• Juillet 2014, ma meilleur amie Agnès se fait plaquer. Je préviens Eric que nous passerons le week-end chez elle, lui tenir compagnie, et passe à la supérette nous équiper (vin, digestifs, clopes ...). Il nous y conduit à contre-coeur, mais au moins a-t-elle une piscine ... ce qui suffit à le convaincre.

    La journée est ensoleillée, mais quelques nuages s'imposent tout de même dans l'esprit d'Agnès.
    Je laisse donc Eric oeuvrer aux fourneaux, et sort nos bouteilles du frais. Un bon déjeûner, quelques histoires plus ou moins drôles, et au moins un sourire commence à poindre chez Agnès.

    Nous délaissons rapidement la table pour l'eau bleue et chlorée.
    Nous ne mesurons la chance d'Agnès que dans ces moments presque magiques : sa banlieue éloignée et si calme tient lieu de campagne, à nous autres indécrottables citadins. Tant et si bien qu'entre le déjeûner tardif, et l'après-midi à lézarder au soleil, nous perdons la notion du temps.

    Eric se propose de débarrasser la table, et s'occuper de la vaisselle, histoire qu'Agnès soit le moins rattrapée par le quotidien.

    Nous en profitons donc pour nous éclipser sous la douche, et enfin s'isoler pour une vraie discussion entre filles.
    Agnès peut désormais se confier ... Elle m'explique en gros que son couple a commencé à se déliter depuis quelques mois déjà, et que son ex la regardait de moins en moins. Lors leur dernière dispute, il lui avait alors balancé qu'elle n'avait pas de jolies fesses, ni une belle poitrine.
    Bien que je n'avais jamais eu d'expérience pour ou moins intime avec une fille, je savais qu'elle n'avait rien à envier à qui que ce soit.
    Je m'exprime donc avec mes mots, la rassurant du mieux à ce sujet, posant la main sur elle à l'occasion. Et finis par l'embrasser.
    J'hésite malgré tout, me sachant hétéro, elle-même étant ma meilleure amie ...

    Mon baiser amical semble lui convenir plus que prévu. Je pensais qu'elle apprécierait une marque d'affection, mais la sentant insister, ce sont désormais ses mains qui tenaient les miennes posées sur elle. Apeurée autant qu'intriguée (dirais-je excitée ?), je reconnais le désir monter en moi.

    Nous sommes interrompues par Eric, qui en a terminé de sa besogne, et souhaite prendre sa douche à son tour.
    Nous sortons alors, simplement vêtues de nos serviettes, en direction de la chambre.
    Ce n'est qu'une fois le robinet ouvert, que nous osons nous embrasser à nouveau, faisant tomber les serviettes sans traîner.
    Agnès sent mes réticences, et ne me brusque pas, mais sait faire preuve de toute la douceur nécessaire à mon égard.
    Je la sent qui guide mes mains sur sa poitrine, et je me découvre de nouvelles orientations, alors que je venais juste lui remonter le moral ... Sans laisser place à la panique, bien que pas sûre de moi, je la laisse faire, m'emmener plus loin encore, plus bas.
    Je découvre comme une fleur éclose, au coeur chaud et gras, et pourtant accueillant. Je me risque à l'aventure, tentant de découvrir son bouton au jugé, comme j'avais appris à le faire pour moi, la faisant frissonner et se cambrer comme jamais je ne l'aurais imaginée.

    L'espace d'un instant, une sueur froide me rappelle Eric, sortant de la douche à son tour.
    Agnès comprend, jette un oeil vers la porte de la salle d'eau, et garde ma main sur elle "Il peut se rincer l'oeil, çà ne me dérange pas"

    Le choc !
    D'un côté, ma meilleure amie ouverte de tous bords, de l'autre mon homme en approche.

    Je n'ai pas le temps d'y réfléchir, Eric ouvre la porte et nous voit du premier coup d'oeil, Agnès offerte à mes doigts et à son regard.
    Elle gémit, m'indiquant ainsi le feu vert pour la suite.
    Je m'exécute alors, jetant de temps en temps un oeil sur Eric, qui n'en rate pas une miette.

    Mes doigts élisent domicile en elle, elle frémit, gémit toujours plus. Je sens des spasmes en elle, elle ne va pas tarder ...c'est excitant
    Eric s'approche, se déshabille, et s'assied à mes cotés.
    Je lui embrasse la poitrine, la caresse, son souffle se raccourcit, elle halète, jusqu'à se contracter, et jouir dans ma main.
    ... qu'elle amène à sa bouche, ne sachant moi-même que faire de son "témoignage"

    Nous recouvrons à peu près nos esprits, et nous retrouvons tous 3 déboussolés, nus et excités comme jamais.
    Agnès se pose enfin, se détend, un grand sourire aux lèvres (toutes, vraiment toutes d'ailleurs ;))
    Eric, lui, semble un peu frustré, toujours au garde à vous ... j'entame de le soulager à la main, puis me penche sur lui pour le prendre en bouche. Agnès profite alors de notre état à tous les 2 pour me surprendre, et me glisser un gode, sans préliminaire aucun.
    Je crois que j'ai joui très vite, Eric me suivant de peu.


    Voilà ce qui fut ma première fois avec une femme.
    Pas très académique, mais où est la norme en sexualité ? ...

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  • Je m'appelle Chucky et j'ai (18ans ou pas), je suis en première dans un lycée privé strictement réservé aux filles, ce qui n'est pas pour me déplaire vu que j'ai toujours été attiré que par les femmes

    L'établissement dans lequel je suis a toujours eu une certaine "réputation", genre que les professeurs et le personnels ainsi que la direction s'adonnerait a des perversions lesbiennes entre elles ou sur des élèves. Il arrivait des moments ou quand vous passez devant certaines salles vous entendez des bruits de jouissance, comme si que certaines personnes passait vraiment "du bon temps"

    Dans cette établissements les punitions était administrée par tout le personnels et encadrant, et les punitions pour toute sortes de mauvais comportement était très originales, moi je n'avait jamais été punie, mais des amies a moi qui l'avait été m'avait raconté les quelques punitions sexuelles auxquels elles avaient eu droit, et on peux dire que tout y passait, entre le léchage de chattes a répétitions, sodomie aux godes ceinture, fessées... on peut dire que ces femmes profitais bien des élèves.
    Il m'est d’ailleurs arrivé d'entrer dans le bureau de la proviseur et de la voir en train de "punir" une élève par la sodomie au gode ceinture juste pour un retard, cette vision m'avait autant choquer qu’exciter...

    Bref revenons a nos moutons, ce que je vais vous raconter c'est passer un mardi matin, étant malade la veille je n’était pas aller en cours, et le lendemain je suis revenu normalement, nous étions en cours de philo quand la prof Madame Velázquez, une très belle femme de trente ans a demander le devoir qu'elle avait demander de faire la veille, moi qui ne l'avait pas fait j’expliquais a la prof ma situation, celle ci me répondit :

    - Je ne veux pas entendre tes excuses chucky , tu n'avait cas te renseigner auprès de tes camarades

    - Mais madame ce n'est pas ma faute

    - Ça suffit Chucky, tu sera punit viens immédiatement sous mon bureau et que sa saute

    - Quoi ??? mais madame sil vous plait non...

    - Dépêchez-vous mademoiselle ou je vous dénonce a la directrice et vous savez bien qu'elle ne vous rateras pas

    J’étais donc coincer, je me dirigeas donc vers le grand bureau de la prof, celle ci me faisant de la place de manière a ce que je puisse y passer et ré entra bien au fond du bureau avec moi en dessous , c'était un grand bureau ou on ne pouvait voir ce qui s'y passait en dessous, mais vu la manière que certaines de mes camarades de classe regardais la situation, il est certains que quelques une d'entre elle imaginais déjà des choses pas très catholique si vous voyez ce que je veux dire...

    J'étais donc la sous le bureau de la prof quand elle dit :

    - Bien chucky tu va rester la pendant tout le cours sa va te servir de leçon vilaine fille, les autres ouvrez votre livre a la page 13, Mélanie lis nous le texte...

    Tandis que ma camarade lisait le texte pour tout le monde je remarquais que je pouvais voir sous la jupe de la prof, cela m’excitais a un point que des idées perverses me parcoururent l'esprit, n'écoutant que mon courage je me mis a essayer de sentir l'odeur de son entre jambe, et la surprise, madame Velázquez ne portait pas de culotte, était-ce un oublie ou avait elle prévu de faire passer une élève sous son bureau pour satisfaire ces pulsions je ne pourrais le dire, quoi qu'il en soit j’étais de plus en plus exciter par la situation, et ayant été punie injustement je décida de me venger.

    Madame Velázquez prit la parole pour faire le cours, ce fut a ce moment que je lui caressa sa jolie chatte, elle poussa un petit soupir, mais ne réagit pas pour ne pas que les autres élèves ce pose des questions, du coup je commence a lui lécher la chatte a pleine bouche, je crois que ca lui plais vu la manière qu'elle parle :

    - Demain.... vous.... vous ferez... les.... exercices de la page.... page.... OH MON DIEU OUI heu pardon page 17... Et donc... l'auteur du.... du... du récit nous... nous parle de...

    Je jouais avec la prof en lui suçant, léchant et lapant le clito de plus en plus fort dès qu'elle essayais de prononcer le moindre mots, ce qui la faisait arrêter de parler a chaque fois. Les bruits de suçons parcourait la salle et était de plus en plus fort. Madame Velázquez avait de plus en plus de mal a respirer et a s'exprimer et cela m'excitais de plus belle.

    Tout d'un coup elle dit a une autre élèves de lire le texte, je compris que c'était pour ne pas avoir a parler vu que cela devenait de plus en plus difficile pour elle, et elle me chuchota d’arrêter ou elle me ferait punir sévèrement, mais ces paroles allait en contradiction avec son corps vu qu'elle glissa en même temps une main sous le bureau et la mis sur ma tête pour la pousser vers sa chatte comme pour m'encourager; soudain on sonna la fin de l'heure et madame Velázquez prononça un "OUF" de soulagement, mais une élève lui rappela que on avait DEUX HEURES de cours... a ces mots elles fit la grimace comprenant que elle était coincé avec moi entre ces jambes a lui laper la chatte tendrement.
    La dernière heures de cours ce passa de la même manière avec une madame Velázquez qui manquait de perdre connaissance a plusieurs reprise sous les travaux de ma langue sur son clito, elles me suppliait tout doucement de l’achever mais je ne le fit pas et je relâchait la pression chaque fois qu'elle voulait jouir et je repartait de plus belle, pauvre madame Velázquez, il ne fallait pas me punir aussi injustement, je tenais ma vengeance.

    La fin de l'heure arriva, la sonnerie retentit, les élèves sortait rapidement de la salle, personne ne savait ce qui ce passait sous le bureau de la prof qui n'osait pas ce lever, l'une d'entre elle, Cassandra, demanda a la prof :

    - Vous allez bien madame Velázquez vous avez bégayer pendant tout le cours en poussant des petits cris bizarres

    - OH MON DIEU NE T’ARRÊTE PAS.... OH OUI OUI répondit la prof visiblement l'esprit ailleurs.

    -M’arrêter de quoi ? demanda Cassandra sans comprendre ce qui ce passait

    - Rien, rien rien... sort de... sort de... sort de la salle Cas.... Cassandra

    - D'accord madame, heu chucky peux venir ? le cours est finit, et maintenant on as cours de math.

    - Non Cassandra, c.... c....chucky  ne peut pas venir.... elle.... Oh oui CE QUE C'EST BON,... elle est punie... Je crois même... que je vais... que je vais... que je vais rallonger... sa punition

    - Mais madame.... reprit Cassandra

    - SORT D'ICI TOUT DE SUITE CASSANDRA, lui cria madame Velázquez, dans un cri de plaisir très intense.

    Cassandra partit en courant sans dire un mot.

    C'est a cette instant que la prof me supplia de la terminer, et donc je m’arrêtas net la laissant sur sa fin et je lui dit :

    - Vous m'avez punie bêtement donc voila votre punition a vous, cela dit si vous êtes gentil avec moi dorénavant alors je peux passer sous votre bureau quand vous voulez et je partit en laissant madame Velázquez quasiment inconsciente, et ne pouvant même plus me répondre

    Les semaines passait et je me retrouvait très souvent sous le bureau de la prof qui trouvait tout un tas d’excuse bidon pour que je passe sous son bureau, même quand je ne faisait rien de mal.... sous son bureau elle laissait des mots spéciales pour moi du style "vas-y ma chérie au travail et tu auras une bonne note au prochain contrôle"
    Autant vous dire que j’étais motiver a lui sucer son clito dans ces cas la, et a chaque fois je la laissait au bord de l'évanouissement.

    Avec de tel avantage je me posa la question si je n'allais pas faire des bêtises exprès pour pouvoir passer sous son bureau... en passant j'avais 20 de moyenne en philosophie sans avoir fait aucun devoirs et en ayant juste été sous son bureau... Je suis la plus forte en cours de langue.

     

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