• MASTU12RBER

    J'avais accepté de prendre mes vacances avec mon mari et ma belle soeur en me disant que j'allais passer les deux mois les plus ennuyeux de ma vie mais, au contraire, ce furent les vacances les plus vivantes qu'il me fut donner de vivre. Et tout cela à cause d'une bête partie de cartes.
    Tout à commencer le premier soir après le souper ; Ni Lise, ni moi ne voulions faire la vaisselle et mon mari nous proposa de régler le problème par une partie de bataille. C'est lui qui distribua les cartes et vingt minutes plus tard je me retrouvai devant l'évier de la cuisine à nettoyer la vaisselle pendant que mon mari et sa soeur regardait tranquillement la télé.
    Naturellement le lendemain matin le problème se reposa sur le nettoyage du chalet et sur les repas à préparer. Une nouvelle fois ce furent les cartes qui décidèrent de celle qui allait s'en occuper pour une semaine et une nouvelle fois ce fut moi qui perdit. Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, je m'inclinai et me retrouvai une longue semaine avec les tâches ménagères à faire, ma belle soeur allait en profiter pour se faire servir comme une princesse.
    Il me fallut trois jours pour me rendre compte que la situation me plaisait et que servir ma belle soeur provoquait en moi des sensations étrange qui étaient loin de me déplaire. Le problème c'est qu'elle s'en rendit compte elle aussi et qu'elle en profita. Un matin que Pierre était descendu en ville pour faire quelques courses elle me proposa de jouer le reste des vacances aux cartes et je fus assez bête que pour accepter et, jamais deux sans trois, je fus la perdante. Pour être tout à fait honnête, je dois préciser que je n'ai pas vraiment fait ce qu'il fallait pour gagner. La situation que je vivais depuis une semaine me plaisait et j'avais très envie de la prolonger. Je prenais un plaisir malsain et trouble à suivre les instructions de Lise pour la journée. Il faut dire que petit à petit elle devenait de plus en plus exigeante sur les travaux domestiques. La veille elle m'avait fait recommencer la vaisselle sous prétexte qu'une assiette était encore sale. A la stupéfaction de Pierre, au lieu de me rebiffer, je m'inclinai et recommençai la vaisselle.
    Naturellement Lise profita de la situation pour se montrer de plus en plus stricte sur mon travail et, j'avoues que ce ne fut pas pour me déplaire. Les choses bougèrent vraiment lorsque mon mari reçu un coups de fil de sa boîte qui lui demandait de rentrer le plus vite possible pour régler un problème. Il restait presque six longues semaines de vacance et aussi bien Lise que moi nous avons refusées de rentrer avec lui. Je crois que mon mari n'avait pas encore fait un kilomètre Lise m'appela dans la cuisine.

    - Voilà, me dit-elle. Comme Pierre n'est plus là, tu as le choix profiter des vacances ou continuer notre petit jeu.

    Il ne me fallut pas longtemps pour lui répondre. Je savais que je prenais un risque énorme mais ce que j'avais ressenti les jours précédents me poussait.

    - J'ai envie de continuer.

    - Bien ! mais sache que je vais me montrer plus exigeante encore.

    Ce fut plus fort que moi.

    - Je l'espères, lui répondis-je.

    En plus c'était vrai, j'espérais vraiment qu'elle allait se montrer plus exigeante et sévère avec moi. J'étais comme une petite fille qui a fait une grosse bêtise et attend d'être punie.

    - A partir de maintenant c'est moi qui décide de tout dans la maison. On est bien d'accord ?

    - Tout à fait lui répondis-je.

    - Je vais t'en faire baver, me dit elle en souriant.

    - Je m'en doute mais je dois avouer que je n'en attendais pas moins de toi.

    - Bien ! A partir de maintenant, tu me vouvoies et tu m'obéis en tout.

    - D'accord, lui répondis-je.

    Mon coeur battait fort dans ma poitrine, je me demandait ce qu'elle allait faire avec moi. J'avais une vague idée de ce que j'aimerais subir mais je me voyait mal le lui dire. Mais je n'eus pas le temps de réfléchir de trop car une paire de gifle m'envoyât valdinguer au travers de la cuisine.

    - Je n'ai pas entendus la marque de politesse élémentaire qui m'est due.

    Avant de me relever je préférai répondre correctement à ma belle soeur.

    - D'accord, madame.

    - C'est mieux, me dit-elle

    Puis, sans transition elle m'ordonna.

    - A poil !

    - Quoi ?

    Une deuxième paire de gifle me fit comprendre que Lise avait commencé ses petits amusements à mes dépends. Je trouvais que là elle y allait un peu fort pour un premier contact.

    - Je veux voir ce qui m'appartient. Fous toi à poil et vite. Me dit ma belle soeur d'une voix autoritaire qui me fit frémir de peur mais aussi de désir.

    Cette fois j'étais sure d'avoir fait le bon choix. Elle allait m'en faire voir mais j'étais persuadée que j'allais prendre du plaisir comme je n'en avait jamais pris avant. Je me relevai en me tenant les joues, puis entreprit de retirer mes vêtements. Quand je fus nue, Lise me fit signe de venir me mettre devant elle. J'avançai lentement un peu gênée d'être nue devant ma belle soeur, je baissai les yeux pour ne pas croiser son regard.

    - A genoux, me dit elle.

    Je me mis à genoux devant elle.

    - Les mains dans le dos et redresses-toi.

    Le coeur battant comme un fous dans ma poitrine, je fis ce qu'elle m'ordonnait. Un moment je levai la tête et croisai son regard. Ses yeux lançaient des éclairs de plaisir de me voir humiliée de la sorte. Je sus immédiatement que je n'aurais pas une once de pitié à attendre d'elle.

    - Petits seins, remarqua-t-elle en ses saisissant de mes petits tétons.

    Un moment je failli m'excuser de ne pas avoir la poitrine qu'elle aurait voulu avoir mais, heureusement, je me retins à temps ; il ne fallait pas que je la fâche. Lentement elle commença à presser, de plus en plus fort, les petits boutons de chair qu'elle avait prit entre ses doigts. Au début la douleur fut supportable mais très vite je dus serrer les dents pour ne pas crier. Je ne résistai pas longtemps et je me mit à la supplier d'arrêter.

    - Je vous en supplies, madame, arrêter cela fait trop mal.

    - Arrêtes de pleurnicher pour une petite douleur de rien du tout. Tu vas subir bien pire dans les semaines qui vont venir.

    Elle accentua encore la pression de ses doigts et se mit à tirer mes mamelons jusqu'à ce que je pousses enfin un cri de souffrance.

    - Pas très résistante à la douleur, il va te falloir faire mieux si tu ne veux pas hurler à ameuter le voisinage.

    - Je ne croyais pas que vous me feriez souffrir ainsi.

    - Tu croyais peut-être que nous allions continuer le petit jeu stupide des jours précédents ? Tu te faisais des illusions. J'ai l'intention de te dresser à être une petite chienne docile et soumise à tous mes caprices. Tu n'as pas fini d'en voir avec moi. Tu vas commencer par me lécher les pieds et tu as intérêt à le faire convenablement si tu ne veux pas souffrir.

    - Bien madame ! répondis-je en larmes.

    Je me penchai vers ses pieds, les déchaussai et ouvrant la bouche je commençai à les sucer avant de les lécher et les embrasser. Pendant près d'une demie heure je suçai les pieds de Lise avant qu'elle ne me repousse d'un coup de pied.

    - Debout petite putain. On va commencer ton éducation.

    Péniblement je me relavai et la suivi à la cave. Elle me fit entrer dans une petite pièce sombre de deux mètre sur deux, sans porte, avec un soupirail donnant sur la rue.

    - Dorénavant ce sera ta chambre, tu trouveras une paillasse de crin dans la cave à coté.

    - Vous ne pensez pas sérieusement me faire dormir dans ce trou à rat ?

    - Si ! Tu as deux heures pour rendre cette pièce habitable.

    - Non ! Je vous en supplies, je ferai ce que vous voulez mais ne me faites pas dormir ici, je ne pourrai jamais fermer l'oeil.

    - Tu veux déjà revenir sur ta décision ? je tiens à te rappeler que tu as accepter de te soumettre à tous mes désirs et mon désir est que tu couche dans cette porcherie.

    - Comme vous voudrez, lui répondis-je contrite.

    Elle me laissa seule. N'ayant pas vraiment de temps à perdre, je me mis au travail immédiatement. Il me fallut bien les deux heures pour rendre la pièce ? habitable ? comme elle disait. Je me mis à pleurer à chaudes larmes en jetant la paillasse sur laquelle elle voulait me faire dormir. J'avais repris contenance quand elle revint me chercher. Elle tenait à la main une tige de bambou qu'elle avait retirer d'une plante et cela n'augurait rien de bon pour moi. Cela allait trop vite pour moi et je n'avais pas le temps de bien comprendre ce qui était entrain de se passer.

    - Allez, ma belle on y va.

    Je la précédait dans les escaliers de la cave. Je ne devais pas marcher assez vite pour elle car elle me cingla les fesses avec la baguette. Je poussai un hurlement et accélérai le mouvement toute en serrant les fesses. Arrivé dans la cuisine elle me désigna l'évier.

    - Tu vas faire la vaisselle.

    - Mais, j'ai déjà fait la vaisselle ce matin, il n'y en a plus !

    - Tu vas prendre la vaisselle qui se trouve dans les armoires et tout nettoyer. Je te surveilles et si tu oublies une assiette je te tannes le cul de façon à ce que tu n'oublies plus jamais rien.

    - Bien madame, comme vous voulez.

    Pendant plus d'une heure je fis la vaisselle, puis elle me fit préparer le repas du soir. Je me demandai si j'avais bien fait de ne pas reprendre ma liberté quand j'en avais l'occasion ? je savais bien que non mais je ne m'attendais pas à une entrée en matière aussi rapide de la par de ma belle soeur. J'avais vaguement espéré qu'elle avancerait à petit pas pour me soumettre. J'avais bien imaginer me retrouver nue à préparer un repas mais pas dès le premier jour, je m'étais dit qu'il lui faudrait quelques jours, voire semaines avant de faire réellement mal. Je dois avouer que je n'étais réellement déçue de son attitude et que je ne regrettais pas ma décision quoiqu'il m'en coûte. Quand le repas fut prêt, je dus, évidement le lui servir en restant à ses côtés. Après la dernière vaisselle, elle m'envoya dormir.

    - Va dormir et reposes toi le plus possible car ta nouvelle vie va réellement commencer dès demain. On se lève tôt parce que nous avons des courses à faire.

    - Bien madame, lui dis-je en me retirant.

    J'avoues que j'étais heureuse de m'en sortir sans avoir reçu de raclée. Vue les début de Lise je m'était attendue à ce qu'elle continue de cette manière et j'étais un peu surprise de sa ? gentillesse ?. Pourtant ce n'était que partie remise. Il me fallut plus de deux heures avant de trouver enfin le sommeil. Il faut dire que dormir nue je connaissais, mais dormir sans couverture dans une cave humide, je ne connaissais pas encore. De plus j'avais une peur bleue des rats et autres souris. J'ai passer une bonne partie de la nuit à m'endormir et à me réveiller parce que j'avais entendu un bruit bizarre. Dans ma tête tournait sans arrêt les même questions. Avais-je fait le bon choix ? N'avais-je pas présumer de ma volonté à être soumise ? Comment avais-je pus me soumettre aussi facilement ? N'aurais-je pas du attendre de voir comment les choses allaient évoluer avec ma belle soeur avant de accepter de me soumettre à tous ses désirs ? C'est vrai que depuis longtemps je rêvais de me retrouver sous la férule d'une autre personne, j'avais même envisager d'en parler à mon cher et tendre mais il ne me paraissait pas être la personne adéquate pour ce genre de relation. Sa soeur s'était révélée être plus en rapport avec ce que je cherchais même si j'aurais aimer que cela se passe plus lentement. Dès le premier jour, j'ai compris qu'elle était la personne qui était capable de s'occuper de moi comme j'en avais envie. Jusqu'à aujourd'hui j'avais résister aux envies de soumission mais depuis que Lise était entrée dans ma vie de tous les jours, je savais que c'étais elle qu'il me fallait. J'étais presque heureuse d'être arrivée à cette conclusion et je pus enfin m'endormir calmement.
    Le lendemain matin, six heure j'étais debout et je préparai le petit déjeuner pour Lise. Comme elle ne m'avait pas fixer d'heure pour la réveiller, je pris sur moi de me présenter à sa chambre vers huit heure trente avec un plateau petit déjeuner avec jus d'orange et toasts comme il se doit. Comme elle m'avait laissé nue la veille, je n'avais pas oser m'habiller et c'est entièrement nue que je toquai à la porte de sa chambre.

    - Entres, me cria-t-elle.

    J'ouvris lentement la porte et entrai. Sans oser la regarder j'allai poser le plateau sur la table de nuit et attendis qu'elle me dise ce que je devais faire.

    - Mets toi en position d'attente.

    Sur le moment je fus un peu perdue, nous n'avions pas vu de positions.

    - A genoux, les mains dans le dos, droite comme I et les yeux baissés me dit elle.

    Je fis ce qu'elle m'ordonnait. Elle attendis que je sois en position et elle commença à m'expliquer ce qu'elle attendait de moi mais surtout ce qu'elle avait l'intention de faire de ma personne pour les six semaines à venir.

    - A partir de ce jour et ce pour les six semaines à venir, tu m'appartiens corps et âme. Tu es ma chose et je fais de toi et de ton corps ce que je veux. Je veux que tu m'obéisses immédiatement en tous ce que je te commanderai. Par exemple si je te dis de te foutre à poil, tu te fous à poil sans discuter quelque soit le lieux où on se trouve et quelque soit les gens qui se trouve présent. Je ne m'amuserai pas à te punir mollement, chaque punition sera sévère et dure car il faut que tu apprennes le plus vite possible à m'obéir au doigt et à l'oeil. Tu ne réfléchis plus, tu obéis sans discuter. On est bien d'accord ?

    - Oui madame, répondis-je la voix serrée.

    - Je ne sais pas où tu en as coté sexe avec mon frère et cela ne m'intéresse pas le moins du monde. Quand je dis que tu m'appartiens, cela veut dire que c'est moi qui décide qui te baise, qui t'encule et qui tu dois sucer. On est toujours d'accord ?

    - Mais il n'a jamais été question de sexe !

    - Il en est question maintenant. Si cela ne te convient pas reprends ta petite vie misérable de petite bourgeoise coincée. Moi je veux une salope intégrale qui donne son corps quand j'en ai envie. A toi de décider, tu as trente seconde, après tu ferme ta petite gueule et tu fais ce que je te dis. Top !

    Il ne ma fallut pas trente seconde pour me décider, j'avais seulement été surprise par ce coté de ma soumission. Je n'avais pas envisager le fait que je serais aussi soumise sexuellement.

    - Bien madame !

    - On est d'accord alors ?

    - Oui madame !

    - A la bonne heure. Il y a deux ou trois petites choses que nous devons mettre au point. Premièrement, plus de poils entre les cuisses, tu seras épilée dès cet après midi, j'ai déjà pris un rendez-vous pour toi. Deuxièmement, tu vas être percée aux seins, à la chatte et au clitoris. Troisièmement, cet après midi, après l'épilation, passage chez le coiffeur et coupe au raz des oreilles. Quatrièmement, tu ne tutoies plus personne, même tes amis en ma présence ou seule et tu leur dis la vérité si ils te demandent pourquoi tu les vouvoies. On est toujours d'accord ?

    - Heu Oui madame.

    - Bien fais moi couler un bain et prépares moi mes vêtements. Je mettrai la robe rouge qui t'allais si bien. Quand à toi, tu mettre une petite robe d'été sans manche et naturellement nue dessous cela va de soi.

    - Bien madame.

    Je me levai et allai dans la salle de bain faire couler le bain de Lise. Puis je passai par mon ancienne chambre prendre la robe que Lise voulait mettre et lui préparai des sous-vêtements qui me parurent adéquats avec sa tenue. J'attendis qu'elle m'y autorise pour mettre la petite robe d'été que je m'étais choisie. Quand elle sortis de la chambre j'avais fais la vaisselle du petit déjeuner et je l'attendais sagement assise sur une chaise toujours nue.

    - Met la robe me dit-elle en entrant dans la cuisine, nous n'avons pas beaucoup de temp.

    Je passai la robe et fus immédiatement prête à la suivre. Elle prit le volant pour nous conduire à la ville voisine. Directement nous allâmes chez l'esthéticienne qui nous attendait.

    - C'est pour une épilation totale ? demanda une jeune femme.

    - Totale ! répondit Lise sans me regarder.

    Puis se tournant vers moi elle me dit ;

    - Tu es bien sage avec mademoiselle. Si elle se plain de toi, tu auras affaire à moi, me dit elle en sortant.

    Je rougis de honte en voyant le sourire de la jeune femme.

    - Allez suis moi me dit-elle.

    - Bien mademoiselle.

    Elle me fit entrer dans une pièce où trônait une table avec des étriers pour maintenir les cuisses grandes ouvertes. Ma honte fut encore accrue quand elle me dit de me déshabiller. La pensée de me mettre nue devant cette pimbêche me révulsait mais je n'avais pas d'autre choix que de m'exécuter. Elle me regarda à peine et alla s'installer sur un tabouret près de la table où elle me fit me coucher en ouvrant bien les cuisses qui furent emprisonnées dans les étriers. Elle se munit d'une paire de ciseaux et entama la taille de ma toison pubienne. Puis elle prépara de la cire et vint l'étaler sur ma chatte et mon anus. La sensation de brûlure fut encore accrue quand elle tira sèchement sur les bandes de cires qui avaient durcies en refroidissant, emprisonnant les poils de mon ventre. Elle paracheva le travail avec une pince à épiler. Je fus morte de honte quand elle se rendit compte que je mouillais comme une fontaine alors que ses doigts tenaient mes lèvres intimes écartées pour retirer les derniers poils. Un moment je crus qu'elle allait me demander de la faire jouir mais ce ne fut pas le cas, je ne sais pas encore aujourd'hui si j'en fus soulagée ou triste.

    - Rhabilles-toi me dit elle en quittant la pièce.

    Je me dépêchai de passer ma robe et de la suivre dans le salon où m'attendait Lise sagement assise dans un fauteuil à lire un magazine de mode. Elle avait dut aller faire des courses puisqu'elle avait deux grands sacs en papier à coté d'elle. Quand j'arrivai à sa hauteur elle ne leva même pas les yeux mais je crus que j'allais mourir quand je l'entendis m'adresser la parole.

    - Montres moi !

    Je regardai autour de moi, j'avais l'impression que toutes les femmes présentes avaient entendues Lise et qu'elles me regardaient avec avidité.

    - Cela fera donc vingt-cinq coups et le double si tu n'obéis pas immédiatement.

    Je levai lentement ma robe pour lui montrer ma chatte lisse.

    - Parfait me dit-elle mais tu mets trop de temps à obéir.

    - mais on est...

    - On est quoi ? dans un endroit public ? Et alors, je m'en fous. Ce sera le double pour avoir oser discuter.

    - Bien madame.

    Je ne voyais pas ce que j'aurais pu faire d'autre. Elle se leva et me montra les sacs avant de sortir du salon comme une princesse. Je pris les sacs et la suivi à la voiture où elle les mit dans le coffre avant de m'entraîner vers le centre ville. Elle me fit entrer dans un salon de coiffure. Un jeune homme maniéré vint nous accueillir.

    - Bonjours, mesdames, vous avez rendez vous ?

    - Oui ! répondit Lise, j'ai pris rendez-vous pour madame, je veux qu'elle soit rasée. Pas plus d'un centimètre de long.

    - Mais madame, vous n'y pensez pas, une belle chevelure comme celle de madame, ce serait un crime. Mais vous madame quand pensez vous ?

    - Faites ce que madame vous demandes répondis-le des larmes dans la voix.

    - Comme vous voudrez mais je persiste à dire que c'est un crime.

    L'homme me désigna un siège et se munit d'une paire de ciseaux. Je devais faire un terrible effort pour ne pas pleurer devant le massacre de ma chevelure. Il ne fallut qu'un petit quart d'heure à l'homme de l'art pour abandonner ses ciseaux et se désintéresser de mon sort. J'avais pratiquement la boule à zéro. C'est en retenant mes larmes que je suivi Lise sous le regards goguenards des autres clientes du salon. Mes humiliations du jours n'étaient pas encore terminées. Lise m'emmena chez un cordonnier et commanda un collier de cuir pour sa chienne. J'eus quelques larmes de dépit et de honte quand elle m'en fit essayer quelques un devant l'homme qui me regardait avec surprise. Quand elle fixa son choix, elle demanda pour voir les cravaches et les martinets. Là aussi elle en prit plusieurs en main pour les essayer et fini par choisir un exemplaire de chaque. Je quittai la boutique du cordonnier en croyant ne plus jamais être aussi honteuse de ma vie mais ce fut encore pire plus tard. N sortant de la boutique Lise alla s'asseoir à la terrasse d'un café et nous commanda deux eaux minérales. Je dois avouer que j'en étais contente car j'avais vraiment soif. Elle avait fait en sorte que je sois obligée de m'asseoir face à une table où se trouvait deux hommes.

    - Ecartes les cuisses et montre leur ta petite chatte de gamine. Me dit Lise.

    J'eus juste une fraction de seconde d'hésitation et, en baissant les yeux j'écartai les cuisses. La conversation s'arrêta à la table des hommes. Ils avaient les yeux rivés sur ma chatte que je leur montrais complaisamment.

    - Bien, me dit Lise, tu peux refermer tes cuisses.

    Je ne me fis pas prier et refermai mes jambes au grand dame des deux hommes. Je fus soulagée de me lever pour suivre Lise. Cette fois elle m'entraîna dans le quartiers chaud de la ville et me fit entrer dans un sex-shop. Pendant une demie heure elle me fit essayer toutes sortes de choses. Des sous-vêtements ouverts de partout qui laissaient les seins à l'aire et le slip fendu. Un autre collier, plus décoratif avec une longue laisse en chaîne avec une poignée de cuir noire. Des godes qu'elle me demanda de prendre en main comme pour les masturber, elle m'en fit sucer un juste pour le plaisir de me voir rougir. Elle acheta des pinces à seins et des petits poids. Quelques pinces crocodiles et un corset qu'elle m'obligea à essayer dans la boutique. Je dus enlever ma robe devant le vendeur et passer le corset qu'elle m'aida à lacer. Puis elle me mit le collier et la laisse et me tira ainsi devant le comptoir.

    - Est-ce qu'elle n'est pas mignonne ainsi ? demanda-t-elle au jeune homme qui manifestement avait du mal à ne pas me plonger dessus.

    - Ho ! Oui ! lui répondit-il rouge d'excitation.

    - Elle vous plait ?

    - Evidement !

    - Elle est à vous. Vous avez un quart d'heure pour vous en servir comme vous l'entendez.

    Un moment je cru avoir mal comprit mais en voyant l'homme quitter son comptoir et se précipiter sur moi je compris qu'elle ne plaisantais pas.

    - Pas ça, madame, je vous en pries.

    - Ta gueule. Tu lui fait ce qu'il te demande.

    L'homme n'ouvrit même pas la bouche et avait déjà sorti sa bite qu'il me fourra dans la chatte en me poussant contre le mur de la boutique. Il se fit aller deux ou trois fois et jouit comme un collégien sur mes cuisses. Avant qu'il aie put dire quelque chose, Lise m'ordonna de le sucer. La mort dans l'âme je me laissai tomber à genoux et prit la bite flasque et molle, pleine de sperme dans la bouche. L'homme reprit vigueur et manifesta le désir de m'enculer. Sous le regard sévère de ma belle soeur je me mis à quatre patte et écartai mes fesses pour que l'homme vienne m'enculer. Même si je n'appréciai pas particulièrement cette pratique, j'avais souvent été enculée par mon cher et tendre qui aimait cette façon de me faire l'amour. Quand l'homme me jouit dans le cul ; Lise me jeta ma robe en me traitant de pouffiasse. Elle paya nos achat et nous sortîmes, moi avec cette fois un corset sous ma robe, le sperme du vendeur coule entre mes cuisses. Je ne sais pas trop quoi penser de l'initiative de Lise. Elle m'avait prévenue mais je ne m'attendais pas à être ? offerte ? si tôt. Même si je n'avais pas de regrets, il faut avouer que se retrouver dans un sex-shop avec sa belle soeur et que celle-ci vous offre gracieusement au vendeur, il y a de quoi flipper grave. Je croyais qu'on en avait terminer avec les courses mais ce ne fut pas le cas, Lise m'entraîna encore chez un bijoutier. Je compris immédiatement ce qu'elle était venue chercher dans cette boutique, je me demandais seulement quelle grosseurs ils auraient. Ils étaient de grosseurs différentes, quatre petit anneaux de moins d'un centimètre de diamètre assez fin, trois de trois à quatre millimètres d'épaisseur et de deux centimètres de diamètre. J'étais un peu effrayée de voir les sept anneaux étaler sur le velours noir d'un présentoir. Je n'arrivais pas à m'imaginer que bientôt ils seraient sur mon corps. Ce n'est qu'a se moment là que je me posai la question de savoir ce que mon cher et tendre mari allait penser de toutes ces choses qui changeaient dans ma vie. Les coucheries passaient encore, un coups d'éponge entre les cuisses et terminer, mais les anneaux aux seins et à la chatte allaient certainement entraîner quelques questions auxquels il allait falloir trouver des réponses. D'un autre côté, je me foutais de trouver les bonnes réponses aux questions que me poserait mon mari, j'avais quelque chose d'extraordinaire à vivre pendant quelques semaines. J'avoues que ce n'était pas ce que j'avais imaginer mais je ne regrettais rien, j'avais fait un choix et j'allais l'assumer jusqu'au bout quoiqu'il advienne.
    Le pire dans ma situation actuelle, c'est que je n'avais pas eut le temps de m'essuyer la chatte en sortant du sex-shop et j'avais la chatte poisseuse et le sperme coulait le long de mes cuisses. Dire que j'étais mal à l'aise dans cette bijouterie serait un euphémisme, je me faisais l'impression d'être la dernière des putain. Lise se fit emballer les anneaux dans un papier cadeau, elle allait me les offrir. En quittant la boutique du joaillier, elle se dirigea à nouveau vers le quartier chaud de la ville. J'eus peur de la voir entrer dans une boutique de piercing, c'était trop tôt pour moi, je ne pourrais pas supporter autant en une seule journée. Je fus presque soulagée de la voir rentrer dans le sex-shop qu'on venait de quitter. Elle se dirigea directement vers un rayon bien précis et acheta quatre godemichés simples de taille différentes et un double. Elle déposa ses achats sur le comptoir.

    - J'ai oublié quelques accessoires indispensables.

    Un moment j'eus très peur qu'elle ne me refasse le coup du vendeur d'autant plus qu'il y avait trois clients dans la boutique. Il n'en fut rien et elle se contenta de payer ses achats et de sortir. Je poussai un ouf de soulagement en suivant Lise vers la voiture. Cette fois on rentra directement au chalet et elle m'autorisa à prendre une douche avant de reprendre mes activités ménagères habituelles. Lise se retira dans sa chambre et je pus travailler tranquillement au nettoyage du chalet. Cela ne me pris pas longtemps, je fis même traîner quelque peu les choses en astiquant particulièrement les divers objets de garniture du living. J'eus même l'occasion de refaire la vaisselle de la cuisine avant de voir ma belle soeur revenir. Elle prit une tasse et se servit un café.

    - Va me chercher un cognac, me dit-elle.

    - Bien madame !

    J'allai au salon et lui servit un cognac au bar et je revint lui mettre le verre sur la table en face d'elle.

    - Assieds-toi m'ordonna-t-elle en me désignant une chaise en face d'elle, on doit parler.

    - De quoi voulez-vous me parler ?

    - De ce qui s'est passer au sex-shop.

    Mon coeur s'emballa un peu et je fus contente de pouvoir m'asseoir.

    - Je penses que j'ai été trop loin trop vite et je m'en veux un peu.

    - Ais-je désobéis ?

    - Heu ! Non.

    - Alors, je ne vois aucune raison pour que vous vous en vouliez. J'aurais pu refuser, je ne l'ai pas fait.

    - N'empêche, parfois je me dis que je vais trop vite mais je n'ai que six semaines pour profiter de toi et je n'ai pas envie de perdre du temps.

    - Puis-je parler franchement ? lui demandais-je.

    - Naturellement ! Je t'écoutes.

    - Entre vous et moi, il y a une grosse différence. Dans six semaines, vous pourrez claquer vos doigts et dire, ? il ne s'est rien passer ?, tandis que moi je vais de me retrouver dans six semaines avec des anneaux partout sur le corps et j'ai tromper mon mari même si c'est vous qui me l'avez ordonner. Je suppose que ce n'est pas fini et que j'aurai encore droit à d'autres séances où je serai offerte aux bons plaisirs de partenaires que je n'aurai pas choisi. Croyez le ou pas, je n'avais jamais fait l'amour avec une autre personne avant ce matin, je me doutes qu'il est le premier et pas le dernier. Vous allez certainement me fouetter avec le martinet ou la cravache. Je vais être humiliée et traitée comme une chienne. Tous cela je le sais et je le savais en acceptant de devenir votre esclave pour six semaines. La seule chose qui me fasse réellement peur c'est ce qui va se passer dans six semaines ; Que vais-je devenir ? Allez-vous avoir envie de me garder ou allez-vous me jeter comme vieux journal ? je ne sais pas et cela me tracasse un peu. J'ai mis le doigt dans un engrenage et je dois aller au bout du tour de l'engrenage. Et vous, vous savez ce que vous allez faire de moi dans six semaines ?

    - J'avoues que non ! je ne m'attendais pas à une telle situation en acceptant de venir passer mes vacances avec vous. Mais je sais une chose, c'est que je m'en voudrai le reste de ma vie si je ne profite pas de la situation. Tu es ma chose pour quelques semaines et je veux en profiter pleinement même si j'ai une petite voix qui me dit que cela va changer ta vie complètement.

    - Arrêtez d'avoir des états d'âmes, ma vie est d'ores et déjà bouleversée, alors un peu plus ou un peu moins. Moi non plus je ne veux pas avoir de regrets. Les circonstances ont fait que nous sommes l'une et l'autre devant un opportunité extraordinaire de satisfaire nos fantasmes, alors pas de regrets et jouons le jeu jusqu'au bout et advienne que pourra.

    - Pas de regrets ?

    - Non, aucun. Je suis votre esclave et j'en suis heureuse. J'ai bien l'intention de vous obéir sans réfléchir aux conséquences futures. Faites de moi ce que vous voulez, je suis à vous pour les six prochaines semaines, après on verra. Peut-être que je vous supplierai de me garder ou bien je vous vouerai aux gémonies pour m'avoir traiter comme une chienne mais je peux vous assurer que je n'ai et n'aurai aucun regret. J'aimerais que vous aussi vous n'en aurai pas.

    - Je te rassures, je n'ai aucun regret et je n'en aurai pas. Quant à te garder après, je l'espères bien. Je n'ai pas l'intention de te dresser pour qu'un autre en profite. Tu es à moi et j'ai bien l'intention de te garder, je suis prête à t'acheter à mon frère.

    - M'acheter ? Comme une marchandise ?

    - Il faudra bien que mon frère aie une compensation pour la perte de sa femme. Mais nous n'en sommes pas encore là, tu auras peut-être envie de reprendre ta liberté dans six semaines.

    - Pour être franche j'ai des doutes sur ma volonté de reprendre ma liberté. Je suis heureuse de vous appartenir et je voudrais que cela dure toute ma vie.

    - On verra dans six semaines. Pour le moment tu as une punition à recevoir.

    Elle se leva et me fit signe de la suivre dans un annexe du chalet. C'était une sorte de grange où était stocké divers choses nécessaire à la vie, du bois, de la paille mais ce qui la rendait intéressante pour Lise c'était la corde de chanvre qui pendait à une poulie au plafond. Elle me fit déshabiller, m'enroula les poignets dans un essuie main avant de les attaché à la corde. Puis elle tendis la corde pour que je me retrouve pratiquement suspendue sans possibilité de me soustraire à la punition promise.

    - Comme le premier voisin se trouve à plusieurs kilomètres, je ne crois pas que ce soit nécessaire de te bâillonner alors, tu peux gueuler autant que tu veux.

    Elle se munit de la cravache et commença à me cingler les fesses avec. Je ne tint que deux coups avant de crier et cinq avant de la supplier d'arrêter. Lise se concentra et me fouetta tout le corps de dos comme de face. Quand elle déposa la cravache, j'étais devenue aphone d'avoir hurler et mon corps était couvert de longues balafres rougeâtres du cou aux genoux. Le pire s'était mes seins qui étaient extrêmement douloureux. Elle me détacha et je m'écroulai sur le sol de la grange en pleurant toutes les larmes de mon corps.

    - Je te laisses un quart d'heure pour te remettre. Je t'attends dans la cuisine.

    Elle me laissa seule recroquevillée sur le sol de la grange. Au bout d'un quart d'heure, je réussi à me relever et à la rejoindre. Je n'avais pas pris la peine de remettre ma robe et c'est nue que j'entrai dans la cuisine. A peine étais-je entrée qu'elle vint vers moi avec le collier qu'elle me mit au cou et accrocha la laisse.

    - Voilà, c'est ta tenue normale. C'est ainsi que tu t'habilleras chaque matin. Je suis la seule à pouvoir retirer le collier.

    - Bien madame, lui dis-je en baissant les yeux.

    - Prépare le déjeuner. Après midi tu tondras la pelouse.

    Quand le repas fut prêt je dus la servir et elle en profita pour me fixer les pinces qu'elle avait acheter sur le bout des seins. Ce fut pénible surtout après avoir été fouettée aux seins. J'avais l'impression que mes mamelons allaient être écraser définitivement, qu'ils ne retrouveraient plus jamais leur forme original. Je failli m ?évanouir quand elle les retira pour m'envoyer tondre la pelouse. Je passai le reste de la journée à nettoyer encore une fois le chalet. Pendant trois jours, la vie se répéta ; nettoyage le matin, cinquante coups de cravache avant le déjeuner, deux heures de jardinage et enfin re-nettoyage du chalet. Ce devait être le chalet le plus propre de la région sans parler de la vaisselle qui était faite trois fois sur la journée. De toute ma vie je n'avais jamais autant nettoyer de choses propres mais malheur à moi quand ma belle-soeur trouvait quelque chose à dire sur mon travail, je me retrouvais illico dans la grange, elle m'accrochait les pinces ou elle me fouettait à même le sol avec le martinet. Chaque jour j'étais exposée nue à l'entrée du chalet. Je devais me mettre à genoux, les poignets croisés dans le dos et ne plus bouger quoiqu'il arrive, le problème c'est que l'entrée donnait sur la seule route qui permettait d'accéder aux autres chalet des environs. Il n'y passait que trois au quatre voitures par jours mais, à chaque fois que je me suis retrouvée exposée, il en est passer deux. Je suis sure que le ou la conductrice à du me voir mais ils ne sont pas arrêter soit parce qu'ils me prenaient pour une statue soit parce qu'ils n'en croyaient pas leurs yeux.
    Il m'arrivait de me demander si elle n'avait pas ? oublier ? les anneaux car il n'en était plus question. Elle ne les avait pas oublier, elle avait simplement prit rendez-vous dans une boutique de piercing et de tatouage et attendait simplement que le jour et l'heure du rendez-vous arrive. C'est ainsi qu'un matin, après son petit déjeuner, elle m'a lancer une robe à mettre. Je croyais qu'elle allait me retirer le collier et la laisse mais elle me dit simplement de mettre la laisse sous la robe. J'avais l'air grotesque avec la laisse accrochée au collier de chien et qui entrait dans mon décolleté pour venir mourir juste entre mes cuisses. Comme la première fois c'est elle qui conduisit pour nous rendre en ville. Quand elle gara la voiture dans un grand parking sous-terrain près du centre ville, j'eus un moment de panique, elle n'allait quand même pas me faire traverser la ville comme ça ? Elle dut certainement avoir un moment de bonté à mon encontre car elle me retira le collier et la laisse avant de me faire sortir de la voiture. Même si ma tenue frisait l'indécence, je paressais ? normale ? pour la suivre. Jusqu'au moment où elle m'ouvrit la porte du salon de piercing, j'ignorais où on allait. Il ne me fallut qu'une seconde pour comprendre que cette fois, j'allais être transformée. Elle alla au comptoir et se présenta à un homme qui attendait assis sur un tabouret.

    - Je suis madame Lise V. j'ai rendez-vous pour des piercing.

    L'homme regarda sur son agenda et confirma le rendez-vous.

    - Je vous attendait lui dit-il en se levant. Veuillez me suivre.

    Il nous fit entrer dans une petite pièce avec, au centre une table en bois recouverte de cuir et munie d'étriers pour les jambes. A côté de la table il y avait une petite armoire à roulette avec toute une panoplie d'instruments et des produits anesthésiants et désinfectants. Il se tourna vers Lise.

    - C'est pour vous ?

    - Non, c'est pour elle lui répondit-elle en me désignant.

    - Arrêtez moi si je me trompe mais c'est pour les seins, les grandes lèvres de la chatte et le clitoris ?

    - Tout a fait ! J'aimerais que cela soi fait sans anesthésie si c'est possible.

    - C'est vous qui décidez.

    Il me regarda et se pencha sur la table. Il fit quelques petits réglages aux étriers.

    - Déshabillez-vous me dit-il.

    Je n'eus qu'une seconde d'hésitation et retirai prestement la robe et je me retrouvai nue devant l'homme qui me regarda longuement. J'étais couverte de balafres des punitions des derniers jours. L'homme hocha la tête.

    - Couches-toi sur la table, me dit-il en abandonnant le vouvoiement.

    Je me couchai sur la table en écartant les jambes pour les placer dans les étriers.

    - Mets les mains sous la table.

    Je m'exécutai et je compris ce qu'il allait faire en trouvant sous la table ce qui me paraissait être des bracelets. Il m'attache les poignets sous la table et vint s'installer à ma droite en tirant la petite table à roulette vers lui. Un long moment il joua avec mon mamelon droit, il le fit s'ériger, puis pris une sorte de pince qu'il plaça sur mon téton. Il serrait la pince d'une main et de l'autre attrapa un longue aiguille qui appliqua contre un petit trou dans les pênes de la pince. Je crus qu'il m'arrachait le téton quand l'aiguille transperça la chair tendre. J'eus beau m'attendre à la douleur, ce fut insupportable et je ne pus éviter de crier.

    - Aie ! Ouille ! Ca fait mal.

    - Arrête de te plaindre sans arrêt, me dit Lise qui me gifla. Je ne veux plus t'entendre.

    - Bien madame, mais ça fait mal.

    - Je m'en fout.

    L'homme nous regardait en souriant. Quand l'aiguille eut traverser le mamelon, il fit coulisser l'aiguille deux trois fois avant de remplacer l'aiguille par une petite tige en acier. Il fit la même chose à l'autre téton avant de se mettre entre mes jambes pour s'occuper de mes grandes lèvres. Paradoxalement, la douleur fut moins intenses que pour les seins. Je supportai les quatre perforation sans même gémir. Quand il s'attaqua au clitoris, je m'évanouis, la douleur était trop forte pour moi. Lise dut me gifler deux fois avant que je reprenne connaissance.

    - Tu es vraiment une petite nounouille. Une petite piqûre et tu tombe dans les pommes.

    - La douleur était trop forte madame, je n'ai pas su résister.

    L'homme me badigeonna les endroits percer avec un antiseptiques et vérifia les petite tiges provisoires qu'il avait placer sur mon corps.

    - Il faudra attendre une semaine pour avoir une cicatrisation complète. Je vais vous donner de quoi la soigner. Vous pourrez placer les anneaux dès que ce sera cicatrisé. Evitez de la fouetter sur les seins et la chatte pendant une semaine.

    Entendre l'homme parler de moi de cette façon me fit comprendre que j'étais vraiment devenue un objet. J'aurais dus être triste et honteuse mais j'en étais fière au contraire. L'homme me détacha et je pus me lever pour aller admirer son travail devant un grand miroir qui se trouvait près de la porte. J'eus un peu de difficulté pour marcher dans les premiers moments mais cela passa très vite. Lise me jeta la robe et je me rhabillai avant de la suivre dans la boutique. Elle paya l'homme de l'art et nous sortîmes. Me promener en rue, nue sous ma robe avec des piercing presque apparent, m'excita terriblement et je senti une humidité révélatrice s'écouler entre mes cuisses. A peine étions nous dans la voiture que Lise me remettait le collier et la laisse. Arriver au chalet, elle m'entraîna à la cave et me fouetta en évitant les seins et le ventre comme l'avait conseillé le perceur. Puis, la vie repris son cours normal pour moi. La seule variante était que Lise me soignait chaque matin avec les onguents qu'elle avait reçue. Au bout de la semaine elle me ramena en ville et cette fois nous allâmes dans une bijouterie où les anneaux furent mit en place et sceller avec une petite pince électrique qui souda les extrémités des anneaux. Pour les enlever il allait falloir les couper. En rentrant Lise m'accrocha des poids aux anneaux des seins et scella ma chatte avec deux petits cadenas dont elle avait seule la clé. La cicatrisation étant parfaite, elle recommença à me fouetter les seins et le ventre dès notre retour. Je faisais de grands progrès car j'étais capable de supporter cinquante coups de cravache sans m'écrouler. Le sexe refit son entrée dans ma vie le lendemain quand je lui apportai son petit déjeuner comme les autres jours. Après avoir poser le plateau sur le lit elle me demanda de lui présenter mes piercing. Je m'exécutai avec plaisir, cela du l'exciter car elle repoussa les couverture et écarta ses cuisses. Il fut inutile qu'elle parle et je compris ce qu'elle voulait avant même qu'elle me désigne sa chatte aussi lisse que la mienne. C'était la première fois que je voyais le corps de ma belle soeur et je la trouvai magnifique. Je me retrouvai à quatre patte sur le lit avec mon visage entre les cuisses de Lise. Très vite ma bouche et ma langue s'activèrent sur la chatte offerte. Etre nue avec mon collier et le laisse entre les jambes de ma maîtresse me procura presque un orgasme de plaisir. J'étais certaine qu'il m'aurait suffit de toucher ma chatte pour jouir. Je passai plus d'une heure à la caresser et à la faire jouir avant de reprendre mes activités normales de la journée. Pendant que je vaquais à mes occupations journalières je l'entendis téléphoner à quelques amis et amies qu'elle invita pour une soirée de présentation. Elle m'expliqua ce qu'elle attendait de moi à cette occasion.

    - J'ai quelques amis qui sont en vacances pas très loin d'ici et qui vont venir passer la soirée. J'espères que tu ne me feras pas honte et que tu te conduiras comme une petite chienne docile et obéissante.

    - Je vous le promet maîtresse.

    Elle me regarda un peu étonnée.

    - Comment m'as-tu appelée ?

    - Je vous appelée ? Maîtresse ? car c'est ce que vous êtes devenue pour moi.

    - Alors j'espères que tu ne l'oublieras pas ce soir. Car il y aura des gens que tu as connu dans ton autre vie. Notamment François et Francine, Claude et Valérie et d'autres que tu ne connais peut-être pas.

    - Je me souviens bien de François et de Claude, ils ont essayer de coucher avec moi assez souvent.

    - Ils auront leur désir satisfait dès ce soir. Et j'espères que tu leur donneras du plaisir.

    - Je ferai de mon mieux maîtresse pour les satisfaire, je vous le jure.

    - Arrête de jurer, tu es ma chose et tu te dois de me faire plaisir ainsi qu'a mes amis à qui je t'offrirai quand cela me chantera.

    - Bien maîtresse.

    - Tu resteras nue pour les recevoir, je veux qu'ils sachent ce que tu es dès qu'ils te verront. Maintenant va me préparer une tasse de café.

    Je quittai le salon où elle m'avait fait venir et allai à la cuisine lui préparer son breuvage. J'avais les jambes qui tremblaient en pensant à la soirée et surtout aux deux hommes qui allaient venir. Cela faisait maintenant plusieurs années que je les connaissais. Depuis le premier jour, ils avaient essayer de coucher avec moi et je les avais repousser assez sèchement et nul doute qu'ils allaient prendre leur revanche ce soir. Quant à leurs épouses, elle étaient assez imbues d'elles même et se croyaient irrésistibles. J'allais donc certainement passer une soirée assez chaude avec ces quatre personnes sans compter qu'il y en avait d'autres que je ne connaissais pas encore. A l'arrivée des invités de ma maîtresse j'étais nue sur le pas de la porte, à genoux, les bras croisés dans le dos, avec mon collier et une nouvelle laisse composée d'une chaîne de un mètre cinquante et terminée par deux mousquetons. Le premier mousqueton était accrocher à l'anneau du collier et l'autre à l'anneau de mon clitoris. Les premiers à se présenter furent Claude et Valérie. Ils se présentèrent devant moi en m'inspectèrent de la tête aux pieds.

    - Qui es-tu petite chienne ? me demanda Claude.

    J'avalai péniblement ma salive avant de lui répondre.

    - Je m'appelle Alice et je suis la chienne de maîtresse Lise et accessoirement sa belle-soeur.

    - Quoi ? s'écria Valérie. Tu es Alice la belle-soeur de Lise ?

    - Oui ! madame, maîtresse Lise à eut la bonté de faire de moi son esclave.

    - Putain, c'est pas croyable. Je sens qu'on va bien s'amuser ce soir ajouta Claude. Quand je penses chérie que cette femme à essayer de me draguer pendant au moins six mois avant que je puisse lui faire comprendre que je ne m'intéressais pas à elle.

    Au moment où ils allaient entré dans le chalet, deux autres invités se présentèrent, c'était François et Francine. Claude attendis qu'ils soient près de moi avant de me présenter.

    - Salut François ! Tu sais qui est cette petite chienne ?

    - Non !

    - Alice, la femme de Pierre, elle est devenue l'esclave de Lise.

    - Ca alors ! Je sens qu'on va prendre son pied depuis le temps que cette salope me fait courir après elle.

    Il se tourna vers Francine qui venait d'être mise au courant par Valérie. En passant près de moi, Francine se pencha et attrapa un des anneaux des seins et joua un petit moment avec. Puis elle entra en me regardant avec dédain. Les autres invités se présentèrent une demie heure plus tard, il s'agissait de notables de la ville que Lise avaient rencontrés quand elle était venue s'occuper de la location du chalet pour son frère. C'était deux hommes de cinquante ans qui avaient l'intention de prendre du bon temps et ils étaient heureux de voir ce qui leur étaient offert. Quand ils furent tous entrés, Lise vint me chercher et, en prenant la laisse en main elle me fit entrée dans la chalet où je fus mise à disposition des invités.

    - Mesdames, messieurs, je vous présente Alice ma chienne. Elle est là pour satisfaire tous vos caprices. J'ai mis certaines choses à votre disposition sur la table du fond. Alice n'a aucun droit, libre à vous de la faire souffrir comme vous l'entendez. Elle a le devoir de se soumettre sans discuter. Elle va assurer le service pendant le repas. Vous pouvez la caresser, la tourmenter autant qu'il vous plaira. Elle sera à votre entière disposition dès que le repas sera terminer.

    Heureusement qu'elle fit cette mise au point car il ne se passa pas une minute sans que j'aie des mains posées sur moi. Ma chatte et mes seins était la cible préférées des convives. Je dus prendre sur moi pour ne pas renverser en servant de peur d'être punie. La seule chose qui me dérangeait vraiment c'était le poids de la laisse sur mon clitoris, pour peu qu'une des personnes s'amuses à tirer sur la laisse et j'avais un mal de chien à continuer mon service convenablement. Souvent il m'arrivait de marcher en canard quand on m'avait triturer les cadenas qui me fermaient la chatte ou jouer avec le mousqueton accrocher au clitoris. Au dessert les hommes n'y tirent plus et demandèrent à Lise si je ne pouvais pas leur faire une petite gâterie avant le pousse café. Naturellement elle accepta et je me retrouvai sous la table à sucer les bites qui s'offraient bien dressées. Malgré le dégoût que j'ai toujours ressenti pour ce genre de caresse, je m'appliquai pour ne pas faire honte à ma maîtresse. Chacune leur tours, j'embouche les quatre tiges de chaire qui commencent à se trémousser de plus en plus à chaque fois que ma langue passe sur leur gland. Je m'évertues à faire languir les quatre hommes pour ne pas les faire jouir. J'entends les commentaires salaces des hommes, à chaque fois que je suce une des bites, je sens dans la voix de l'homme comme une petite hésitation.

    - C'est vraiment une bonne petite putain que tu as là Lise.

    - C'est une suceuse de première. Je ne sais pas comment tu l'as dressée à ça mais c'est extraordinaire.

    - Je ne savais pas que Alice pouvait être aussi salope. Bravo Lise d'en avoir fait une petite chienne lubrique.

    J'avoues que malgré ma situation, j'étais fière d'entendre de tels commentaires et encore plus d'entendre les félicitations qu'on adressait à ma maîtresse. Je m'appliquai encore plus à leur donner satisfaction. J'étais un peu triste de ne pas pouvoir aller lécher la chatte de Lise. Après le dessert on me fit sortir de dessous la table et je suivis tout le monde au salon. A partir du moment où j'avais servis un verre d'alcool à chacun la grande fiesta dont j'étais la principale attraction, commença. Le plaisir des autres se fit à mes dépends, je fus baisée, enculée, je suçai, léchai et hurlai surtout quand on m'emmena à la grange et que chacun voulu utiliser la cravache. Les hommes me jouir dans la chatte, dans la bouche, dans le cul, sur mes seins et sur ma figure. Le sommet fut atteint quand, après m'avoir fouetté dans la grange, je m'écroulai sur le sol rugueux et poussiéreux en essayant de reprendre mon souffle, les hommes se mirent à me pisser dessus bientôt suivi par les femmes. Seule Lise resta calme et comme hors du lieu. Ce fut la seule qui resta toute la soirée habillée correctement, elle se contenta de prendre des photos de ma déchéance. Ils étaient partit que je pleurais encore de la souffrance qu'ils m'avaient infligés, mes trous à bites me faisaient un mal de chien d'avoir été usés et abusés par les hommes mais aussi par les femme qui avaient remplacer leur absence de phallus par les godes que leur apporta Lise. J'étais restée plus de deux heures avec des pinces sur le bout des seins, quand on les retira se fut pour les remplacer par des poids assez lourds accrochés aux anneaux. C'est Valérie qui se montra la plus cruelle en s'amusant avec mes seins pendant que son mari m'enculait. Elle avait passer un petit doigt dans les anneaux et les tirait à la limite de la rupture. Elle riait de m'entendre hurler et la supplier d'arrêter. Ce fut les seuls moments où je suppliai, pour le reste je parvins à tout supporter sans crier, je poussais à peine quelques gémissements quand c'était trop douloureux. Je pleurai, plus de soulagement quand je les entendis faire leurs adieux à ma maîtresse en la remerciant pour la soirée extraordinaire qu'ils venaient de passer. Lise les accompagna sur le pas de la porte et vint me rejoindre dans la grange dès que la dernière voiture fut partie. En la voyant entrer, je fis un effort pour me redresser et je me mis à genoux en position d'attente avec les bras croisés dans le dos, droite comme un i et les yeux baissés. Elle resta un long moment à me regarder en silence. C'est moi qui la première pris la parole.

    - J'espères maîtresse que vous êtes contente de moi et que je ne vous ais pas fait honte.

    Elle continua à me regarder sans rien dire. Je commençais à me dire qu'elle n'était pas contente de moi et cela me rendait triste.

    - Si vous n'êtes pas contente de moi punissez moi comme je le mérite.

    Je me relevai pour rendre sous la corde et je m'apprêtais à m'y attacher comme je le pouvais quand elle vint à moi et me prit dans ses bras.

    - Je ne suis pas contente de toi, bien loin de là.

    Je sentis de grosses larmes couler le long de mes joues.

    - Je suis extrêmement fière de toi. Tu as remplis ton rôle au delà de ce que j'attendais de toi. Tu as gagner le droit d'être à nouveau ma belle soeur pendant deux jours. Tu pourras t'habiller comme tu en as envie et nous allons faire ce que tu veux pendant deux jours entiers. Prends ton temps pour te remettre, va prendre une douche et habilles toi. Moi je vais aller remettre un peu d'ordre dans le bordel que nous ont laisser nos invités.

    - Attendez moi, je vais vous donnez un coups de main.

    - Pas question, occupes toi de ta petite personne et va te coucher dans ta chambre dans ton lit. Je te verrai demain matin.

    Epuisée, je fis ce qu'elle m'ordonnait. Cela me fit un drôle d'effet de me coucher avec une robe de nuit et sous une couette. Un moment j'avais penser aller la rejoindre pour l ?aider mais j'étais tellement courbaturée et épuisée que je préférai suivre son conseil et allai me coucher en profitant de l'occasion qui m'était donnée de dormir à nouveau habillée et dans un lit avec une couverture. Près de trois semaine nue sur une paillasse dans une cave humide, cela laisse des traces psychologiques.
    Quelle ne fut pas ma surprise de voir Lise m'apporter mon petit déjeuner au lit le lendemain matin.

    - J'espères ma chérie que ce que je t'ai préparer te conviendra.

    - Bonjour maîtresse, il ne fallait pas, je vais me lever.

    - Non ! Pour deux jours il n'y plus de maîtresse ni d'ordre. Tu peux me tutoyer et m'appeler par mon prénom. Nous allons passer deux jours à glander et à faire les folles toutes les deux.

    - Je suis d'accord d'aller faire la folle avec vous mes ne me demandez pas de vous tutoyer, c'est impossible pour moi.

    - Tu m'en veux tant que ça ?

    - Vous n'y êtes pas du tout, je ne vous en veux pas au contraire je vous aimes comme je n'ai jamais aimer quelqu'un. Je suis votre esclave et je le resterais le reste de mes jours.

    - Tu m'aimes ? Après ce que je t'ai fait subir ?

    - Vous savez depuis quand je me suis rendue compte que je vous aimais et que vous étiez quoiqu'il arrive ma maîtresse ?

    - Non !

    - Quand vous m'avez offerte au vendeur du sex-shop.

    - Là j'ai besoin d'explications.

    - Il faut que je commence par le début. Vous savez quand mon mari vous a demandez de nous accompagner pour les vacances. Je dois dire que je n'ai toujours pas compris pourquoi mais bon, vous avez accepter et je vous en ai voulu parce que vous n'aviez rien à faire au milieu d'un couple dans un chalet qui plus est. Puis, nous avons commencer ce petit jeu stupide et ridicule pour savoir qui allait faire le travail. La première fois que j'ai perdu, je me suis résigner et j'ai mis beaucoup de mauvaise volonté à effectuer les divers tâches ménagères qui m'incombait. Les chose ont commencer à changer après la troisième fois, je me suis rendue compte que, tout compte fait, cela me plaisait d'être la bonniche de service. je ne l'aurais avouer pour rien au monde même sous la torture mais je jouais en espérant perdre pour continuer. Mes sentiments à votre encontre ont commencés à changer en vous voyant prendre les choses avec simplicité. Pour vous c'était normale que vous gagniez. Quand Pierre m'a annoncer qu'il devait rentrer, il ne m'est même pas venu à l'esprit de rentrer avec lui. La première chose qui me soit venue à l'esprit c'est de savoir si vous alliez rester ou rentrer avec votre frère. Je me suis surprise à espérer que vous restiez pour que nous puissions enfin passer aux choses sérieuses dans notre petit jeu. Quand vous m'avez proposer de continuer, mon coeur a rater un battement ; enfin cela allait changer. Je dois avouer que vous avez fait fort pour commencer, je ne m'attendais pas à ce que vous alliez aussi vite en besogne. Je croyais que nous allions prendre notre temps et que les choses évolueraient calmement mais sûrement. Je savais que j'allais me retrouver à un moment à vous servir nue mais je ne m'attendais vraiment pas à me retrouver à poil dès le début. Pourtant il ne m'est même pas venu à l'esprit de faire marche arrière. Vos gifles ont eus un effets extraordinaire sur ma volonté. Avant je n'étais pas sure de ce que je voulais, après j'ai su que j'irais au bout de l'aventure. Tout ce que vous m'avez fait subir me faisait complètement flipper. La bourgeoise BCBG se transformait en chienne et prenait plaisir à se faire dresser. Quand nous sommes entrées dans le sex-shop, je ne savais pas encore si je vous aimais. Au moment où vous avez exiger que je m'ouvre à la bite du vendeur, je me suis dit qu'il fallait être fou d'une personne pour accepter ce genre de traitement et j'ai compris que j'étais amoureuse de vous et que c'était irréversible.

    - Ce qu'on peut être bête parfois.

    - Pourquoi dites vous ça ?

    - Parce qu'il faut que je t'avoues quelque chose moi aussi. Je suis tombée amoureuse de toi dès le premier jour où je t'ai vue. Tu sais le jour où mon frère est venu à la maison pour te présenter à la famille. Je ne savais pas ce qui m'arrivait, je tremblais comme une feuille chaque fois que tu t'approchais de moi et mon coeur s'arrêtait de battre quand je levais les yeux sur toi. C'est pour cette raison que j'ai accepter de vous accompagner pour les vacances, pour être près de toi. Le problème c'est que tu te montrais arrogante et hautaine avec moi et j'ai profiter de la situation pour te remettre à ta place. Mais, les choses se sont accélérées et j'ai perdu le contrôle quand Pierre à du rentrer. Je ne savais plus ce que je faisais. Quand je t'ai dit de te foutre à poil j'avais envie de te prendre dans mes bras et de t'embrasser comme ceci.

    Lise s'est penchée sur moi et à poser ses lèvres sur les miennes, sa langue s'est infiltrée dans ma bouche et j'ai répondu à son baiser. Moins d'une minute plus tard elle était couchée à mes côtés et nous avons fait l'amour comme si nous venions juste de nous rencontrer. Pendant deux jours nous n'avons pratiquement pas quitter le lit. Je suis restée son esclave même si elle ne me fait plus dormir dans la cave. Il lui arrive encore de me fouetter mais c'est plus pour mon plaisir que pour réellement me punir. Naturellement elle ne m'a plus jamais offerte à aucun homme et je ne m'en plain pas le moins du monde car elle suffit largement à mon bonheur. Elle voulait que j'enlèves les piercing mais j'ai refuser car pour moi ces anneaux ont valeur d'alliance, c'est pourquoi elle s'est, elle aussi fait percer le bout des seins et le clitoris. J'ai fini par accepter de faire enlever ceux qui ornaient mes grandes lèvres p






    Alice était ma petite amie, elle s’était installée chez moi depuis un peu plus de 6 mois, et j’avais trouvé la perle rare. Si du point de vue physique, je n’avais pas trop à me plaindre, du côté câlins c’était le top. Lorsque je l’avais connue, elle n’avait eu que quelques flirts sans importance, et elle était encore vierge. A force de patience et de persévérance, elle était devenue folle amoureuse de moi. Je lui avais tout appris, et il faut dire qu’elle était bonne étudiante. Je pouvais lui demander ce que je voulais, elle était toujours prête à découvrir de nouveaux plaisirs dans mes bras. Le seul truc qu’elle avait refusé catégoriquement, c’était de partager notre lit avec une autre fille, et de découvrir le plaisir entre filles.
    Mais comme j’étais têtu et obstiné, je lui avais posé un ultimatum : Elle avait un mois pour changer d’avis, et me présenter une de ses amies pour un câlin à trois, sinon je la renvoyais chez ses parents. Mais comme je tenais tout de même à elle, je lui avais laissé une porte de sortie : si elle était d’accord à trois, mais qu’elle n’ait pas trouvé de fille, c’est moi qui lui en proposerais une, mais elle ne pourrait pas refuser.
    La date fatidique arrivant, je lui avais demandé :
    - Est-ce que tu as changé d’avis ? Et, est-ce que tu vas me présenter une de tes amies ?
    - Je veux bien essayer, mais je ne connais personne. Me répondit-elle.
    - Tu connais la sanction : je te présente quelqu'un ou je te largue.
    Devant son air contrit, et la voyant avec les yeux au bord des larmes, je lui annonçai alors.
    - J’ai une petite idée pour la fille. Mais, est-ce que tu es d’accord, sans savoir qui c’est ? Une fois que je t’aurai dit son prénom, tu ne pourras pas refuser.
    - D’accord. Me dit-elle, sachant qu'elle n’aurait guère le choix. Je ne veux pas que tu me quittes.
    Je la pris alors dans mes bras en lui disant :
    - J’ai pensé à Jenna.
    Jenna était sa petite sœur âgée d’un peu plus de 16 ans. A chaque fois que je la rencontrais, elle était aux petits soins pour moi. Dans ma tête, j’étais sûr qu’elle était secrètement amoureuse de moi. De plus Jenna était en admiration pour Alice, et elle semblait la craindre, ou tout du moins, admettre les choix ou les décisions qu’Alice prenait pour elle. Pour ne rien gâcher, je trouvais que Jenna était un peu plus attirante qu’Alice.
    En entendant ce prénom, Alice sembla revivre. Elle n’aurait pas à me partager avec une étrangère, et elle savait qu’elle aurait l’ascendant sur sa sœur.
    - Oh oui. M’annonça-t-elle en me sautant au cou.
    - Mais je te préviens, tu as intérêt à y mettre du tien.
    - Je te le promets, tu seras fière de moi.
    J’avais l’impression de rêver, je lui annonçais que je voulais coucher avec sa sœur, et qu’elle devrait faire l’amour avec elle. Et Alice sautait de joie. Je ne comprendrai vraiment jamais les filles.
    Dès le lendemain, Jenna devait venir passer huit jours de ses vacances scolaires avec nous. J’ai expliqué à Alice comment je voyais les choses, puis nous nous sommes couché, et avons fait l’amour comme jamais.
    Sa sœur à peine arrivée, et installée dans la chambre d’amis, Alice lui proposa :
    - Viens, on va déjà faire un peu de bronzette.
    - Je n’ai pas prévu de maillot. Annonça Jenna.
    - Ce n’est pas grave, tu feras comme moi, de l’intégral. Joshua n’aime pas voir des traces de maillot. Allez suis-moi à la salle de bain, on va se déshabiller.
    Jenna suivit sa sœur, malgré qu’elle soit assez pudique, et qu’elle n’ait guère envie de se mettre intégralement nue.
    J’avais imposé cette décision à Alice, pour que sa sœur n’ait pas accès à ses vêtements, une fois allongée sur la pelouse.
    J’avais guetté les deux sœurs depuis une pièce à l’étage, et à peine les filles installées sur l’herbe, j’allai les rejoindre. Naturellement, en me voyant arrivé, Jenna cacha sa féminité avec ses bras.
    - Qu’est-ce que tu fais ? La sermonna Alice. Tu ne vas pas te cacher ainsi toute la semaine, chaque fois que tu verras Joshua.
    Et derechef, elle lui retira les bras, me dévoilant sa sœur dans sa troublante féminité.
    Alice mit ensuite ses mains entre les cuisses de Jenna, pour l’empêcher de les croiser, et les pour lui faire écarter.
    - Comme cela, il te verra mieux. Précisa-t-elle.
    Lorsque je me fus bien régalé du spectacle, Alice continua.
    - Bien, à présent, mets-toi sur le ventre, qu’il voie le reste de ton corps.
    Une nouvelle fois Jenna obéit à sa grande sœur, et pris la pose demandée.
    Cette fois aussi, Alice fit écarter les genoux à sa petite sœur. Mais cette pose ne lui suffisait pas.
    - Attend ! Tu vas te mettre à genoux, mais garder le haut de ton corps contre le sol.
    Alice savait que j’adorais la voir dans cette position de soumission, les fesses en exposition, et bien relevées. Jenna ne manifestait toujours pas la moindre envie de rébellion, et se soumettait à toutes les fantaisies de sa sœur. Lorsque qu’elle fut bien positionnée, Alice plaça ses mains sur le postérieur de Jenna, et lui écarta franchement les fesses, afin de bien exposer le petit trou de sa sœur à ma vue.
    Je suppose que Jenna devait être rouge de confusion, mais elle ne disait rien.
    Après quelques minutes de cette magnifique vision, Alice annonça alors à mon intention:
    - Alors, comment trouves-tu ma petite sœur ?
    - Pas mal. Répondis-je. Mais il y a quelque chose qui ne me plait pas. Et puis, il faudra voir si elle est aussi « gourmande » que toi.
    Voyant de quoi je parlais, elle me répliqua :
    - Je m’en occuperai tout à l’heure. Pour le reste, tu le sauras vite. Remarque, qu’elle t’a déjà donné un petit aperçu de sa «gourmandise. »
    Puis à l’intention de sa sœur :
    - Maintenant que Joshua t’a bien admiré sous toutes les coutures, tu n’auras plus besoin de te cacher en sa présence. On va pouvoir commencer la bronzette, mais avant, je vais te mettre de la crème solaire. Remets-toi sur le dos.
    Pendant que Jenna se retournait, Alice alla à la maison chercher la crème. J’en profitai pour dire à Jenna, combien elle était désirable, et combien elle me plaisait. Jenna rougit un peu plus, et mais en profita tout de même pour bomber la poitrine, afin de me faire mieux apprécier celle-ci.
    Jenna commença à mettre un peu de crème, mais uniquement sur les seins de sa sœur, en me disant :
    - Tu vas t’occuper du haut, et moi du bas. Tu verras comme elle a la peau douce.
    Je commençai donc à étaler la crème sur les seins exposés. De l’extrémité des doigts, j’étalai la crème en faisant des petits cercles tout autour des pointes, sans les toucher. Quand ces dernières commencèrent à gonfler sous mes caresses, je ne m’occupai plus que d’elles, en passant lentement mes mains, doigt par doigt et très lentement, sur ces extrémités très dures à présent.
    Alice avait fini de s’occuper des cuisses de sa sœur depuis un bon moment, et me regardait faire avec un petit sourire.
    - Il y a encore le reste à finir. Me dit-elle, en faisant couler le liquide sur le Mont de Vénus de Jenna.
    J’aurais pu le faire, mais je voulais qu’Alice commence son éducation sexuelle entre filles.
    - C’est toi qui va le faire, et je veux que tu sois très, très douce.
    Elle savait ce que je voulais, et fit du mieux possible pour ne pas me décevoir. Ses mains allaient et venaient tout autour de l’intimité de sa sœur, sans vouloir y pénétrer. Enfin, elle se décida à y mettre un doigt, le faisant monter et descendre le long de la fente intime de Jenna. Lorsqu’il eut l’air de trouver ce qu’il cherchait, le doigt inquisiteur caressa plus intensément l’objet du délit. Pendant ce temps, Jenna avait fermé les yeux, et semblait profiter du moment présent. Je dus arrêter Alice avant qu’elle ne donne trop de plaisir à sa sœur.
    - On dirait que tu es douée pour les massages. Lui dis-je alors. Il me semble que ta sœur à l’air bien excitée par tes caresses.
    Alice n’osait pas me répondre, inquiète à ce que je pourrais lui demander pour la suite. Elle eut raison, car je la poussai encore à davantage.
    - Vérifie si tu lui fais du bien, et tu goûteras son plaisir.
    Au début avec Alice, je la caressais, puis je lui faisais sucer mes doigts juste après. Au départ, j’ai eu beaucoup de mal à obtenir ce que je voulais, mais à présent, il suffisait que je le lui demande, pour qu’elle se caresse elle-même, et suce ses doigts avec application.
    Alice glissa donc son majeur entre les cuisses de sa sœur, puis le porta à sa bouche. Je lui demandai alors de faire la même chose pour sa sœur. Elle recommença son geste en glissant son doigt entre les lèvres intimes de sa sœur, puis le fit coulisser entre les lèvres du visage de Jenna. A ma grande surprise, cette dernière l’absorba sans broncher, en me toisant fièrement du regard, avec l’air de me dire « tu vois, je suis aussi douée que ma sœur. Tout ce qu’elle fait, je le ferai aussi. » J’étais aux anges.
    J’en avais profité pour caresser Alice, et j’avais pu constater qu’elle aussi était très excitée. Je lui demandai alors de refaire la même chose avec son plaisir. Comme l’instant d’avant, elle se délecta de son bonheur, puis le fit déguster à sa sœur. Là non plus, Jenna ne refusa pas l’offrande de sa sœur.
    J’étais excité au possible, mais ne voulais pas encore en profiter. Je proposai alors aux deux sœurs de bien profiter de leur bronzette. Je partis ensuite pour les observer discrètement. Je pensais qu’Alice allait continuer sur sa lancée, mais elle n’en fit rien. Les deux filles bavardèrent un moment, malheureusement sans que je puisse entendre ce qu’elles se disent, puis se laissèrent uniquement caresser par les rayons du soleil.
    En fin d’après-midi, lorsque je les entendis dans la salle de bain, je me précipitai alors pour les voir. Je voulais les voir prendre la douche ensemble, malheureusement j’arrivai trop tard. Alice finissait de se sécher les cheveux, et Jenna s’essuyait. Ce que je voulais serait pour plus tard. Mais j’étais agréablement surpris de voir que Jenna était aussi lisse qu’Alice. Cette dernière avait rasé le « ticket de métro » de sa sœur qui me déplaisait tant.
    Dès le début de notre rencontre, j’avais dit à Alice que je la voulais toujours intégralement épilée. Elle n’avait pas fait d’histoire, et depuis, elle était toujours aussi douce qu’à sa naissance.
    Comme elles cherchaient leurs habits, je les arrêtai immédiatement en leur disant :
    - Vous êtes trop belles toutes les deux, pour vous cacher dans vos habits. A présent, à la maison, vous resterez toujours comme vous êtes en ce moment, c'est-à-dire entièrement nues.
    Les deux opinèrent simultanément du chef. Une nouvelle victoire pour moi.
    Voyant qu’elles répondaient bien à mes sollicitations, j’en profitai pour leur imposer une nouvelle règle:
    - Je ne veux plus vous voir les jambes croisées, ou les cuisses serrées. Vous êtes vraiment trop excitantes pour que je ne profite pas de la vue de vos corps splendides. Chaque fois que vous serez assises, debout ou même couchées, je devrai toujours pouvoir voir ou caresser votre intimité.
    Quelques flagorneries ne pouvaient pas faire de mal. Nouvel accord silencieux de mes deux amoureuses. J’avais l’esprit de plus en plus serein pour la suite des événements, et j’allai leur faire passer un petit cap supplémentaire.
    - Venez vers moi que je vous embrasse, je suis très fier de vous deux, pour la petite séance d’avant votre bronzette.
    Je pris l’une et l’autre dans chacun de mes bras, et commençai par embrasser très tendrement mon officielle. J’offris le même cadeau à Jenna, qui se fit tout aussi câline qu’Alice.
    - Vous aussi, vous pouvez être fière l’une de l’autre, et vous embrasser aussi comme je viens de le faire.
    Elles s’approchèrent l’une de l’autre mais semblaient encore hésiter à franchir ce nouveau cap. Comme leurs lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètres, je les poussai discrètement dans les bras l’une de l’autre. Les deux filles firent comme lorsqu’elles se disaient bonjour, et se prirent mutuellement dans leurs bras tendrement. La différence était qu’elles étaient entièrement nues, et qu’elles s’embrassèrent avec beaucoup de passion.
    C’est vrai que j’avais de bonnes raisons d’être fier d’elles. De Jenna, car elle avait très bien réagi à mes sollicitations, et surtout à celles de sa sœur. Mais particulièrement d’Alice, qui n’avait jamais montré le moindre soupçon de jalousie, mais surtout qui avait abondé à chaque fois dans le sens de mes envies. Je ne m’étais pas trompé non plus sur Jenna, seule une fille amoureuse aurait accepté tout ce qu’il lui avait été demandé auparavant.
    De nouveau émoustillé au plus haut point, je n’allais pas rester dans cet état éternellement. Je pris alors Alice à partie :
    - Regarde dans quel état vous m’avez mis. Si tu montrais à Jenna ce qui me fait particulièrement plaisir, quand je suis comme ça.
    Alice compris immédiatement le message, se mit à genoux, et invita sa sœur à faire de même. Elle prit ensuite une main de sa sœur, qu’elle plaça sur un côté de mon boxer, tandis qu’elle plaçait une des siennes de l’autre côté. Côte à côte, et dans un même ensemble, les deux sœurs firent coulisser mon vêtement vers le bas, libérant ainsi ma virilité, qui ne demandait qu’à voir le grand jour.
    Jenna ne semblait jamais avoir vu de sexe de garçon, car elle resta de nombreuses secondes les yeux fixés sur le mien. Alice s’approcha et fit un tendre bisou à mon extrémité, puis elle approcha le visage de sa sœur en lui disant :
    - Fais comme moi, commence par l’embrasser tendrement.
    Jenna n’hésita qu’une fraction de seconde, puis posa ses lèvres à l’extrémité du membre offert. Je ne pense pas qu’elle eut déjà pratiqué, mais elle devait avoir une petite notion de ce qu’il fallait faire, car je sentis immédiatement la pointe de sa langue entrer en action.
    Alice lui imprégna ensuite le mouvement et la cadence à adopter. Jenna n’eut pas le loisir de s’escrimer trop longtemps, car je ne pus contenir l’ardeur que je réfrénais depuis le début d’après-midi. Aussi, c’est sans aucune hésitation que je me libérai dans ce fourreau si savoureux.
    - N’en perds pas une goutte. Conseilla Alice. Joshua n’aime pas cela.
    Jenna avala donc tout mon plaisir, sans la moindre esquisse de refus. Bien au contraire elle me garda en bouche jusqu’à être sûre de ne rien gaspiller. Si Alice avait été bonne étudiante lors mes leçons, sa sœur l’était tout autant.
    Pour féliciter sa sœur, Alice l’embrassa de nouveau à pleine bouche. Loin de se refuser, Jenna lui offrit ses lèvres. Elle me surprit même d’avantage dans son attitude, car je vis une de ses mains remonter et caresser les seins de sa sœur. Alice eut l’air un peu surprise, mais pour ne pas être en reste, elle fit de même. Je les laissai faire, et appréciai le si doux spectacle que les deux sœurs m’octroyaient. Après un petit moment, et voyant qu’elles ne semblaient pas vouloir en rester là, je leur proposai :
    - Vous seriez mieux dans la chambre pour continuer.
    De concert elles se levèrent, et main dans la main, allèrent directement s’étendre sur le lit.
    Je demandai alors :
    - Alice, si tu continuais le petit massage que tu avais commencé cet après-midi.
    Elle embrassa sa sœur très tendrement tout en lui flattant les seins. Jenna était étendue, les cuisses bien écartées, jouissant doucement des caresses de sa sœur. J’exigeai ensuite qu’Alice se serve aussi de sa bouche.
    Elle débuta par inonder de bisous un sein après l’autre. Puis ce fut sa langue qui prit le relais, en s’attardant particulièrement sur les pointes tendues. Si je ne la connaissais pas si bien, j’aurais pu croire qu’elle avait déjà pratiqué avec une autre fille. Mais je pense qu’elle m’avait bien observé, et reproduisait ce qui lui faisait le plus plaisir.
    Une nouvelle fois Jenna me saisit par sa réaction, elle posa ses mains sur les épaules de sa sœur, et l’incita à descendre plus bas. Alice reçut le message 5 sur 5, et commença une longue reptation, sans avoir l’air choquée. Je pensais que ce serait plus difficile que cela, pour l’amener à faire une telle chose.
    Les baisers se succédaient aux petits coups de langue, Jenna commençait à se trémousser sur le lit.
    Vint le moment où la langue d’Alice approchait sérieusement du Mont de Vénus de sa sœur, comment Alice allait-elle réagir ? Je n’eus guère longtemps à attendre, car elle plongea directement dans l’antre bouillante, à la recherche du centre névralgique. Lorsqu’il l’eut trouvé, l’assaillant ne lui laissa guère de répit, l’attaquant de tous côtés, avec douceur ou avec fermeté. L’occupant finit alors par avoir raison de la résistance en place. Jenna après s’être tortillée dans tous les sens, délaissa les seins de sa sœur, pour bloquer sa tête dans la fourche de ses cuisses, et se laissa aller à un premier orgasme.
    Lorsqu’elle eut un peu repris ses esprits, elle remercia sa sœur.
    - Merci Alice, c’est la première fois que j’ai du plaisir, et c’est grâce à toi. J’espère qu’il y aura encore de nombreuses occasions comme celles-ci.
    Alice accepta silencieusement le compliment, et remonta pour offrir un long baiser à sa sœur.
    Il n’y avait que quelques heures que Jenna était là, et j’avais déjà obtenu presque tout ce que je souhaitais des deux filles.
    Décidément Jenna était bien surprenante, elle m’annonça alors :
    - Si tu me laisses quelques minutes de répit Joshua, j’aimerais que ce soit toi qui fasses de moi une vraie femme.
    Dans mes plans, je n’avais pas prévu de prendre la virginité de Jenna. J’avais trop de respect pour ce cadeau intime, et je voulais qu’elle reste vierge pour l’homme de sa vie, comme sa sœur l’avait fait avec moi. Alice détendit alors l’atmosphère :
    - Si elle en a envie, il n’y a pas de raison pour lui refuser, surtout après ce qu’elle vient de faire pour te faire plaisir.
    Si Alice soutenait sa sœur, et que c’était le désir le plus cher de Jenna, je n’avais plus qu’à obtempérer. Il y avait des demandes bien plus difficiles à réaliser. Je proposai alors d’aller se restaurer pour que tout le monde reprenne des forces, d’autant qu’il était déjà passé 20 heures, cet après-midi était passé à une vitesse folle. De plus, excité comme je l’étais, je n’aurais pas pu me retenir longtemps, et Jenna aurait certainement été déçue par ce « baptême du feu ».
    Après un repas assez simple mais régénérateur, nous avons décidé de prendre une douche les trois ensemble. Comme j’avais été le seul à me rhabiller, juste mon short, ma mise à nu a été assez rapide, mais l’objet d’un petit jeu entre les filles. Elles ont décidé chacune à leur tour, de faire descendre un peu mon vêtement avec leurs dents. Et pour me mettre en forme, bien je n’en n’ai guère besoin, pendant qu’une œuvrait à mon strip-tease, l’autre me faisait des petits bisous partout.
    Arrivé dans la douche, les sœurs ont trouvé un nouveau jeu à mon égard : la douche froide. Pour calmer mon ardeur, et afin de ne pas décevoir Jenna lors de notre rapport, elles m’ont arrosé à l’eau froide jusqu’à ce que mon érection soit éteinte. Ceci fait, la douche pouvait débuter. Les deux sœurs prirent chacune un gant, et entamèrent mon lavage. Pendant que l’une s’occupait de mon côté pile, l’autre s’attaqua à mon côté face, puis elles inversèrent leurs rôles. Aucune partie de mon anatomie ne fut oublié, si bien que je me retrouvai rapidement en pleine forme. De nouveau, j’eus droit à une petite séance de douche froide.








    Les deux sœurs entreprirent alors de se laver mutuellement. C’est Jenna qui commença par savonner sa grande sœur, mais plutôt que de prendre un gant, elle fit couler le gel douche sur sa poitrine, et se colla à Alice. De ses seins, Jenna frotta, ou plutôt caressa habilement, tout le corps de sa sœur, s’appliquant particulièrement lorsqu’ils atteignirent l’intimité d’Alice. Cette dernière ne resta pas insensible à ce doux manège, et en profita pour se caresser les siens. Jenna remplaça rapidement sa poitrine par sa bouche, et continua le travail commencé sur le petit bourgeon déjà fort sollicité. Alice ne tarda pas à atteindre l’extase, et le fit savoir par un râle éclatant. Ne voulant pas bénéficier d’un troisième jet d’eau fraîche, je proposai alors à mes compagnes de finir sur le lit.
    Jenna se sachant au centre de l’épisode qui allait venir, demanda à sa sœur de lui refaire les mêmes cajoleries qu’avant le repas. Elle n’attendit même pas sa réponse, et ouvrit largement les cuisses dans une invite muette. Alice ne se fit pas prier, et plongea directement la tête en avant, pour satisfaire la demande de sa sœur.
    Si Jenna au début semblait accepter tout de sa sœur, les rôles avaient tendances à présent à s’inverser : Alice acceptait peu à peu toutes les sollicitations de Jenna, qui prenait tout doucement de l’ascendant sur son aînée.
    Une fois de plus Alice excita au plus haut point Jenna, mais cette fois c’est moi qui allais lui donner du plaisir. Comme j’étais déjà droit comme un i, je m’allongeai sur le dos et invitai Jenna à s’allonger sur moi. Ce qu’elle fit sans tarder. Une fois en position je l’invitai à se frotter sur ma protubérance, et à me chevaucher lorsqu’elle se sentirait prête. Heureusement que son petit manège ne dura pas très longtemps, je n’aurais pas pu me retenir. Pendant tout ce temps, Alice s’était occupée à caresser le dos et les fesses de sa sœur.
    Jenna se releva ensuite et se mit à genoux, son intimité juste au-dessus de la mienne. Elle remua et tâtonna à la recherche de la bonne position, une fois qu’elle pensa être bien positionnée, elle descendit tout doucement sur ma virilité. Je la vis se mordre doucement les lèvres lorsque nos deux bassins se rejoignirent. Quelques secondes de répit, puis elle commença ses ondulations de bas en haut. Mes mains s’accrochèrent directement à ses seins qui pointaient fièrement, et Alice glissa un doigt dans la fente de sa sœur, en suivant ses mouvements. Jenna s’agita ainsi sous nos caresses pendant quelques minutes, tout en secouant la tête dans tous les sens, et en poussant de petits cris, qui ressemblaient à des miaulements.
    Un nouvel orgasme, peut-être plus puissant que le premier, la laissa affalée sur moi un long moment, avant qu’elle ne reprenne ses esprits.
    - Si j’avais su que c’était cela, il y a longtemps que je ne serais plus vierge. Finit-elle par déclamer. J’en veux tous les jours maintenant, et même plusieurs fois.
    Mais moi j’étais resté sur ma faim, j’attirai alors la bouche d’Alice pour qu’elle finisse l’ouvrage débuté par sa sœur. Je repris enfin mon état normal alors qu’Alice eut fini de déguster mon plaisir.
    C’est ainsi que cette première journée se termina. Naturellement Jenna n’alla pas dormir dans la chambre d’ami, et c’est entre ces deux adorables créatures prêtes à tout pour mon plaisir que je m’endormis.
    Le lendemain matin, c’est par les gloussements et les gesticulations des deux filles que je fus réveillé. Le temps que je sois complètement conscient, elles étaient en train de se faire un magnifique 69. Jenna était sous Alice, et un de ses doigts s’agitait frénétiquement dans le petit trou fessier de sa sœur. Lorsqu’elles eurent trouvé le bonheur, Alice après sa sœur, elles se cachèrent sous les draps. Je sentis alors leurs deux langues titiller toutes les parties de mon corps. L’une s’était attaquée à mon cou et faisait darder la pointe de mes seins à présent, tandis que l’autre venait de délaisser mes orteils, et remontait doucement. Leur point de jonction se fit bien naturellement sur mon service trois pièces. Je ne saurais dire laquelle s’occupait de quoi, car elles étaient aussi douces l’une que l’autre. Mes petites boules étaient choyées et câlinées, tandis que mon extrémité était aspirée goulûment. Puis je sentis un changement de position, l’une prenant la place de l’autre. Pendant ce temps, mes mains caressaient un sein, une fesse, ou un minou en fonction de ce qui se trouvait à leurs portées. Puis les deux langues se retrouvèrent au même endroit, se délectant d’abord l’une de l’autre, puis de moi. Lorsque je me libérai, je constatai qu’une seule m’avait aspiré, mais ne pus deviner laquelle. Ce n’est que lorsqu’elles refirent surface, que je pus voir que c’était Alice. Décidément Jenna prenait de plus en plus le pas sur sa sœur.
    Ce n’est que l’après-midi, au cours de la séance de bronzette, que nos ébats reprirent. Alice proposa que Jenna fasse connaissance avec un nouveau plaisir : celui de la sodomie.
    Couchée sur le ventre, les jambes écartées, ses fesses au centre des préoccupations de sa sœur, Jenna se laissait aller à une douce torpeur. Alice s’activait quant à elle, à préparer sa sœur pour la nouvelle pénétration qu’elle allait subir.
    - Jenna, mets-toi donc à quatre pattes comme hier, en gardant le bas de ton corps près du sol. Dis-je.
    Cette dernière pris facilement la pose, les fesses, et en particulier son petit trou, bien en vue. Alice repris aussitôt ses caresses. La vue des deux sœurs ainsi à ma disposition, me mit dans un état incroyable, mais j’en exigeai d’avantage à Alice.
    - Sert toi de ta langue. Annonçai-je alors sur un ton assez ferme. Tu commenceras par son minou, puis tu remonteras tout doucement.
    Alice n’avait jamais fait cela, et semblait en éprouver une certaine réticence. Après quelques secondes de réflexion, elle lança timidement sa langue entre les cuisses de sa sœur. Elle ne semblait pas vouloir quitter la fente intime, mais se décida tout de même à relever sa tête. Elle fit ensuite remonter sa langue entre les 2 monticules, puis s’arrêta là où je le désirais. Ayant vaincu sa première appréhension, elle tournoya doucement autour du petit trou, en rentrant sa langue, ou en redescendant vers le minou, afin de bien l’humidifier. Elle repartait ensuite à l’assaut, en la faisant pénétrer à chaque fois un peu plus en profondeur. Jenna ne semblait pas goûter spécialement à ce traitement, mais se laissait faire patiemment. A un moment donné, les deux sœurs semblaient collées l’une à l’autre par un lien invisible, mais je voyais au visage d’Alice, qu’elle s’activait du mieux possible pour donner du plaisir à sa sœur.
    - Tu peux la préparer avec tes doigts à présent. Dis-je à Alice qui parut soulagée.
    Elle ne se le fit pas dire deux fois, et dans la seconde suivante, un index d’Alice pénétra dans la cavité sombre. Après plusieurs aller et retour, un deuxième doigt vint à la rescousse du premier. Jenna se balançait doucement au rythme de la main de sa sœur, je pensai qu’elle était prête à me recevoir. Je m’approchai du visage d’Alice, qui me prit immédiatement en bouche pour bien me lubrifier. Mon entrée se fit sans aucun problème, Alice avait bien préparé le terrain. Je m’accrochai alors au hanches de Jenna, et commençai alors à de doux mouvements de va et vient. En même temps, j’invitai Alice à caresser le clitoris de sa sœur. Malgré mes efforts, assistés par ceux d’Alice, il ne me semblait pas que Jenna appréciait cette pénétration. Je finis par me libérer sans que Jenna ne semble ressentir le moindre plaisir. Lorsque je me fus retiré, Jenna annonça alors d’un air désolé :
    - A priori, je ne suis pas douée pour cela. Mais tu pourras toujours profiter de ma sœur à chaque fois que tu le désireras.
    Alors que c’est moi qui aurais dû être vexé, c’est Jenna qui s’excusait de ne pas avoir pris son pied.
    C’était mon premier échec pendant ces deux jours, et mon honneur de mâle était un peu mis à mal. Je me promis de tout faire pour relever cet affront avant la fin de la semaine.
    Cette semaine passa trop vite. Je pouvais demander ce que je voulais aux deux filles, elles me l’accordaient sans problème. Je n’eus pas l’occasion d’essayer à nouveau de faire jouir Jenna par derrière, mais je pus me consoler souvent entre les reins de sa sœur.
    Avant de nous quitter le dimanche soir, Jenna me stupéfia une ultime fois en disant :
    - Ce serait bien d’inviter une autre fille.
    - Pourquoi pas. Répondis-je alors machinalement.
    Pour remercier les deux filles de la semaine de bonheur qu’elles m’avaient offert, je leur remis un présent à chacune. Pour Jenna, c’était des boules de Geisha, et pour Alice un plug anal. Ni l’une ni l’autre ne savaient à quoi pouvait bien servir ces drôles d’objet. Je le leur montrai en les plaçant directement à l’endroit où ils étaient prévu, et en leur précisant qu’elles devaient le garder 24 heures sur 24. Elles me sautèrent immédiatement au cou pour un baiser à trois des plus passionnés.

    Les semaines à présent se suivaient et se ressemblaient. Chaque week-end Jenna venait le passer avec nous, et ce n’était que parties de plaisir à n’en plus finir. Jenna commandait à présent, de plus en plus souvent sa sœur. Alice était de plus en plus fréquemment sollicitée pour nous donner du plaisir à Jenna et moi.
    Leurs parents étaient heureux que les deux sœurs soient si proches, s’ils avaient pu se douter de ce qui se passait, ils ne seraient pas si fiers.
    Un dimanche Jenna nous annonça :
    - J’ai une amie dans ma classe que j’aimerais vous présenter, il s’agit de Clémentine. D’après certains au lycée, elle est déjà sortie avec des garçons, mais il semblerait qu’elle préfère les filles. De plus je pense que je lui plais beaucoup, et qu’elle aimerait sortir avec moi. Elle s’inquiète toujours de moi, de savoir si je suis bien, et si je n’ai besoin de rien. Après chaque cours de gym, elle est toujours vers moi à la douche, et me regarde toujours bizarrement. De plus voyant que j’étais épilée, et lui ayant dit que c’était plus beau et plus hygiénique, le cours suivant elle a tenu à me montrer qu’elle était aussi glabre que moi. Si tu veux Joshua, je viendrai avec elle samedi prochain.
    Il y un moment maintenant que Jenna ne prenait plus l’avis de sa sœur, pour elle, seul le mien comptait. Je lui répondis qu’elle pouvait l’emmener, et que nous verrions de quoi elle était capable.
    Comme convenu, Jenna arriva le samedi d’après avec Clémentine, Clem comme elle l’appelait. C’était une belle fille, âgée elle aussi de 16 ans, qui couvait littéralement Jenna du regard. Si elle n’était pas amoureuse de ma belle-sœur, je n’y connaissais plus rien.
    Après avoir fait les présentations, et émis quelques banalités, Jenna attaqua directement dans le vif du sujet qui nous intéressait :
    - Est-ce que je peux te poser quelques questions indiscrètes Clem ?
    Celle-ci parut un peu gênée, mais répondit par l’affirmative.
    - C’est vrai que tu préfères les filles ? Ne sois pas gênée pour répondre, moi j’aime autant faire l’amour avec ma sœur qu’avec Joshua.
    On ne pouvait pas être plus franc, ni plus direct.
    Après quelques secondes de gêne, Clem répondit que les rumeurs qui courraient sur elles étaient bien fondées. Qu’elle rêvait de sortir avec une fille en particulier, mais qu’elle n’avait pas encore osé lui en parler.
    Jenna ne la laissa pas aller plus loin, et lui posa une nouvelle fois une question franche et embarrassante :
    - Est-ce que cette fille, ça ne serait pas moi par hasard ?
    Clem était vraiment mal à l’aise devant tant de sincérité. Après plusieurs minutes de silence, elle répondit un petit « oui » timidement.
    Jenna continua son monologue avec autant de spontanéité.
    - Tu me plais beaucoup, et je pense que tu plais beaucoup à Joshua et à ma sœur également. Tu sais, je suis très exigeante, et je veux bien sortir avec toi, à condition que tu fasses tout ce que je te demande sans te poser de questions. Est-ce que tu es d’accord pour tout faire ce que je te désirerai pour me faire plaisir?
    Clem ne mit qu’un court instant pour répondre favorablement. On aurait pu croire qu’elle n’attendait que cela.
    Jenna l’embrassa franchement, et lui passa directement une main sur les seins.
    Une Jenna plus autoritaire que je ne l’avait vu jusqu’à présent, annonça :
    - Et bien pour le prouver, tu vas commencer par te mettre nue. C’est comme cela que l’on vit habituellement ici.
    Clem écouta Jenna et commença à se dévêtir face à elle. Jenna la prit par les épaules, et la retourna face à moi en lui disant :
    - Moi je t’ai déjà vu nue, c’est à Joshua qu’il faut que tu montres comme tu es faite.
    Je vis dans les yeux de Clem que cela lui plaisait moins, mais elle continua tout de même son strip-tease. Une fois entièrement nue, elle eut un réflexe de pudeur, et tenta de dissimulé sa nudité avec ses bras. Jenna s’interposa une nouvelle fois, en lui enlevant ses caches.
    - Je t’ai dit que l’on vivait nue ici, il faut que tu t’habitues.
    Après quelques secondes, le temps que j’apprécie le spectacle, elle lui demanda de se retourner, afin que j’admire également son dos et ses fesses. Pour la faire patienter pendant ce temps, Jenna se colla à Clem, et l’embrassa tendrement.
    - Maintenant tu vas déshabiller Alice, et moi ensuite. Ordonna Jenna.
    Si pour Alice ce fut assez rapide, Clem prit davantage son temps pour dénuder Jenna. Lorsqu’elle fut nue, Jenna ordonna à Clem de lui embrasser la poitrine. Sans hésiter, Clem ne pencha un peu et dorlota les seins de Jenna de la pointe de sa langue.
    - Embrasse-les, tête-les, suce-les. Commanda Jenna. J’adore cela.
    Lorsqu’elle en eut assez, Jenna appuya doucement sur les épaules de son amie, jusqu’à ce qu’elle fut à genoux. Sa tête se trouvant juste au niveau de l’intimité de Jenna, Clem se doutait de ce que Jenna attendait. Sans marquer la moindre hésitation, elle approcha ses lèvres du Mont de Vénus, et lui fit de nombreux bisous. Jenna appréciait, mais était impatiente de plus de participation.
    - Ta langue maintenant. Exigea-t-elle.
    Clem ne marquait toujours pas la moindre réticence, soit elle était vraiment très amoureuse de Jenna, soit l’obéissance était sa seconde nature. Ce n’était pas pour me déplaire, ni à Jenna d’ailleurs non plus.
    La langue de Clem s’engagea alors directement dans l’intimité de Jenna, et commença à parcourir tous les recoins. Sentant qu’elle commençait à y prendre plaisir, Jenna s’allongea sur le dos à même le sol, pour être plus à l’aise. Dans le même temps, elle enjoignit à sa camarade de classe de continuer à quatre pattes. Clem n’avait guère le choix, son visage était entre les cuisses de Jenna, et reposant sur ses genoux, elle m’offrait le spectacle de son fessier bien exposé.
    Je fis alors un signe discret à Alice, qui n’avait été jusqu’à présent que spectatrice, lui expliquant ce que je voulais. Alice se mit à genoux à côté de Clem, et lui écarta bien les genoux. Cette fois la position était parfaite, et j’avais le bas-ventre en feu.
    Après avoir bien profité du tableau, je pris la tête d’Alice, et l’approchai des fesses offertes. Cette dernière sut immédiatement ce que j’attendais d’elle. Comme elle l’avait fait lors de l’initiation à la sodomie de Jenna, Alice plongea la langue en avant, mais cette fois sans retenue.
    Clem marqua une petite surprise lorsque la langue pénétra entre ses fesses, mais reprit immédiatement la besogne qu’elle venait d’abandonner.
    Pour gagner du temps, je m’étais déshabillé, et j’attendais le moment propice. Lorsque celui-ci arriva, Alice me prit quelques secondes dans sa bouche, et me guida à l’ouverture qui m’attendait. Je pénétrai alors Clem doucement pour ne pas lui faire mal. Alice avait bien fait son travail, ou alors Clem avait déjà pratiqué cette position, car je pus m’introduire sans difficultés. Clem qui se doutait de ce qui l’attendait, m’avait également bien facilité les choses. Son corps s’agitait maintenant au rythme de mes secousses, en les répercutant via sa tête et sa langue, à l’intimité de Jenna.
    Le tableau était presque complet, seule Alice n’y participait pas. Mais il n’y avait pas de raison, pour qu’elle n’ait pas elle aussi sa part de bonheur. Je lui fis alors signe de se mettre à genoux au-dessus du visage de sa sœur.
    Maintenant tout était bien. Jenna léchait sa sœur, Clem léchait Jenna, et moi je m’activais entre les fesses de Clem. Naturellement je fus le premier à prendre mon plaisir, un tel spectacle ne pouvait que faire craquer ma résistance rapidement. Jenna se lâcha très peu de temps après moi. Mais comme elle n’était plus en état de satisfaire sa sœur, elle obligea les deux dernières participantes à parvenir à leurs fins en position de 69. Clem parut déçue de ne pas continuer avec Jenna, mais n’osa pas la contrarier. Alice et Clem continuèrent alors seules, pendant que Jenna et moi continuions à profiter de la vue des deux corps emmêlés. A même pas quelques secondes d’intervalle, les deux filles lâchèrent un râle de libération.
    Clem avait bien réussi son examen d’entrée.
    Nous passions à présent presque tous nos week-ends à quatre, Alice et Clem faisaient tout ce que leur demandait à Jenna, et moi j’étais chef de cette magnifique troupe. De plus je n’avais pas à demander quoi que ce soit. Jenna semblait avoir un don de voyance, et prévenait tous mes désirs, soit par l’intermédiaire d’Alice, soit par celui de Clem. De plus elle avait une imagination débordante dans le domaine des plaisirs sexuels. Il m’arrivait parfois de lui demander de freiner son ardeur, le temps que je reprenne des forces. Elle ne se calmait que lorsque les deux autres filles l’avaient comblé de jouissance.
    J’étais le plus heureux des hommes, mais c’était sans compter sur les envies de Jenna. Elle avait déjà repérer une autre fille qu’elle promit de m’amener bientôt.
    Mais ce récit sera pour une autre fois. Je vous laisse, Jenna à une surprise pour moi.

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