• STéAFfanie,Putain il est revenu.... i!i!i!

    Le voyeurisme, une passion !

    Je m’appelle Daisy.exe,(  j’ai 18ans ou pas ),et j’aime mater. On peut considérer que c’est une perversion comme une autre. Pour ma part, c’est une passion, voire une drogue ! Je suis totalement fidèle à Jouibrulance mais j’avoue adorer mater sous les jupes des filles, reluquer les fesses de mes copines bien roulées, repérer chaque décolleté plongeant qui passe à ma portée.

    Cette habitude, ce besoin, est en moi depuis la puberté durant laquelle ma timidité ma privé de pas mal d’occasions de conclure et où, finalement, je me contentais de fantasmer sur les courbes avantageuses de certaines filles et de coups d’œil volés au bon moment.

    Depuis j’ai pris de l’assurance et de l’expérience et je ne loupe jamais une occasion de reluquer une paire de jambe. Ou plutôt je ne loupais jamais une occasion car, à force d’aller trop loin, j’ai failli mettre mon couple en péril. Voici donc une série d’événements plus ou moins brefs de ma vie de voyeuse, tous réels bien qu'un peu romancés, et à la charge érotique très fortes pour moi. Je l’espère pour vous également.

    La première fois où cette habitude de mater m’a entraîné dans une situation inattendue et a achevé de me rendre accros, c’était le relais de la fete à jouibrulance, il y a maintenant plusieurs mois. J’étais alors célibataire et, comme tous les célibataires à le relais de la fete, j’étais en chasse ! Après quelques tentatives infructueuses auprès de jeunettes de mon âge durant le vin d’honneur, je plante mon regard sur une femme superbe, d’environ 30ans et apparemment mariée. Elle était assez grande, blonde, des seins de taille correcte et, en apparence en tout cas, bien fermes, un très beau cul et de longues jambes toniques et bronzées. Et le tout emballé dans une superbe robe noire, dont le haut était assez décolleté et le bas s’arrêtait à mi-cuisse. Les 20 derniers centimètres du bas de sa robe étaient en dentelle noire, si bien que même si elle n’était pas si courte que ça, ses jambes étaient presque entièrement nues par transparence. Elle attirait évidemment les regards, ce qui ne dérangeait à priori pas son mari qui d’ailleurs se comportait comme un mufle en lui claquant les fesses devant ses amis ou en faisant des allusions à leur vie sexuelle. Gênée, elle finit par s’isoler de lui et restait le plus souvent seule à boire du champagne.

    Si je peux vous raconter tout ça c’est que, depuis son apparition à la cérémonie, je ne voyais plus qu’elle. Je me mis alors en chasse de la moindre opportunité de voyeurisme. J’étais en face d’elle lorsqu’elle s’accroupit pour relacer ses chaussures de soirée et que l’intérieur de sa cuisse est apparu. J’étais là à chaque dois qu’elle se penchait en avant pour mater son profond décolleté, contempler une bonne partie de ses gros seins et constater avec excitation qu’elle ne portait qu’un redresse sein et que ses tétons étaient donc nus sous le fin tissu de sa robe.Au buffet, j’étais à côté d’elle pour profiter de la foule et lui caresser les fesses tout en demandant une flûte de champagne sans même la regarder. Bizarrement, elle ne réagit pas spécialement à cet attouchement furtif, se contentant de regarder autour d’elle. J’étais en permanence en érection à ses côtés.

    A un moment, je la vois assise sur un muret derrière la maison, fumant une cigarette, le regard perdu avec le sourire, vers Miss Smicy Sunday et CocoroTsubomi qui discutaient leur aventure avec Jouibrulance. Assise ainsi sur ce bas muret, ces jambes croisées sont presqu’entièrement dénudées et j’ai aperçu à deux reprises un bout de sa culotte lors d’un changement de position. Elle me rend fou et, l’alcool aidant, j’ai de plus en plus envie d’aller la draguer… Après avoir hésité environ 200 fois, je me lance et vais lui demander une cigarette (précision : je ne fume pas…) en essayant d’engager la conversation :

    - Vous semblez vous ennuyer ? La soirée ne vous plaît pas ?
    - C’est surtout mon mari qui  les connaîs, moi non…
    - Moi pareil, ce sont des amies de Jouibrulance.
    - Daisy.exe…, au fait
    - STéAFfanie, enchantée.

    Je ne savais plus qui dire, d’autant que j’avais du mal à ne pas fixer ses seins et ses jambes, quand le destin me donna un coup de pouce. Kaguya , ¤,chocolia qui parlaient avec les autres filles m’aperçut et vint me sauter dessus en criant « JOUIBRULANCE !! ».

    Je profite donc de me bagarrer et de chahuter avec lui pour me mettre au niveau de jambes de STéAFfanie qui sourit, attendrie par cette scène. Entre deux coups que je fais semblant de donner sur la tête de Elinae, je jette un coup d’œil à l’entrejambe à deux mètres de moi et reste hypnotisé par ses cuisses et cette culotte que j’aperçois par intermittence. Elle croise et décroise les jambes en encourageant Fabule à me taper et relève ainsi l’intérieur de ses cuisses. Régulièrement, elle tire sur le bas de sa robe pour l’empêcher de remonter trop haut ce qui, pour moi, augmente encore un peu plus l’érotisme de la scène.

    Ce petit jeu dure un moment alors que je pense, à tort, être discret. Car STéAFfanie me regarde maintenant avec un regard bizarre… A la fois complice et malicieuse. Je ne comprends d’abord pas mais, alors que je doigts la chatte ✖Ʀนɓγ мɑgįе28✖ au plus loin pour l’embêter, c’est elle qui se lève et va l' embrasser de partout. Mais au lieu de plier les genoux, elle se baisse en tendant ces fesses en ma direction. Le bas de sa toute petite robe se soulève alors jusqu’à révéler le rond de ses fesses et un peu de sa culotte qui, manifestement, est un string. Je crois faire une crise cardiaque en voyant cela… Elle se redresse et, sans réajuster sa robe cette fois, laissant ses jambes totalement nues, se retourne vers nous et se penche pour redonner des embrassades à sombreloup en exposant à 50 cm de mon visage son décolleté plus plongeant que jamais. Je pouvais voir la quasi-totalité de ses seins : encore une petite crise cardiaque…

    elle JOUIBRULANCE...accord ?
    - Haaaa!!!, d’accord ! répondit innocemment Afuya .

    Puis elle se rassoit, croise très haut les jambes, révélant la totalité de son entrejambe et nous regarde à nouveau nous amuser. Mais alors que j’essaie d’être discret, elle m’aguiche en permanence, croisant et décroisant les jambes nonchalamment. Je matais sa culotte et ses cuisse sans réserve et sans discrétion aucune. J’étais sans aucun doute rouge comme une pivoine,

     

    i!i!i!

    et dans, mon boxer, dure comme du béton. Du coup, ma présence ne te gênait même siii!!!,ce matin à 09 heures et il ne comprenait rien à ce qui se passait à côté de lui et Je te demande donc de retourner discuter avec ses amies plus loin car je vais fumer et qu’il ne faut pas que tu reste à côté de moi. 

    c'est maintenant à Jouibrulance de prendre le relais et je redemande donc une cigarette à STéAFfanie. Je me penche vers elle pour qu’elle me l’allume mais je glisse à l’oreille.

    - Je sais que tu te doigtes beaucoup de moiS…allumant le bout de la clope.

    n'Est-ce pas toi?

    STéAFfanie...

    Baisse,toi ne sachant quoi dire, et ouvre la bouche :

    - … et je sais aussi que c’est toi qui m’a touché les fesses tout à l’heure !

    Je baisse les yeux, désolé et vaincu, croyant qu’elle allait me sermonner et partir. Mais jouibrulance me lève, me remonte le menton du bout des 2doigts.

    Ii!i!i!

    - Ne t’inquiète pas, ça ne me dérange pas… Essaye encore juste d’avoir un peu plu+s non discrète quand tu le fait…devant eux

    .............toux!!! Je vais te chercher une coupe de champagne…

    -Jouibrulance tu crois que tu pourrais me toucher au milieu de tes fans cochonnes sans te faire voir ?

    J’étais scotché, jamais je n’aurais osé espérer un truc pareil. Ce JOUIBRULANCE est, en fait, chaud comme la braise et m’invite clairement à continuer de me masturber et de le toucher.

    i!i!i!

    écrit donc à jouibrulance et envoi tes Messagerie SMS‎ sms sur son compte HOTVIBER de sa messagerie...et dite:mon histoire... Vraiment. Dx il écrira l'histoire de toi et tes amie très cchonne que tu m'as envoyer ...

    - Oh, oui ! Moi je suis entièrement d’accord !
    Dit une fan avec enthousiasme DX

    ...je retourne donc au buffet et s’insère dans la foule pour aller prendre un petit four. Je la suis, me place derrière lui pour demander une flute de champagne et commence à caresser Meowlina. Nous sommes entourés de personnes perverses de Jouibrulance.

     Mais comme toute monde s’agglutine, difficile pour quiconque de voir autre chose que le haut du corps des gens.

    i!i!i!

    Ma main, d’abord dans ton dos, descend discrètement vers tes fesses. Du revers de mon doigt, j’effleure ta colonne vertébrale, la suis jusque dans le creux de ton dos puis caresse du bout des doigts la courbe parfaite de tes fesses.

    Je touche,je caresse et masse un peu la fesse gauche, puis la droite, je glisse un doigt,2,3 dans le creux de tes fesses en suivant le string que je sens sous ta fine robe. J’essaie d’être discret et ne la palpe donc pas à pleine main. Mais mes doigts te font tout de même de l’effet car tu la sens frémir au moment où ils quittent ton fessier pour caresser tes cuisses nues. Je peux aller plus bas que mi-cuisses sans me pencher (ce qui ne serait pas vraiment discret) donc je remonte ma main coté intérieur vers ton entre-jambe et, alors que tu ne s’y attendait apparemment pas vu ton frémissement.

    Jouibrulance repasse aussi souvent sous sa robe,de tes amies, remonte le long de sa cuisse et viens lui effleurer son string.

    toi la lectrice celui-ci, souvent mouiller à ma grande surprise, est moite. STéAFfanie mouille et toi aussi abondamment du simple fait de mes caresses en public.

    Alors que mon doigte se fait plus insistant

    et j'appuie maintenant plus fort sur ton vagin,tu semble céder à l’excitation,..hein!???

    eEEt !!!

    mets!!! ta main sur mon sexe. Évidemment, je bande très dur depuis un moment et cela a l’air de te satisfaire. Moins discrète qu'elle...

    -elle?

    Elle, ton amies qui me palpe mon sexe à pleine main tout les jours et la caresse de tout son long. Elle semble apprécier la taille car, en effet, sans être Rocco, j’ai plutôt été gâté par la nature… La pression de son doigt sur ton sexe provoque d’humidification très nette du string, bientôt transformé en éponge.

    siiii!!!

    cchnnnnnnnnnneee!!!

    t'as js!

    et t'aimes sa!

    Voulant faire durer le plaisir, le sien en premier lieu, mais aussi le mien car toucher cette queue superbe te comble de joie et d’excitation,

    je n’essaie même pas d’écarter ton string pour atteindre ton sexe. Par contre, j’enfonce mon doigt dans le tissu qui pénètre légèrement et sans difficulté dans ton vagin et glisse plus en avant pour stimuler ton clitoris.

    Imaginez bien qu’il me faut le plus grand des selfs contrôles pour ne pas la prendre sauvagement sur la table du buffet, devant tout le monde,fans de moi...

    Jouibrulance et la faire hurler de plaisir. Car vu les soupirs discrets mais bien réels qu’elle laisse échapper alors que je la caresse, il est clair qu’elle-même se laisserait baiser ici sans contester…

    Nous sommes entré de notre bulle alors que le silence se fait pour écouter ta mouille, toi la lectrice qui me glisse avec un regard de braise :

    - Allons à l’arrière…

    Elle passe en premier et va se placer contre le mur de la salle, à l’arrière de la foule attentive et orientée vers toi. Je me place à côté d’elle...

    - Fais-moi jouir, à coté de ma meilleure copine qui va me chuchote-elle alors en regardant droit devant elle ses meilleures amies, comme si elle écoutait la musik en lalalalalala Jouibrulance.

     

     

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