• LE BLOG DE NAYANELLE

     Joui12r! t'observe un instant:

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    Samedi 17 Janvier 2015 à 01:17
    Anne est une jeune fille de 18 ans, elle habite chez ses parents en banlieue parisienne dans une grande maison luxueuse.

    Elle mesure 1m70 pour 72 kg, elle est globalement un peu ronde. Elle a les cheveux noirs mi- longs, les yeux bleus et les lèvres pulpeuses. Elle a un piercing sur la langue et l’arcade. Elle a une poitrine généreuse (105D), des fesses larges et un peu de ventre. Elle a un tatouage tribal dans le bas du dos, juste au-dessus des fesses. Son look est plutôt « punk » dans l’ensemble : mini-jupe écossaise ou jean troué, t-shirts moulants arborant les noms de ses groupes préférés, des docs montantes et porte souvent des collants en résille.

    Ses parents sont très riches, et elle a toujours eu ce qu’elle voulait, mais l’adolescence a été rude. Elle se rebelle depuis ses 16ans, fume, bois et passe son temps à faire la fête. Ses parents ne savent plus comment la gérer et sous les conseils d’un ami, l’ont inscrit dans une école à la campagne en internat. Elle a redoublé 3 fois et s’est déjà fait exclure de 2 lycéens. Son père l’a prévenue : si elle se fait encore une fois exclure, il la déshérite, ils la mettent à la porte et lui coupent les vivres.

    23 SEPTEMBRE 2013, 10H00

    Après 1h30 de trajet en voiture assise à côté de mon père, je n’en peux plus ! J’ai eu le droit à des sermons, des remontrances des menaces, bref hâte d’arrive. D’un autre côté je ne suis pas non plus pressée d’arriver à l’internat. Finies les soirées avec mes potes, je vais devoir attendre le weekend, coincée la semaine dans le trou du cul du monde pfff.

    On arrive enfin après avoir traversé le village devant un château perdu en plein milieu des bois, mais qu’est-ce que je fous là bordel ! Un grand corps de bâtiment en U et un parc juste derrière, bon au moins c’est beau, c’est déjà ça.
    Mon père se gare et m’aide à sortir ma valise du coffre, pas âme qui vive à la ronde… On entre dans le bâtiment à l’accueil, mon père me lâche là me dit au revoir vite-fait et me laisse me démerder…
    Une vieille secrétaire blasée se tient derrière le comptoir.

    - Bonjour mademoiselle
    - M’dame
    - Vous devez être la nouvelle, Anne martin, n’est-ce pas ?
    - Et bien, je suis déjà une star !
    - Disons que nous avons eu quelques consignes à votre sujet. Bien ne perdons pas de temps, dirigez-vous au fond du couloir la dernière porte à droite, madame la directrice vous attends.

    Je m’y dirige lentement mais sûrement… l’intérieur est plutôt classe mais aussi très has-been, j’ai l’impression de me retrouver dans le manoir hanté d’un vieux film d’Horreur. Un hall d’accueil avec des grands escaliers, des plafonds très hauts des lustres gigantesques, vieux tableaux moquette rouge et vieux parquet qui grince…
    J’arrive à la porte et je frappe.

    - Entrez.

    J’arrive dans une grande pièce bien meublée. Grand tapis, canapé moelleux fauteuils en cuir, un grand bureau en chêne massif et une cheminée. Elle se fait plaisir la vieille !
    En parlant de vieille ce qui semble être la directrice est assise sur le bord du bureau ; une femme d’une cinquantaine d’année, taille moyenne, des cheveux blonds avec un chignon, habillée comme une vieille bourge qui se la pète, genre tailleur jupe longue légèrement fendue d’une grande marque de vêtements. Elle à l’air sévère et ne souris pas.
    A côté d’elle une autre plus jeune, genre 40 ans. Elle est grande les cheveux bruns longs les épaules larges, une carrure de nageuse et le visage carré. Elle habillée plus simplement, pantalon noir à pince et veste de costard cintrée, elle est perchée sur des grands talons ce qui lui donne une allure encore plus imposante.

    - Entrez, mademoiselle Martin je suppose ?
    - Oui.
    - Oui madame !
    - Oui, M’dame..
    - Bien, asseyez-vous. Nous n’avons pas de temps à perdre, plus vite nous aurons fini, plus vite vous pourrez aller en cours. Je suis madame Hermann, la directrice de cette école et voici Mademoiselle Lefebvre, surveillante en chef. Votre père nous a longuement parlé de vous et il nous a fait un gros chèque pour que l’on porte une attention particulière à votre rééducation. N’oubliez pas que vous risquez de tout perdre si l’on vous exclut, je vous suggère donc de vous tenir à carreau. La discipline est la vertu la plus importante de cette école et nous allons faire de vous une jeune femme brillante et vous donnez un avenir. Est-ce que c’est compris ?
    - Oui.
    - Bien, dans un premier temps vous allez vous changer, cette tenue est insupportable, nous allons vous fournir un uniforme, mais avant mademoiselle Lefebvre va vous accompagner au douche, vous sentez la sueur, vous devez avoir une hygiène irréprochable.
    - Hein, une douche à cette heure !
    - Silence ! (la surveillante)
    - Prenez vos affaires et suivez-moi. (elle me tend une pile de fringue).

    Je la suis en rechignant et elle m’amène à l’étage. Un long couloir avec des chambres, l’internat. Je pose mes valises dans la mienne, une petite chambre avec 2 lits. Puis la suit jusqu’au douches, collectives, super !
    Je pose mes nouveaux habits sur un banc : un uniforme à l’ancienne, jupe plissée, chemisier blanc, petites chaussures vernies, des longues chaussettes blanches et un paquet de petite culotte en coton blanc, c’est une blague !

    - Allez, on se dépêche, vous enlevez vos frusques et lavez-vous soigneusement.
    Je me fou à poil et cette connasse reste là à me regarder, elle se fout de moi ! Je me magne, pas envie de rester planter là pendant 3 plombes pendant que l’autre me matte. Elle s’approche derrière –moi.
    - Retournez-vous.
    - Hein ?
    - On ne répond pas, allez !

    Je m’exécute…

    - Vous allez me faire le plaisir d’enlever votre piercing, vous pouvez garder celui sur la langue. Vous avez le droit à un peu de maquillage, rouge à lèvres et eye-liner mais c’est tout. En arrivant dans votre chambre, vous me remettrez votre portable, c’est interdit. Il est également interdit de fumer dans l’enceinte de l’établissement. Une dernière chose, vos cheveux doivent être attachés, une queue de cheval ou un chignon.

    J’hallucine, elle me fait chier alors que je suis là à poil devant elle. Elle n’arrête pas de me mater, les seins, le cul, le minou, c’est quoi son problème, elle est lesbienne ou quoi ? Je m’habille et me regarde dans la glace. Putain la tenue de merde ! On dirait une gamine, j’ai pu 15 ans, bon l’avantage c’est que le chemisier bien cintré met mes seins en valeurs, j’espère qu’il y a des beaux mecs dans ce bahut pourri. La jupe moule mon cul et le fait ressortir, j’espère qu’ils aiment les gros culs, je rigole toute seule.

    Après avoir rangé mes affaires, elle m’accompagne dans une la salle de cours. Je frappe à la porte et rentre. J’entre dans la pièce et tout le monde me dévisage, ils chuchotent. Ils sont tous habillés dans le même uniforme à la con. on me présente et je me mets assise.
    Le cours se passe, long et interminable… Au bout d’un moment je demande l’heure à une fille assise à côté de moi.

    - Silence ! Qui a parlé ?
    - Désolé M’dame, je demandais l’heure.
    - Vous vous ennuyez, mon cours ne vous plait pas ?
    - Ben on ne peut pas dire que ce soit très passionnant.
    - Comment, mais pour qui vous prenez vous !
    - Ben c’est vrai quoi qui se fout de savoir tout ça, ça sert à rien.
    - Bien, je vois que nous avons à faire avec une petite maline, nous allons en rester là pour le moment, mais...

    La sonnette retentit je me précipite dehors et me dirige vers le réfectoire, je m’installe seule à une table, pas envie de parler aux autres pour l’instant. 15 minutes après le début du repas, un grésillement et une annonce au micro.

    - Mademoiselle martin est attendue au bureau de la directrice, mademoiselle Martin.

    Et merde !
    J’y vais lentement, ça commence !
    Je frappe à la porte.

    - Entrez…

    La directrice m’attend, ainsi que l’autre cinglée. Je vais pour m’assoir.

    - Je ne vous ai pas dit de vous assoir, restez debout.

    La surveillante s’approche de moi.

    - Je crois que vous ne m’avez pas vraiment écouté ce matin, vous savez ce que vous risquez ? je ne peux pas vous laisser commencer votre premier jour comme ça.
    - Oh ça va, j’ai juste….
    - Silence ! (la surveillante).

    La directrice se lève.

    - Approchez-vous

    Je m’approche.

    - Nous allons devoir sévir, vous allez vite comprendre que je ne vous permet pas de manquer de respect aux enseignants.
    Elle se place à côté de moi.

    - Penchez vous sur le bureau
    - Ca va pas, vous allez me fesser (je rigole).
    - Ça suffit, on vous a dit de vous pencher (la surveillante).
    Elle me prend violemment le bras, elle me fait mal, quelle poigne !
    - Mais arrêtez, vous me faites mal !
    Elle me prend les cheveux par la queue et les tire, puis elle me prend un bras et me force à me pencher sur le bureau, quelle force !
    - Laissez-vous faire, vous savez ce que vous risquez.

    Elle me maintient penchée sur le bureau, j’ai les seins compressés contre le plateau, elle tend mes mains vers l’avant. Pendant ce temps la directrice sort une corde de son tiroir et elle m’attache les poignets qu’elle vient lier aux pattes du bureau. Je suis moins amusée, mes seins sont compressés, l’arrête du bureau me rentre dans le haut des cuisses.
    Madame Hermann soulève ma jupe et je me retrouve en petite culotte.

    - Tendez les jambes et cambrez-vous, je veux voir vos fesses relevées au maximum.
    - Non !

    Mademoiselle Lefebvre tire sur ma queue de cheval, j’ai encore plus mal.

    - Plus vous vous débattrez, plus vous souffrirez.

    Je me laisse faire et je remonte mon cul au max. je peux voir la vieille derrière moi dans le reflet d’une armoire, elle sort quelque chose de son tiroir. C’est une cravache.
    - A chaque manquement de respect et de discipline, vous aurez le droit à ce genre de châtiment corporel. Vous avez compris ?
    - Ou-oui.

    Elle commence alors à jouer avec la cravache sur mes fesses, elle les caresse tout doucement et d’un coup CLACK ! C’est horrible, j’ai trop mal ! CLACK CLACK CLACK ! Mes fesses me brulent déjà et je sens les larmes monter. Elle prend alors ma culotte entre ses doigts et la tire un maximum dans ma raie, elle me fait un string. CLACK CLACK ! J’hurle.

    - Aïe ! arrêtez j’en peux pu !
    - Silence !
    Elle m’enlève la culotte et la tend à l’autre.
    - Mettez-lui ça dans la bouche, je ne veux pas l’entendre.

    Je ne me laisse pas faire, mais elle pince mon nez m’empêchant de respirer et force le passage, je me retrouve avec ma culotte dans la bouche, c’est dégueulasse, ça a le gout de ma chatte. La vielle pendant ce temps m’attache une autre corde aux chevilles, elle me force à écarter mes cuisses et attache mes pieds aux pattes de la table.

    Elle fait glisser la cravache le long de mes cuisses. CLACK CLACK ! Le cuir brulant lacère l’intérieur de mes cuisses puis elle remonte, je sens alors la cravache sur ma chatte, elle est dingue ! CLACK !
    C’est horrible, elle vient de claquer la cravache sur mon minou puis elle recommence à plusieurs reprises. Des larmes inondent mon visage.

    - Je pense que vous avez compris la leçon, non ?
    - Oumph…
    - Enlevez la culotte, je veux l’entendre. Alors ?
    - Oui madame, j’ai compris, dis-je en sanglotant.
    - Bien, les belles traces bien rouges vont rester sur votre gros cul pendant plusieurs jours, pour vous rappeler que je ne rigole pas avec la discipline.
    - Oui.
    - La prochaine fois je serais plus sévère, est-ce que c’est compris ?
    - Oui Madame.

    Je sens à ce moment-là sa main qui me caresse le cul, elle me fesse légèrement, descend, longe l’intérieur de mes cuisses puis la pose sur mes lèvres, elles les écartent légèrement. Elle y glisse son doigt, c’est sec et ça me brûle.

    - Je serais ravie de vous corriger à nouveau, j’aime les petites rebelles dans votre genre, c’est toujours un plaisir pour moi de leur faire mal, libre à vous de ne pas me satisfaire… je pense que nous allons beaucoup nous amuser avec vous…

    A SUIVRE…
    Elles me détachent.

    - Tenez-vous debout en tenant votre jupe relevée, contre le mur.
    Elle prend alors un appareil photo et photographie mes fesses.
    - Cette photo apparaitra sur le mur de la honte dans les couloirs de l’internat, ainsi tout le monde sera au courant de votre insubordination. Remettez vos habits, madame Lefebvre va vous accompagner en cours, étant donné le temps perdu ici, vous aurez 1h de colle pour compenser mercredi après-midi.
    Je demande ma culotte pour me rhabiller, mais la surveillante refuse.
    - Vous resterez sans culotte pour le reste de la journée.
    - Mais je…
    - Silence !

    Je sors de la pièce, accompagnée de ma tortionnaire, puis me dirige vers la salle de cours. Je sens, à chaque mouvement, le frottement de ma jupe sur mes fesses douloureuses, c’est horrible. Mes yeux sont encore humides, et pour la première fois de ma vie j’ai si honte, je suis en colère et je me sens perdue.
    Le reste de journée se passera calmement.

    Je me dirige vers ma chambre après le repas. J’aperçois dans les couloirs des élèves attroupées devant un cadre, en m’approchant, j’aperçois ma photo, tout le monde peut voir mon cul lacéré de coups de cravache, je ne peux m’empêcher de pleurer et me précipite vers ma chambre. Jamais je n’ai ressenti une humiliation pareille !
    En rentrant dans ma chambre, je m’aperçois qu’elle est en partie occupée, une armoire est entrouverte dans laquelle se trouvent des habits. Je m’affale sur le lit, les yeux trempés de larmes.

    - Salut.

    Je me retourne et vois une fille de mon âge dans l’entrée. Une petite blonde, mince, des yeux bleus, les cheveux très longs. Elle me sourit timidement et n’a pas l’air à l’aise. Elle porte des grandes lunettes et a le regard triste.

    - Salut, t’es qui ?
    - Je m’appelle Laura, c’est ma chambre aussi.
    - Ok, moi c’est Anne.
    - Je-je suis désolée pour ce qui t’es arrivé.
    - Merci mais je préférerais ne pas en parler.

    De toutes les filles que j’ai pu voir ici, elle l’air d’être la plus gentille... En tout cas ça a pas l’air d’être une pouf qui se la pète, et on sent qu’elle pas bien ici, au moins ça nous fait un point en commun. Ayant besoin de parler et de réconfort, on a discuté pendant plus d’une heure….

    Laura est issu d’une famille riche elle aussi, mais malheureusement ses vieux sont morts dans un accident de voiture il y a quelques mois. Sa tante s’en occupe depuis, une vielle connasse qui lui fait vivre un enfer… Pour la première fois de ma vie, j’ai été touchée par son histoire, je pense qu’on pourra être amies….

    Le soir même j’ai décidé d’appeler mon père pour tout lui raconter, il m’a écouté attentivement, puis à la fin de la conversation :
    - Ecoute-moi bien, cela fait plusieurs années que tu nous fait vivre un enfer, nous avons tout essayé avec ta mère, mais sans résultats, je me fiche de la manière dont ils vont s’y prendre, mais je ne veux rien savoir, n’oublie pas, si tu te fais encore une fois virée, je te coupe les vivres.. .
    Puis il m’a raccroché au nez, quel connard !

    MERCREDI 25 SPETEMBRE 2013, 15H

    Je viens de finir mon heure de colle et je vais enfin pouvoir souffler, on est mercredi est on a l’après-midi libre, on peut même sortir de l’école.

    On a décidé avec Laura d’aller se promener dans le village le plus proche à 30 min à pied. Le village est petit et flippant : 1 bureau de tabac, un vieux bar Pmu rempli de gros beaufs dégeulasses et un supermarché… le reste : des maisons, des fermes, des champs à perte de vue et un pauvre petit parc aux bords d’un étang, génial…

    Je me suis acheté un paquet de clopes, on a acheté un gros pack de bières et on s’est posé près de l’étang. Laura, rétissante au début, a fini par descendre quelques canettes. On a discuté pendant un long moment, et malgré le fait qu’elle soit coincée, on a bien rigolé, je crois que je l’ai un peu débridée !

    C’est avec un bon coup dans le nez qu’on rentre à l’école, Laura et complétement défaite, j’espère qu’on ne se fera pas callées, mais au moins on s’est bien détendues…

    Arrivée à l’entrée du château, on aperçoit une queue devant la porte, je m’aperçoit trop tard que mademoiselle Lefebvre fouille les élèves, filles et garçons.. ; C’est quoi ce délire ? J’ai l’impression d’être en taule !
    Arrivée à son niveau, je stresse, est-ce qu’elle va voir mon paquet de clopes, planqué dans mes chaussettes ?

    - Mademoiselle Martin, vous puez l’alcool ! Et votre collègue aussi !!
    Elle fait glisser sa main sur mes jambes, et touche mon paquet… elle le sort et l’exhibe
    - Bien, je vois que vous continuez à désobéir ! Vous n’irez pas en étude après le repas, vous viendrez me voir dans la cour... toutes les deux.
    Et merde !
    Nous nous dirigeons donc dans la cour après le repas, elle nous attend.
    - Suivez-moi…

    Elle nous emmène derrière le réfectoire, puis nous fais descendre des escaliers derrière la cuisine. On se retrouve dans la réserve, une cave sordide à peine éclairée… Elle ouvre une porte dissimulée derrière une étagère et nous fait rentrer. Nous arrivons dans une pièce sombre. Elle allume quelques bougies. Le sol est mou : de la terre ! Au fond se trouve un vieux canapé en cuir et sur les murs des anneaux, ainsi qu’un crochet au plafond. Des vieilles couvertures recouvrent des objets ou des meubles. Elle ferme la porte à clé derrière nous.

    - Bien, à priori vous n’avez pas retenus la leçon, je vais devoir sévir…
    - Déshabillez-vous, entièrement.

    Je proteste…

    - Silence ! n’oubliez pas, nous sommes à deux doigts de vous renvoyer… Obéissez ou vous en subirez les conséquences… Quant à vous Laura, votre chère tante risque d’être très déçue.

    Mon amie fond en larme…

    - Je reviens dans quelques minutes, à mon retour, je veux vous voir entièrement nues...

    Nous obéissons. Laura est très mince et possède des petits seins, elle frissonne et pleure à chaudes larmes. Je me sens mal mais encore plus triste pour elle, je culpabilise, c’est par ma faute qu’elle se retrouve dans cette situation…
    Notre tortionnaire reviens, elle s’est changée : un corset lui remontant les seins, nus. Un simple string en cuir et des cuissardes en cuir munies de talons d’au moins 10 cm. Elle est d’autant plus grande et imposantes, des épaules larges et des seins énormes. Elle a dans ses mains un gros sac en tissu qu’elle pose sur le sol. Elle ‘approche de nous et nous fixe à chacune un collier en cuir muni d’un anneau.

    - Mais, qu’est-ce que vous faites ?
    - Silence ! (elle me claque le cul avec sa main puissante, mes fesses ne sont pas remises de ma punition et elle me font souffrir, je fonds en larmes…)

    Elle fixe à nos anneaux des longues cordes qu’elle prend dans ses main et viens s’assoir dans le canapé…

    - A 4 pattes, dépêchez-vous !

    Nous nous exécutons… Elle tire sur nos cordes pour nous faire venir à elle.

    - Bien, vous allez vous pencher en avant, le cul bien tendu et vous allez me lécher les pieds.
    C’est avec beaucoup de dégouts que je pose ma langue sur le cuir de ses cuissardes, je regarde Laura qui en fait autant. Et d’un coup, SLASH ! Une terrible douleur m’envahie, elle vient de ma fouetter le cul avec un martinet en cuir, elle fait de même sur le petit cul de Laura qui crie de douleurs.
    - Criez autant que vous le voudrez, personne ne vous entend ici… Appliquez-vous je veux vous voir baver sur mes pieds !
    SLASH SLASH ! Elle alterne un coup sur me fesses, un coup sur celles de Laura. SLASH SLASH !
    - Bien à genoux maintenant ! Laura, placez-vous derrière Anne et vous allez tenir fermement ses gros seins, relevez-les.

    Laura se place derrière-moi, elle me prend les seins, c’est la première fois qu’une fille me touche… Ses mains sont douces et tremblantes.

    - Bien, jouez avec ses seins, je veux que vous les malaxiez, pincez ses tétons, tirez dessus.
    Laura s’exécute, mes tétons se durcissent très vite et malgré la douleur et l’humiliation, sa douceur me fait du bien. Pendant ce temps, la surveillante allume une cigarette de mon paquet.
    - Bien, tenez-les bien fermement, rapprochez-les. Anne, cambrez-vous, tendez vos seins au maximum…
    Je m’exécute… Elle prend alors la cigarette et commence à presser le bout incandescent sur un de mes seins, j’hurle de douleurs et me recule.
    - Tenez-là, maintenez-là en place ou vous subirez le même sort. Laura fond en larme de plus belle.
    - Désolée Anne, j’ai trop peur.

    Je sens son corps se plaquer contre moi, ses petits seins chauds dans mon dos. Elle tient fermement mes seins et les rapproche. Elle est fluette, mais elle arrive à me maintenir, je sais qu’elle n’y peut rien, je décide me le laisser faire , je veux pas qu’elle subisse le même sort.

    La vieille recommence à écraser la clope sur mes seins PSSST ça me brûle c’est horrible. Elle s’arrête et pose alors ses grosses mains sur chacun de mes seins. Elle joue avec les pince fermement puis commence à s’occuper de mes tétons, elle les titille, les pinces tire dessus j’ai mal d’autant plus qu’ils sont tout durs. Elle commence alors à me les claquer violemment.

    - Tu as vraiment des beaux seins, Anne, et des bons gros tétons. Bien, Laura lâche-là, vous allez venir toutes les deux à côté de moi à genoux sur le canapé, chacune d’un côté.
    On fait ce qu’elle demande. Elle nous attache alors les mains dans le dos, chacune à tour de rôle. Elle prend nos cheveux ou nous oblige en même temps à plaquer nos visages contre ses grosses mamelles, elles sont énormes et gonflées.
    - Vous avez de la chance, j’ai un enfant en bas-âges et les seins remplis de lait, vous allez me téter, me pomper les mamelles et je vais remplir votre bouche de ce délicieux nectar.

    Elle tire sur nos cheveux et je n’ai d’autre choix que de prendre son téton en bouche. Je les lèches. Laura de son côté est déjà en train de téter, elle pompe le gros téton qui s’offre à elle, des bruits de succion retentissent dans la pièce et très vite du lait coule dans le coin de ses lèvres.

    - Prends exemple sur ta copine, Anne, pompe et avale mon lait. Humm Laura, tu fais ça tellement bien.

    Je prends mon courage à deux mains et commence à téter, le lait couler alors abondamment dans ma gorge, c’est dégeulasse ! J’ai à maintes reprises des haut-le-cœur.

    - C’est bien, continue, tu as des lèvres si pulpeuses, je suis sûr que tu taille très bien les pipes, tu aimes pomper ?

    Il est vrai que je suis assez douée pour ça et les mecs apprécient quand je les suce… d’ailleurs j’adore ça ! Je m’évade un peu et repense à mon ex… J’aimerais tellement être blotti dans ses bras. Soudains des images reviennent dans ma tête je me revois en train de le sucer, son sexe gonfle dans ma bouche et très vite il balance la purée… Je commence alors à sentir de la mouille couler entre mes cuisses…
    Mademoiselle Lefebvre s’en aperçoit… Elle me caresse le cul, écarte mes cuisses et commence à jouer avec mes lèvres, elle y glisse un doigt, les écartent et très vite joue avec mon clito. Je suis dégoutée mais je ne peux m’empêcher de mouiller, c’est horrible, qu’est-ce qui m’arrive ?

    - Et bien, on dirait que tu aime ça…. Je suppose que tu n’es pas vierge ?
    - Non…
    - Tu aimes quand je joue avec ton petit bouton ?
    - Non ! Arrêtez !
    - Menteuse (elle me claque le cul)
    - Bien cela suffit, debout ! toutes les deux !

    Elle se lève et enlève le drap d’un meuble, il s’agit d’une sorte de table munie d’anneaux.

    - Viens ici Anne, penche-toi sur la table.

    Je me penche, elle lie mes poignets aux anneaux puis mes chevilles aux pattes de la table.

    - Tu es vierge Laura ?
    - Oui madame.
    - Bien, nous nous occuperons de toi plus tard.

    Quelques minutes se passent et elle se poste devant moi, elle enlève le drap d’un miroir juste devant moi et je vois Laura debout derrière, munie d’un gode-ceinture. La vielle se place derrière elle.

    - Bien, Laura, puisque c’est par sa faute que tu te retrouves ici, tu vas la punir.

    Elle proteste.

    - Non, s’il vous plait !
    - Silence ! (elle lui claque le cul)

    Elle lui attache les mains dans le dos, saisit son gode et pousse sur son dos. Je sens le strapon écarter mes lèvres.

    - Bien, tu vas la baiser comme une cochonne, regarde-là, elle ne demande que ça. Tu vois comme sa chatte est trempée ?

    Je sens le gode à l’entrée de mon vagin. La surveillante, toujours placée derrière Laura, m’agrippe les hanches et d’une force incroyable force Laura à me pénétrer. Le gode rentre presque entièrement d’un coup dans mon vagin, j’ai mal et j’hurle de douleur.

    - Bien, baise-là fait des mouvements de va et viens rapide, bien au fond de sa chatte, je veux que tu lui fasses mal. Si tu n’obéis pas, c’est toi qui auras mal, tu as compris ?
    - Oui madame.

    Laura entame alors des mouvements amples et je sens le gode me pénétrer violement. Je vois dans le miroir Laura en larmes, la vielle la plaque sur mon dos, elle lui choppe le cul et avec force, lui fait faire des vas et vient. Elle vient ensuite me détacher et m’ordonne de me mettre à 4 pattes sur le sol. Elle détache Laura.

    - Tu vas te débrouiller toute seule, prend ses hanches dans tes mains et baise là.

    Laura s’exécute, elle me prend par la taille et me donne des gros coups de reins de plus en plus intensifs. Elle le fait de plus en plus naturellement j’ai l’impression qu’elle apprécie. J’essaie de m’évader dans mes pensées et j’imagine mon ex me prendre avec passion.
    La vieille commence à jouer avec mes seins qui pendent et bougent sous les coups de rein, malgré son corps fluet, Laura et très énergique. Je sens alors les grosses mains de mademoiselle Lefebvre se poser sur mes fesses, elle les écarte, me les fesses. Je suis honteusement très excitée et je sens que je vais jouir… Je sens alors un doit jouer avec mon anus.

    - Humm, j’adore ton cul ma cochonne, il est bien gros et rebondi, tu aimes te faire enculée ?
    - J-j ’ai, jamais essayer.
    - Bientôt…

    Elle joue avec ma rondelle tout en me claquant le cul je ne peux me retenir et émet de petits gémissements.

    - C’est bien, je veux t’entendre couiner comme une truie !

    J’hurle de plaisir et j’explose, j’inonde le sol de mouille. Laura se retire et je m’affale sur le sol. Je vois dans le miroir la surveillante qui s’approche de Laura elle se place derrière elle et lui enlève le gode. De la mouille coule le long de ses cuisses. Elle lui caresse alors ses seins, pince ses téton et tire violemment dessus. Elle commence alors à lui caresser la chatte.

    - Ça t’a plus de prendre cette petite salope ?
    - O-oui madame….
    - Bien et tu aimes quand je joue avec tes touts petits seins ?
    - O-oui…
    - Bien.

    Elle lui caresse la chatte, joue avec son clito et lui met un doigt.
    Laura se cambre, tremble et explose à son tour elle pousse des petits gémissements…

    - Bien, vous allez vous habiller et rentrer dans votes chambre. A partir de maintenant, vous allez être mes petites chiennes soumises, je pourrais disposer de votre corps quand bon me semble. Cela va être difficile au début, mais à la longue vous prendrez du plaisir dans l’obéissance et la soumission, est-ce que vous avez bien compris ?
    - Oui mademoiselle.
    - Non, Maitresse…
    - Oui Maitresse…
    Elles me détachent.

    - Tenez-vous debout en tenant votre jupe relevée, contre le mur.
    Elle prend alors un appareil photo et photographie mes fesses.
    - Cette photo apparaitra sur le mur de la honte dans les couloirs de l’internat, ainsi tout le monde sera au courant de votre insubordination. Remettez vos habits, madame Lefebvre va vous accompagner en cours, étant donné le temps perdu ici, vous aurez 1h de colle pour compenser mercredi après-midi.
    Je demande ma culotte pour me rhabiller, mais la surveillante refuse.
    - Vous resterez sans culotte pour le reste de la journée.
    - Mais je…
    - Silence !

    Je sors de la pièce, accompagnée de ma tortionnaire, puis me dirige vers la salle de cours. Je sens, à chaque mouvement, le frottement de ma jupe sur mes fesses douloureuses, c’est horrible. Mes yeux sont encore humides, et pour la première fois de ma vie j’ai si honte, je suis en colère et je me sens perdue.
    Le reste de journée se passera calmement.

    Je me dirige vers ma chambre après le repas. J’aperçois dans les couloirs des élèves attroupées devant un cadre, en m’approchant, j’aperçois ma photo, tout le monde peut voir mon cul lacéré de coups de cravache, je ne peux m’empêcher de pleurer et me précipite vers ma chambre. Jamais je n’ai ressenti une humiliation pareille !
    En rentrant dans ma chambre, je m’aperçois qu’elle est en partie occupée, une armoire est entrouverte dans laquelle se trouvent des habits. Je m’affale sur le lit, les yeux trempés de larmes.

    - Salut.

    Je me retourne et vois une fille de mon âge dans l’entrée. Une petite blonde, mince, des yeux bleus, les cheveux très longs. Elle me sourit timidement et n’a pas l’air à l’aise. Elle porte des grandes lunettes et a le regard triste.

    - Salut, t’es qui ?
    - Je m’appelle Laura, c’est ma chambre aussi.
    - Ok, moi c’est Anne.
    - Je-je suis désolée pour ce qui t’es arrivé.
    - Merci mais je préférerais ne pas en parler.

    De toutes les filles que j’ai pu voir ici, elle l’air d’être la plus gentille... En tout cas ça a pas l’air d’être une pouf qui se la pète, et on sent qu’elle pas bien ici, au moins ça nous fait un point en commun. Ayant besoin de parler et de réconfort, on a discuté pendant plus d’une heure….

    Laura est issu d’une famille riche elle aussi, mais malheureusement ses vieux sont morts dans un accident de voiture il y a quelques mois. Sa tante s’en occupe depuis, une vielle connasse qui lui fait vivre un enfer… Pour la première fois de ma vie, j’ai été touchée par son histoire, je pense qu’on pourra être amies….

    Le soir même j’ai décidé d’appeler mon père pour tout lui raconter, il m’a écouté attentivement, puis à la fin de la conversation :
    - Ecoute-moi bien, cela fait plusieurs années que tu nous fait vivre un enfer, nous avons tout essayé avec ta mère, mais sans résultats, je me fiche de la manière dont ils vont s’y prendre, mais je ne veux rien savoir, n’oublie pas, si tu te fais encore une fois virée, je te coupe les vivres.. .
    Puis il m’a raccroché au nez, quel connard !

    MERCREDI 25 SPETEMBRE 2013, 15H

    Je viens de finir mon heure de colle et je vais enfin pouvoir souffler, on est mercredi est on a l’après-midi libre, on peut même sortir de l’école.

    On a décidé avec Laura d’aller se promener dans le village le plus proche à 30 min à pied. Le village est petit et flippant : 1 bureau de tabac, un vieux bar Pmu rempli de gros beaufs dégeulasses et un supermarché… le reste : des maisons, des fermes, des champs à perte de vue et un pauvre petit parc aux bords d’un étang, génial…

    Je me suis acheté un paquet de clopes, on a acheté un gros pack de bières et on s’est posé près de l’étang. Laura, rétissante au début, a fini par descendre quelques canettes. On a discuté pendant un long moment, et malgré le fait qu’elle soit coincée, on a bien rigolé, je crois que je l’ai un peu débridée !

    C’est avec un bon coup dans le nez qu’on rentre à l’école, Laura et complétement défaite, j’espère qu’on ne se fera pas callées, mais au moins on s’est bien détendues…

    Arrivée à l’entrée du château, on aperçoit une queue devant la porte, je m’aperçoit trop tard que mademoiselle Lefebvre fouille les élèves, filles et garçons.. ; C’est quoi ce délire ? J’ai l’impression d’être en taule !
    Arrivée à son niveau, je stresse, est-ce qu’elle va voir mon paquet de clopes, planqué dans mes chaussettes ?

    - Mademoiselle Martin, vous puez l’alcool ! Et votre collègue aussi !!
    Elle fait glisser sa main sur mes jambes, et touche mon paquet… elle le sort et l’exhibe
    - Bien, je vois que vous continuez à désobéir ! Vous n’irez pas en étude après le repas, vous viendrez me voir dans la cour... toutes les deux.
    Et merde !
    Nous nous dirigeons donc dans la cour après le repas, elle nous attend.
    - Suivez-moi…

    Elle nous emmène derrière le réfectoire, puis nous fais descendre des escaliers derrière la cuisine. On se retrouve dans la réserve, une cave sordide à peine éclairée… Elle ouvre une porte dissimulée derrière une étagère et nous fait rentrer. Nous arrivons dans une pièce sombre. Elle allume quelques bougies. Le sol est mou : de la terre ! Au fond se trouve un vieux canapé en cuir et sur les murs des anneaux, ainsi qu’un crochet au plafond. Des vieilles couvertures recouvrent des objets ou des meubles. Elle ferme la porte à clé derrière nous.

    - Bien, à priori vous n’avez pas retenus la leçon, je vais devoir sévir…
    - Déshabillez-vous, entièrement.

    Je proteste…

    - Silence ! n’oubliez pas, nous sommes à deux doigts de vous renvoyer… Obéissez ou vous en subirez les conséquences… Quant à vous Laura, votre chère tante risque d’être très déçue.

    Mon amie fond en larme…

    - Je reviens dans quelques minutes, à mon retour, je veux vous voir entièrement nues...

    Nous obéissons. Laura est très mince et possède des petits seins, elle frissonne et pleure à chaudes larmes. Je me sens mal mais encore plus triste pour elle, je culpabilise, c’est par ma faute qu’elle se retrouve dans cette situation…
    Notre tortionnaire reviens, elle s’est changée : un corset lui remontant les seins, nus. Un simple string en cuir et des cuissardes en cuir munies de talons d’au moins 10 cm. Elle est d’autant plus grande et imposantes, des épaules larges et des seins énormes. Elle a dans ses mains un gros sac en tissu qu’elle pose sur le sol. Elle ‘approche de nous et nous fixe à chacune un collier en cuir muni d’un anneau.

    - Mais, qu’est-ce que vous faites ?
    - Silence ! (elle me claque le cul avec sa main puissante, mes fesses ne sont pas remises de ma punition et elle me font souffrir, je fonds en larmes…)

    Elle fixe à nos anneaux des longues cordes qu’elle prend dans ses main et viens s’assoir dans le canapé…

    - A 4 pattes, dépêchez-vous !

    Nous nous exécutons… Elle tire sur nos cordes pour nous faire venir à elle.

    - Bien, vous allez vous pencher en avant, le cul bien tendu et vous allez me lécher les pieds.
    C’est avec beaucoup de dégouts que je pose ma langue sur le cuir de ses cuissardes, je regarde Laura qui en fait autant. Et d’un coup, SLASH ! Une terrible douleur m’envahie, elle vient de ma fouetter le cul avec un martinet en cuir, elle fait de même sur le petit cul de Laura qui crie de douleurs.
    - Criez autant que vous le voudrez, personne ne vous entend ici… Appliquez-vous je veux vous voir baver sur mes pieds !
    SLASH SLASH ! Elle alterne un coup sur me fesses, un coup sur celles de Laura. SLASH SLASH !
    - Bien à genoux maintenant ! Laura, placez-vous derrière Anne et vous allez tenir fermement ses gros seins, relevez-les.

    Laura se place derrière-moi, elle me prend les seins, c’est la première fois qu’une fille me touche… Ses mains sont douces et tremblantes.

    - Bien, jouez avec ses seins, je veux que vous les malaxiez, pincez ses tétons, tirez dessus.
    Laura s’exécute, mes tétons se durcissent très vite et malgré la douleur et l’humiliation, sa douceur me fait du bien. Pendant ce temps, la surveillante allume une cigarette de mon paquet.
    - Bien, tenez-les bien fermement, rapprochez-les. Anne, cambrez-vous, tendez vos seins au maximum…
    Je m’exécute… Elle prend alors la cigarette et commence à presser le bout incandescent sur un de mes seins, j’hurle de douleurs et me recule.
    - Tenez-là, maintenez-là en place ou vous subirez le même sort. Laura fond en larme de plus belle.
    - Désolée Anne, j’ai trop peur.

    Je sens son corps se plaquer contre moi, ses petits seins chauds dans mon dos. Elle tient fermement mes seins et les rapproche. Elle est fluette, mais elle arrive à me maintenir, je sais qu’elle n’y peut rien, je décide me le laisser faire , je veux pas qu’elle subisse le même sort.

    La vieille recommence à écraser la clope sur mes seins PSSST ça me brûle c’est horrible. Elle s’arrête et pose alors ses grosses mains sur chacun de mes seins. Elle joue avec les pince fermement puis commence à s’occuper de mes tétons, elle les titille, les pinces tire dessus j’ai mal d’autant plus qu’ils sont tout durs. Elle commence alors à me les claquer violemment.

    - Tu as vraiment des beaux seins, Anne, et des bons gros tétons. Bien, Laura lâche-là, vous allez venir toutes les deux à côté de moi à genoux sur le canapé, chacune d’un côté.
    On fait ce qu’elle demande. Elle nous attache alors les mains dans le dos, chacune à tour de rôle. Elle prend nos cheveux ou nous oblige en même temps à plaquer nos visages contre ses grosses mamelles, elles sont énormes et gonflées.
    - Vous avez de la chance, j’ai un enfant en bas-âges et les seins remplis de lait, vous allez me téter, me pomper les mamelles et je vais remplir votre bouche de ce délicieux nectar.

    Elle tire sur nos cheveux et je n’ai d’autre choix que de prendre son téton en bouche. Je les lèches. Laura de son côté est déjà en train de téter, elle pompe le gros téton qui s’offre à elle, des bruits de succion retentissent dans la pièce et très vite du lait coule dans le coin de ses lèvres.

    - Prends exemple sur ta copine, Anne, pompe et avale mon lait. Humm Laura, tu fais ça tellement bien.

    Je prends mon courage à deux mains et commence à téter, le lait couler alors abondamment dans ma gorge, c’est dégeulasse ! J’ai à maintes reprises des haut-le-cœur.

    - C’est bien, continue, tu as des lèvres si pulpeuses, je suis sûr que tu taille très bien les pipes, tu aimes pomper ?

    Il est vrai que je suis assez douée pour ça et les mecs apprécient quand je les suce… d’ailleurs j’adore ça ! Je m’évade un peu et repense à mon ex… J’aimerais tellement être blotti dans ses bras. Soudains des images reviennent dans ma tête je me revois en train de le sucer, son sexe gonfle dans ma bouche et très vite il balance la purée… Je commence alors à sentir de la mouille couler entre mes cuisses…
    Mademoiselle Lefebvre s’en aperçoit… Elle me caresse le cul, écarte mes cuisses et commence à jouer avec mes lèvres, elle y glisse un doigt, les écartent et très vite joue avec mon clito. Je suis dégoutée mais je ne peux m’empêcher de mouiller, c’est horrible, qu’est-ce qui m’arrive ?

    - Et bien, on dirait que tu aime ça…. Je suppose que tu n’es pas vierge ?
    - Non…
    - Tu aimes quand je joue avec ton petit bouton ?
    - Non ! Arrêtez !
    - Menteuse (elle me claque le cul)
    - Bien cela suffit, debout ! toutes les deux !

    Elle se lève et enlève le drap d’un meuble, il s’agit d’une sorte de table munie d’anneaux.

    - Viens ici Anne, penche-toi sur la table.

    Je me penche, elle lie mes poignets aux anneaux puis mes chevilles aux pattes de la table.

    - Tu es vierge Laura ?
    - Oui madame.
    - Bien, nous nous occuperons de toi plus tard.

    Quelques minutes se passent et elle se poste devant moi, elle enlève le drap d’un miroir juste devant moi et je vois Laura debout derrière, munie d’un gode-ceinture. La vielle se place derrière elle.

    - Bien, Laura, puisque c’est par sa faute que tu te retrouves ici, tu vas la punir.

    Elle proteste.

    - Non, s’il vous plait !
    - Silence ! (elle lui claque le cul)

    Elle lui attache les mains dans le dos, saisit son gode et pousse sur son dos. Je sens le strapon écarter mes lèvres.

    - Bien, tu vas la baiser comme une cochonne, regarde-là, elle ne demande que ça. Tu vois comme sa chatte est trempée ?

    Je sens le gode à l’entrée de mon vagin. La surveillante, toujours placée derrière Laura, m’agrippe les hanches et d’une force incroyable force Laura à me pénétrer. Le gode rentre presque entièrement d’un coup dans mon vagin, j’ai mal et j’hurle de douleur.

    - Bien, baise-là fait des mouvements de va et viens rapide, bien au fond de sa chatte, je veux que tu lui fasses mal. Si tu n’obéis pas, c’est toi qui auras mal, tu as compris ?
    - Oui madame.

    Laura entame alors des mouvements amples et je sens le gode me pénétrer violement. Je vois dans le miroir Laura en larmes, la vielle la plaque sur mon dos, elle lui choppe le cul et avec force, lui fait faire des vas et vient. Elle vient ensuite me détacher et m’ordonne de me mettre à 4 pattes sur le sol. Elle détache Laura.

    - Tu vas te débrouiller toute seule, prend ses hanches dans tes mains et baise là.

    Laura s’exécute, elle me prend par la taille et me donne des gros coups de reins de plus en plus intensifs. Elle le fait de plus en plus naturellement j’ai l’impression qu’elle apprécie. J’essaie de m’évader dans mes pensées et j’imagine mon ex me prendre avec passion.
    La vieille commence à jouer avec mes seins qui pendent et bougent sous les coups de rein, malgré son corps fluet, Laura et très énergique. Je sens alors les grosses mains de mademoiselle Lefebvre se poser sur mes fesses, elle les écarte, me les fesses. Je suis honteusement très excitée et je sens que je vais jouir… Je sens alors un doit jouer avec mon anus.

    - Humm, j’adore ton cul ma cochonne, il est bien gros et rebondi, tu aimes te faire enculée ?
    - J-j ’ai, jamais essayer.
    - Bientôt…

    Elle joue avec ma rondelle tout en me claquant le cul je ne peux me retenir et émet de petits gémissements.

    - C’est bien, je veux t’entendre couiner comme une truie !

    J’hurle de plaisir et j’explose, j’inonde le sol de mouille. Laura se retire et je m’affale sur le sol. Je vois dans le miroir la surveillante qui s’approche de Laura elle se place derrière elle et lui enlève le gode. De la mouille coule le long de ses cuisses. Elle lui caresse alors ses seins, pince ses téton et tire violemment dessus. Elle commence alors à lui caresser la chatte.

    - Ça t’a plus de prendre cette petite salope ?
    - O-oui madame….
    - Bien et tu aimes quand je joue avec tes touts petits seins ?
    - O-oui…
    - Bien.

    Elle lui caresse la chatte, joue avec son clito et lui met un doigt.
    Laura se cambre, tremble et explose à son tour elle pousse des petits gémissements…

    - Bien, vous allez vous habiller et rentrer dans votes chambre. A partir de maintenant, vous allez être mes petites chiennes soumises, je pourrais disposer de votre corps quand bon me semble. Cela va être difficile au début, mais à la longue vous prendrez du plaisir dans l’obéissance et la soumission, est-ce que vous avez bien compris ?
    - Oui mademoiselle.
    - Non, Maitresse…
    - Oui Maitresse…
    Je me relève péniblement, j’ai les jambes qui tremblent et mes genoux me font mal, surtout qu’ils sont écorchés, je saigne un peu. Malgré mon orgasme, j’ai mal à la chatte, Laura n’y est pas allée de mains mortes et le gode était assez gros. Quand à mes seins ils me font bien souffrir, les brûlures de cigarettes m’ont laissé des traces et me lancent…

    Je ramasse mes affaires et me rhabille. Je regarde Laura elle baisse la tête et sanglote. Quant à notre bourreau, elle est assise dans son canapé et nous regarde d’un air satisfait, elle sourit cette connasse.

    Une fois habillées, nous sortons et nous dirigeons vers la chambre, Laura ne dit pas un mot.
    Nous rentrons à l’internat et je fonce prendre une douche, Laura se dirige directement dans la chambre.

    L’eau bien chaude me fait du bien et me relaxe, mais je me sens complétement perdue, je suis dégoutée j’ai envie de chialer. Qu’est-ce que je vais faire ? Me faire virer ou me casser ? Pas moyen, je me retrouverai à la rue. Je vais devoir faire profil bas et si tout se passe bien, je ne serai plus là à la fin de l’année.

    Je file me coucher…

    Je suis réveillée au petit matin par des douleurs atroces sur mes nichons.
    Je me lève et j’aperçois ma copine, assise sur son lit, le regard dans le vide qui pleure.

    Elle relève la tête et me regarde.

    — Je suis désolée Anne…
    — Je sais, t’inquiètes pas, je sais que tu n’y es pour rien…
    — J’ai jamais eu de relations sexuelles, je ne me masturbe que depuis quelques temps, c’était horrible…
    — Mouais, à priori tu as apprécié hier soir…
    — Ne dis pas ça ! Elle pleure encore…
    Je viens m’assoir à côté d’elle… et la prends dans mes bras.
    — Ne t’inquiètes pas, ça va aller, et je sais que t’y es pour rien. On va devoir être sages, ne pas se faire remarquer et tout ira bien.
    — Merci…

    La semaine se passe en douceur, j’ai croisé plusieurs fois madame Lefèbvre qui me souriait sournoisement… Et d’autres élèves qui chuchotaient dans mon dos, j’avais la rage mais j’ai rien dit.
    Je suis rentrée le weekend et j’ai rien branlé, je me suis reposée devant des séries et j’ai évité mes parents, d’ailleurs ils m’ont ignoré tout le weekend.

    30 septembre 2013, 8h00

    Et c’est reparti pour une semaine dans ce bahut de tarés… et elle a bien commencé…

    10h00

    Je sors de cours pendant la pause. J’arrive devant mon casier pour prendre des affaires, et un petit groupe de personnes s’approche de moi en ricanant… Une fille m’adresse la parole. Elle est assez grande et mince, les cheveux blonds courts, le visage creusé et un nez assez long et crochu…

    — Salut, t’es Anne Martin ?
    — Oui
    — A peine une semaine et tu t’ai déjà fait remarquer… La petite rebelle du bahut…
    — Qu’est-ce que ça peut te foutre.
    — Et méchante en plus !
    — Elle ne fera pas longtemps sa maligne…

    Je me retourne et aperçoit un mec qui ressemble à la pétasse qui me parle, même gabarit, même gueule, les cheveux noirs et gras, un air de petit BCBG qui se la pète.

    — Je t’emmerde…
    — Et bien, tu sais à qui tu t’adresses ? Me répond la blondasse…
    — Non et je m’en branle.
    — Je suis Céline Laurent, et lui derrière c’est mon frère jumeau, Alban. Mon père c’est le préfet et je n’ai pas l’habitude de me faire insulter par une petite trainée dans ton genre.

    Je sens à ce moment une main qui se pose sur mon cul.

    — Elle est plutôt bonne cette cochonne, un peu grasse et flasque, faudrait qu’elle fasse du sport.

    Les autres rigolent. Je me retourne et me retrouve en face de l’autre trou du cul…
    Je le repousse violemment… Il me met alors une grosse claque dans la gueule…Je me laisse pas faire et lui mets un grand coup de genoux dans les burnes, il s’effondre au sol…

    — Salope, tu vas nous le payer. Me lance sa sœur.

    Elle me prend un bras et je lui claque la gueule à mon tour. Elle se tient la joue en sanglotant. J’en profite pour m’éclipser, victorieuse.

    Le reste de la journée se passe calmement.
    La fin des cours sonne et je me dirige vers le réfectoire, accompagnée de Laura. Mon repas vite avalé, je sors dans la cour et le micro grésille.

    — Mademoiselle Anne Martin est attendue au bureau de Madame le Proviseur, mademoiselle Martin.

    Putain, merde ! Fait chier !

    J’arrive devant la porte et j’entre.

    Madame Hermann se tient debout les bras croisés devant son bureau. Elle me regarde d’un air sévère… Sur le côté se trouvent les deux frangins et frangines qui me regardent avec un sourire pervers...

    — Bien mademoiselle, vous avez encore fait parler de vous… j’ai ici deux jeunes gens que vous avez agressés...
    — Mais ils...
    — Silence ! Savez-vous qui ils sont ? Des personnes importantes et de plus des très bons élèves, vous ne leur arrivez pas à la cheville. Je vais devoir sévir encore une fois, vous devez comprendre que nous ne sommes pas dans un ghetto, mais dans un établissement sérieux… Déshabillez-vous et mettez-vous en petite culotte.
    — Mais je…
    — Cela suffit, obéissez !

    Je me fous à poil.

    — A genoux devant Mademoiselle Laurent. Regardez-la dans les yeux et demandez-lui pardon.

    Je me mets à genoux et me force pour lui parler.

    — Je suis désolée…

    C’est moi qu’ils ont agressée et je dois m’excuser, c’est dégueulasse !

    — Bien ; mettez-vous à quatre pattes et vous aller lui baiser les pieds...

    La blondasse hôte ses chaussures et ses chaussettes. Elle tend ses pieds vers l’avant.
    Je pose ma bouche sur ses orteils avec dégoût et je les embrasse.
    Je vois la vieille qui se rapproche de moi avec une règle fine en plastique dans les mains… Pas encore !

    — Léchez-lui les orteils et sucez-les…

    Je lèche péniblement ses pieds qui sentent la sueur.

    CLAC CLAC !

    Une douleur m’envahit le cul, elle vient de me claquer les fesses avec sa règle.
    Je continue à lécher les pieds de l’autre connasse qui me regarde d’un air victorieux.

    CLAC CLAC !

    Ça me fait encore plus mal que la cravache, c’est dur et froid.
    Le morveux vient alors prendre la place de sa sœur. Madame Hermann me prend les cheveux dans les mains et me force à me remettre à genoux. Elle pose alors la règle sur le sol.

    — A genoux sur la règle.

    Je m’exécute et ressens tout de suite une douleur au niveau des genoux qui me font encore souffrir.

    — Vous allez demander pardon à ce jeune homme également.
    — Pardon…
    — Est-ce suffisant Monsieur Laurent ?
    — Non, je ne crois pas Madame, elle m’a fait très mal.
    — Bien, vous allez devoir réparer l’injure…

    Elle se place derrière Alban et lui déboutonne le pantalon. Elle prend son sexe déjà à moitié dur et le fait sortir.

    — Vous lui avez fait mal aux testicules, vous devez vous excuser.

    Elle me prend la queue de cheval et me rapproche le visage de ses couilles.

    — Allez, on lèche...

    C’est avec beaucoup de dégoût que je pose la langue sur ses couilles. Il me prend à son tour les cheveux et présente son gland à l’entrée de ma bouche.

    — Suce salope !
    — Non, je...
    — Silence !

    CLAC !

    La vieille vient de me fesser le cul…
    J’ouvre péniblement la bouche et me retrouve très vite avec sa queue au fond de ma gorge, il me baise la bouche sans ménagement, ça me brûle la gorge et j’ai envie de vomir. Des chaudes larmes coulent sur mes joues.
    Je sens alors des mains se poser sur mes seins, c’est la frangine qui me les palpe.

    — Tu as des bonnes grosses mamelles ma cochonne, j’aimerais avoir les mêmes.

    Elle commence alors à jouer avec mes tétons, et de l’autre main, elle me caresse les cuisses. Alban continue à me forcer la bouche, je sens son sexe se durcir de plus en plus, il a une grosse bite. Céline me baisse la culotte jusqu’au chevilles et elle commence à jouer avec mes lèvres, elle les frotte sans ménagement et me titille l’entrée du vagin, qui est sec et qui me brûle. Elle me pince violemment les tétons et tire dessus.

    — Je vais te traire comme une grosse vache que tu es…

    Elle tire de plus en plus et glisse son doigt dans ma chatte. Malgré la douleur je sens ma chatte qui commence à mouiller…

    — Elle mouille la salope, tu aimes la bite de mon frère ?
    — Oumph.

    Elle commence à me pilonner le vagin, elle y glisse un deuxième doigt.
    Alban se retire de ma bouche et me prend les bras.

    — Debout

    Je me relève. Il se place derrière moi et me plaque sur le bureau.

    — Tends ton cul et penche-toi en avant, je vais te baiser.
    — Non, s’il te plaît, pas ça…
    — Ta gueule, salope, penche-toi et écarte bien tes cuisses ou je t’empale de force !

    Je me penche, j’écarte les cuisses au maximum, j’obéis, je n’ai pas envie d’avoir mal… Mais lui si… Il me rentre sa bite d’un coup dans la chatte, même si je mouille un peu ça me fait très mal, je hurle de douleur, d’autant plus qu’il me la met au fond …

    — Aïe, tu me fais mal, s’il te plait vas-y doucement.

    Il me claque le cul.

    — Ta gueule, tu as fait doucement quand tu m’as latté les couilles ? Ferme ta gueule et prend ça.

    Il me donne des gros coups de rein, c’est brutal et douloureux, j’ai la chatte en feu !
    Il me prend les cheveux et tire dessus, m’obligeant à me cambrer d’avantage.
    Je sens ses couilles qui claquent contre ma chatte, et bizarrement je commence à apprécier, il faut dire que ça fait longtemps que je n’ai pas fait l’amour, mais là c’est quand même violent. Malgré sa carrure fluette il est vigoureux…

    La douleur s’estompe petit à petit. Je ne peux rien faire, je suis bloquée et obligée de subir ses coups de rein virils… Si je ne veux plus avoir mal, je vais devoir y mettre du mien, j’essaie de me vider la tête, je ferme les yeux et repense à des moments agréables, je repense à mon ex, à mes relations sexuelles passées.

    Je glisse ma main le long de mon ventre et commence à me masturber. Je joue avec mon clito, écarte mes lèvres et y fais glisser un doigt, je commence à mouiller…
    Je sens une main qui me prend fermement le menton et m’oblige à redresser la tête… j’ouvre les yeux et me retrouve nez à nez avec Céline qui me fixe d’un regard pervers et amusé…

    — Eh bien, j’ai l’impression que tu commences à prendre ton pied, ça te plait de te faire baiser sauvagement sur un bureau ?

    Je la regarde dans les yeux, des larmes coulent sur mes joues.

    — Réponds ! (elle me claque la joue).
    — N-non.
    — Menteuse ! Donne-moi ta main.
    — Mais…
    — Obéis !

    Je lui tant ma main pleine de mouille…

    — Regardez-moi cette petite cochonne, elle se fait plaisir…

    Elle me prend le poignet et présente mes doigts devant la bouche.

    — Suce tes doigts, et goutte-moi ça.

    Je glisse deux doigt timidement dans ma bouche et commence à les lécher, c’est salé et légèrement acide.

    — Tu vois, tu es trempée, et le but est de te punir, non de te procurer du plaisir. N’est-ce pas Madame la directrice ?
    — Tout à fait, jeune fille. Un instant monsieur Laurent, pouvez-vous vous retirer ?
    — Oui.

    Il retire son gros sexe sans ménagement, laissant couler un filet épais de mouille sur mes cuisses.
    La directrice me prend les bras et me fait me retourner.

    — Dans cette position, nous pourrons vous surveiller. Monsieur Laurent, je vous en prie, elle est à nouveau à vous…

    Alban se rapproche de moi, il me saisit les chevilles et m’écarte les jambes au maximum, qu’il relève également. Il vient frotter son gland entre mes lèvres et contre l’entrée de mon vagin. Enfin un moment de douceur et j’apprécie ce qu’il me fait… Mais ce plaisir est soudainement interrompu par sa bite qui m’empale à nouveau d’un coup, il me met des grands coups jusqu’au fond, ce qui me fait à nouveau souffrir…

    Une masse se dessine au-dessus de mon visage, c’est la frangine qui vient de monter sur la table, elle est en chemiser légèrement entrouvert et cul nu.
    Elle place ses cuisses de chaque côté de mon visage et je vois sa chatte qui se rapproche de ma bouche.

    — Lèche-moi la chatte, je veux que tu me fasses plaisir.
    — Mais je n’ai jamais…
    — Tais-toi !

    CLAC ! CLAC ! Elle m’assène des grands coups sur les seins, mains tendues !

    Sa chatte s’approche de plus en plus, et une odeur puissante me caresse les narines. J’ai une vue en gros plan de sa chatte, des grosses lèvres charnues pointent sous une toison blonde épaisse. Elle place ses mains sur sa touffe et écarte ses lèvres tout en s’asseyant presque sur mon visage.
    Je sens alors ses lèvres chaudes et humides se poser sur ma bouche. Son goût ressemble au mien, mais est plus sauvage et prononcé.
    Je sens ses doigts qui écartent ses lèvres et ma bouche se fait engloutir entre elles.

    — Allez, utilise ta langue, lèche mon clito et glisse-la entre mes lèvres.

    Très vite ma langue effleure son petit bouton et je commence à le titiller. Puis je lèche ses lèvres et sens l’entrée de son vagin. De la mouille commence à couler le long de ma langue et glisse jusqu’à la commissure des lèvres.
    Je sens ses cuisses se resserrer et j’ai du mal à respirer, d’autant plus que sa toison est épaisse.

    — Mmm, mais c’est qu’elle est douée ! Continue, c’est si bon, bouffe-moi la chatte cochonne ! Glisse ta langue dans ma chatte !

    Les coups de reins du frangin se font de plus en plus forts, il me pilonne la chatte qui est en feu. Mon dos me fait mal. Chaque va et vient intensifie naturellement les mouvements de ma langue.
    Céline resserre de plus en plus ses cuisses. Elle prend mes seins et les serre très fort, elle les malaxe et joue avec mes tétons.

    CLAC ! CLAC ! Elle me les claque à nouveau, j’ai mal putain ! Elle commence à entamer des mouvements amples avec son bassin, m’obligeant à lécher sa chatte avec plus d’ardeur.

    — Baise-moi avec ta langue, bordel !

    Je viens cherche l’entrée de son vagin et commence à y glisser facilement ma langue, mon visage est inondé de mouille qui coule sur mes joues. Elle glisse ses mains le long de mes cuisses et me prend les chevilles. Elle écarte encore plus mes jambes et les plaque sur moi.

    — Écarte au maximum, je veux voir la grosse bite de mon frère de défoncer la chatte. Mmm mais elle est encore trempée ! Tu n’es qu’une traînée ! Même sous la contrainte et la douleur elle prend son pied cette salope !

    Les mouvements d’Alban s’accentuent d’un coup et il me prend la peau sur les hanches et serre très fort, il râle comme un animal, et se retire. Céline vient placer ses doigts sur ma chatte et écarte mes lèvres au maximum, je sens ma chatte se dilater et l’air frais la chatouiller, puis très vite un flot abondant de sperme chaud vient m’arroser le vagin et le ventre. J’ai l’impression qu’il gicle pendant une éternité ! Au même moment je sens sa sœur trembler et resserrer ses cuisses. Elle gémit et explose à son tour, j’ai la bouche et le visage recouverts de mouille et de bave.

    Elle me libère enfin et je prends un grand bol d’air…
    Ils s’habillent et sortent de la pièce sans rien dire.

    Je repose mes jambes endolories et me redresse, j’ai l’impression qu’un train m’est passé dessus. Au moment où je commence à me redresser pour descendre, la directrice pose ses mains sur mes cuisses et se penche vers moi, elle me regarde droit dans les yeux d’un air lubrique.

    — Oh non, mademoiselle, je n’en ai pas fini avec vous.

    Je m’aperçois avec horreur qu’elle est en sous-vêtements, un string en dentelle noir, des bas et un porte-jarretelle… Elle m’écarte les jambes et me repousse en arrière sur le bureau…

    A SUIVRE…

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