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Par JOUIBRULANCE le 10 Octobre 2015 à 18:09
Deux jours plus tard, ma meilleure amie part en train. J’ai convenu avec elle que je passerais tous les jours en début d’après-midi pour prendre des nouvelles de son ami Jouibrulance et voir ce qu’il y avait à faire. Au cours des trois premiers jours, rien de bien sorcier puisque ma meilleure amie avait préparé quelques petits plats et que la maison était propre. Je passe cependant voir Jouibrulance qui me paye à chaque fois le café.
Lors de nos discussions, celui-ci me parait moins bourru qu’à l’ordinaire et il est même assez gêné que je vienne alors qu’il se sent tout à fait capable de s’occuper seul de la maison hormis la lessive.
Le 4ème jour, je commence réellement à travailler. Je fais tourner une lessive, je lave les graisses de la cuisine puis j’étends le linge pour le faire sécher. La plupart du temps Jouibrulance me regarde travailler. Il en profite pour discuter tout en posant souvent son regard sur mes fesses. Je le laisse faire car sa compagnie est finalement agréable et me remonte le moral. J’ai aussi l’impression qu’il essaye de me draguer sous sa façon humoristique et je rentre légèrement dans son jeu sans lui laisser trop d’espoir. Il faut dire que même si il est un beau soldat, l’âge ne l’a pas embelli notamment avec un ventre assez prononcé.
Je repars finalement vers 14h pour aller en cours et Jouibrulance me tend alors une enveloppe qu’il me demande d’ouvrir plus tard lorsque je serais seule.Je suis un peu intriguée par cela mais ne réfléchis pas trop et pars en bus.
Arrivée une ou deux minutes avant, j’ouvre l’enveloppe et découvre des billets de 20 euros et un mot où il est écrit :
« Très chère Ptite Cchnnnnee!!!, il me serait tellement agréable de vous voir travailler en tenue plus féminine. Aussi, merci d’accepter cette somme d’argent en échange de laquelle vous porterez demain une mini-jupe, des talons hauts et des bas ou un collant noir très fin. Votre très cherJouibrulance. »
Inutile de vous dire que je reste abasourdie par cette demandei!i!i!
Et je ne cesse de réfléchir pendant ce temps à cette proposition.
Je ne pense pas du tout répondre favorablement à cela mais réfléchis plutôt comment échapper à cela tout en continuant mon travail. En cuisinant, je me rappelle que je n’ai même pas regardé la somme d’argent qu’il y avait dans l’enveloppe. Je retourne regarder celle-ci dans mon sac et m’aperçoit alors qu’il y a 10 billets de 20 euros soit 200 euros !
Etonnée Jouibrulance soit prêt à mettre autant d’argent pour simplement me voir habillée sexy.Tu es alors encore plus étonnée que ta meilleure copine...
Finalement, je repense à cela toute la nuit et l’idée commence à me plaire voire même à m’exciter. En milieu de matinée le lendemainJe me décide donc à jouer le jeu pour gagner un peu d’argent mais aussi pour voir la réaction de Jouibrulance, par curiosité.
Vers 11h, je file donc dans ma chambre choisir la tenue demandée.Travaillant dans des bureaux, achéte toi de nombreuses jupes mais aucune qu’on peut réellement appeler mini. Je m’oriente donc vers une petite robe noire de soirée qui en plus d’être la plus courte est également très moulante. En chaussures, tu choisis une paire d’escarpins vernis à talons aiguilles de 10cm que ta meilleure amie a mis qu’une fois là-aussi en soirée il y a plus de 2mois. Enfin, choisis un collant noir fin n’ayant jamais porté de bas.
Je mange en vitesse en midi puis m’habille pour être prête à 16h. Je décide également de me maquiller légèrement contrairement aux premières fois où je me déplaçais chez Jouibrulance.
Il est finalement 16h05 lorsque je sonne à la porte d’entrée de …CingléTU ES COMPLÈTEMNT CINGLÉ MON PAUVRE CONNARD
CELA N'A NI QUEUE NI TÊTE TU AS QUEL ÂGE ET UN SACRÉ CUL i MINABLE...
Une fois la porte ouverte, Jouibrulance me scrute de haut en bas avant de me sourire puis de me faire la bise. Il me flatte également sur ma tenue qu’il juge encore plus sexy que ce qu’il espérait. Je suis très mal à l’aise d’être ainsi habillée devant luiEt tu refuse le traditionnel café pour passer directement l’aspirateur puis la serpillière.
Jouibrulance s’installe dans son fauteuil et lit son journal mais tu vois bien qu’il passe plus de temps les yeux sur toi que sur son bout de papier.
Après une bonne heure de dur labeur, j’ai besoin de me reposer et surtout de m’assoir car je n’en peux plus de marcher avec ses talons hauts.Accepte donc de prendre le café proposé plus tôt. ( lectrice perverse )
Là, vous vous mettez à discuter : de moi
« -merci d’avoir laver le sol, c’est nickel !
- De rien, c’est mon travail.
- Oui mais quand même, c’est du travail bien fait. Et merci d’avoir accepté de porter une tenue qui vous va à ravir !
- Merci (rouge de honte bien sûr)
- Je dois t'avouer que je ne pensais pas que tu accepterais ce défi.
- Je dois aussi t'avouer que je ne m’en serais pas sentie capable et je ne sais toujours pas pourquoi j’ai accepté (répondis-je avec un sourire crispé)
- Parce que t'es une ptite Cchnnnnnee!!! qui aime jouer...Siii!!! c'est de toi je parle là!.
- Euh. Sans doute.
- D’ailleurs, puis-je te poser une question indiscrète ?
- Euh. Oui
- Est-ce que ce sont des bas que tu porte là ?
- Non, je n’ai pas de bas dans mes placards et je dois t'avouer que même si j’en avais eu, je ne les aurais pas mis.
- D’accord, ce n’est pas grave, ce collant habille très bien tes jambes. Je vais te proposer un autre défi. Si tu souhaite aller plus loin dans les jeux avec moi, je t'invite à venir en bas une prochaine fois.
- Quel genre de jeux ?
- Voyons, t'es une grande fille,t'as très bien compris de quels jeux je parle. Sur cela, je dois te laisser, , j’ai une course à faire. »chère voisine lola12345
Je rentre donc chez moi toujours habillée sexy sous le regard d’un jeune voisin quidoiGtS se demander pourquoi je suis habillée ainsi.Tu ne sais pas si c'est, le fait qu’il répète tout le temps ton prénom ou le timbre de ta voix mais tes mots résonnent en moi et provoque une excitation que je n’avais plus ressentie depuis bien longtemps. Au point tout simplement de sentir ta culotte se mouiller abondamment.Je décide de me changer pour mettre une tenue plus habituelle. N’y tenant plus, je profite du moment de nudité pour me caresser en pensant à ce que Jouibrulance aurait pu me faire s’il avait insisté…
Une fois redescendue de mon orgasme, je me dégoute à penser que mon voisin bedonnant puisse me caresser voire plus. Comment puis-je imaginer une seule seconde céder aux avances d’un Cinglé qui il y a encore quelques jours me paraissait des plus désagréables. Sans oublier sa copine qui est mon amie et qui passe un moment difficile de sa vie avec ce salopard.
Finalement, le quotidien reprend doucement le dessus. Le lendemain, nous sommes samedi.i!i!i!Son Ami Jouibrulance à la maison.Passe donc le voir une demi-heure ou pl+us....OO!!!Tu parais déçu de me voir arriver en jean. Je lui annonce que je ne viendrais pas le lendemain dimanche car nous avons un repas de famille et nous nous retrouverons le lundi après-midi.
Ce week-end sans trop voir Jouibrulance me permet de réfléchir et de me rendre à l’évidence. -Oui, je suis curieuse et joueuse et j’ai envie de Jouibrulance, ÂGE ET UN SACRÉ CUL i MINABLE..., autoritaire et non respectueux. Je ne pense qu’à lui à tout moment et ait envie de céder à la tentation.
En attendant, ce ne sera pas cette semaine. Jouibrulance est à la maison tous les soirs et rentrent parfois à la maison en milieu d’après-midi.Il sait bien que je travailleMais il va te falloir beaucoup d'audace et pas mal de courage pour lui expliquer pourquoi tu fais le ménage en mini-jupe à la place de ta meilleure Amies en ce mode ( habillement ) habituels...
Lundi matin, je pars faire des courses au supermarché... Après une courte hésitation, j’en profite pour acheter une paire de bas autofixants noir au cas où un jour j’aurais le courage de dire oui à Jouibrulance.L’après-midi, je vais chez lui en jean. Il me parait assez contrarié de ce signe montrant mon refus d’aller plus loin. Je travaille quand même en rangeant pas mal la maison. Je m’aperçois aussi que le frigo est vide et je lui demande de faire une liste de courses pour que j’y aille demain. Voyant qu’il n’aura pas grand-chose à manger ce soir, je l’invite à venir à la maison dîner avecDaisy.exe et #Coralie. Il en parait ravi car il se sent un peu seul.
Alors c'est toi sa copine de cours et tu dis que tu range sa chambre avant le soir,j’ai soudain une idée pour me faire plaisir ...C'est Moi ton hôte maintenant aussi : porte sa paire de bas pour me montrer que tu n'est pas tout à fait fermée à mes sollicitations. mets donc ses bas noirs avec une jupe en jean au-dessus du genou et des ballerines...En cette tenue qui te mettra la puce à l’oreille à ta copine voisine.i!i!i!Sais-tu queJouibrulance arrive assez tôt et se fait payer l’apéritif par la sœur de ta cousine pendant que je fais à manger pour tes amies.Les deux filles se connaissent bien et s’apprécient,le s'avais tu Jouibrulance?.
-Jouibrulance jette souvent un regard vers moi et surtout mes jambes. J’imagine qu’il tente de devinersi tu porte un collant ou des bas. Personnellement, je suis fortement excitée par la situation. Nous passons ensuite à table pour prendre l’entrée. A la fin, je me lève et commence à débarrasser pendant que je demande à Daisy.exe d’aller nous chercher une bouteille de vin au garage. Jouibrulance profite alors de son absence pour m’amener son assiette et alors que je suis penchée en avant dans le lave-vaisselle, passe sa main derrière ma cuisse pour la remonter sous sa jupe. Ce geste me surprend un peu mais je le laisse faire connaissant son intention.
« C’est bien fais pour ta gueule Cottecotte d'ètre une bestiole ce qui me semblait que tu portais des bas. Tu es une sacrée Grosse Salope quand même de les porter pour lui derrière le dos de ta meilleure amie. Tu vas voir, on va bien s’amuser demain !».
Après ces quelques mots qui m’ont donné un coup de chaud. Jouibrulance profite juste de la fin de soirée pour récupérer mon numéro de téléphone au cas où il aurait besoin de m’appeler…le repas se termine Anormalement. ( lectrice perverse ) très remonté..1 commentaire
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Par JOUIBRULANCE le 10 Octobre 2015 à 15:38
i!i!i!
à quoi ça sert d'apprendre les maths?... sur ses cours, malgré tes conseils, mets cela ont ne l'entends pas. .... Pourquoi ne pas me laisser aller à mon rythme surtout quand ils ...Je n'ai jamais redoublé et je ne veut pas redoublé .....Et souvent, quand on fais une bonne année,.....l'élève passe du maître unique à une multitude de cours et d'enseignants. ... Apprendre à mieux gérer son emploi du temps permet souvent d'être plus efficace.
Mais tu refuse d'entendre raison pour un redoublement et tu ne veux en aucun cas qu'on suivre une seconde année pour ne pas se retrouver ...
ètre premier sera soutenu par tes cours particuliers qui lui permettront de combler les nuits?
bien grave de redoubler c juste qu'il nous faut plus de temps pour apprendre ET passé cette année… .... Si la deuxieme année tu ecoute bien en cours bah tu auras beaucoup ...
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Par JOUIBRULANCE le 10 Octobre 2015 à 14:51
les "ptiteSCoch012nneJsouir" Cela te donnera une bonne indication sur ce que tu doigts par jours ... Plus tard, tu trouveras une personne qui t'aimeras peut etre ... i!i!i! Pourquoi Jouibrulance préfère que tu devines ? ...
Malheureusement tu doigts dire que oui en cette version
Mets en fète complètement d'en modifiée pour ètre choquer ta tête devenu blonde.
La version originale, restée jusque là secrète, est bien plus...que brune.Mets, parce que je sais que tu est une des ptites cochones,livrer à la Jouibrulance.car c'est comme cela qu'on la nommait
Il était une fois, une ptite Salope qui se promenait dans la forêt. Jolie en ses jolies yeux, une robe rose et d'une paires chaussures verte, elle allait rendre visite à sa grand-mère..
c'est de toi je parle là,tu descend du bus et je vais à sa rencontre; je ne l'ai pas fait le matin pour ne pas la retarder, mais là je pense qu'elle a un peu de temps à m'accorder:
Tu chantonnait le long du chemin bordé d'arbres, suivit de quelques oiseaux à l'oreille fine.
Le paysage n'était pas très varié, des arbres, encore des arbres... la route semblait interminable
Jusqu'au moment où elle arriva à une clairière qu'elle n'avait jusqu'alors jamais remarquée.
C'était-elle trompée de chemin ?
i!i!i!
siii!!!
Elle a trop jouis,je pense!
Impossible pensa t-elle, il n'en existait qu'un.
Dans cette petite clairière se tenaient trois maisons. Il n'y avait qu'une possibilité à ses yeux : quelqu'un avait construit ces bâtisses depuis sa dernière visite la semaine dernière.
N'étant pas si pressée, elle décida d'aller les voir de plus près.La première maison était faite de paille.
Elle poussa la porte, et découvrit qu'il en était de même à l'intérieur. La table, la cuisine, le lit... tout était en paille. Sur le lit, elle aperçut un Pervers,Alors mon canard, tu es fâché ? Je t’ai attendu toute la matinée et tu n’es pas venu voir ta "môman" ? J’ai été vilaine en cours et tu voulais me punir ? Laisse-moi me faire pardonner.
-Et je suis tombé sous le charme d'une jeune convive,sans oser l'aborder qui tenait son sexe dans sa main.
- Bonjour, c'est un plaisir de te revoir!
- Excusez-moi, on se connait? Il me semble vous avoir vu, mais je ne sais plus où.
- On était au même mariage il y a un mois.
- Ah oui, je me souviens.
- Je vous ai remarquée parce que tu étais très belle. J'aurais voulu faire un petit film de toi, mais je n'ai pas osé et en te revoyant je le regrette.-Il fait un peu frais,c'est ça, vous allez bien?
- On ne peut mieux, puisque tu es là. Tu permets que je te tutoie?
- Oui, bien sûr. Vous avez votre appareil?Tu n'en aurais pas une à m'offrir?
- Ah non, désolée.
- Tant pis pour moi, j'aurais tenté. Au revoir jolie fille.
- Attendez. Je n'en ai pas, mais si veux je peux poser pour toi.
- Et tu ferais ça juste pour me faire plaisir?
- Oui, mais aussi parce que j'aimerai prend des photo de toi!...
De moi?lors je te laisse me photographier autant que tu veux
Si tu le veux, mais tu me donneras un exemplaire de chaque prise.
Elle s'approcha alors, eux quelques frissons.
-Je lui dit, l'air de rien, que je l'avait remarquée parce qu'elle avait l'air de s'ennuyerJe restais assis sur la chaise, tu ne participais pas. et dit: alors c'est moi à ta copine des premiers voisins
connais tu d'autre personne à part ta meilleure amie...Je suppose qu'elle est en cours?
-Et tu te mets en planque devant chez elle et de bonne heure en plus.( la lectrice perverse )
i!i!i!
Je la vois sortir et se diriger vers un arrêt de bus. Je la suis là, jusqu'à mon bahut, et me planque à nouveau en fin d'après midi pour surveiller son retour.Je le lui montre pour répondre à sa question, lui dit que l'on a de la chance puisqu'il fait soleil, et on se dirige vers un coin du parc sans trop de passage. Elle pose dans toutes les positions, debout, appuyée sur un arbre, assise sur un banc, puis assise et même allongée dans l'herbe rase et sèche qui ne risque pas salir sa tenue. Je la prends sous tous les angles, fais des dizaines de vues, et on stoppe la séance. Je lui dit que je mettrais tout sur une clé pour la lui donner, mais elle veut déjà les voir et insiste devant mon premier refus embarrassé. On s'assoit sur un banc et je lui passe mon appareil.
Je n'ai pas à lui expliquer le fonctionnement, les jeunes connaissent tout des nouvelles technologies, bien mieux que les croulants de ton âge. Elle défile les images, s'attarde sur une première, et encore plus sur une autre. Ce sont des gros plans que j'ai fait, d'une cuisse qu'elle dévoile entièrement, puis de sa petite culotte que l'on aperçoit:mais sans plus.et de quelques gestes fit tomber sa robe.
Le cochon fort excité l'allongea sur la paille, et entreprit de lui faire l'amour.
Ah, c'est pour cela que je ne veux pas te les montrer!tes un petit coquin!
- Excuse moi, mais l'occasion fait le larron. Ce n'est ma faute si tu m'offres de jolies vues.- Oui, c'est vrai...
Tu vie seul?
- Oui, mais dis moi, c'est indiscret comme question! Est-ce que je te demande si tu vis seule?
- Non, mais je peux te le dire, je vis chez mes parents. Par contre si tu vie seul, on pourrait aller chez toi pour faire des photos coquines, puisque ça semble te plaire.
- Je ne demande pas mieux, mais tu ferais ça toujours pour rien?
- Non, j'espère une petite récompense.
- C'est bien ce qu'il me semblait. Et tu veux quoi?
- J'ai envie de te sucer.
- Et bien ça au moins c'est direct. Tu dis ça à tous les inconnus que tu rencontres dans les bois?
- Non, et puis tu n'est plus un inconnu.Tu me plais bien, et je suis sûre que tu as une grosse queue.
- Ca, pour le savoir ma chérie, il y a une condition. Tu as quel âge?- 18 ans et 3 mois.
- Tu es sûre! tu fais bien jeune.
Elle me montre sa carte d'identité qui confirme ses dire.
- Ok, je ne vois pas de raison de refuser.
- Alors c'est oui! Emmenez moi chez toi avant de changer d'avis.
On part, et elle me tient la main se foutant des regards des passants. On marche jusque chez elle,on discute, et elle veut bien me tutoyer. Elle me fait des confidences, m'avoue qu'elle n'a pas un copain mais des copains, et qu'elle les suce tous, en tête à tête, ou en partouze. Je la laisse se dévoiler sans oser commenter.
On est chez chez ses parent absent et on va direct au salon. On s'est déjà fait nos plans: elle me suce, on fait des photos, elle me suce à nouveau. C'est ce qui était prévu!Il était vraiment très endurant et ne voulait rien épargner a une petite femme,il l'a alors prise en levrette et il l'a possédé et saillie comme une chienne.
Il s'est retiré de sa chatte sachant que qu'elle aimait la sodomie,il a commencé a la pénétrer par son anus.
D'une façon incroyable(l'excitation chez elle devant être a son comble)il lui a rentré la totalité de sa bite dans le cul avec une facilité déconcertante.
La il lui a littéralement défoncé le cul.je n'avais jamais vu son trou du cul aussi dilaté.
Il a commencé a accélérer ses grands coups de bite (tu n'était plus qu'un vide couille) et a un moment ses mains se sont crispées sur les hanches-Il était en train de prendre son pied et de se vider les couilles dans le cul et lui m'envoyais une énorme quantité de sperme ( n'ayant pas de préservatif car vous aviez fait les tests nécessaire).
le plaisir n'en était que Meilleur pour Moi et Lui.
Il s'est retiré et m'a invité a venir profiter <de cette petite salope>.
La je l'ai directement prise par le cul,ma bite est rentrée comme dans une chatte bien lubrifiée;tellement son orifice était dilaté.
Je n'ai pas mis longtemps a jouir tellement l'excitation était forte.
La nuit fut et nous l'avons baisé a nouveau (mon frère voulant en profiter au maximum).
Nous l'avons prise également a 2Quel plaisir de t'enculer et sentir la bite de mon frère qui pistonner la chatte.
Vous avez eu l'occasion de recommencer,mais sans doute jamais avec une telle intensité et une telle débauche.Le lit tremblait et tapait contre le mur. Si bien que seulement quelques secondes plus tard, toute la maison s’effondra.
Déçue, Tu se rhabilles, et laissa les salopards au milieu de la paille.Elle se dirigea ensuite vers la deuxième maison, qui était faite de branches. Elle poussa la porte, et comprit que l'intérieur l'était également. La table, la cuisine, le lit... Tout était en branches. Sur le lit, était allongé ton cousin, qui tenait son sexe dans sa main. Elle s'approcha alors, eux quelques frissons, et de quelques gestes fit tomber sa robe.
Je rentre chez moi prendre une douche, et me brancher sur Internet afin de me renseigner un peu plus sur les pratiques de domination. Je suis vite dépassé et un peu outré par ce que je découvre.
Le cochon, qui bandait fort, l'allongea sur le bois, et entreprit de la prendre.
Le lit tremblait et tapait contre le mur. Si bien que seulement quelques minutes plus tard, toute la maison s'effondra.Je discute un peu avec ma mère là. J’ai le sentiment d’avoir changé, d’être plus sur de moi, plus affirmé dans ma présence. C’est assez grisant là.
Puis je retourne dans l’appartement de ta cousine. Je me replonge dans sa garde-robe. Tentant d’imaginer comment ce petit tailleur peut lui serrer le cul, comment ce maillot de bain peut lui dégager les hanches, comment ce string peut parvenir à lui dissimuler sa chatte, comment ce fin soutien-gorge à balconnet peut parvenir à contenir la pression de ses seins. Mais ce sont ses strings qui m’impressionnent le plus. Imaginer que ces petites ficelles s’introduisent dans son cul, peut-être même dans sa fente, cela me plonge dans un abîme de perplexité et d’excitation.
Je passe mon temps à me caresser le sexe en pensant à elle.
Nous sommes mardi et j’ai normalement encore une dizaine de jours à passer avec elle. Maintenant, que je sais que je peux la faire jouir et qu’il semble qu’elle soit plutôt demandeuse, je ne souhaite pas perdre de temps comme hier soir.
Déçue, la jeune femme remit sa robe, et laissa le cochon au milieu des branches.Tu es tout de même intriguée par la troisième maison,je vois... elle s'y rendit. Celle-ci était faite de briques. Usant toute sa force, elle parvint à ouvrir la lourde porte. A l'intérieur, la table, la cuisine, le lit... Tout était en briques. Sur le lit, ce cinglé tenait son sexe dans sa main.
-, tu es là ?
- …
- …oui, visiblement tu es là. Alors comme ça j’ai été méchante ? Je m’excuse et je suis prête à me faire gronder.
Elle arrive dans sa chambre, et sans même prendre le temps de lire le mot elle se saisie de ses vêtements.
Mince, elle est en jeans moulant, et je la trouve super sexy comme cela. Tant pis, j’attends qu’elle se change.
Elle peine à lire le mot dans l’obscurité, mais fini par comprendre la situation et à se déshabiller.
- Dit-moi, cet appartement te réussit bien, je ne te connaissais pas aussi coquin. Je suis toute émoustillée. Je reconnais toutes mes fautes et j’espère que tu sauras me donner le châtiment que je mérite. J’ai encore mal au derrière depuis ce matin.Quelle salope !! Elle est totalement entrée dans mon jeu et je suis impressionné par sa perversité.
- Tu devrais plutôt faire sa chez une copine, me taquine-t-elle.
Sa remarque me blesse et me conforte dans l’idée que je dois faire quelque chose pour arrêter de passer pour l’attardé de service.Une fois sa jupe ajustée, je n’en peux plus, et avant qu’elle ne se saisisse de son chemisier j’interviens :
- Ca suffit, tu es trop lente, file au coin directement, appuie tes mains contre le mur et écartes tes jambesElle s'approcha alors, eux quelques frissons, et de quelques gestes fit tomber sa robe.
Ce cochon, tout aussi excité que les deux premiers, l'invita à la rejoindre, et entreprit de la coïter.Je m’aperçois qu’elle s’est glissée sous mes draps et qu’elle est toute nue.
Elle se met à 4 pattes et me tend sa croupe. Je suis émerveillé par les courbes de celle-ci.
- Allez, donne-moi la fessée, je le mérite… ne sois pas trop cruel, ne me fait pas attendre… je suis là pour me repentir.
Elle souhaite que je lui donne la fessée !! Tous mes repères s’effondrent. Je m’étais fait une idée plus « classique » de nos premiers rapports. Timidement je lui caresse les fesses. Elle agite celles-ci et me jette un regard suppliant.
- Allez mon grand, je n’ai pas été sage. Il ne faut pas la laisser faire n’importe quoi. Frappe-moi !
La tension monte en moi, je ne suis pas préparé à ce genre de situation. Tout se brouille dans ma tête. Je ne vais pas être à la hauteur. Du brouillard surgissent des appels : « frappe-moi », « puni-moi »…
Je lui assène alors une violente claque sur la fesse droite. Elle s’immobilise se retourne vers moi visiblement très surprise. Sans vraiment m’en rendre compte, je poursuivis avec une seconde claque sur sa fesse gauche. Elle gémit.
- Hou mon coquin, tu ne m’as jamais corrigé comme ça… ouuiii, continus, j’ai dû être vraiment très méchante. Aiiiee… Humm, c’est bon.
Je n’en reviens pas, elle semble apprécier que je lui donne la fessée. Du statut de fautif, je passe au statut de Juge. Cela rend ma présence ici plus confortable, moins angoissante. Un sentiment de puissance, d’immunité commence à poindre en moi. Je reprends un peu mes esprit et continu de lui asséner quelques claques plus douces.
Elle retire sa tête qui était enfouie dans les draps, se tourne vers moi, et me lance avec un air où je sens la gêne :
- Non, plus fort, comme tout à l’heure, c’était… c’était trop bon…
Je me déchaine alors et lui lance à la volée une série de violentes claques qui lui rougissent les fesses. C’est comme si j’évacuais toute la tension supportée ces dernière heures, en molestant cette pauvre femme. L’une de mes claques, plus lourde que les autres, la désarçonne et la plaque à plat ventre. Elle pousse un cri de douleur.
Je la vois avachie sur le lit, les fesses toutes rouge, ses cheveux courts en bataille, les cuisses écartées, haletante.
Je ne me retiens plus et je plonge sur elle en me plaquant sur son dos. Comme elle a les jambes écartées, je glisse mon bassin entre ses cuisses.
Mon sexe raide, entre en contact avec sa raie des fesses, et, un instant, je crois que je vais me vider sur elle.
Je m’agite ainsi sur elle en m’agrippant à ses hanches. Elle soulève un peu son bassin, glisse sa main entre ses jambes, attrape ma bite et la guide dans son sexe.Je suis en elle ! Je suis dans une femme, je suis un homme !
Pris dans ce tourbillon sensuel, tu ne parviens pas à commencer avec douceur comme tu l’avais vu faire dans certains de tes films pornos. Je t'assène de grands coups de bassins, incapable de maîtriser la tension et l’excitation qui t’envahissent.
Sourd à ses gémissements, je continue à la pilonner sans ménagement. Elle tourne la tête vers toi et je vois un filet de bave couler de ta gueule et ses yeux grand hagards tenter de me fixer avec des dent qui semble dépassée par la situation. J’ai tout à coup peur de ton comportement bestial. Je suis incapable de soutenir ton regard implorant plus longtemps, et tu m' attrape la tête pour me plaquer face contre le lit. Ce geste qui avait pour seul but de réduire mon sentiment de culpabilité, ne fait qu’accentuer encore plus le côté sauvage et brutal de ton étreinte.
Je tente de me débattre, et de me dégager, mais je m’aperçois très vite que cela semble être une sorte de jeu pour elle :
- Ho, oui, traite-moi comme ta chienne… Je suis à toi… Mmmmm… Défonce moiiiii.....
Ni le lit, ni les murs ne tremblèrent. Si bien que quelques heures plus tard, le rapport cessa enfin.
Elle fut été prise dans de bien nombreuses positions, et eut gémis de très nombreuses fois.
Satisfaite, la jeune fille se revêtit, et laissa le cochon épuisé dans sa maison intacte.L'histoire ne dit pas si la Ptite Cchnnnnee!!! a revisité la maison de brique du petit cochon, mais des rumeurs disent qu'elle a toujours le sourire en allant rendre visite à sa meilleure copine.
J’ai été vilaine comment ? Tu crois que je mérite une fessée ? Je suis vraiment une vilaine maman, et je crois que tu dois me corriger…
- Tiens, plutôt que de bailler aux corneilles, tu devrais surveiller le repas…
aucun commentaire
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Par JOUIBRULANCE le 10 Octobre 2015 à 13:17
Une étudiante taille une pipe goulue à un type pour le faire banquette du bus et elle caresse le clitoris pour jouir le plus son jus
aucun commentaire
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Par JOUIBRULANCE le 10 Octobre 2015 à 12:30
oo!!
aucun commentaire
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