• Rose,rouge,bonbon

             ;     ;                       
         ;            ; 
      O                ;
      II                 
     
    II                    ;
     OO tes ccahuettesont encore pleinne

     

    J'y vais t'en faire une surprise : tu peux donc mieux coiffer tes cheveux toi! que des ... Place à la coupe

     

    i!i!i!

    Ceci est une histoire mi réelle, mi fictive entre Afuya , Lockie et moi. Les noms ont été changés pour notre anonymat

    Tout a commencé l’été de mes (18ans ou pas)au camping. Se retrouver 3 semaines dans moins de 30m2 est toujours compliqué pour n’importe qui mais pour moi.Le fait de ne pas pouvoir faire l’amour avec Afuya c’était absolu insupportable me donnait des érections n’importe quand et l’absence de connexion internet pour regarder mes films porno favoris n’arrangeait pas. Tout ce que je désirais était de me branler furieusement sur quoi que ce soit et d’éjaculer le plus vite possible.

    Samedi matin, après près de deux semaines d’abstinence sexuelle, je l'a rejoint en vacances pour 1 semaine qui j’espère sera très torride vu le nombre de SMS endiablés que nous nous sommes envoyés. Je file dans la salle de bain avec une énorme érection matinale qui dépasse de mon short. J’enlève rapidement ce short qui colle au bout de mon pénis en raison d’un nouveau rêve érotique ou Afuya me donnait une fellation d’enfer. Une fois enlevé je me contemple dans le miroir, mon corps est plutôt musclé et bien en forme. Au bas du miroir, je peux voir mon pénis bien dur qui pointe plus que d’habitude. Laissé moi me décrire, je m’appelle Jouibrulance et je suis plutôt beau gosse. Mon pénis...suffit à donner à Afuya de superbes orgasmes.
    Je rentre dans la douche et l’eau brûlante coule sur mon corps. La vapeur d’eau se forme et très rapidement, de la buée apparaît. Je commence à me masturber légèrement et je me touche le bout du sexe comme j’aime bien le faire. L’excitation monte mais Afuya m’a demandé de se préserver pour elle et de plus, je suis assez bruyant et ses parents sont à côtés. J’écarte donc mes mains de ma bite et fini ma douche. Cependant je n’en peux plus, je veux glisser ma bite dans la bouche et la chatte de Afuya au plus vite.Je m’assis sur mon lit et observai ce si doux tissu dans ma main comme un précieux cadeau.
    Une chaleur exquise envahit mon bas-ventre, une torpeur s’empara de mes muscles et mon membre se raidit. Je ne pouvais que reconnaître que la culotte m’excitait. Je me sentais stupide, mais j’avais envie de sentir son odeur. D’un bras hésitant, je la portai à hauteur du nez pour en humer le parfum. Les arômes me firent tourner la tête. Je finis par me débarrasser de mon propre sous-vêtement et libérai mon sexe tendu. Ma main l’enserra délicatement et commença à glisser sur tout le long. Je me retrouvai à me masturber tout en respirant le parfum qui imprégnait la culotte de sa mére. J’avais honte, mais c’était si excitant !

    — Mais qu’est-ce que tu fais Jouibrulance?

    Cette voix me fit sursauter. Je jetai un regard sur le visage choqué de Afuya .

    — Non, attends, c’n’est pas ce que tu crois !
    — Mam… commença-t-elle à hurler.

    Je me précipitai sur elle en un instant et plaquai ma main sur sa bouche pour la faire taire. Je l’attirai ensuite violemment à l’intérieur et fermai la porte d’un coup de pied pour enfin plaquer Afuya sur le mur. Elle se défendit mais je la maintins en me servant de mon corps.

    — Ne crie pas, s’il-te-plaît. Je peux tout t’expliquer. Tu promets de ne pas crier ?

    Elle me répondit positivement d’un signe de tête. Je pris donc le risque de lui libérer la bouche.

    — Ne me fais pas de mal, implora-t-elle.
    — Te faire du mal ? Mais t’es cinglée ou quoi ? Pourquoi te ferais-je du mal ? Tu es ma copine, tout de même.
    — Je croyais que tu allais me… Tu t’es plaqué contre moi et…
    — Non ! Non ! réagis-je soudain en comprenant de quoi elle voulait parler. J’ai juste paniqué Excuse-moi
    — D’accord, se rassura-t-elle. Tu peux donc me lâcher. T’as ton truc pointé sur mon ventre.
    — Oh merde, désolé, obéis-je.
    — Et la prochaine fois, évite de m’obstruer la bouche avec la main qui tenait ta bi… ta chose.
    — Bon, écoute, encore désolé. Mais je te promets que ce n’était pas ce que tu crois.
    — Pas ce que je crois ? Tu n’étais donc pas en train de te branler avec la culotte de ma mére ?
    — Euh… Je te promets que c’était la première fois. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Écoute, Afuya, tu dois me promettre de ne rien dire à ta maman. Il ne faut pas qu’elle le sache.
    — Ne rien dire ? Mais t’étais en train de te branler…
    — Je t’en prie. Elle va me tuer si elle le sait.
    — Bon, d’accord. Mais toi, tu dois me promettre de ne jamais recommencer.
    — Marché conclu, m’exclamai-je, rassuré.Heureusement, j’avais échappé à la catastrophe cette soirée-là, mais je savais que ma relation avec Afuya risquait de changer irrémédiablement. Par contre, j’ignorais encore jusqu’à quel point.
    Je m’étais fait surprendre par  Afuya et j’en avais honte. Qu’allait-elle penser de moi ? Me prenait-elle pour un pervers ? Tiendrait-elle parole ou révèlerait-elle la scène qu’elle venait de surprendre ? Je me réfugiai sur le canapé du salon pour reprendre la lecture de mon bouquin afin de penser à autre chose, mais rien à faire, je ne parvenais pas à me concentrer sur la lecture. La scène me hantait l’esprit. Je décidai donc d’allumer la télé. J’observais d’un air absent les images qui défilaient sur l’écran tandis que je zappais.

    — Quelque chose ne va pas ?

    C’était sa mère. Elle venait d’arriver dans la pièce et avait remarqué mon air préoccupé. Elle avait toujours su quand quelque chose clochait.

    — Non, rien, mentis-je.
    — Il fut un temps où tu me disais tout ce qui te préoccupait, évoqua-t-elle en s’asseyant à côté de moi. Visiblement, ce temps est révolu. Je vois bien que ça fait quelque temps que tu te comportes bizarrement. Allez, viens faire un câlin...
    — Madame, me plaignis-je, gêné. Je suis trop grand pour ça.
    — Tss, rit-elle en se blottissant contre moi, nous ne sommes jamais trop grands pour ça. Tu ne veux peut-être pas me dire ce que tu as – et je respecte ton choix – mais tu n’empêcheras pas de consoler comme son fils par tous les moyens qui lui sembleront nécessaires.

    Je baissai les armes et acceptai ce contact.huummm!!!! C’était agréable de la sentir le long de moi. Son parfum fruité m’envahissait les narines et me détendait. Je choisis finalement d’afficher sur la télé une émission traitant de la guerre de Cent ans. La tête appuyée sur l’épaule de sa mère, j’avais une nouvelle fois une vue plongeante sur son décolleté. Je voulus détourner les yeux mais la vision était trop attrayante. Sa mère posa sa main sur ma cuisse comme elle le fais à son mari, mais ce geste avait une toute autre signification pour moi, maintenant. Ses légères caresses firent poindre une douce excitation.

    — Tu l’aime, mon chéri, murmura-toi (lectrice) doucement.


    ***
    est comme cela que nos discussions commencèrent à ce vous du soir précise. un tas de questions. Si je pour vous faire s*domiser par Jouibrulance qui vous accompagnera en voiture.Si javait fait espérer une histoire mais qui en fait jouait avec moi,
    bas, Jouibrulance aura un bon plan avec vous deux, réunies comme des chi*nnes et qui baisent bien.avais pris.

     Ta mère se renseigna aussi sur ce que j’aimais en général chez les filles. Elle voulut aussi savoir à quelle fréquence je me masturbais, et si c’était pareil pour tous les garçons. Elle fut d’ailleurs étonnée du résultat. Elle me demanda aussi de lui décrire comment je procédais.

    Tout au début, j’étais plutôt réservé de lui parler de tout cela, mais elle sut très rapidement me mettre en confiance et m’inviter à me livrer sans aucune entrave. Elle semblait vouloir tout savoir. Sa curiosité et son enthousiasme me firent baisser la garde, si bien que je finis par répondre à toutes ses questions indiscrètes. Très vite, j’appréciai ces moments où je n’avais pas à me cacher. Ça me faisait du bien de pouvoir parler de ces choses, et puis ça m’amusait de voir les réactions de ta Mére. Parfois elle était subjuguée par mes révélations ou étonnée. Parfois, et c’est ce que j’appréciais le plus, elle paraissait excitée par ce qu’elle entendait. J’étais heureux de réussir à lui faire ce dernier effet, et je finis moi-même par éprouver une certaine excitation à lui avouer mes secrets les plus intimes. Mon regard sur elle changea peu à peu. Elle n’était plus la gentille maman riante et parfois capricieuse : je la voyais plus grande cochonne!!! et lui avais trouvé un côté sexualisé. Son corps est bien métamorphosé au cours des précédentes années ; elle était devenue (une jeune femme) très attirante. Sans m’en rendre compte, je transférais les désirs que j’éprouvais pour ta mère sur toi.

    Et voilà qu’un soir elle me posa une autre question qui allait permettre de franchir une nouvelle étape dans notre relation. Toi et moi...

    — Et moi ?
    — Comment ça, et toi ? demandai-je en craignant la réponse.
    — Eh bien, tu as dit avoir fantasmé sur d’autres filles, mais aujourd’hui tu fantasmes principalement sur ma Mère. Tu dis la trouver belle. C’est vrai qu’elle l’est encore beaucoup malgré son âge. Moi, je ressemble beaucoup à maman bien que j’aie une poitrine bien plus petite, mais j’ai l’avantage d’être plus jeune. Et puis je semble correspondre à tes critères de beauté. Je me demandais donc si cela t’était déjà arrivé de fantasmer sur moi.
    Afuya, tu es sûre de vouloir savoir ?
    — Oui, ne t’inquiète pas. Je ne comprends pas encore tout à fait tes désirs, mais j’ai fini par les accepter. J’ai compris que ce n’était pas de ta faute, que tu ne les avais pas choisis. Alors ?
    — Pour être honnête, hésitai-je, j’ai déjà fait un rêve érotique là concernant.
    — C’est vrai ? Raconte-moi, s’il-te-plaît.
    — Oh, rien de bien original ! Elle venais de se faire larguer par ton pére et j’ai voulu l'a consoler. Nous avons fini par nous embrasser et nous caresser. Tu l'as ensuite proposé de me sucer et tu as offert de recommencer dès que je te le demanderais.
    — Ah ouais, carrément ! Et j’ai accepté comme ça ?
    — Oui. Je sais, c’est plutôt débile mais je n’y peux rien, ce n’était qu’un rêve.
    — Et alors, je me suis bien débrouillée, j’espère ? demanda-t-elle en plaisantant.
    — Je ne me souviens plus vraiment des détails, mais je sais que j’appréciais beaucoup. Malheureusement, je me suis réveillé avant la fin.
    — Et tu t’es branlé après en repensant à ton rêve ? poursuivit-elle avec un sourire espiègle.
    — Oui…
    — Tu m’as donc imaginée en train de te sucer ? me demanda-t-elle afin de me pousser à détailler.
    — Oui, je l’ai fait. Désolé, mais ce rêve ne me lâchait pas et je n’arrivais pas à retrouver le sommeil ; j’étais trop excité.
    — Ah ouais, il t’a autant excité ?
     
    Il y avait quelque chose d’étrange dans son intonation. La confidence que je lui livrais avait l’air de la chambouler, de la perturber. Visiblement, son esprit semblait traiter l’information à vive allure mais ne semblait pas parvenir à distinguer quelle serait la réaction la plus adéquate à fournir. Afuya semblait à la fois curieuse d’en savoir plus et gênée, intéressée et surprise, confuse et honteuse…
    En même temps, je pouvais la comprendre. Quel choc cela devait être pour elle, découvrir que Jouibrulance avait rêvé d’elle et s’était branlé ensuite. Indirectement, je venais de lui avouer qu’elle me plaisait aussi beaucoup. Ce que je n’avais pas précisé, c’est que depuis le début de nos conversations je fantasmais de plus en plus sur elle et que je m’imaginais parfois que les choses dérapaient entre nous deux et que cela se terminait au lit.

    Nous n’abordâmes pas ce sujet plus longtemps ce soir-là. Ce n’est que trois jours plus tard qu’elle me demanda plus de détails sur ce rêve et sur ce qui avait suivi. Je lui racontai donc comment je m’étais imaginé sentir ses lèvres coulisser le long de mon sexe, sa langue laper le gland et ses mains masser les bourses. J’inventai même les détails qui me manquaient. Bien qu’elle eût le visage empourpré, Afuya ne me coupa pas dans mon récit et m’invita à détailler un maximum. Je dois dire que raconter tout cela à toi ne me laissait pas indifférent ; l’excitation était grimpée en flèche et mon sexe avait pris du volume dans mon pantalon. Ce dernier élément n’était pas passé inaperçu aux yeux de Lockie.

    — Cela t’excite d’y penser à moi aussi Jouibrulance ? demanda Lockie pour confirmation.
    — Oui, avouai-je.
    — Tu te branlerais si tu étais seul ? ajouta-t-elle avec hésitation.
    — Je pense que oui.
    — Peux-tu me montrer, s’il-te-plaît… comment tu fais ?
    — Quoi ? fis-je, surpris. Tu veux que je me masturbe devant toi ?
    — Oui. Tu n’as qu’à repenser à ce rêve  et faire comme si je n’étais pas là. Moi, je reste à côté et je te regarde faire.
    — Es-tu sûre de toi ?
    — Oui, affirma-t-elle d’un ton ferme. Je verrai mieux comment vous faites… et puis j’ai besoin de vérifier un truc.
    — Vérifier quoi ?
    — Quelque chose, répondit-elle, mystérieuse. Tu vas le faire, oui ou non ?
    — Très bien, concédai-je. C’est d’accord.

    Ce qu’elle me demandait était incroyable ! J’enlevai mon maillot pour me mettre à l’aise et défis ma ceinture. Je m’allongeai sur son lit et essayai de me détendre. Bien que la situation fût excitante, se laisser aller était loin d’être évident. Lockie s’allongea à mes côtés et posa la tête sur mon épaule. Je pouvais sentir son corps chaud pressé contre moi, son souffle tiède dans mon cou et son parfum apaisant. Je dus fermer les yeux et laisser les images envahir mon cerveau. La suite fut plus aisée que je ne le pensais. Je défis mon pantalon et libérai mon sexe sous le regard attentif de Afuya .

    Ma main glissa sur mon ventre pour finir par caresser mon sexe afin de le raidir. Je puisai dans ma mémoire les restes de mon rêve. Je l’imaginais totalement dédiée à mon plaisir. Je fantasmais sur mes mains parcourant son corps et sur les siennes en train de me masser le sexe.
    J’étais maintenant bien dur. Je sentais ton regard fixé sur ma hampe. Comment réagissait-elle ? Était-elle excitée ? En tout cas, siiiii!!!.....t'es une sacrée vicieuse c’est ce que j’imaginais. C’était incroyable de me masturber en sa présence ; et le pire, c’est que c’était son souhait !

    Ma main glissait de plus en plus rapidement le long de mon membre, et le plaisir grimpait. Des images érotiques défilaient dans ma tête :  Afuya se caressant elle aussi, les doigts glissés dans sa vulve ; elle se pinçait les seins, son corps ondulait sous le plaisir qu’elle se procurait, son visage était radieux et sa respiration saccadée et bruyante. D’ailleurs, ce dernier point était réel : à mes côtés, le souffle de la véritable Lockie s’était considérablement accéléré depuis qu’elle avait découvert mon membre dans toute sa splendeur. Quoi qu’il en fût, j’étais sûr que le spectacle que je lui offrais ne la laissait pas indifférente.

     Ta demande insolite, les images dans ma tête, ta présence envoûtante, le fait que tu semblais apprécier, tout ça commençait à faire beaucoup pour moi. Il ne me fallut pas beaucoup plus d’allers-retours sur mon sexe pour offrir à toi une scène d’éjaculation.


     L’après-midi ma copine Afuya arrive et dès que je la vois, je lui offre un long baisé passionné accompagné d’une main sur ses fesses bien fermes.Ses seins sont assez petits mais sont en régales en mains. Par contre ces fesses sont toutes simplement exceptionnels : fermes, rebondies et lorsqu’elle porte un string taille haute, je tuerai pour les toucher. Je dois dire que beaucoup d'hommes les regardent dans la rue et j’aime ça.
    J’aide à installer Afuya avec une érection qu’elle remarque tout de suite et s’empresse de poser la main sur mon short. Elle presse fortement mon pénis entre ses mains et à cet instant, tout ce que j’ai envie de faire, c’est la prendre en levrette et la faire crier. Malheureusement, je sais que les parents vont bientôt arriver et mes ardeurs s’estompent.

    Je passe la journée chaud comme un lapin et la nuit arrive. Les lits sont trop petits pour dormir à 2 mais nous décidons au moins de passer un peu de temps ensemble dans le lit mais je sais pertinemment que nous ne pourrions rien faire car sa copine dort à moins d’un mètre de nous. Sa copine,Lockie, est petite et bien foutue pour son âge. Je sais que quand elle sort de la salle de bain en sous-vêtements elle est assez sexy... car je crois qu’elle a eu des copains.

    Nous sommes donc allongé sur le lit en pyjama, c’est-à-dire un short pour moi et une nuisette pour elle lorsqu’elle me demande qu’on passe sous la couette car elle a froid. Moi qui a déjà chaud lui demande pourquoi et elle me répond qu’elle a froid. J’accepte donc et nous nous agrippons sur la couette. Je pose ma main sur ses fesses et elle sur mon torse. Quelques minutes passent et je sens tout doucement ses doigts fins descendrent le long de mon corps pour s’arrêter sur mon short. Mon excitation monte et un sourire se dessine sur son visage lorsque je suis en érection complète. A ce moment elle commence à faire des va et viens et accélère
    - « Qu’est-ce que tu fais » lui dis-je
    - « Je te branle, j’ai envie de sentir ta bite dans ma main et ma chatte » me répond-elle en chuchotant pour que sa copine n’entende pas
    - « Arrête s’il te plait, j’ai pas envie que Lockie nous surprenne et le raconte à nos parents »
    - « Je m’en fous si on se fait prendre. Je veux te branler et que t’éjacules sur mon ventre » et sur ce elle reprend de plus belles
    Alors qu’elle commence à accélérer et que j’essaie de contenir mes bruits de plaisir, j’entends les draps bouger sur le lit d’à côté et Afuya sourit d’un coup. Elle accélère encore la cadence et je commence à ne plus pouvoir retenir mes soupirs.
    Et dans la seconde qui suit, Lockie me demande ce que nous faisons.
    - « Qu’est-ce que vous faites ? »
    - « Rien, rien, Afuya me masse » en répondant du tac au tac
     Afuya continue quand même à me branler avec un sourire coquin sur le visage.
     Lockie prend note de l’information et reprend son livre.
    Dans l’excitation je me surprends à caresser le string noir de Afuya qu’elle a mis sous sa nuisette et je sens qu’elle est toute mouillée.
    Me laissant prendre par le jeu, je commence à glisser un doigt dans sa chatte en tirant son string sur le côté ce qui la laisse pousser un grognement.
     Lockie rebouge à coté et je ne sais pas du tout si elle nous voit comme je suis allongé de côté dos à elle mais Afuya ne bronche pas donc je continue.
    Je la doigte et lorsque je sens que l’intégralité de sa chatte est mouillée, je remonte vers son clitoris sur lequel j’appuie fortement. Nous nous masturbons mutuellement et les bruits de plaisir se font de plus en plus insistants.

    - « Hé je sais ce que vous faites !! Arrêtez tout de suite ou je vais le dire à tes parents » nous crie t’elle
    Nous nous regardons et Afuya répond
    - « Qu’est ce qu’on fait ? On a bien le droit de se faire des câlins »
    - « Vous êtes en train de vous toucher ! Je vous ai entendu et je vois ses mouvements de mains à travers la couette »
    A ce moment-là, je préfére ... savoir que Lockie vient de nous surprendre pendant une sorte d’acte. Mais à ce moment-là, Afuya chaude comme la braise répond tout naturellement
    - « Et bien t’as qu’à faire pareil que nous ! Touche-toi ! ses parents doivent dormir à cette heure-là »
    Ce à quoi Lockie répond
    - « Et je gagne quoi là-dedans ? Je me masturbe depuis toute petite et je n’ai jamais vu le pénis de Jouibrulance dans m…. »
    D’un seul coup,Afuya tire la couette et laisse apparaître mon pénis à la vue de Lockie qui pousse un petit cri.
    Ayant le doigt sous son string, je ne peux rien faire et ma copine Afuya lui répond tout simplement
    - « Tu gagnes ça. La bite de Jouibrulance a regardé pendant que je le masturbe et que je le suce »
    Malgré le fait que je suis nu devant Lockie, je continue de stimuler le clitoris de Afuya »
    Lockie, que je sens désormais toute excitée me demande alors
    - « Tu peux te tourner vers moi Jouibrulance » sans se soucier si je suis d’accord ou pas.
    A cet instant,Afuya me retire la main de sa chatte, me dit qu’il faut partager et me retourne.
    - « Voila. Regarde cette bonne bite bien dure que je te montre. T’aimes ça hein. Regarde comme je le branle et comme il est bien quand je pose ma main sur son gland »
    Lockie me regarde droit dans les yeux et repose son regard sur mon pénis.
    - « Je peux ? » Lockie demande
    - « Bien sûr. Prend la en main bien fermement et pompe. Je suis sûr que Jouibrulance apprécie » Afuya lui dit tout en me jetant un regard coquin
    Je suis entouré de 2 belles créatures.Afuya à ma droite allongée et Lockie à genoux au bord du lit qui me branle lentement mais qui augmente vite la cadence.
    Après environ 45 secondes,Afuya descend du lit et passe à côté de Lockie et lui enlève sa culotte. Sa copine ne bronche pas et dis tout haut
    - « Jouibrulance a besoin d’une autre source d’excitation que ta main. Fais lui goûter ta chatte il adore ça. Moi je vais le sucer »
    Elle guide Lockie près de moi et sans broncher, je lui claque la fesse gauche et commencer à doigter sa petite chatte dégoulinante pendant que Afuya fait tournoyer sa langue autour de mon gland.
    Je vis un rêve éveillé et je glisse un « Je vous adore vous et vos petits culs de salope.
     Afuya me suce de plus belle en me faisant une gorge profonde et Lockie à les cuisses tremblantes. J’en suis désormais à 4 doigts alors qu’au début, 2 passaient tout juste dans sa petite chatte.
    - Lockie me dit d’un coup « Je veux une bite pour moi » ce quoi Afuya répond
    - « Montre lui qui domine »
    Je m’exécute.Afuya se retire et je force Lockie à se mettre à quatre pattes, la tête collée contre le lit, ma bite pointant droit sur sa chatte bien en l’air.
    - « Et toi lèche moi la chatte Lockie » lui dit Afuya alors que je commence à pénétrer tout doucement sa petite chatte bien rose qui ne demande qu’à être maltraité par mon pénis
     Afuya s’allonge sur le dos et Lockie hésite un instant puis commence à lui lécher la chatte tout doucement du bout de la langue.
    De l’autre côté j’avance tout doucement à l’intérieur de sa chatte qui mouille ma bite. J’atteins le fond. D’un seul coup, je lui agrippe le bassin et lui donne un grand coup de bite comme j’ai l’habitude de le faire à Afuya. J’augmente la cadence à 90 coups par minute et je sens Lockie trembler alors que Afuya semble jouir de plus en plus.
    Je n’avais jamais connu aussi serrer et il semble que Lockie, qui lèche désormais Afuya a pleine langue fasse un travail admirable puisque Afuya est déjà en train d’atteindre l’orgasme au bout de seulement 5 minutes alors que je mets habituellement 12 minutes avec ma langue.
    - « Oh c’est bon, oh c’est bon, ohhhhhhhh »Afuya atteint l’orgasme comme elle n’en avait jamais eu auparavant.
    - « Lockie est une déesse mon chéri » me dit elle
     Afuya me regarde la baiser et décide de passer la tête sous ma Lockie afin de lui lécher le clitoris et de jouer avec son plaisir.
    15 minutes plus tard, Lockie est au bord de l’orgasme. Ses jambes se dérobent et Afuya et moi sommes obligés de la retenir pour qu’elle ne s’effondre pas et que je puisse continuer.
    J’accélère désormais la cadence en sentant mon sperme montée. Lockie elle commence à crier et j’espère qu’elle ne va pas réveilleur ses parents qui dorment dans la chambre à côté.
    - « Ahhhh, je n’en peux plus Jouibrulance ! Arrête s’il te plait, j’y suis ! »
    Je regarde Afuya qui a le visage trempée de mouille et qui me fait signe d’arrêter. Je me retire et attend que Afuya vienne me sucer pour me faire éjaculer mais non. Elle retourne Lockie et lui dis de me sucer ;
    - « Mais il va m’éjaculer dans la bouche ? » Balbutie-t-elle
    - « Oui et tu vas aimer ça ptite cchnne!!! »
    Je lui prends la tête entre les mains et fais des mouvements de va et viens.
    Je sens que je ne suis plus très rien et l’idée de finir dans la bouche de Lockie m’excite.
    Le sperme monte et après qu’elle ait accéléré elle-même la cadence, j’éjacule dans sa bouche.
    - « Oh ouiiiii. C’est tellement bon »
    - « Avale maintenant et recrache pas mon jus de couilles » lui dis à toi.
     Lockie nous regarde et d’un grand coup, alors que le sperme débordait de sa petite bouche, elle inspire et avale en fermant les yeux puis me regarde avec un énorme sourire de Cochonne qui vient de se faire baiser par une bande de btards.
    - « Ça t’as plu ? » Afuya lui demande
    - « C’était génial, je veux qu’on recommence dès qu’on peut »
    - « Quand tu veux. Vous êtes vraiment deux belles salopes. J’ai envie de me faire sucer comme ça tous les jours »
    - « Bon maintenant au lit et j’espère que tes parents n’ont rien entendu »

    Nous nous sommes rendormis avec ma main posée sur les fesses de Afuya et Lockie nue dans son lit, pleines de fantasmes.



     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Commentaires

    1
    js
    Samedi 26 Septembre 2015 à 20:27
    afuya et lockie, rendez-vous à 20h00 du soir précise pour vous faire s*domiser par Jouibrulance qui vous accompagnera en voiture.

    là-bas, Jouibrulance aura un bon plan avec vous deux, réunies comme des chi*nnes et qui baisent bien.

    Afuya, Lockie, préparez votre s*xe qui chauffe.

     
    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter