• Puppet et de Clem Puppet, mère nymphomane et sa Filles perverse...

     

    Unis, étudiant dans une grande école d'informatique. Mon père est à Paris, ainsi que ma soeur ainée Virginie, qui est en Maitrise de Droit. J'ai passé une semaine avec eux, puis je suis descendu sur la côte méditerranéenne, près de Perpignan, pour y voir ma mère, Clem pmu.je toujours eu pour elle beaucoup d'affection, que sa réputation n'aurait su entacher, même si à l'heure actuelle je sais qu'elle rencontre encore beaucoup d'hommes. Jusqu'à cet été, je n'avais jamais fantasmé sur elle. Je ne me le serais pas permis, même si pour ses trente six, elle reste une très belle femme. De plus, je n'étais jusque là pas particulièrement attiré par les femmes dites "mûres". Par contre, à maintenant moi,Its Me..., je multipliais les aventures avec les filles, et, je dois l'avouer, j'étais un sacré obsédé sexuel, m'attachant rarement à quelqu'un.Je suis arrivé hier soir par le train. Des retrouvailles chaleureuses, un bon dîner, et au lit. J'étais exténué par tous ces voyages.

    Ce matin, je me réveille vers 11 heures. Il fait déjà une chaleur moite. Je suis sur le point de descendre en petite, mais matinale m'oblige à enfiler un bermuda. Je ne vais tout de même pas me présenter ainsi à ma mère! Je me rends à la cuisine et l'y trouve en train de préparer un salade pour ce midi.
    -Salut m'man!
    -Salut Its Me...,bien dormi?
    -Comme un loir!
    On se fait la bise.
    -Il reste du café si tu veux.
    -Ok! Merci!

    Je me sers, et m'installe à la table de la cuisine. Nous échangeons d'aimables banalités. Ce faisant, je regarde maman qui est au minibar, de profil, coupant des légumes. Je m'aperçois que je ne l'écoute pas vraiment, attardé à détailler son anatomie. Je ne sais pas ce qu'il se passe dans ma tête, mais je ne peux m'en empêcher. Ma mère est blonde. Une fausse blonde, en fait, les cheveux coupés au carré, surmontés de sourcils fins, impeccablement épilés, un joli nez légèrement courbé, et des lèvres pleines. Elle a quelques charmantes rondeurs."Opulente", serait un doux euphémisme pour qualifier sa poitrine plus que généreuse. Et pour finir le portrait, elle a un tout petit ventre, plutôt mignon, une croupe pleine et cambrée, et des jambes plutôt fines et au galbe très sexy. Sexy, sexuelle même, voilà comment je trouve maman en cet instant. Je l'ai toujours trouvée jolie, certes, mais là, je la trouve bonne. Je ne comprends pas ce qui m'arrive, mais ce qui est certain, elle s'est même empirée. Et la tenue de maman n'arrange pas les choses. Elle a toujours aimé porter des tenues très féminines, mais le temps passant, elle a de plus en plus mis ses charmes en valeur. Et aujourd'hui, ses vêtements son presque déplacés pour une femme de son âge, bien que ça lui sied à merveille. Elle porte un top bleu ciel noué dans la nuque par deux ficelles très fines. Ce petit haut est très échancré sous les bras, et lui fait un décolleté profond, jusque sous la naissance des seins. Maman ne porte pas de soutien gorge. En bas, elle a mis un petit short en jean très court qui moule savamment ses fesses, et elle a chaussé des mules blanches compensées à talons haut. Maman en a fini de préparer la salade, elle se sert un café et vient s'assoir en face de moi. Mon regard est d'abord absorbé par son beau visage, un peu plus maquillé que dans mes souvenirs, puis par sa paire de seins si lourds qu'ils me donnent l'impression de vouloir s'échapper du top d'un moment à l'autre. Ma mère me dit quelque chose que je n'entends pas, mon esprit est ailleurs.
    Mes parents ont toujours eu une entente sexuelle parfaite et ça a eut une très bonne influence sur mon frère, ma grande sœur et moi. Le sexe n’était pas un tabou comme dans de nombreuses familles. Grâce à eux, on a pu rapidement se libérer très jeunes et trouver des partenaires et s’épanouir sexuellement. Ca n’a pas non plus empêché, mon frère de se marier ni ma sœur de se fiancer et d’être enceinte depuis 6 mois. Je suis donc le dernier vivant à la grande maison familiale et pour le moment célibataire. Mes parents ont une activité sexuelle régulière et à entendre crier ma mère, cela me donne envie. Dans un an, avec mon futur appartement, ce sera plus facile pour moi aussi de baiser. Etant régulièrement honorée, ma mère était toujours épanouie, sexy et en faisait dix de moins mais se donnait pour mission de satisfaire mon père qui se démenait au travail. Il était comblé et la famille allait bien.

    -Its Me...? Tu rêves?
    -Hein, euh... Je suis pas très bien réveillé... Tu disais?
    -Je vais au centre ville faire deux trois courses... Je serai rentrée pour midi...
    Il faut que je quitte cette pièce! Je finis mon café.
    -Ok, lui fais-je, prends ton temps... Je vais me laver.
    Je quitte la cuisine en tournant rapidement le dos à ma mère,

    i!i!i!

    t'as de peur qu'elle remarque le gourdin emprisonné dans mon caleçon.

    Il faut que je me calme. Dans la douche, je ne peux m'empêcher de me masturber.(sourire)

    J'essaie de visualiser n'importe quoi, n'importe qui. Rien n'y fait, c'est l'image de ma Jouibrulance qui persiste, ses couilles pleinnes,sa belle bite. Et quand il éjacule, c'est sur mon visage qui est imprimé dans mon esprit. Ensuite, c'est la culpabilité qui me gagne. Culpabilité qui disparaît en même temps.

    Cchnnnnnnnnnneee!!!

    Après le repas, Jouibrulance te propose d'aller à la plage. J'en ai très envie, certes, mais avant appréhende un peu la réaction de ma queue quand tu te trouvera devant moi en maillot. Nous prendrions le nécessaire et nous y rendrions à pied. C'est une petite crique assez isolée, peu connue des touristes. Tu installeras entre dans un petit endroit de sable fin, entouré de rochers sur les côtés, et à l'abri des pins en retrait. J'installerais ma serviette, et tourne le dos à ta mère pour me changer tandis qu'elle fait de même. Quand je lui fais de nouveau face, je la vois en maillot deux pièces rose fuchsia. Le bas, une culotte qui couvre ses parties intimes, est très raisonnable. Mais le haut est plutôt rikiki, et ne cache pas grand chose de sa poitrine. L'absence de traces de bronzage sur sa peau hâlée me fait constater qu'elle doit habituellement se mettre seins nus. Et peut-être plus.
    -Tu viens te baigner Its Me...
    J'irai plus tard...Jouibrulance Comme ça tu me diras si elle est bonne!

    oo!!

    -Elle est toujours bonne ici, rétorque-t-elle en riant, et en se dirigeant vers la mer.
    ta Maman reste un bon quart d'heure dans l'eau. Pendant ce temps, je gamberge, et je bande encore pour toi Its Me... . Tout est allé si vite! Hier encore, avoir la trique en pensant à ta soeur m'aurait parut inconcevable, immoral. Mais en cet instant, j'ai beau faire, rien ne me raisonne. Au contraire, le fait qu'elle soit ta génitrice, et ce côté immoral, ne font que m'émoustiller d'avantage. "Et puis merde", pensé-je, après tout. Elle est quand plutôt allumeuse t'as maman. Je ne peux être de marbre, et même si je suis pas son beau fils, elle doit bien s'en rendre compte. A Paris, ta meilleure copine ma bien sucer . Quand tu sort de l'eau pour me rejoindre, je n'ai plus qu'un objectif en tête. Je ne serai plus jamais serein tant que je n'aurai pas assez baisé ta copine. Il va falloir manouvrer, tenter ma chance, au risque de détruire à jamais notre si belle complicité.

    Alors Jouibrulance?
    -Super bon! Tu verras!
    Elle s'allonge près de moi, sur sa serviette, et met ses larges lunettes de soleil. J'allume mon joint. Maman tourne la tête vers moi.
    Mais... C'est un pétard! Tu fumes ça toi? de temps en temps... T'inquiète! T'as jamais essayé?
     Oh... Une ou deux fois... C'est tout... Après tout... T'es assez grand... Tant que c'est occasionnel...
     
      Maman a toujours été plus permissive que mon père. Je lui tends le pétard. Elle tire quelques bouffées avant de me le repasser. Deux ou trois minutes plus tard, elle me fait:
    -Oulah! Ca fait bizarre... Ca tourne!
    -Moi aussi! C'est pas désagréable, si?
    -Non...
    On se marre un peu bêtement. Je me détends, maman aussi.

    i!i!

    Pas ma pine, mais tu ne semble pas l'avoir remarqué.Parle un peu de moi, de mes études.

    On se repasse plusieurs fois le joint. Je suis un peu défoncé, et ma mère aussi, ça se voit à son comportement. Il y'a un silence. J'en profite:
    -Dis moi, maman, t'as pas de marques de bronzage...
    -Nan... Quand je suis seule, je m'embarrasse pas du haut.
    -Tu sais, tu peux l'enlever... Te gêne pas pour moi!
    -Après tout, oui, t'as du en voir d'autres! Et puis, on est en famille.
    Je suis surpris qu'elle ait cédé si facilement. Surpris et excité, quand sous mes yeux se dévoilent ses deux gros nichons bien pleins, aux magnifiques et très larges tétons.

    Jouibrulance ton érection est à son maximum.

    Je relève les genoux pour essayer de la cacher.
    -Tu as quelqu'un en ce moment? Lui demandé-je, assez brutalement.
    -Euh... C'est indiscret Its Me...!
    -Ça veut dire oui!
    Elle rougit.
    elle en riant.elle, il fallait le rendre un peu jaloux.Puis, comme pour faire diversion, elle prend son sac de plage et en sort un tube de crème solaire. Elle commence à s'en enduire le ventre, puis, lentement, d'une façon que je trouve très sexuelle, elle passe ses mains sur sa poitrine, s'y attarde, les malaxe.

    Jouibrulance  ta queue en centimètres de ses fesses, prête à sortir de ton maillot.

     tu tremble,hein!? un peu d'excitation. Je commence à étaler la pommade, tout d'abord de manière anodine, puis je lui fais un massage plus appuyé au niveau des épaules. Elle se laisse faire, si elle continue tu vas éjaculer sur mon maillot.

    -...
    - Dis-le-moi, et j'arrête...
    Pas de réponse, juste la respiration de maman qui s'accélère, et sa poitrine qui se soulève à un rythme irrégulier. Je continue, malaxe ses seins plus fort.
    -Tu sais m'man... Si je t'ai demandé si t'avais quelqu'un, c'est parce que tu mérites pas d'être seule... Tu es belle... Très belle...
    -Merci...Merci Its Me..., mais... Ce n'est pas déplacé venant de ta part?

    Je me penche à son oreille et lui chuchote:
    -Ce n'est pas déplacé de se laisser tripoter par sa fille?
    -Tu sais... Je suis une femme et... Tu as beau être mon fils...Je ne peux être indifférente...
    -C'est mal?
    -Oui... C'est mal... Its Me...,et tu commences à m'exciter sérieusement. Quelqu'un pourrait vous voir...
    -Il n'y a personne...
    Ma mère ne contrôle plus sa voix ni son souffle. Quand je commence à faire rouler ses mamelles entre mes doigts elle ne fait rien pour m'en empêcher, se contentant de me dire:
    -Ma chérie... Qu'est-ce-qu'on est en train de faire là?
    -On se fait du bien maman... Et personne ne le saura... Si tu veux que j'arrête, dis le moi maintenant, sinon...
    -Sinon? me dit-elle dans un souffle?

    Comme elle arrive près des épaules, je lui dis:
    -Laisse, je vais te la mettre dans le dos.
    Elle ne répond pas mais me tend le tube de crème. Je viens me mettre assis derrière elle, mes jambes légèrement pliées le long des siennes,  puis me dit:
    -Tu as des doigts en or ma chérie... Tu fais ça bien...
    -Ça te plait?
    -Oui... C'est bon...

    Sa voix a changé, ou peut-être me fais-je des idées. J'ai envie de lui sauter dessus mais je me retiens. Je continue mon massage, sur toute la surface de son dos.

    Ça y'est, mon gland pointe son nez dehors. Très lentement, mes mains se dirigent vers ses côtes.

     Elle soupire, tandis que je lui effleure le côté des seins. Progressivement, mes mains gagnent du terrain vers sa poitrine. Je n'en peux plus, et les empoigne entièrement.
    -Que fais-tu Jouibrulance?

     demande à ta mère, en ta voix tremblotante.
    -C'est désagréable...ce que tu fais,je disais çà pour rire...Non, mais...
    -Mais quoi?
    -Jouibrulance... Enfin... Ce n'est pas très raisonnable... Un fils qui caresse les seins de sa mère...
    -Je ne fais que te mettre de la crème solaire...  

     

    Je veux que tu arrête ?

    Je regarde toi ( la lectrice perverse ) qui, sans rien dire, sourit à cette idée de revoir ta copine à poil.

    i!i!i!

    écrit donc à jouibrulance et envoi tes Messagerie SMS‎ sms sur son compte HOTVIBER de sa messagerie...et dite:mon histoire... Vraiment. Dx il écrira l'histoire de toi et tes amie très cchonne que tu m'as envoyer ...

    - Oh, oui ! Moi je suis entièrement d’accord !
    Dit une fan avec enthousiasme DX

     


    -...

    Je n'ai pas le temps de répondre. Jouibrulance attrape sa main droite et la fait glisser jusqu'à son entre-jambe. il me fait passer mes doigts sous son bas de maillot, et repositionne sa main sur son sein, qu'elle malaxe ses couilles à son tour. J'ai du mal à y croire. Sa main gauche continue à peloter sa poitrine, tandis que l'autre se perd dans une toison fournie.

    Elle ne s'épile pas la chatte, c'est donc pour ça que sa culotte de bain est si large.

    Ça m'étonne de ma mère, qui prend tellement soin d'elle. Mais ça m'excite aussi, cette chatte velue, et déjà très humide. Ça doit faire un moment qu'elle mouille. Je palpe ses grandes lèvres gorgées de sang, et commence à la caresser, avant de m'en prendre à son clitoris gonflé de désir. Ma queue dure comme du bois est maintenant entièrement sortie de mon caleçon. Je me serre contre toi, et ma bite vient se plaquer sur le bas de son dos, y laissant une trace humide. Cela dure quelques minutes, sans un mot. Quelques instants plus tard, je te doigte carrément, rapidement, et je triture tes grosses loches avec entrain, frottant ma tige sur le bas de ton dos, jusqu'à ce que je lui chuchote:


    -Madame... J'ai envie de baiser...Its Me...,
    Rapidement

    Jouibrulance libère de mon étreinte, et me fait face, à quatre pattes entre mes jambes.

    et ta mère me dit:
    -Tu veux nous baiser, mon p'tit salopard... Alors faisons-le... Maintenant, nous sommes allés trop loin pour reculer.

    Sans que je puisse réagir, maman dégage totalement sa pine du maillot, l'empoigne, et se jette la bouche grande ouverte sur son gland. Aucune femme ne l'avait sucé ainsi,qu'il dit. Pelotant ses couilles pleinnes d'une main, branlant sa tige de l'autre, maman tête son gland de façon experte. Je découvre ainsi que ma propre mère est une suceuse de première.

    i!i!i!

    La meilleure suceuse que je connaisse.

    Puis, continuant à pétrir mes couilles, elle se met à me pomper plus profondément. Je lui enlève ses lunettes de soleil.
     Regarde-ta fille, regarde là dans les yeux.Quel regard! Quel regard de chienne de ta tendre mère peut avoir tandis que ma bite lui déforme la bouche!

    La pipe me semble durer une éternité.

    Maman lèche, suce, tète, gobe ses couilles, tout y passe. Elle s'arrête à temps.

    J'étais à deux doigts d'éjaculer.

    Très vite, maman se débarrasse de sa culotte de bain, m'exposant sa belle et grosse chatte velue de poils bruns. Puis elle vient sur Jouibrulance, et s'empale sur sa queue, d'un seul coup. Elle commence à la limer. Elle bouge son bassin comme une dératée

     Pour que je te la bourre plus fort.

    Je n'aurais jamais cru ça d'elle.

    Nous ne faisons pas l'amour, non. Nous baisons. Nous baisons comme des chiens. Je baise la baise comme une chienne. J'empoigne sa croupe pour la bourrer plus fort, plus vite et plus profond. Ses énormes loches ballottent en tous sens au dessus de tes yeux. Ma queue est inondée de sa mouille. Tu te mets à me souffler à l'oreille:
    -Oh oui! Vas-y! Baise là mon chéri! Défonce-là! Baise là bien ta belle maman... C'est bon, vas-y!,c'est une salope!!
    -Salope...ma belle mère
    C'est sortit tout seul, je l'ai insultée presque malgré moi. Je suis sur le point de le regretter, quand maman me dit:qu'elle jouis!!!
    -Oui! Oui mon amour! Je suis une salope... et toi une p'tite salope comme... Vas-y fort! Baise ta p'tite salope de belle mère!
    C'en est trop. Je ne tiens plus. Je m'enfonce bien au fond de sa fente.

    Regarde Jouibrulance ta belle Maman se cambre et jette la tête en arrière.elle jouiiis!!!... 

    Mes mains lâchent ses miches pour venir s'agripper à tes nibards.

     pousse un grognement rageur tandis que tu te vide les couilles au fond de son trou, et qu'elle pousse un long hurlement de jouissance.

    Ma mère retombe sur moi, m'embrasse longuement, langoureusement, et nous sombrons tous les deux dans une douce torpeur.

    Tout deux se mirent en tête que Clem, c’est le prénom de ma mère, irait faire ses courses habillée le plus sexy possible.

    Ils me demandèrent mon avis et je dis oui. J’aime voir ta génitrice se mettre en valeur, et comme toute les femmes d’ailleurs.

    Ce fut au début soft même classe. Ma mère sortait en tailleur jupe car elle avait un peu honte malgré que ce soit une femme libre. Mais ce n’était pas suffisant et il y’avait trop de femme qui était pareil et elle passait relativement inaperçue. Je dis relativement car en général, on l’a remarquait à cause de son énorme poitrine qui même cachée, déformait ses pulls ou chemisiers. Ses gros seins étaient naturels, de quoi allaiter des régiments entiers comme avait dit Jouibrulance en parlant d’elle.

    De plus, Clem était bien conservée. Yeux bleus, visage rond, Cheveux noirs coupé au carré, 1m58. Décolleté monstrueux et mini jupe pour cette presque quinqua provoc qui ne les faisait pas.

    Mon père aimait que sa femme s’exhibe et des fois, il l’accompagnait faire des courses et l’attendait dans la voiture. Il bandait à l’idée qu’elles deviennent l’objet des envies des hommes. Il m’emmena aussi pour partager mes impressions. Je trouvais que c’était une merveilleuse idée car cela le forcerait à se dépasser pour pouvoir plaire davantage à Clem. Rapidement, il retrouvait goût à ma mère et les revoilà reparti dans de belles parties de jambes en l’air. Bien sûr, à force d’entendre baiser...

    ma queue se dresse à nouveau et je désirais les voir à l’œuvre.

    Un soir, je fus attiré par le bruit et surpris mon père en train de se faire sucer dans la chambre par ma mère à quatre pattes. Ils se retournèrent vers moi, ma mère, à poil avait encore la bite dans sa bouche. Ses seins pendait et c’était encore pire ce que j’imaginais question grosseur.
    -Bon, ben tu n’as plus qu’à nous rejoindre au lieu de rester là à regarder comme un imbécile.
    Ma mère ne dit rien et resta me regarder de ses yeux bleus...

    i!i!i!

    Elle se contenta ensuite de me défaire la braguette, de sortir mon sexe et de me pomper.

    Pas de doute, elle sait sucer ma mère et elle adorait ça.

    J’aime aussi enfoncé ma bite au plus profond de ta gorge et et ta mère l’avalait comme une gâterie.

    Sa bouche avait l’habitude de donner du plaisir. Ma queue était prête à exploser mais elle sut arrêter a temps.

    pss!!!:Ton père serait tout excité à voir son propre beau fils baiser sa femme.

    Je me mis alors à lui malaxer les nibards. Ils étaient énormes avec de grandes aréoles. Ils étaient chauds, lourds et ses tétons pointés durs. Avec une paire de seins aussi énormes, elle aurait pu faire du porno facilement même si je les trouvais vraiment beaucoup trop gros. Je me mis à les lécher, à le sucer et ta mère gémit.

    C’était bon. Alors elle s’allongea et m’invita à poser ma bite entre ses loches. Puis elle me branla en pressant mon sexe entre ses deux nibards. Du coup, tout excité, je jutais entre ses gros seins et une partie gicla jusque sa bouche. Elle avala mon sperme. Ton père se branlait devant cette scène. Il reprenait toute sa vigueur. Voire Jouibrulance baiser sa femme le faisait bander plus que jamais. Ensuite, elle se mit à quatre pattes, le cul offert. Après avoir lubrifié son trou, nous l’enculâmes chacun notre tour.

    Ce fut merveilleux et ma mère criait comme une pute.

    Ses seins monstrueux bougeaient pendant l’acte. Nous jutâmes en elle. Depuis ce jour, nous décidâmes de baiser à trois des qu’on pouvait tout en exhibant ta mère lors de ses sorties. Elle adorait ça de savoir qu’on la surveillait et surtout elle aimait voir les regards la désirer. C’était magnifique de la voir se pavaner habillée aussi sexy. Elle remis des minijupes et des décolleté exhibant ses énormes loches. Certains devaient la prendre pour une nymphomane car rare sont celles qui ont tant d’audace surtout à presque 40ans.

    Je suis vraiment très fier d’avoir une mère comme ça et aussi libérée. Ce petit jeu dura quelques temps sans incident. Seuls quelques regards appuyés et des sourires en coin. Mais à force de trop jouer avec le diable, celui-ci fini par se manifester. Et un jour, mon père qui venait à peine d’arriver du travail me vit et me demanda.
    -Ta mère n’est pas rentrée de ses courses ?
    -Non, pourquoi ? Je pensais qu’elle était dans la cuisine.
    Mon père la rappela sur son portable mais toujours rien. Une heure plus tard, après maints appels, mon père, inquiet,... mais le portable sonna. C’était le numéro de celui de ma mère. Mon père fut soulagé mais de l’autre coté du fil, ce n’était pas Clem .
    Il entendit des voix derrière…des voix d’hommes.
    -Qui est là ? demanda t’il.
    On entendit des rires d’hommes et les cris horrifiés d’une femme tentant en vain de se débattre qui n’était autre que ceux de ma propre mère subissant les pires outrages quelque part. L’homme au téléphone éclata d’un rire à faire peur puis raccrocha.

    Peut être la suite?

     

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