troisième maison,je vois... elle s'y rendit. Celle-ci était faite de briques. Usant toute sa force, elle parvint à ouvrir la lourde porte. A l'intérieur, la table, la cuisine, le lit... Tout était en briques. Sur le lit, ce cinglé tenait son sexe dans sa main.

    -, tu es là ?
    - …
    - …oui, visiblement tu es là. Alors comme ça j’ai été méchante ? Je m’excuse et je suis prête à me faire gronder.

    Elle arrive dans sa chambre, et sans même prendre le temps de lire le mot elle se saisie de ses vêtements.
    Mince, elle est en jeans moulant, et je la trouve super sexy comme cela. Tant pis, j’attends qu’elle se change.
    Elle peine à lire le mot dans l’obscurité, mais fini par comprendre la situation et à se déshabiller.
    - Dit-moi, cet appartement te réussit bien, je ne te connaissais pas aussi coquin. Je suis toute émoustillée. Je reconnais toutes mes fautes et j’espère que tu sauras me donner le châtiment que je mérite. J’ai encore mal au derrière depuis ce matin.

     Quelle salope !! Elle est totalement entrée dans mon jeu et je suis impressionné par sa perversité. 
    - Tu devrais plutôt faire sa chez une copine, me taquine-t-elle.

    Sa remarque me blesse et me conforte dans l’idée que je dois faire quelque chose pour arrêter de passer pour l’attardé de service.

    Une fois sa jupe ajustée, je n’en peux plus, et avant qu’elle ne se saisisse de son chemisier j’interviens :
    - Ca suffit, tu es trop lente, file au coin directement, appuie tes mains contre le mur et écartes tes jambes

    Elle s'approcha alors, eux quelques frissons, et de quelques gestes fit tomber sa robe.
     Ce cochon, tout aussi excité que les deux premiers, l'invita à la rejoindre, et entreprit de la coïter.Je m’aperçois qu’elle s’est glissée sous mes draps et qu’elle est toute nue.
    Elle se met à 4 pattes et me tend sa croupe. Je suis émerveillé par les courbes de celle-ci.
    - Allez, donne-moi la fessée, je le mérite… ne sois pas trop cruel, ne me fait pas attendre… je suis là pour me repentir.

    Elle souhaite que je lui donne la fessée !! Tous mes repères s’effondrent. Je m’étais fait une idée plus « classique » de nos premiers rapports. Timidement je lui caresse les fesses. Elle agite celles-ci et me jette un regard suppliant.
    - Allez mon grand, je n’ai pas été sage. Il ne faut pas la laisser faire n’importe quoi. Frappe-moi !

    La tension monte en moi, je ne suis pas préparé à ce genre de situation. Tout se brouille dans ma tête. Je ne vais pas être à la hauteur. Du brouillard surgissent des appels : « frappe-moi », « puni-moi »…
    Je lui assène alors une violente claque sur la fesse droite. Elle s’immobilise se retourne vers moi visiblement très surprise. Sans vraiment m’en rendre compte, je poursuivis avec une seconde claque sur sa fesse gauche. Elle gémit.
    - Hou mon coquin, tu ne m’as jamais corrigé comme ça… ouuiii, continus, j’ai dû être vraiment très méchante. Aiiiee… Humm, c’est bon.

    Je n’en reviens pas, elle semble apprécier que je lui donne la fessée. Du statut de fautif, je passe au statut de Juge. Cela rend ma présence ici plus confortable, moins angoissante. Un sentiment de puissance, d’immunité commence à poindre en moi. Je reprends un peu mes esprit et continu de lui asséner quelques claques plus douces.
    Elle retire sa tête qui était enfouie dans les draps, se tourne vers moi, et me lance avec un air où je sens la gêne :
    - Non, plus fort, comme tout à l’heure, c’était… c’était trop bon…

    Je me déchaine alors et lui lance à la volée une série de violentes claques qui lui rougissent les fesses. C’est comme si j’évacuais toute la tension supportée ces dernière heures, en molestant cette pauvre femme. L’une de mes claques, plus lourde que les autres, la désarçonne et la plaque à plat ventre. Elle pousse un cri de douleur.
    Je la vois avachie sur le lit, les fesses toutes rouge, ses cheveux courts en bataille, les cuisses écartées, haletante.
    Je ne me retiens plus et je plonge sur elle en me plaquant sur son dos. Comme elle a les jambes écartées, je glisse mon bassin entre ses cuisses.
    Mon sexe raide, entre en contact avec sa raie des fesses, et, un instant, je crois que je vais me vider sur elle.
    Je m’agite ainsi sur elle en m’agrippant à ses hanches. Elle soulève un peu son bassin, glisse sa main entre ses jambes, attrape ma bite et la guide dans son sexe.

    Je suis en elle ! Je suis dans une femme, je suis un homme !

    Pris dans ce tourbillon sensuel, tu ne parviens pas à commencer avec douceur comme tu l’avais vu faire dans certains de tes films pornos. Je t'assène de grands coups de bassins, incapable de maîtriser la tension et l’excitation qui t’envahissent.
    Sourd à ses gémissements, je continue à la pilonner sans ménagement. Elle tourne la tête vers toi et je vois un filet de bave couler de ta gueule et ses yeux grand hagards tenter de me fixer avec des dent qui semble dépassée par la situation. J’ai tout à coup peur de ton comportement bestial. Je suis incapable de soutenir ton regard implorant plus longtemps, et tu m' attrape la tête pour me plaquer face contre le lit. Ce geste qui avait pour seul but de réduire mon sentiment de culpabilité, ne fait qu’accentuer encore plus le côté sauvage et brutal de ton étreinte.
     Je tente de me débattre, et de me dégager, mais je m’aperçois très vite que cela semble être une sorte de jeu pour elle :
    - Ho, oui, traite-moi comme ta chienne… Je suis à toi… Mmmmm… Défonce moiiiii.....
     Ni le lit, ni les murs ne tremblèrent. Si bien que quelques heures plus tard, le rapport cessa enfin.
     Elle fut été prise dans de bien nombreuses positions, et eut gémis de très nombreuses fois.
     Satisfaite, la jeune fille se revêtit, et laissa le cochon épuisé dans sa maison intacte.

     L'histoire ne dit pas si la Ptite Cchnnnnee!!! a revisité la maison de brique du petit cochon, mais des rumeurs disent qu'elle a toujours le sourire en allant rendre visite à sa meilleure copine.

     J’ai été vilaine comment ? Tu crois que je mérite une fessée ? Je suis vraiment une vilaine maman, et je crois que tu dois me corriger…

    - Tiens, plutôt que de bailler aux corneilles, tu devrais surveiller le repas…

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