Notre relation avec Franck dura près d’une année. Une année d’amitié sensuelle et sexuelle avec l’amant attentif, respectueux, de ma femme Laurence qu’il sut tellement combler de son imagination et de son endurance… avec mes encouragements excités. Combien de fois ai-je eu moi aussi du plaisir en le regardant prendre intensément ma Lolo et lui faire émettre des gémissements inconnus par des plaisirs que je n’avais su peut-être lui procurer moi-même ?
Notre première rencontre au club libertin était déjà loin quand Franck, à la fin d’un repas dans un restaurant à l’ambiance feutrée nous fit part de la nouvelle : « les amis, j’ai quelque chose à vous dire…je vais devoir partir à l’étranger, assez loin, en Chine, pour mon travail. Une mission de trois ans, hyper importante pour ma carrière ». Laurence et moi nous sommes tournés aussitôt l’un vers l’autre. Le visage de ma femme s’était défait et elle semblait au bord des larmes : « Franck, ce n’est pas possible ?! ». Il posa doucement sa main sur la cuisse de Laurence, lui sourit tendrement. « Tu pars quand ? », lui demandai-je. « Le mois prochain. Écoutez, ne soyez pas tristes, réfléchissez plutôt à la manière dont nous pourrions célébrer, dans une splendide apothéose, la fin de notre belle relation ». Cette suggestion eut le mérite de rendre à chacun le sourire.
Je me tournai vers ma femme : « Lolo, tu te rappelles de ce que tu m’as dis l’autre nuit ? ». Laurence répondit aussitôt « Non, non, c’était juste comme ça… ». «Dis, Lolo, c’était quoi ton idée ?», ajouta Franck, dans la foulée. Comme Laurence, gênée, ne disait plus rien, je pris la peine de renseigner Franck : « Elle imaginait être prise par plusieurs hommes, dans un genre de tournante, tu vois, mais avec des hommes cleans et « classe »…
Je vis une lueur scintiller dans le regard de Franck. Lolo ne disait rien, les yeux baissés, jouant avec son alliance. Franck lui demanda « Tu voudrais ou non ? ». Laurence ne répondit pas mais son regard et le petit sourire qu’elle nous fit nous indiqua qu’elle était prête pour cette expérience dont, je l’avoue, la simple évocation m’excitait terriblement.
Après avoir précisé à notre ami les limites de ce que nous acceptions, et certains de notre confiance, nous étions d’accord, Laurence et moi, pour nous en remettre aveuglément à Franck. Il nous promit de nous faire vivre un nouveau moment inoubliable.
* * * *
Deux semaines plus tard, un vendredi, à 21h00, la cloche de l’entrée sonnait. C’était Franck, costume, cravate : la grande classe ! Il nous embrassa rapidement : « Vous êtes prêts ?...wow, Laurence, ouvre-ça… ». Laurence écarta les pans du manteau sous lequel elle n’était vêtue que de bas noirs, porte-jarretelles, culotte et bustier, noirs également. Ses escarpins la grandissaient de près de dix centimètres. « Tu es superbement excitante, Lolo », dit Franck, avant de l’embrasser longuement et de passer doucement la main dans sa petite culotte à dentelles. Il sortit une petite boite de sa poche, d’où il extrait 2 petites gélules : « Tiens, avale ça, ça décuplera toutes tes sensations, et sois sans crainte, c’est absolument sans danger ». Laurence obtempéra.
Nous enfilâmes manteaux et écharpes avant de nous diriger vers la voiture de Franck. Il me tendit les clés : « Tu veux bien conduire Manu ? Je monte derrière avec Madame. Je t’indiquerai le chemin ». Nous nous installâmes et Franck sortit de sa poche un foulard noir dont il se servit pour masquer les yeux de Laurence. Je démarrai : « Une bonne demi-heure de route, c’est ça ? ». Franck acquiesça puis murmura quelques mots, que je ne pus saisir, à l’oreille de Laurence. Je sus rapidement de quoi il s’agissait, Franck m’en informant sans délai : « Manu, ta femme va me sucer durant le trajet ». De fait, Lolo, le foulard sur les yeux, se pencha vers l’entrejambe de Franck, tâtonna quelques instants pour ouvrir la braguette et sortir la queue de notre ami. « C’est tout droit, me dit Franck, tout en caressant les cheveux blonds-roux de ma femme qui commençait à le téter doucement, Vas lentement, Laurence, on a le temps ! ». Tout en conduisant, je réglai le rétroviseur intérieur de façon à pouvoir observer la bouche de Lolo aller et venir sur la tige de Franck.
Il la laissait agir tranquillement, la ralentissant parfois, ou lui faisant marquer une petite pause, d’une simple caresse dans les cheveux. Quelques minutes avant d’arriver, Franck la fit accélérer. J’entendis son souffle rauque et le bruit accru de la succion de ma femme, ses petite plaintes…jusqu’à ce qu’il se raidisse tandis qu’il jouissait à longs jets dans la bouche de ma chérie, dont il maintenait tendrement la tête : « Avale bien…oui…..nettoie ma queue avec ta bouche…range-la bien dans mon pantalon ». Lolo lui obéit consciencieusement. Fort obligeamment, Franck lui essuya la bouche avec un kleenex puis lui refit attentivement le rouge à lèvre avec le tube qu’il avait pris dans son sac à main.
Nous arrivâmes, au milieu des bois, devant une grande propriété. Il faisait nuit noire. La grille était ouverte et je rentrai la voiture par une large allée de gravillons. Franck descendit le premier, fit le tour du véhicule pour aider Laurence à sortir : « N’oublie pas, Manu, personne ne sait que tu es le mari ». Nous nous sommes avancés vers l’escalier du perron, encadrant Laurence. Franck sonna deux fois. Un homme d’environ 70 ans, en smoking, ouvrit la lourde porte de la maison bourgeoise. Reconnaissant Franck, il nous fit entrer « Bonsoir Franck, ponctuel et fiable, j’apprécie ! Bonsoir...Manu ? C’est bien cela ? …et Mme Laurence…vous êtes charmante ». Lolo avait pour consigne de ne pas parler. « Appelez-moi Paul, soyez les bienvenus dans ma demeure ». Il attrapa une sonnette posée sur un meuble bas de l’entrée, l’agita, et une domestique apparue. Il s’agissait d’une femme d’une soixantaine d’années, à la mine sévère. Le maitre des lieux lui fit signe de nous débarrasser de nos manteaux, ce qu’elle fit en silence. Laurence était désormais en dessous, bas et escarpins. « Messieurs, dit le nommé Paul, nous allons passer au salon bleu...Gisèle, vous allez conduire Madame Laurence dans le salon rouge et la préparer ». La domestique à l’air rébarbatif prit le bras de Laurence et l’entraina dans un couloir. Je n’en vis pas plus. Franck et moi étions nous-mêmes entrainés par notre hôte dans une pièce adjacente.
Il s’agissait d’un vaste salon, richement décoré de tentures épaisses, de tableaux anciens et de meubles de style. Quatre canapés entouraient une table basse en bois précieux. Toutes les personnes qui se trouvaient là se levèrent poliment à notre arrivée. Ils étaient huit et avaient tous visiblement entre 60 et 75 ans. Ils étaient de belle prestance, vêtus avec soin… Paul fit les présentations, j’étais officiellement devenu une sorte de collaborateur de Franck qui indiquait vouloir partager sa maitresse avec des hommes murs, connaisseurs en matière de femmes expérimentées et matures.
Une autre domestique, d’une soixantaine d’année, très ronde avec une poitrine imposante et habillée comme une soubrette, servit le champagne et en proposa une flûte à chacun.
Paul s’approcha de moi et m’attrapa le bras : « Vous savez, Manu –Je peux vous appeler Manu ? – mes fidèles amis et moi aimons l’imprévu et la nouveauté, et je pense que Franck nous propose ce soir quelque chose d’inoubliable ! ». « Je le pense, Monsieur…je veux dire Paul, je pense que vous serez satisfait… A votre santé, et à cette belle soirée », fis-je en levant mon verre. Malgré mon calme apparent, mon cœur battait la chamade tandis que je réalisais que ces anciens allaient bel et bien baiser ma femme ce soir.
Les hommes s’étaient tous assis confortablement, la flûte à la main. Ils semblaient former comme une confrérie. C’en était une, assez libertine, j’allais rapidement pouvoir le constater…Franck était assis près de Paul. Celui-ci, remarquant que j’étais resté debout, m’apostropha gentiment : « Venez près de nous Manu, installez-vous confortablement, asseyez-vous, vous êtes aussi notre invité ! ».
J’obtempérai et pris place dans le moelleux sofa, entre deux septuagénaires calmes et souriants. « Camélia, nous sommes prêts », fit Paul, d’une voix ferme. La femme potelée aux gros seins arborait à présent un décolleté considérable qui arrivait à ras du mamelon et creusait un sillon profond entre ses deux globes. Elle s’agenouilla près de l’homme assis à la gauche de Paul et déboutonna sa braguette, dégageant un sexe de bonne taille, aux poils poivre et sel, qu’elle commença à prendre en bouche, le faisant rapidement raidir…elle suçait tout en tournant la langue autour du gland… Après deux minutes, laissant la queue dressée, elle passa à l’homme situé encore à gauche et poursuivit ce manège durant de longues minutes. Elle suça également Franck qui passa rapidement la main dans le bustier de la soubrette puis s’adossa confortablement afin de profiter au mieux du savoir-faire de l’experte.
Puis vint mon tour. Camélia mit quelques secondes à sortir ma queue raide de ma braguette et la prit en bouche rapidement, tout en la branlant fermement. Cette femme avait réellement une technique extraordinaire, je n’avais jamais rien ressenti de tel en me faisant sucer. Ainsi que Franck l’avait fait, je me permis aussi de porter la main sur les seins de la dame. Je n’avais pas eu depuis longtemps l’occasion de palper une telle poitrine et je passai rapidement le pouce sur un téton, qu’elle large et dur. Je la vis interroger rapidement Paul du regard ; il acquiesça et Camélia sortit ses énormes seins, qui tombaient modérément, et glissa ma queue entre eux, les pressant contre ma tige en de moelleux va-et-vient. Puis elle cessa, remballant ses mamelles, pour s’occuper de la queue de mon voisin.
Lorsqu’elle eut sucé Paul, qui, étant l’hôte, était donc servi en dernier, celui-ci, arborant un sourire paisible, contempla l’ensemble des membres raides et inassouvis de tous ces messieurs et reprit la parole. « Mes amis, dit-il, nous allons avoir le plaisir d’honorer ce soir une maitresse de ce cher Franck. Elle se prénomme Laurence. Elle a 49 ans, elle est mariée et mère de famille et vous pourrez constater, c’est du moins ce que m’a annoncé Franck, qu’elle est véritablement rousse, un roux très clair qui ne se retrouve pas seulement dans sa chevelure de feu mais également autour d’une chatte délectable, joliment velue, et d’un cul voluptueux…Allons-y ! ».
Tout le monde se leva, la queue raide toujours sortie du pantalon, pour se rendre dans une autre pièce de l’imposante demeure. Il fallut descendre quelques marches et nous nous retrouvâmes dans une grande pièce sombre, éclairée de quelques cierges qui y faisaient régner une ambiance intime, chaleureuse et mystérieuse. Les murs étaient couverts de tissu rouge. Quelques fauteuils confortables étaient disposés ça et là.
Au milieu de la pièce, lorsque mes yeux furent habitués à cette légère pénombre, je découvris la présence de ma Laurence, arrimée verticalement sur des éléments de cuirs, eux-mêmes fixés par des sangles attachées à un gros anneau métallique fixé au plafond. Le foulard noir masquait toujours son regard.
La vieille domestique qui l’avait prise en charge à notre arrivée lui parlait doucement à l’oreille tout en lui pinçant délicatement la pointe des seins. Ma femme avait les cuisses écartées et un gros gode emplissait sa chatte rousse tandis qu’un plug était calé dans son petit trou.
(à suivre…)
Au milieu de la pièce, lorsque mes yeux furent habitués à cette légère pénombre, je découvris la présence de ma Laurence, arrimée horizontalement sur des éléments de cuirs, eux-mêmes joints à des sangles attachées à un gros anneau métallique fixé au plafond. Le bandeau noir masquait toujours son regard.
La vieille domestique qui l’avait prise en charge à notre arrivée lui parlait doucement à l’oreille tout en lui pinçant délicatement la pointe des seins. Ma femme avait les cuisses écartées et un gros gode emplissait sa chatte rousse tandis qu’un plug était calé dans son petit trou.
Tous les membres de la confrérie libertine s’approchèrent, la plupart caressant leur queue raide. Franck et moi-même restâmes en retrait pour mieux observer la scène. Les huit hommes à cheveux blancs et gris entourèrent ma femme et commencèrent à poser les mains sur son corps. Des bouches se posèrent sur ses tétons mais c’était plutôt ses cuisses, ses grosses fesses et sa chatte rousse velue qui attiraient les doigts et les mains baladeuses de ces messieurs.
Paul interpella la femme habillée en soubrette. Celle-ci était discrètement entrée après nous. Ses gros seins étaient extraits du corsage et en débordaient généreusement de toute leur plénitude : « Camélia, libère Madame Laurence de ces objets qui lui obstruent le con et le cul ». Camélia s’approcha entre les cuisses de ma femme, écartant au passage quelques hommes. Elle retira délicatement le plug anal, puis le gode de belle taille qui était bien calé dans sa chatte, non sans avoir fait faire quelques allers-retours à l’objet suintant qu’elle retira ensuite, laissant la chatte béante entre la touffe de poils roux frisés. L’objet et la chatte de Lolo avaient visiblement été bien enduits de gel et tout semblait fort bien lubrifié. Camélia fit glisser deux doigts dans le sexe de Laurence…à ma connaissance, c’était la première fois qu’une femme la touchait à cet endroit. Toujours aveuglée par le bandeau, Elle gémissait. Paul intervint de nouveau : « Camélia, faites place ».
Le plus ancien du groupe s’avança, il avait au moins 75 ans et se prénommait Jacques. Légèrement bedonnant et vouté, il arborait néanmoins encore une queue de belle allure. Il se pencha entre les cuisses de ma femme, passa les doigts dans sa toison et posa sa bouche entre les lèvres brillantes du sexe dilaté. Après une courte dégustation, il avança sa queue et la fit coulisser dans le con de ma Laurence, bien suspendue face à lui. Il la prenait par les hanches et la faisait se mouvoir en cadence pour la baiser sans avoir lui-même à donner des coups de bite. « Alors, Jacques, fit Paul en caressant les seins de Laurence, comment trouve-tu cette jolie rouquine ? ». « Aaah, mon Paul, c’est un velours. Le cul est moelleux, les cuisses sont larges et douces et ce con velu est un enchantement pour ma vieille queue…un peu large, peut-être…je vais me finir au cul de cette salope ! ».
Semblant hyper sensible et à fleur de peu, Laurence gémissait de toutes ces mains avides posées sur elle et caressant la moindre parcelle de son corps offert, de ces bouches suçant ses seins, de cette queue encore raide qui la prenait.
La respiration de Jacques, l’ancien, accélérait. Immobile, il balançait subtilement Laurence qui s’empalait de quelques centimètres sur mon membre à chaque balancement. Comme il l’avait annoncé, il sortit bientôt sa queue suintante de gel et de mouille, et la descendit devant le petit trou de Lolo qu’il encula d’un coup. Elle poussa un petit cri de surprise et de plaisir. Après quelques va-et-vient, il poussa un petit cri de plaisir ; il venait de vider sa semence dans le cul de Lolo. Il resta immobile quelques secondes et décula. Après une ultime petite caresse dans les poils de ma femme, il céda la place à un autre membre de cette confrérie, qui enconna Laurence et entreprit de la baiser d’une manière plus cadencée et endurante que Jacques. Laurence gémit de plus belle face à cet expert à la queue longue et épaisse, qui finit par jouir abondamment dans la chatte de Lolo.
Les hommes la baisaient à tour de rôle, certains prenant leur plaisir dans le trou doux et étroit du gros cul de ma Lolo, d’autres dans son ventre ou dans ses poils roux.
Pour ma part, j’étais intensément excité de l’image de ces queues inconnues qui défonçaient les orifices de ma Laurence chérie, ma petite femme gémissante qui prenait tant de plaisir par le contact de ces membres de toutes sortes qui l’honoraient si bien.
Franck, restant dans l’ombre de l’autre côté de la pièce, observait cette scène interminable avec intérêt en se faisant sucer par la grosse Camélia, à genoux devant lui. Il me fit signe de le rejoindre, ce que je fis. Camélia prit ma queue en bouche, la faisant rapidement durcir de nouveau. Elle nous suçait en alternance, Franck et moi, branlant l’un d’une main ferme et suçant l’autre. « Tu crois que je peux la baiser ? », dis-je à Franck. «Si elle est d’accord, profites-en Manu, ils sont tous bien occupés avec ta petite femme ».
Je pris un fauteuil, m’assis et fis signe à Camélia de venir sur mes genoux. Elle n’avait pas de culotte sous sa jupe de soubrette et empala ma queue dans sa chatte grisonnante en s’asseyant. Elle suçait toujours Franck, placé face à elle, tandis que je profitais de la position pour palper à pleines mains ses gros seins. Elle avait visiblement une besoin urgent de queue et soulevait rapidement le cul sur mon membre qu’elle enfournait à chaque fois profondément en elle. Je pelotais à chaque instant cette femme bien en chair qui me semblait déborder de cuisses, de fesses et de nichons. Je l’immobilisai quelques secondes le temps que Franck, baisant sa bouche, finisse de jouir en lui tenant la tête, puis j’agrippai ses fortes hanches pour qu’elle accélère et que je remplisse son con de mon sperme chaud.
Aussitôt fait, elle se releva, remit rapidement sa culotte et s’éloigna discrètement de nous après une caresse affectueuse à ma queue gluante. Franck me fit un clin d’œil : « Tu trompes ta femme, maintenant ? ».
Je repris vite l’observation de l’activité de ma Lolo qui était alors ardemment besognée par Julien, vieux chauve à la digne barbe blanche qui semblait avoir une résistance à toute épreuve. Sa grosse queue aux poils blancs pilonnait le sexe de ma femme. Il la prenait par ses hanches pleines et la faisait aller et venir sur sa queue qui ressortait presque intégralement d’elle à chaque fois. J’entendais, d’où j’étais, le halètement de ma femme qui montait progressivement en puissance sous les coups de boutoir du vieil homme dont la vigueur me surprenait davantage à chaque seconde. Puis Laurence poussa de réels cris de plaisir, de plus en plus rapprochés, à chaque fois que la queue l’emplissait. Elle semblait devenir hystérique à mesure qu’elle approchait du plaisir intense qu’elle approchait à chaque instant. Je n’avais jamais observé son visage ressentir une telle intensité. Les autres membres de la confrérie, tout en tripotant encore le corps de ma femme, observaient tour à tour ce visage et le spectacle saisissant de ce membre viril qui la besognait. Lolo poussa un long cri de plaisir et de soulagement en atteignant l’orgasme. Après deux coups de queue supplémentaires, Julien la ressortit et encula directement ma femme qui poussa un nouveau cri en se raidissant de tout son corps. Il déchargea longuement sa semence dans les fesses de Lolo qui eut encore quelques tremblements puis se détendit. Elle était en sueur et un sourire douloureux marquait son visage.
Il restait encore deux anciens à attendre, la queue raide, après le passage de Julien, qui était visiblement le plus performant de la bande. Tous le regardaient amicalement, avec une dose visible de respect.
Les deux derniers étaient Maxime et Paul, le maître du lieu. Laurence étaient un peu assoupie. On pouvait voir du sperme sortir lentement de sa chatte rousse béante et couler vers le sillon fessier. Aussi, ce fut par le cul qu’ils la prirent brièvement, jouissant chacun à tour de rôle après quelques minutes de mouvement.
Les huit membres de cette étrange confrérie, comme dans un rituel, vinrent à tour de rôle baiser la main de Laurence et poser un baiser rapide sur ses poils pubiens, avant de quitter la pièce pour regagner le salon bleu, remettre de l’ordre dans leur tenue de soirée et se réhydrater un peu.
Accompagné de Franck, je m’approchai rapidement de ma femme, épuisée : »comment ça va, ma chérie ? ». « Ooh, Manu, c’était trop bien, qu’est ce que j’ai pris, je n’en peux plus… », Me répondit-elle d’une voix faible. J’allais faire signe à Franck de m’aider à la détacher de ce singulier harnachement quand la domestique, celle qui l’avait « préparée » arriva en poussant une table à roulettes sur laquelle était posée une bassine d’eau chaude en émail, des serviettes, des gants de toilette, des éponges douces.
Elle essuya d’abord le visage de Laurence, qui avait toujours les yeux bandés, l’embrassant ensuite subrepticement au coin de la bouche, puis pris un gant chaud et humide, du savon liquide parfumé, et s’occupa attentivement de la toilette de la chatte. Après avoir retiré l’essentiel du liquide blanc qui sortait encore de son sexe et de son cul, elle la savonna abondamment, à diverses reprises, avec une grande douceur, introduisant à plusieurs reprises deux ou trois doigts dans la chatte. A l’aide de plusieurs gants, elle nettoya ensuite tout le corps de mon épouse chéri, la sécha avec des serviettes éponge épaisses et délicates. Elle revint vers la chatte, sembla vérifier le bouclage de la toison, écarta les lèvres sur lesquelles, à notre surprise, elle vint poser la bouche.
Agenouillée entre les cuisses de Laurence, elle lécha quelques minutes le sexe de Lolo, s’attardant régulièrement sur le petit clitoris qu’elle aspirait et titillait avec beaucoup d’attention. Ma femme soupirait par l’effet de cette sollicitation supplémentaire. Avec un soupir de regret, la domestique sembla reprendre conscience de notre présence et interrompit sa dégustation.
Elle apporta les vêtements de Laurence, lui passa elle-même sa culotte à dentelle noire puis la détacha, la faisant se remettre debout avant de l’aider à remettre son manteau.
Franck se tourna vers moi : « Raccompagne Laurence à la voiture, Manu, je vous rejoins dans un instant. Installez-vous à l’arrière ; c’est moi qui vous ramène. Mais ne retire pas encore le bandeau ».
La domestique nous conduisit vers la sortie et nous nous installâmes, ma chérie et moi, sur la banquette arrière de la belle automobile de notre ami Franck, garée dans l’allée de gravillons. Il faisait doux. Nous étions bien. Je pris Laurence dans mes bras. Elle était douce, et sentait si bon... Comme je l’aimais et comme j’étais fier d’être le mari d’une femme si belle, excitante et désirable ! Elle me serrait fort aussi, à la fois honteuse et épanouie, soulagée et reconnaissante du bonheur qu’elle venait de découvrir, prise par huit queues en une soirée…
Franck arriva bientôt, s’installa énergiquement au volant : « Ça va les amoureux ?...Allez, je vous ramène à la maison ! ».
Durant le trajet, après de longues minutes de silence, Il nous fit part de la grande satisfaction de notre hôte et de ses amis, me transmettant en même temps de leur part une épaisse enveloppe emplie de billets de banque. Cela me surprit (ce n’était pas prévu), me choqua presque dans un second temps, mais Franck me dit : « apparemment, c’est de très bon cœur. Paul a insisté pour que j’accepte et je lui ai alors garanti que tout serait consacré à l’achat de luxueux cadeau pour Laurence. Je n’allais pas refuser, non ? ».
J’embrassai encore une fois ma femme et la voiture poursuivit son trajet dans la nuit…
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