-Chiche !
 si à toi je parle là****qui sort de la douche, nue, prête à ce que sa copine veut. Ses seins sont encore durs après la légère masturbation sous l’eau. Et puis pourquoi refuser : elles se connaissent bien depuis le temps qu’elles cohabitent. Odile vient près du lit, monte une jambe sur le lit. Sa chatte est en vue de sa copine. C’est quand même la première fois qu’elle se montre ainsi. Elle allonge sa main sur le bas ventre. Elle tire pour bien montrer là où elle va se caresser. Claude la regarde intéressée. Malgré, ou à cause de sa demande, elle sa main est aussi sur son sexe.
Le clitoris d’Odile se montre naturellement. Elle ne pense pas à Claude et son regard fixé sur elle qui pense à la queue de Pierre, son amoureux. Elle la sent venir contre son mont de Vénus, plonger en elle. Il lui semble bien qu’elle se fait mettre. Sa main droite continue ses caresses, sa main gauche passe sur ses fesses. Un seul doigt suffit pour qu’elle réclame une caresse directe sur l’anus. Elle aime se faire sodomiser.
Claude commence elle aussi à se caresser le clitoris. Elle a sorti ses jambes du drap, enlève sa culotte pour finir en montrant sa chatte complètement.
-Je me branle annonce Claude.
- Je vais jouir déclare Odile.
C’est vrai à l’instant elle part dans des spasmes incontrôlés, avant de s’écrouler sur le lit, presque sur Claude.
C’est une première entre les deux filles. En tombant sur le lit, Odile entraine Claude vers elle. Sans un mot, comme une chose normale, elles s’embrassent sur la bouche. Leurs salives se mélangent. Les langues jouent un bon moment. Odile change de position, s’allonge vers le corps de Claude qui l’accueille simplement. Claude blottie sa tête sur le cou d’Odile. Quelques cheveux la gênent, elle les repousse d’un souffle. Ni l’une ni l’autre ne pensaient à ce qu’elles commencent. Le creux au ventre les renseigne sur leurs désirs. Ce n’est plus l’envie de jouir, c’est plus profond.
-Je te veux déclare Claude.
-Moi aussi.
Comme pour marquer son accord, le soleil jette un rayon sur les deux corps nus. Il souligne les ombres du corps des triades. La main droite d’Odile glisse sur le corps de son amie, pas encore son amante qui attend, les yeux fermés. Le sein caressé est frôlé lentement. Le ventre frémissant attend fiévreusement la suite. Elle se donne totalement. La fourche attend la caresse fatale. Enfin un doigt s’y glisse à l’avant-garde de la suite. C’est la première fois qu’Odile touche une autre fille. Sa paume découvre l’intimité d’une autre. Claude écarte les cuisses pire que quand elle se fait mettre par son copain. La découverte l’excite encore plus : elle veut la main sur sa chatte, sur son con. Enfin Odile commence la masturbation. Claude ne résiste pas au plaisir. Ses lèvres laissent passer des soupirs de plus en plus profonds. Elle a envie de masturber sa compagne, n’y résiste pas. Même si ses jambes tiennent la main qui la branle, elle arrive tant bien que mal à son tour à frôler la chatte de l’autre. Elle y sent l’humidité, pire que pour elle.
Elles accordent leur vitesse, leur pression. A ce jeux c’est Odile qui succombe la première. Elle en est même obligée d’arrêter ce qu’elle fait. Claude s’en plaint. Elle tient la main de l’amante, fait sortir un doigt, un seul pour son bijou. Il suffit pour le bonheur immédiat. Pourtant le doigtage est léger, trop léger pour suffire à la suite à la fin du plaisir. Quand elle se fait mettre par son copain il lui faut recommencer plusieurs fois pour avoir son content. Odile sort son doigt le change d’endroit pour entrer là où normalement les filles ne vont pas. Elle enfonce au grand bonheur de Claude une phalange dans le cul offert.
Quand Odile le désire, elle se tourne pour être mieux placée. Son doigt reste planté dans l’anus. Elle le sort juste pour la sucer un peu comme pour goûter. Sa langue se pose sur la chatte, la lèche en entier comme le ferai un chien. Elle fait recourber le clitoris, entre dans le vagin, se pose encore sur l’anus, sa cible du moment. Et Claude soupire encore plus fort quand elle jouit une énième fois. Elle en a profité elle pour lécher entièrement la chatte d’Odile qui ne s’en plaint pas du tout. Pour une première fois c’est un véritable succès.
- C’était bon, on recommence ?
- Quand tu veux ma chérie.
- Maintenant ,penses à moi quand tu te masturbe !!

Samedi soir, il est vingt heures. Je dors chez ma meilleure amie Mathilde comme quasiment tout les weekends. Sauf que ce soir, ses parents ne sont pas présent chez elle. Ils sont de sortis. Ils ont rendez vous au restaurant avec des ami(e)s pour un anniversaire. Donc ils ne sont pas prêt de revenir à la maison. Pour nous ce soir au programme, c'est films d'horreurs avec pop-corn dans sa chambre. Elle prend son ordinateur et met un film sur son ordinateur. Elle éteint la lumière et vient dans le lit avec moi pour être au chaud sous la couette. Durant le film, quelque chose la fait sursauter et sans le faire exprès, elle touche mon sein. Personnellement, j'adore. Sur le moment, j'ai comme un frisson de plaisir. Une sensation que je ne connais mais qu'avec les gars avec qui j'ai couché mais jamais avec une fille.

Je prends sa main et vient la poser de nouveau dessus, elle ne rechigne pas à la tâche. Au contraire, elle a même l'air d'apprécier cela. Elle commence à malaxer ma poitrine, je n'ai pas une grosse poitrine, malheureusement pour moi d'ailleurs. Je trouve qu'un 100B c'est trop petit mais je fais avec et les gars aiment quand même. De toute façon quels gars n'aiment pas une poitrine nue sur laquelle il peut lécher, mordre, serrer ou encore malaxer. Je ne sais pas si c'est sa première fois à elle de toucher les seins d'une autre femme mais en tout cas elle a le geste, tout en douceur, elle prend son temps. Elle me procure une sensation de bien être et de confiance. J'adore. Je la laisse faire, elle prend son temps et ça me va parfaitement.

Les minutes défilent et mon plaisir est toujours aussi présent, voir peut-être même encore plus qu'au par avant. Pour ma part, je souhaite plus que des caresses sur mes seins, du moins sur mon tee-shirt. Je veux que ça aille plus loin et qu'il n'y est pu cette barrière entre sa main nue et mon corps. Je veux qu'elle enlève mes vêtements et les siens. Je souhaite découvrir son corps, qui m'attire de plus en plus ce soir. Je ne l'avais jamais vu aussi beau que ce soir, jamais aussi attirant ! Elle est sensuelle dans son shorty noir, il lui va très bien. Ses fesses sont misent en valeurs dedans, le plaisir qu'elle me procure n'est pas qu'à cause de sa main sur mon sein mais aussi de la vue que je commence à avoir d'elle dans ce lit avec moi. Mon intimité commence à s’humidifier.

Ce moment bizarre entre ma meilleure amie et moi commence à devenir de plus en plus chaud, elle continu à me découvrir, à découvrir mon corps aussi... Elle pose sa deuxième sur ma cuisse, elle commence à me caresser, à remonter le long de la cuisse. Heureusement que je me suis rasée il y a quelques jours seulement, mes jambes sont encore assez douces. Je me laisse faire. Je la regarde, elle me regarde. Je la fixe, elle me fixe. Je m'approche d'elle, de son visage. Elle fait de même de son côté. Nos visages ne sont plus qu'à quelques millimètres l'un de l'autre. Nos lèvres sont presque en contact. Les secondes me paraissent longues comme des minutes. Quand elle me surprend à finir le geste, à poser ses lèvres sur les miennes et à m'embrasser. Ses lèvres sont douces. Sa main continu toujours ses caresses sur mes cuisses mais de plus en plus vite et haut. Elle remonte le haut de mes cuisses maintenant à la limite de mon entre-jambe. Elle me fait sentir que son envie est bien présent pour elle aussi et qu'elle aimerait aller plus loin et plus vite.

Très vite, elle cherche ma langue. Je sens ses lèvres s'ouvrirent, sa langue qui vient au contact des miennes et qui forcent peu à peu ma bouche. Je ne résiste pas longtemps à ses accoues de langue. Après nos lèvres, voilà que nos langues sont entrer en contact aussi. Une sensation de bien être se fait de plus en plus en moi. Je me sens bien avec cette femme dans mes bras. J'adore sentir ses lèvres sur les miennes. Le contact de sa peau sur ma peau.

Tout en s'embrassant, je commence à vouloir la déshabiller, je veux passer aux choses sérieuses. Je l'aide à aller plus loin mais elle bloque mon bras. Elle me pousse. Je me retrouve couché sur son lit, sous la couette toujours habillé de mon débardeur, de mon short et de mes sous-vêtements. Elle est exactement pareille.

Elle commence à enlever la couette que l'on a sur nous depuis le début du film. Me voilà, allongée sur le lit de ma meilleure amie en short et débardeur et surtout avec ma meilleure amie qui grimpe sur moi et me chevauche. La voilà assise sur moi, elle pose ses mains sur le bas de mon débardeur et commence à le monter tout doucement. Je la laisse découvrir mon ventre petit à petit. Ses mains passant sur ma peau, me fond des frissons. Je tremble un peu, car c'est une première pour moi. Je montre mon corps nue à une fille pour la première fois. Ça ne me dérange pas trop car c'est elle. Elle fait tout ce qu'il faut pour que je me sente à l'aise. Pour une première fois avec une fille, je prends mon pied pour le moment.



Elle continue toujours à me déshabiller, elle en arrive à ma poitrine. Voilà le moment tant attendu, je me montre maintenant en sous-vêtements devant elle... Mon débardeur tombe au sol, elle pose ses mains sur moi, sur mes hanches. Elle les remonte, elle les fait glisser le long de mon buste. Elle arrive à ma poitrine, elle remonte ses mains dessus et fait sauter très vite mon soutiens gorge, que quelques secondes ne lui suffise pour le faire. Je me retrouve seins à l'air devant elle. Elle vient déposer un baiser sur mes tétons qui commencent à durcir. Elle vient en attraper un avec ses dents et le mordille doucement puis un peu plus fort. Elle me fait un peu mal mais c'est excitant à la fois. Je la laisse continuer, je me surprends même à poser mes mains derrière sa tête pour qu'elle continu à le faire. C'est juste incroyable cette sensation avec une femme. Elle doit savoir ce que ça fait car elle sait y faire vraiment bien.

Tout en laissant ses lèvres posaient sur mes seins, elle continu à me déshabiller. Elle descend ses mains sur mon short, elle le déboutonne et le fait glisser le long de mes jambes. La seule protection qui me reste désormais est mon tanga. Il est de couleur léopard. Je vous dis pas dans quel état je suis. Quand elle m'enleva mon short, elle revient vers mon tanga, elle se mise assit dessus. Elle s'arrête de bouger et enlève elle aussi son haut. Je suis surprit quand je vois qu'elle ne porte rien en dessous. Elle a des seins juste magnifique. Je me jette pas dessus, je me retiens mais elle a une très belle poitrine. Elle prend mes mains et les déposent dessus.

Je suis excitée comme une puce, excitée à un point que je n'imaginais pas possible. Là ce que je souhaite tout de suite c'est coucher avec elle, elle me donne envie. Je ne la vois pu comme une amie mais comme une femme qui m'excite et avec laquelle j'ai envie de lui faire l'amour.

Elle me dépose un baiser langoureux, sa langue me donne toujours autant de plaisir. Elle s'arrête net. Elle descend doucement vers mon tanga, le retire. Elle prend son temps, trop de temps pour moi. Je veux qu'elle plus vite mais je me laisse faire à contre cœur. Elle arrive enfin à la fin, mon tanga passe enfin mes pieds, me voilà maintenant nue devant elle. Elle peut voir enfin mon vagin, nu devant elle. Elle pose ses mains sur mes genoux et m'écarte lentement mes cuisses.

Mon intimité est tout à elle, ça y est. Je la laisse faire ce qu'elle veut avec. Je la vois regarder ma chatte et se rapprocher de celle-ci. Elle est maintenant toute proche, j'arrive à sentir son souffle. C'est chaud....