• LE BLOG DE Angel Caramel


    ♪ Le blog de Yuki ♫       

    « OH ! je ne savais pas que tu étais à la maison ! » Hélène pousse la porte de son sauna en bois de cèdre et est étonnée d’y trouver, tranquillement assis sur un des bancs, Julien, le meilleur ami de son fils.

    Julien se lève tel un ressort. « je suis désolé Mme Fabbre, je pense que j’aurais du vous demander l’autorisation d’utiliser votre sauna… » répond-il, embarrassé.

    Hélène l’arrête d’un geste de la main. « Je t’ai dit quand tu es arrivé ici pour les deux semaines de vacances que tu vas passer avec Luc et moi, que tu es ici chez toi. Et cela s’applique également au sauna. » Elle commence à esquisser un geste pour sortir. « si tu préfères, je reviendrai quand tu auras terminé. »

    « Oh pas du tout Mme Fabbre, je vous en prie, restez. »

    La femme plus âgée referme la porte. « Bien, c’est toujours agréable d’avoir quelqu’un à qui parler pendant une bonne suée. Mais certains préfèrent leur intimité. »

    « Pas moi, » répond un peu trop nerveusement Julien. Il n’avait pas prévu que la mère de Luc le rejoindrait et qu’il porterait devant elle un petit short de gymnastique.

    « Bon bon, » Hélène rit. « un gentil garçon mignon comme vous n’a rien à cacher. » lui dit-elle avec un clin d’œil.

    Julien se sent rougir et doit lutter pour recouvrer son calme.

    Hélène étale une serviette de bain très colorée sur le banc à côté du garçon. Elle a fait un pas au centre de la petite pièce se tenant presque directement au-dessus du garçon assis. Elle a distraitement délié la ceinture drapée autour de son long peignoir blanc en éponge.

    « En outre, je ne porte pas beaucoup plus de tissu que toi ! » dit-elle en écartant les pans du peignoir. En regardant le garçon en face, elle l’ouvre, exposant alors son corps moulé dans un petit bikini.

    Involontairement, les yeux du garçon s’élargissent en regardant la mère de son ami. Sa bouche s’est ouverte imperceptiblement. Hélène lui fait une moue rieuse pendant quelques secondes, puis retire le vêtement le laissant tomber sur le plancher.

    Son bikini jaune vif met son corps en valeur, la couleur de sa peau légèrement ambrée.

    Bien qu’elle ait 41 ans passés, Hélène fait beaucoup plus jeune. Les traits fins de son visage sont doux, avec des yeux bruns qui pétillent, un nez arrondi presque enfantin et des lèvres pleines, sensuelles. Ses cheveux sont noir jais sans recourir à la moindre teinture. Ils sont courts mais coupés avec art, la rajeunissant de quelques années supplémentaires.

    Avec ses 1m70, elle est un peu plus grande que la moyenne. D’ailleurs, il y a en fait peu de choses au sujet d’elle qui soient moyennes. Admirablement proportionnée avec ses 57 kg, Hélène Fabbre est une femme sexy, avec une taille mince et assez de courbes pour détourner le regard de n’importe quel homme.

    « Tu me sembles bien calme d’un seul coup ! Tu n’aimes pas mon bikini ? Tu trouves qu’il est trop petit ? » Elle lui fait une grimace, passant ses doigts dans ses cheveux, attendant une réponse.

    Julien croise timidement son regard.  » Eeuuhh il est plutôt petit,  » réussit-il à sortir.  » mais il vous va très bien. »

    « Je suis heureuse qu’il te plaise, » répond-elle tout en s’asseyant. « mon mari aime ce bikini, et d’ailleurs il a intérêt ! », puis elle ajoute « de toutes façons il aime tout ce qui met en valeur mes seins » en jouant avec les bretelles du soutien-gorge.

    Julien se demande s’il a bien entendu.

    « Bon, c’est vrai qu’il est l’archétype de l’homme obsédé par les gros seins. » Elle fait une pause. « et si j’en crois tes regards, je te suspecte de lui ressembler beaucoup ! »

    « Mme Fabbre ! »

    Elle ricane gentiment, prend sa serviette et commence à essuyer la sueur sur son visage. Elle étend de nouveau la serviette à côté du garçon et s’assied dessus se penchant vers lui. Elle croise ses longues jambes musclées. Elle tapote doucement son genou. « c’est normal tu sais. La plupart des types aiment les femmes avec de gros seins. Mon fils aussi. Il me l’a même avoué un jour. » Elle s’est penchée plus étroitement pour chuchoter dans son oreille : « Ce sera notre secret. »

    Et elle avait raison. Il jette un coup d’œil sournoisement sur sa grosse paire, mais quel homme aurait pu s’en empêcher. Elle est incroyablement bien dotée. Mais il n’y a pas que la seule taille. Depuis l’adolescence, elle a les seins le plus sensationnellement formés imaginables. Ils ont fait travailler l’imagination des hommes pendant deux décennies.

    En raison de la taille minuscule de son haut de bikini, ils ont certainement pris Julien au piège. Et çà n’est pas que le reste de son corps soit moins exquis : sa taille mince, ses hanches doucement évasées, ses bras et jambes musclés mais si féminins sont un hommage rendu au programme rigoureux d’exercices commencé depuis de nombreuses années.

    Elle tire sur les bretelles de son soutien-gorge pour les positionner confortablement. « Je suis généralement très satisfaite de ma silhouette, mais parfois ces gros globes sont pénibles. Mes soutien-gorges sont invariablement trop petits, particulièrement celui-ci. Ils paraissent m’aller bien, mais parfois il est pénible de les porter. » Hélène grimace de nouveau en tirant sur les bretelles. Elle le regarde. « il me fait vraiment mal. Cà t’ennuie si je le retire ? »

    « Ohh vous ne pouvez pas faire çà Mme Fabbre ! », il bégaie incontrôlablement.

    « OH si, je peux… mais… avec ta permission, » elle le taquine. « ce truc est vraiment douloureux, il me fait mal. »

    « Comme vous voulez, » dit-il, incrédule.

    « Alors allons-y ! » .

    Lentement, délibérément, tout en continuant à le regarder, elle passe les mains dans son dos et dégrafe son soutien-gorge. Ses énormes seins ont jailli presque sauvagement en avant. « A la bonne heure ! Maintenant c’est mieux, » dit-elle avec un soupir de soulagement. Elle fait glisser les bretelles le long de ses bras. Souriante, avec une main, elle l’écarte puis le laissant tomber sur sa cuisse. « allez maintenant en avant et regarde, mais ne te brûle pas la rétine. »

    Les yeux de Julien se posent sans hésitation sur les charmes étourdissants exposés sans scrupule devant lui. « Mon Dieu ! » murmure t’il involontairement. Les globes massifs pointent fièrement en avant comme deux torpilles d’albâtre. Ils sont admirablement couronnés par des mamelons très bruns, fièrement dressés, entourés par leurs aréoles également brunes et larges comme un dessous de verre. Ses yeux restent fixés sur ces gros nichons fermes, lourds.

    Notant le centre d’intérêt, presque hypnotisé de son regard fixe, Hélène étire ses épaules vers l’arrière, bombant le torses, propulsant sa grosse paire en avant. Elle pose ses mains doucement sur ses hanches. « Je pense que vous appréciez. » dit-elle gaiement.

    Le jeune garçon n’a rien dit mais la regarde avec embarras. Elle rit gentiment. Puis, se penche légèrement vers lui. Son visage est soudainement devenu sérieux. Elle regarde vers le bas, ses attributs surdimensionnés. Un film de transpiration s’est formé au-dessus d’eux. Elle les effleure du bout des doigts. « Vous avez bon goût, ils sont naturels vous savez. »

    Elle redresse la tête pour le regarder et se lève. Elle recule un peu. « Il ne faut pas avoir honte de la nudité Julien. C’est une chose très normale. » En disant çà, Hélène glisse ses doigts sous l’élastique de sa culotte, de chaque côté, et la fait glisser sur ses cuisses musclées avant de l’enjamber, découvrant une triangle brun, très fourni. Elle fait un pas pour s’en débarrasser. « comme vous le voyez, je ne suis pas spécialement timide ! » Elle fait un demi-tour permettant au garçon d’avoir un aperçu de son derrière rebondi. Puis termine sa pirouette lui faisant face de nouveau.

    « Je suis sans doute une femme mure, mais je m’entretiens et je suis fière de mon corps. » Elle passe ses doigts dans ses cheveux. « j’ai raison, non ? » demande t’elle ingénument.

    Julien gigote. Personne ne lui a jamais posé une telle question. Il ne peut pas croire qu’elle est nue, offerte, à seulement quelques cms de lui. Mortifié, il sent le début d’une érection puissante dans son short. Il prie pour qu’elle ne s’en aperçoive pas. « Mme Fabbre, vous êtes la femme la plus belle que j’ai jamais vue. »

    Elle est rayonnante. « je suis heureuse que tu penses ainsi. » Elle lui fait un clin d’œil entendu. « çà me fait du bien d’entendre çà de temps en temps. » Elle étire des bras languissamment au-dessus de sa tête. « j’aime être nue. Ça donne la sensation d’être si libre, si vivante. Tu sais Julien, je ne ressens aucune gêne, nue devant toi. Tu peux te sentir libre de me regarder. Ne sois pas embarrassé, puisque je ne le suis pas. »

    « Admettez qu’il faut que je m’habitue un peu. »

    Hélène sourit. « Je crois que je peux comprendre çà. Tu es un jeune homme et je parie que çà doit t’agacer un peu. » Elle s’agenouille devant lui plaçant ses paumes légèrement sur chacune de ses cuisses. « je parie que voir mon corps nu te fait un effet… dressant ! » Elle frotte doucement les cuisses du garçon assis, ses mains dérivant imperceptiblement vers les plis de l’aine. Elle regarde vers le bas le bombement impressionnant évident sous son short. Ses yeux s’élargissent et elle soupire. « vraiment dressant. Julien, je te fais bander dur ! » Elle approche ses mains de l’élastique du short. « A toi de me montrer maintenant ! »

    Le garçon est tout simplement paralysé. Elle le domine. Il lui laisse l’entière responsabilité de ce qu’elle s’apprête à faire.

    Lentement, Hélène commence à tirer le short vers le bas. Soudain, incapable de retenir sa curiosité, elle le descend d’un coup à ses genoux. Le membre palpitant jaillit glorieusement vers le haut, se dirigeant vers le plafond. Ses yeux se sont élargis pendant qu’elle regarde vers le bas, découvrant la grosse queue. Elle sourit et le regarde. « Oohh quel gros membre ! » dit-elle presque révérencieuse.

    « Julien, » elle murmure en regardant son bas-ventre. « les dames vont devoir faire attention avec un tel objet. » Elle glisse son short en bas de ses chevilles.

    Se mettant à genoux toujours devant lui, elle regarde le spécimen étonnant qui innerve ses sens. « C’est irréel, elle murmure. » Elle recherche ses yeux. Elle chuchote admirative, « J’ai toujours pensé que mon mari avait un gros sexe mais c’est juste un enfant comparé à toi ! »

    L’organe turgescent qui palpite la captive. Elle le regarde de nouveau dans les yeux. Elle baisse lentement son visage, approche ses lèvres de l’extrémité de sa virilité, et y dépose un baiser léger.

    Hélène se recule et regarde le mandrin de Julien. Elle regarde le filet brillant de sa salive qui est resté sur l’extrémité du gland. Pour elle, le contact de ses lèvres sur le garçon est comme électrique, un choc qui fait palpiter son corps chaud et nu. « Délicieux, » elle murmure.

    Elle se lève lentement devant lui, plaçant ses mains légèrement sur ses épaules fortes faisant des gestes silencieusement pour qu’il se lève. Julien coopère et se lève. « Viens, » elle commande dans un chuchotement. Elle ouvre la porte du sauna et prend sa main en sueur dans la sienne, l’encourageant à la suivre. La femme, sure d’elle, voluptueuse, plus âgée, guide le garçon timide à l’érection sauvage en haut du vestibule et dans la chambre à coucher principale de la maison spacieuse. Elle le mène à la salle de bains contiguë.

    Ce faisant, ils passent devant un grand miroir intégral de déco d’art. Hélène fait un arrêt devant le miroir et prend des poses. Le garçon regarde la réflexion des deux corps. L’éclat de la sueur qui recouvre leurs corps brille à la pleine lumière du soleil qui a jailli des fenêtres qui bordent la pièce. « nous faisons un beau couple tu ne trouves pas ? » dit-elle en lui tenant la main.

    Julien reste sans voix, jetant un coup d’œil sur la réflexion de son énorme pénis palpitant et douloureux, preuve de l’intense excitation qu’il éprouve.

    « Tu n’as jamais eu de femme Julien ? »

    Il la regarde, nerveux. « hein ? »

    « Tu m’as entendu, » elle rit sous cape. « tu n’as encore jamais fait l’amour, non ? »

    Julien ne répond rien. Il n’y a rien à répondre. Mentir serait inutile. « eeuuh… jamais Mme Fabbre. »

    Elle rit pendant qu’elle l’entraîne dans la salle de bains et fait couler l’eau de la douche.

    « Et ne t’inquiètes pas. Mon mari est trois mille kilomètres. Ce qu’il ne sait pas ne le blessera pas ! »

    De la vapeur s’échappe de la douche.

    « Après toi mon jeune étalon bien monté ! »

    Le garçon fait un pas dans la douche sous le jet d’eau suivi ardemment par le regard d’Hélène. Ils se font face, se regardent dans les yeux.

    Julien est à peu près de sa taille. C’est un beau garçon, mince, montrant à l’évidence des lignes musculaires qui se développeront bientôt. Ses cheveux sont bruns, ses yeux verts. Sa peau est pratiquement exempte de défauts. Et, le pénis embarrassant qui continue de palpiter pendant qu’elle le pousse en avant de ses cuisses n’a clairement besoin d’aucun développement ultérieur !

    A dire vrai, cette femme magnifique fait souffrir Julien. Le fait qu’elle soit la mère de son meilleur ami et soit mariée n’a plus d’importance en ce moment. Il a envie de quelque chose plus qu’il n’a jamais voulu quoi que ce soit de toute sa vie. Il regarde le corps exquis. Il le fait frémir avec ses énormes fiers seins aux mamelons tous droits, à sa taille presque exagérément mince et à ses hanches maternelles larges. Il est fasciné par l’eau de la douche qui glisse sur son corps et se rassemble au niveau du triangle épais entre ses belles cuisses, bien musculeuses.

    Elle le regarde et saisit ses deux coudes très doucement. Elle se penche sur lui et l’embrasse délicatement sur les lèvres. Il répond chaudement. Il sent ses mains se déplacer sur ses bras. Ses lèvres sont en feu pendant qu’il sent sa langue lentement, inexorablement qui pénètre sa bouche. Il la sent venir plus près de lui et inévitablement, ses nichons incroyables frottent légèrement contre son torse nu. La sensation l’électrifie. Les bras d’Hélène l’entourent complètement, collant son corps au sien.

    Julien sent son gros membre qui se glisse entre ses cuisses. Situation embarrassante, mais tellement merveilleuse ! Ils s’embrassent plus fort, plus passionnément. Hélène masse l’outil du garçon entre ses cuisses enchantée de l’extase qu’elle sent monter chez lui. Elle saisit ses mains et les pose sur sa poitrine. « Pelote-les Julien. Pelote bien mes gros seins lourds ! Ils sont pour toi ! » Elle l’implore.

    Ses mains commencent à masser les globes charnus. Il est stupéfait de leur fermeté. Il n’a jamais vraiment touché une fille dans sa vie et la sensation de peloter cette femme mûre le rend fou. Ses mamelons durs et pointus deviennent vivants sous ses doigts. Il entend son gémissement, doucement. Elle éloigne son visage du sien et lui glisse à l’oreille « Il faut que je te suce, » elle chuchote. « j’ai envie de goûter à ton énorme queue. »

    Elle s’éloigne du garçon et se met à genoux devant lui, presque comme devant un autel. Elle saisit le phallus massif avec les deux mains et avec l’eau de la douche coulant au-dessus d’elle, elle la plonge dans sa bouche. Hélène le lèche et joue avec lui. Elle l’embrasse, le mordille. Ses mains sont passées sur les fesses du garçon attirant son bassin vers elle. Elle adore sa grosse bite comme aucune autre.

    Elle sent les cuisses de Julien commencer à vaciller et à trembler. Un gémissement fort émane involontairement du garçon. « Mme Fabbre ! Ah, Mme Fabbre… Je suis… Je vais… » Ses jambes commencent à fléchir. Il se tient aux épaules fortes. Elle ne s’arrête pas. Elle continue de sucer et mordre et lécher son beau mandrin. Et alors… il jouit dans sa bouche ! Plein de sperme. Il gicle à plusieurs reprises encore. Hélène avale le fleuve copieux du sperme voracement. Le jeune garçon tremble dans un paroxysme de plaisir le plus intense qu’il n’ait jamais expérimenté. Hélène retire sa queue hors de sa bouche et la caresse doucement. Elle se masse la joue avec sa tige encore chaude.

    Julien gémit, tient à peine debout.

    Hélène le soutient… « Maintenant tu sais ce qu’est une pipe… çà te plait ? »

    « C’était incroyable Mme Fabbre. C’est si bon ! »

    « Bien. Maintenant tu as un certain travail à faire ! » Disant cela elle lui tend un savon.

    « Je crois que tu devrais m’aider à me laver un peu. » Elle sourit avec une timidité feinte, place ses mains derrière elle, l’empêchant de refuser sa demande.

    Julien, dévoué, fait mousser ses mains avec le savon. Puis, il les applique sur le corps chaud, plantureux. Il passe ses paumes sur ses épaules, son dos, ses gros nibards. Il frotte son ventre ferme, et descend vers ses cuisses. La sensation lui coupe le souffle. Jamais dans sa vie il n’a imaginé l’occasion de toucher un être aussi voluptueux et sensuel qu’elle. Il peut sentir sa peau splendide vivre sous ses doigts. Dans quelques secondes, son pénis va devenir délicieusement raide de nouveau, un fait certainement évident pour Hélène.

    Par la suite, Hélène elle-même prend le savon et commence à masser son jeune amoureux. Tous les deux prennent un grand plaisir en se massant. Ils commencent à s’étreindre, s’embrasser et se caresser sans aucun scrupule. Hélène arrête l’eau et tire Julien hors de la douche.

    Elle essuie le garçon avec une grande serviette. S’émerveille en admirant sa grosse tige déjà entièrement dressée. « Il est temps Julien, » elle murmure. « il est temps que tu me montres ce que cette queue incroyable peut vraiment faire ! » Elle amène habilement le garçon à s’étendre sur le dos au milieu de son lit spacieux, son phallus énorme dressé de façon obscène vers le plafond. La femme nue monte avec élégance sur le lit et se positionne au-dessus de son amoureux, lui écartant les jambes avec les siennes.

    Julien regarde cette femme magnifique, ses seins majestueux pendant au-dessus de son visage. Hélène en prend un dans chaque main et se penche en avant enfouissant sa tête dans son sillon caverneux. « Suce-les chaton. Suce mes grosses mamelles ! » Elle pousse un mamelon dans sa bouche et il le tète voracement. « lèche ce mamelon ! Montre-moi ce que tu peux faire ! »

    Puis elle le ressort de sa bouche, regarde entre ses cuisses. « Oohh tu es prêt bébé ? Es-tu prêt à remplir ma petite chatte chaude avec ton gros monstre ? »

    Julien ne peut que gémir…

    Hélène a placé sa chatte humide et incroyablement excitée au-dessus de la pine énorme. Elle abaisse son bassin au-dessus de l’organe épais et viril. Que le premier contact du gros gland avec sa chatte est divin. Lentement, patiemment et avec grande attention, elle s’enfonce lentement sur l’organe turgescent. Elle s’émerveille de sa taille, son épaisseur, et à quel point il la remplit.

    Elle peut maintenant l’engloutir entièrement. Elle commence à onduler son bassin sur lui. Elle sent sa bite grossir encore dans sa chatte… Elle est de plus en plus mouillée.
    Hélène peut sentir la grosse barre s’enfoncer plus profondément, l’écartant toujours davantage, allant et venant de plus en plus rapidement. Pour Julien, la sensation est hallucinante. Il n’a jamais connu autant de plaisir. La chatte d’Hélène est trempée et bien glissante. Il est sur une route de douleur et de plaisir impressionnant. Son gros membre est comme un piston lourd dans sa chatte. Il a sent une vague d’électricité émaner de son échine et s’emparer lentement de tout son corps. Il se sent sans ressources, emprisonné entre les jambes fortes d’Hélène mais aussi intensément puissant et viril en même temps.

    Le visage d’Hélène reflète la montée de son plaisir.

    Ses coups de rein jusque là des modèles de maîtrise et de modération, sont devenus maintenant sauvages et incontrôlables. Son visage est déformé par le plaisir et une sorte d’agonie. Ses seins massifs et lourds rebondissent d’une manière extravagante, presque menaçante.

    Leurs deux corps commencent à trembler et à frissonner. Hélène gémit de plus en plus fort. Elle sent l’énorme pénis gicler des quantités énormes de sperme dans sa chatte à plusieurs reprises encore. Elle crie au plaisir que ce jeune garçon lui donne. Ils jouissent simultanément, gémissant, se griffant l’un l’autre. Enfin, elle s’effondre sans force sur lui.

    Mais… N’est-ce pas le bruit de la porte d’entrée ?

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