•  Puppet Clem s'endort. Pas moi. Mes sens sont encore bien trop en alerte. Je roule sur le côté, prenant soin de ne pas la réveillée. Je rajuste mon maillot.Puppet Clem est une femme assez aguicheuse, sur sa serviette, est étalée sur le ventre, les jambes légèrement écartées, ce qui laisse voir sa toison et ses grandes lèvres suintantes de mon foutre. Je la trouve délicieusement impudique. Cette plage est très peu connue et fréquentée...

    certes, mais je prends la précaution de recouvrir son cul de ma serviette avant de descendre vers la mer. Je prends un long bain, nageant très loin. Mon cerveau est en ébullition. Qu'avons nous fait? C'était si bon de baiser ta mère, et en même temps si mal. Mon état d'esprit oscille sans cesse entre culpabilité et luxure. Je reste une demi-heure dans l'eau.

    Quand j'en sors, je vois que ta mère est réveillée. Elle a remis son bas de maillot, laissant ses seins nus. Elle est assise sur sa serviette, et, ses lunettes de soleil fichées sur le sommet du crâne, elle a le regard perdu vers le large, fumant une cigarette. Elle me sourit en me voyant arriver.
    -Alors, tu vois qu'elle est bonne!
    -Ouais...
    Comment peut-elle rester si naturelle, après ce qui s'est passé, alors que je suis dans un état électrique? J'ai envie de lui dire quelque chose, mais ça ne sort pas.

    C'est ta maman qui m'invite à m'assoir près d'elle en me disant:
    -Faut qu'on parle, mon chéri...
    -Certainement...
    -Tu sais... Ce qu'on a fait... On peut oublier ça tout de suite...
    -Oublier? Impossible,Puppet Clem . Tu me demandes l'impossible, tu m'as fait jouir comme personne!
     Elle baisse les yeux, cherchant à éviter mon regard, avant de me répondre:
    -C'était mal, Jouibrulance!
    -Toi... T'as pas aimé?
    -J'ai eu l'air de ne pas aimer? Franchement, j'ai pris mon pied mais...
    -Mais quoi? On y trouve notre compte tous les deux! On fait de mal à personne, tout ça reste entre nous!
    -Je ne sais pas...
    -Moi, je sais que je ne pourrai plus me passer de toi!
     Elle rit, l'atmosphère se détend un peu.
    -J'ai besoin de réfléchir, me fait-elle.
    -A quoi,Puppet Clem .. Ca veut dire que t'aimerais qu'on continue... A baiser ensemble?
     et elle se lève, commence à regrouper ses affaires en me disant:
    - Laisse-moi réfléchir... Ecoute, je vais rentrer. Essaie de me laisser quelques heures. Balade-toi, fais ce que tu veux, mais ne rentre pas avant 20heures... Ok?
    Je hoche la tête. Je la déshabille du regard tandis qu'elle remet son top. Et j'ai ce même regard vicieux posé sur son cul quand elle tourne les talons.

     Quatre heures à tuer. Ca va être long. Je commence par me rouler une cigarette. Je gamberge, m'impatiente. Je vais me baigner, plusieurs fois. Puis, pour passer le temps, je décide d'aller marcher le long de la côte et de rejoindre des lieux plus fréquentés. Je déambule le long des plages, en profitant pour mater les jolies filles qui s'y trouvent. Je commence à bander, mais rien à faire, toutes mes pulsions sexuelles reviennent vers une seule et même personne...

    Ta maman. Six heures et quart. Je n'en peux plus. Je roule encore une cigarette. Décidément j'abuse. Quand, j'arrive, à la maison, un petit quart d'heure en avance, je suis défoncé, excité, et bourré d'appréhension. J'ai hâte d'entendre ta mère, et en même temps j'ai peur de ce qu'elle va me dire.
    Je trouve ta maman dans le salon. C'est presque comme un choc, tant j'ai du mal la reconnaitre. Une pute. Voilà l'image que ta mère me renvoie à cet instant. Celle d'une vulgaire pute. Elle s'est maquillée outrageusement. Un maquillage chargé et sombre aux yeux, un rouge à lèvres tape-à-l'oeil. Elle porte un haut léopard, à manches courtes, très moulant, et dont le décolleté se situe entre indécence et obscénité. Elle a également mis une jupe fourreau noire, très courte, et des escarpins noirs également, à talons hauts.
    -Ah, te voilà!
    Elle s'approche.
    -Ca va?
    -Euh... Oui...
     Elle me dépose un baiser fugitif au coin des lèvres, puis s'en va vers la cuisine en me lançant:
    -Apéritif?
    -Oui...
    Ne pouvant dire un mot de plus, je louche sur son cul qui se balance sous mes yeux.
    -Pastis?
    -Euh... Oui, Pastis...
    -Assieds-toi, j'arrive...
    Je prends place dans le canapé, la vois revenir poser mon verre sur une table basse, près de moi. Elle me sourit. Penchée en avant, ses nibards me paraissent disproportionnés.
    -Et toi... Tu ne prends rien? Demandé-je, ma voix trahissant mon émoi.
    Et là, sur le cul, j'entends ta petite maman chérie me dire tout de go, en pointant un doigt sur mon entrejambe:
    -Hmmm, en fait, je crois que je vais me laisser tenter par un bon jus de couilles...
    Je suis tellement nerveux que j'en éclate de rire.
    -Merde, qu'est-ce-qu'il t'arrive?
     Ta mère rit à son tour.
    -Ben... Je t'avais dit que j'avais besoin de réfléchir... C'est fait...
    -Et, c'est tout?
    Je sens ma queue durcir.
    -A moins que tu aies changé d'avis?
    -Tu rigoles?
    -Bien... Je te dois tout de même quelques explications, je crois...Mais mettons nous à l'aise. Elle se penche sur ma bouche, et elle me roule une galoche gourmande. Ses lèvres ont un goût fort. Ta Maman sent la bite.

    -Pendant que je t'attendais impatiemment Jouibrulance,ma maman s'envoyait en l'air. Et elle avait pompé une queue.

    Ma Salope de mère. Ca t'excite.

    -Ma Maman... sens le foutre...
    Elle ricane.

    J'interromps votre baiser?
     
    -Oui...j'aime saisir ses seins à pleines mains.Tu voulais savoir si elle avais quelqu'un...

    Je sais qu'elle a beaucoup d'amants... Mais, il y'en a un, en particulier, qu'elle voix souvent et je l'entend, je vois souvent...que c'est toi!
     Et vous avez baisé, cet après-midi?
    -Oui...De toute façon, tu n'as pas besoin d'en savoir plus...
    -Mais je veux tout savoir de toi maman!
    -Tu sauras les choses... En temps voulu... Ne brûlons pas les étapes...

    D'abord, je veux savoir si tu es vraiment sûr de savoir dans quoi tu t'embarques...
    Je ne sais quoi répondre. Déjà,ta maman est en train de tirer sur mon short. Elle enlève en même temps mon caleçon, laissant jaillir ma pine au gland écarlate. Ta Maman s'agenouille entre mes jambes et empoigne ma queue de la main droite. Elle commence à me branler, doucement, et me dit:
     
    -...Ca te dit de jouer à un jeu... très pervers... avec moi?
    -Quel jeu Puppet Clem?
    -Le jeu du salaud et de la salope...
    Je ne peux réprimer un éclat de rire, avant de lui répondre:
    -Quelles sont les règles?
    -Les tiennes...Ton rôle, c'est de fixer les règles, le mien de les mettre en application...
     Ta mère a planté son regard libidineux dans le mien. Je sais reconnaître l'excitation sur le visage d'une femme. Et le visage de ta maman me dit qu'elle est excitée comme une chienne. Jouibrulance j'ai l'impression que mon membre palpite sous la divine caresse maternelle.(la lectrice)
     Elle veux jouer les salopes maman? Avec ton fils?
    -C'est pas ce que je suis en train de faire là?...

    Regarde Jouibrulance sa Maman respire plus vite, me branle plus vite, posant sa main gauche sous mes couilles qu'elle commence à malaxer.

    Tu vois bien qu'elle veux être TA salope, maman?
     
    -C'est mon souhait le plus cher, me répond-elle, sans baisser les yeux. Depuis que tu es devenu un homme, Jouibrulance...
    -Tu fantasmais sur moi, tout ce temps?
    -Oui, Jouibrulance... Tu sais, depuis.. Je baise à droite à gauche...Mais la personne dont j'ai le plus envie qu'elle me traite comme sa chose... C'est toi... Choqué?
    -Non...Excité plutôt...
    -Tu sais ce que c'est que la nymphomanie?
    -...Non...

    Tu crois savoir, mais moi je sais ce que c'est...Je le vis chaque jour...
    -Et?
    -Et chaque jour je me fais baiser et enculer par Jouibrulance. Plusieurs fois par jour. Et j'en veux toujours plus...

    Et çà ne te lâche jamais...toi la fille de Puppet Clem 

    Non... Ca fait si longtemps que tu m'a pas baisé Jouibrulanse

    Tu fais que ça à ma mère...

    et à papa ne me convient plus... Je ne jouis que dans les situations les plus...perverses... humiliantes...
    Je crois rêver. Des filles, j'en ai connu pas mal. Et certaines très cchnnes. Je suis très porté sur la chose, et je matte trop de pornos sur Internet, c'est certain.

    Et mon plus gros fantasme est d'avoir à ma disposition une parfaite salope, bien docile, qui écarte les cuisses sur un claquement de doigt. Je réalise à cet instant que cette parfaite salope, que j'ai tant cherché, je l'ai là, sous les yeux, et que c'est ta propre mère... Et toutes ces choses un peu cradingues, ces désirs bestiaux de sexe, et aussi de domination, je vais certainement pouvoir les mettre en pratique avec elle.
    Je ne dis pas un mot tandis que je profite pleinement des talents de branleuse de ta mère. Je prends mon verre, bois deux gorgées de pastis. Ta Maman tire le décolleté de son top vers le bas. Je vois ses deux grosses loches s'échapper mollement du tissu. Je me rince l'oeil de ces deux fabuleuses masses attirées par le sol. Puis ta mère me fait, sur un ton enjoué:
    -Dis-moi... Ca te tenterait un p'tit resto ce soir... J'ai pas eu le temps de préparer quoi-que-ce soit!
    -C'est sûr, t'as préféré t'envoyer en l'air plutôt que de penser à ton Mari chéri...
    Nous rions avant qu'elle ne me demande:
    -Tu crois que je suis une mauvaise mère?
    En prononçant ces mots,ta maman reprend ma bite en mains, accentue la pression de sa paume sur mon chibre, me malaxe les couilles plus fort. Elle se lèche les babines telle une chienne, me défiant du regard.
    -Je dirais qu'en ce moment tu es... Une très bonne mère...
    -Alors... Resto?
    -Ok!
    - Passe-moi mon téléphone, là, juste à côté. Merci...
    Ta Maman compose un numéro, active la fonction haut-parleur en me faisant:
    -Tu vas voir, je connais un endroit sympa... C'est assez loin mais ça vaut le coup...
     Elle pose le téléphone sur le canapé à côté de moi. Ca sonne. Pendant ce temps ta maman glisse ma queue entre ses seins, et se met à les comprimer de ses deux mains. Elle commence à branler mon gourdin entre ses nibards, quand on décroche. Une voix de femme se fait entendre:
    -Restaurant de..., bonjour.
    -Oui, bonjour madame, fait ta mère, j'aurais souhaité réserver une table pour ce soir.
    Elle me fait un clin d'oeil.

    Je n'en crois pas mes yeux.

    Ta Maman me fait une branlette espagnole du tonnerre, tout en conversant le plus tranquillement du monde avec son interlocutrice.
    -Attendez... Pour combien de personnes?
    -Deux personnes.
    La femme au bout du fil hésite, parle à quelqu'un à côté d'elle. C'est plus de temps qu'il ne faut à Ta mère pour qu'elle commence à me lécher, puis à me téter le gland, tout en accélérant la cadence avec ses obus. Puis la femme reprend:
    -Pas avant 21H00... Ca ira Madame?
    -Onhon, répond ma mère, la bouche pleine.
    -Comment?
    A regret Maman laisse s'échapper ma pine de sa bouche.
    -Oui, oui... Ca sera parfait...
    -Je réserve à quel nom?
    -Jouibrulance...et mll.... Clem
    J'entends que ta maman utilise à nouveau son nom de jeune fille...
    -Bien, alors à tout à l'heure...
    -A tout à l'heure!
    Fin de la conversation. Je dois être écarlate.
    -Ca ne va pas mon chéri?, me fait ta maman.
    -C'est que... Tu fais ça trop... trop bien... Je vais éjaculer si tu continues là...
    -Alors vas-y mon fiston... Soulage toi... Soulage toi dans la bouche de maman.
    Ta Maman accélère encore le rythme de la cravate de notaire. Elle me branle énergiquement, et à chaque fois que mon gland se pointe près de sa bouche, elle l'avale et le tète, comme si elle voulait aspirer directement le jus qui emplit mes burnes. Je n'en peux plus, je sens la sève monter.
    -Madame Puppet Clem'.

    Ooooh!!!! maman???, je pars !

    Hmmm !!! Hmmm, c'est booon ma fille.
    Au moment où ma mère a ton gros bout bien fiché entre ses lèvres, je mouille et tu commence à décharger ta semence. Maman aspire ton gland, les joues creusées, en profitant pour avaler ton sperme. Ton bassin est pris de soubresauts tandis que maman presse tes couilles,de batard 

    Et que ma pine s'engouffre plus loin dans son orifice buccal. Je vois du sperme dégouliner au coin de ses lèvres. Ta Maman lâche ma queue qui ramollit, et me souriant récupère le trop plein de jus avec son index, qu'elle introduit dans sa bouche. Et, sans un mot, juste avec son sourire de parfaite salope, elle me branle entre ses seins jusqu'à ce que ma pine ne montre plus signe de vie.
    -Ca t'a plus mon chéri ?
    -Oui. Mille fois oui,dit-je à ta  m'man !
    -Bien. Si tu allais te préparer. Le resto est à environ une heure de voiture.
    Elle se relève, remballe ses seins, pendant que je reprends mon souffle et mes esprits.
     Je vais aller prendre une douche.

    Euh. Maman. Tu as. un peu de sperme dans ton décolleté.
    -Ah ? Oui, j'avais pas vu.
    Elle rit, et je la vois étaler le liquide sur sa peau qui se fait luisante, avant qu'elle ne se lèche à nouveau les doigts.
    -Eh ben ? Qu'est-ce-que t'as à me regarder comme ça glousse t'elle, ma mère tu vois pas qu'il est encore dans la salle de bain ?

    C'est ta Maman qui prend le volant. Dans la voiture, l'ambiance est détendue. Comme s'il y'avait eu un déclic, elle et moi n'éprouvons pas de gêne particulière, après ce qu'il s'est passé. Je ne peux cependant m'empêcher de penser que, contrairement à moi, ta mère n'a pas fait un brin de toilette.

    C'est donc avec le goût de ton sperme en bouche, et ton odeur sur ses seins, qu'elle se rend au restaurant. Et dans une tenue tout de même très vulgaire. t'aime ça.non?
    Effectivement, l'établissement vaut le trajet. Très luxueux, et intime, la cuisine est excellente. Nous sommes placés dans le fond, sur une petite table ronde. Nous parlons de choses et d'autres. Tout, sauf de sexe, du moins jusqu'à ce que nous finissions le plat principal.

    Depuis votre baise cet après midi, c'est bien le seul moment où Elle ne pense pas au cul. C'est ma maman qui remet le sujet sur le tapis.

    Elle ne souhaite pas parler de vos fantasmes.

    Si!!!!

    coup un pied déchaussé venir discrètement au contact de mon entrejambe, et commencer à caresser ma queue au travers de mon jean. Ma réaction est immédiate, et ma bite commence à se sentir à l'étroit. Elle ne s'arrête pas quand le serveur vient nous apporter le dessert, me regardant d'un air effronté et malicieux. Ils s'échangèrent des baisers tout aussi tendre que quand ils mangeaient un gâteau moelleux.Puis notre conversation reprend, à voix basse :
    -Alors comme ça, me fait-elle, tu fantasmes sur les femmes soumises ?
    -Oui. Ca a toujours été mon fantasme numéro un. Mais. je n'exclue pas un jour me faire dominer par une femme.
    -Par moi ? Tu aimerais ça ?
    -Oui. Je crois. Et toi, ça te plairait de m'avoir .à ta botte ?
    -Pourquoi pas. Même si j'ai plutôt tendance à prendre mon pied quand on se sert de moi de manière. très virile.
    -Très virile, hein ?
    -Oui.
    -Cochonne.
    -Cochon !
    Nous rions, mangeons un peu de dessert.Ta Maman continue à titiller ma tige du bout du pied, cachée par la longue nappe. La conversation ne tourne maintenant plus qu'autour du sexe, et nous commençons à être sérieusement échauffés tous les deux.Ta Maman me confie son goût pour l'exhibitionnisme. Je crois avoir tout entendu quand, buvant son café,

    psss!!!!!: sa maman t'a demandé :
    -Et. L'uro. T'as déjà essayé ?
    Je manque de m'étouffer.
    -Euh. Non.
    -Tu aimerais ?
    -Maman.
    -Oui ?
    -Tu m'excites.
    -Hmmm, toi aussi,ma fille
    -M'man, en rentrant, je vais te défoncer avec ce fruit,vert...tu le vois là?.
    -Heuuummm!!!,çà,c'est vrai que t'aimes sa!!!C'est vrai ça ?

    -....

    La pression de son pied se fait plus forte sur mon chibre.
    -Alors, ne traînons pas trop, tu me mets l'eau à la bouche.
    Elle appelle le garçon, demandant l'adition.

    Je n'ai quasiment pas bu de vin, alors que ta maman, elle, ne s'est pas gênée. Elle est légèrement éméchée.

     Aussi, c'est toi qui conduis pour le retour.Sa fille...

     Je suis impatient, et roule un peu vite. Je n'arrive pas à penser à autre chose qu'à ce que je vais lui mettre, à ta mère, une fois à la maison. Quand je pense que ta salope de mère qui aime l'uro. Ta Maman me tire de mes pensées :
     ...Tu roules un peu vite.non?
    -Je toux!!!Oui. Tu as raison. J'ai tellement hâte d'arriver à la maison !
    -Moi aussi. Alors tâchons d'arriver en un seul morceau ! Ralentis. stp!!!


     Rouler trop vite, ou en se faisant pomper le noud, franchement, je ne sais pas ce qui est le plus dangereux. Toujours est-il que maman, penchée sur ton entrejambe,à l'arriére de la voiture et elle te suce ma queue pendant tout le trajet.pif!!!
    elle. Je veux garder bien vigoureux, c'est tout.J'ai quelque chose pour toi. qui te fera patienter.
    -T'inquiète.
    J'ai déjà craché ma semence par 4fois aujourd'hui, aussi je n'aurai pas de mal à me contrôler.

    Je n'en crois pas mes oreilles quand maman me sort :
    -Vas-y. Insulte moi un peu ma chérie. Traite-moi comme une petite traînée. Tu sais que j'aime ça.
    -Hmmm. Ok, m'man. C'est ce que tu veux hein, salope ! Petite pute. Suce,Jouibrulance, vas-y pompe le moi bien. Toi la Pétasse. Sac à bite !
    Cette dernière insulte la fait grogner de plaisir et ses lèvres se resserrent d'avantage sur ma hampe.
    -T'aimes ça, te faire traiter de sac à bite ?
    -Onhon. Oui. J'adore.
     - MADAME VOUS N'as pas un peu honte, quand-même ? Surtout par ton propre fils.La chair de ta chair.
    -Hmmm. Non. Même pas moi.
    -Tu devrais, salope. Sale putain, tu vas voir comme je vais te niquer en rentrant !

    (rire....)

    Il était temps qu'on arrive.

    Ta Maman est si experte que je n'étais pas loin de lui balancer le contenu de mes bourses en pleine tête.
    Nous sommes dans le salon. Je m'approche d'elle, la saisis par le poignet et la sers fort contre moi, ses gros seins juste sous mes yeux. Sans tarder je l'embrasse à pleine bouche. Ma main droite vient se glisser sur son postérieur, tandis que de la gauche j'entreprends de peloter sa poitrine. Le bassin de ta maman vient se frotter sur mon entrejambe. La main qui carressait son cul passe rapidement sous la jupe fourreau. Je découvre ainsi qu'en sus de ne pas s'embarrasser de soutien-gorge.

    Elle ne porte rien sous sa jupe.
    -Salope! T'es allée au resto sans culotte!
    -Ca t'excite mon chéri?
    -Carrément... Si j'avais sû, je t'aurais troussée directement dans les chiottes du resto...
    -Tu aurais dû...
    -Retourne-toi cchnnnnnnne!!!!... Retourne-toi et penche-toi que je voie ton cul...
    -Faut que je te prévienne... Tu vas avoir une surprise... Il y'a quelque chose d'écrit... Sur mes fesses...

    -Jouibrulance,c'est l'amant dont je t'ai parlé qui t'a laissé un message...
    -Attends... Tu lui as dit pour nous?
    -Oui...
    -Mais... T'es folle!
    -C'est quelqu'un de confiance...
    Je ne sais quoi répondre. Folle.

    Oui, ma mère est folle, et surtout folle de cul...

    Elle se retourne et tire sa jupe moulante vers le haut, me dévoilant son superbe gros cul. Sur toute la largeur du bas de son dos, juste au dessus de son arrière train, il y'a effectivement une inscription au marqueur. Les lettres sont petites et je dois m'approcher pour les lire. Et ce que je lis me consterne et m'excite à la fois. Ma pine, à l'étroit dans mon caleçon semble palpiter sous l'affluence du sang. Ma voix tremble lorsque je dis:
    -(lectrice)... Tu sais ce qui est écrit...


    -Non... Je n'ai pas réussit à deviner...
    Sa Maman est rouge pivoine. Elle est excitée, peut-être aussi un peu honteuse. Quant à moi j'ai bien du mal à croire à ce que je lis.
    -C'est qui ce type Jouibrulance? Tu vas me le dire à la fin?
    -Non... Non, pas maintenant...

    Qu'est-ce qu'il a écrit?
    -Tu veux pas me dire qui c'est,?

    Alors je te dis pas ce qu'il a écrit ma salope... Mais je vais mettre ça en application.


    Quand je pense que non seulement cette pute est allée au resto sans culotte, mais qu'en plus elle avait ça d'écrit sur le cul! Ca me rend dingue! Je mets une claque sur les fesses un peu flasques de ta maman.
    -Penche-toi en avant... Encore... Mieux qu'ça, traînée! Voilà.
    Je suis à deux doigts de perdre le contrôle. J'admire la vue qui s'offre à moi. Celle d'un bon gros pétard fait pour les sodomies brutales. Le trou du cul de Puppet Clem est cerné d'une peau légèrement brune, signe qu'elle a dû encaisser pas mal de bites par derrière, et il est entouré de poils noirs qui parcourent sa raie. Et juste au dessous, il y'a cette chatte. Cette grosse chatte velue et négligée,aux lèvres pleines, humides.

    Ta Maman est obscène.

    J'ai envie de l'enculer,

    sans préliminaires,

    brutalement,

    comme un salopard que j'ai fais à toi!

     Mais je me retiens. Je ne vais pas précipiter les choses. Je jette un dernier coup d'oeil à ses cuisses pleines, à ses belles jambes, et à ses hauts talons de pute.

     déballe ta queue,Jouibrulance et viens me mettre face à sa mère... le gland tendu vers elle. Toujours penchée au maximum, elle lève les yeux vers moi, me sourit et ouvre la bouche pour dire quelque chose.
    -Tu sais, je...
    Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase. Des deux mains, je l'attrape par les cheveux, de chaque côté de sa tête. Je profite que sa bouche soit ouverte pour y introduire violemment ma pine gonflée à bloc.
    -Ta gueule pouffiasse! Et avale moi ça!
    Je m'enfonce dans son gosier jusqu'à ce que mes couilles viennent au contact de son menton. Je ne me suis jamais senti dans un tel état. Je suis excité au delà du bestial et une flopée de sentiments divers s'empare de mon esprit.

    L'amour d'un fils pour sa mère est occulté par mon désir sexuel. Désir sexuel décuplé par le fait que justement, cette salope en chaleur que je suis en train de traiter comme telle, est ta propre génitrice. Et j'éprouve également un délicieux sentiment de mépris et de domination vis-à-vis de cette grosse pute de mère qui te pompe jusqu'aux burnes, et qui bave sur ta queue comme une chienne.
    -Ah tu veux de la bite? Tu veux être ma salope,aussi, hein? Tu veux être la pupute de ton fiston?
    sii!!!

    à toi, je parle là,(lectrice)...

    Tu pensais à qui?

    Etouffée par ma queue, TU me répond de manière inintelligible.Tu gargouille comme une truie, salivant abondamment, de grands filets de bave s'écoulant sur mes roubignolles.

    cchnnnneee!!!

    Je te lime aussi méchamment la gueule mes yeux rivés aux siens. Quelle vision d'enfer!

    Tout chez toi Jouibrulance est magnifiquement obscène:

    i!i!i!

    Regarde,regarde ses cheveux en bataille,ses yeux surchargés de mascara, sa grande bouche de suceuse distendue, et ses joues gonflées par mon chibre.

    Comme un enculé, je maintiens ta tête fermement et lui massacre la tronche jusqu'à la glotte , lui assénant de grands coups de reins.
    -Puppet Clem,.....Ben si t'en veux, de la tob, je vais t'en donner! Et plus qu'il n'en faut! Tu vas pouvoir t'en bâfrer, cochonne!
    Certes, j'en ai connu des Ptites salopes. Mais jamais je n'ai éprouvé cette envie animale de posséder et martyriser les orifices d'une femelle. Ma main gauche continue à maintenir la caboche de ta maman sur ma tige, pendant que de la droite je tire un peu plus sur sa jupe, afin de bien voir ses grosses fesses souillées de marqueur. Je commence à lui claquer le cul tout en continuant à lui baiser la bouche, tandis que ta maman est pliée en deux, le cul plus haut que la tête, et les jambes écartées.

    Soudain ta maman semble avoir un haut-le-coeur. Elle est à deux doigts de dégobiller sur ma pine. Je me retire pour la laisser respirer, sans lâcher sa tignasse. Elle a les larmes aux yeux, elle crachote. Je la trouve ridicule, immonde, et j'adore ça. J'ai envie de la mettre plus bas que terre, de lui faire mal. Je la gifle. Elle ne bronche pas. Je lui assène une deuxième baffe. Cette conne me sourit bêtement.
    -Ouvre la bouche sale pute!
     Elle s'exécute. Je me racle la gorge, et crache un glaviot bien gras qui vient s'écraser sur son nez. Je recommence, cette fois directement dans sa bouche. Puis je me mets à lui fouetter le visage de ma pine, sur les joues, le front ,les yeux, la langue. Puis je la fais mettre à genoux.
    -Enlève ton top!
     Ta mère obéit. Jamais je n'ai eu en mon pouvoir une salope aussi docile. Je regarde ses grosses loches, un sourire libidineux et concupiscent aux lèvres. Pendant un bon quart d'heure, je me remets à bourrer sa gueule à grands coups de bite, lui pinçant les tétons, lui mettant des claques sur le visage ou sur les seins.

    Comment çà??? Et pendant tout ce temps, maman n'émet aucune protestation.

    Quand je suis lassé, et que sa gueule de traînée ne ressemble plus à rien, je lui ordonne:
    -Bien... A quatre pattes maintenant! Dépêche connasse!
     Madame Puppet ...commença à la déshabiller petit à petit, puis il se déshabilla. Ses deux petits cachottiers commencèrent à faire l'amour... :]J'enlève mon pantalon et viens me positionner derrière elle. Sa cramouille dilatée suinte à outrance, un flot de mouille dégoulinant jusque sur ses escarpins. En matant son cul un peu gras je me réjouis d'avance en pensant à ce que je vais lui faire subir. J'étale sa mouille sur ses miches et son trou du cul. J'y enfonce un doigt. Ca rentre comme dans du beurre.

    Elle a dû en voir, des kilomètres de bite, sa grognasse de mère.

    Puis j'y enfonce mes deux pouces, que j'écarte lentement, lui dilatant la rondelle. Je force un peu.

    Maman,mais hurle.

    D'elle-même elle met ses deux mains sur chacune de ses fesses, favorisant la distension anale. Elle me tend son cul, la tête à même le sol. Ni une ni deux, je pointe mon gland sur son oeillet. En un seul coup de pine, je m'enfonce totalement dans son sphincter. Puis je me mets à la limer, en la traitant de tous les noms et en lui claquant le derche. Son gros cul est d'un confort inouï. Jamais Jouibrulance n'ai pilonné un trou de balle aussi large. Pendant que je lui explose le fion, ta maman se met trois doigts dans la chatte pour se la branler.
    -Oh, maman! T'es vraiment une grosse pute!

    Je vais te déchirer! Je vais le détruire ton trou de balle!
    -Oh oui! Vas-y! Vas-y mon chéri. Baise-moi! Baise-moi le cul. Fais moi maaaaal!!! Putain c'est bon mon fils!!! Vas-y plus fort mon salaud!!! Encore! ENCORE! OUI! OUI! OOOOHHH OUIIIII!!!!
    -SALOPE! SAC A JUS! PRENDS-CA! ET CA!
    Pendant dix bonnes minutes je défonce ta mère comme le dernier des porcs. C'est le plus crade et le plus beau moment de ma vie. Quand enfin j'éjacule, en sueur, j'ai l'impression d'éjecter des litres de foutre dans ses boyaux. Sans aucun amour propre,

    Maman hurle sa jouissance comme une cinglée, avant que vous vous affaliez l'un sur l'autre à même le sol. Encore haletante, ses yeux dans le vague... maman me demanda:
    -Qu'est-ce-que...j'ai écrit  
    Je souris:

    -Qu'est-ce-que j'ai écrit sur ton cul?
     -"Eclate-lui son gros cul de truie,Jouibrulance".

    Voilà ce qui est marqué, maman. Tu vas enfin me dire qui est cette personne qui te traite comme ça?
    -Oui, je crois que... Je crois que tu as le droit de savoir, maintenant... J'espère que tu ne seras pas choqué...
    -Après cette journée, je ne vois pas ce qui pourrait me choquer!
    Je dois avoir les yeux comme des soucoupes quand après, une légère hésitation maman me dit enfin:
    -C'est... C'est ton Cousin, ma chérie...

    A suivre... Si bien sûr cette histoire vous plaît, et que vos commentaires m'y encouragent.

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  • i!i!i!

    Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...



     Tu viens t'allonger sur moi...

    Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...

    ta bouche pulpeuse rencontre la mienne pour un baiser torride.

    Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...

    Je sens d'entrée de jeu ta langue se faufiler entre mes lèvres et je la mordille, avant de contre-attaquer. La mienne est bien plus aventureuse 

    Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...

    : elle investit ta bouche pour ne plus te laisser que la possibilité de gémir à ce contact langoureux.

    Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...

    Nos salives se mélangent et nos corps s'embrasent tant le désir est présent en nous. Nos mains ne mettent pas longtemps à entrer dans la danse et explorent en un rien de temps la moindre parcelle de peau nue qui s'offre à elles. De tes joues à ton cou, puis tes seins, avant de passer sur ton dos pour finir leur course sur tes jolies fesses rebondies, que j'empoigne fiévreusement.Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...

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    Un grand bruit d'éclaboussure retentit soudain dans le lac et nous coupe dans notre élan. Surpris, nous voyons une forme courbe sortir lentement de l'eau puis dessiner peu à peu une silhouette féminine qui s'étire en poussant un petit cri de joie. De longs cheveux vert feuille tombent en cascade sur sa peau et recouvrent deux beaux seins ronds à la pointe dressée. Le corps de cette créature idyllique n'est que sensualité et érotisme.Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...

    Cette nymphe inespérée nous aperçoit et glisse jusqu'à nous en émettant un petit rire clair et gai. Bouche-bée, nous la voyons s'avancer vers la berge où nous sommes allongés. Sa bouche humide vient s'emparer de la mienne sans que je puisse réagir.

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    Je suis d'ailleurs surpris que tu ne fasses rien, mais la nymphe ne te laisse pas en reste. Elle vient prendre possession de ta bouche comme elle l'a fait de la mienne et je te vois apprécier ce contact irréel comme il en fut de même pour moi.

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    Une chose est sûr : cette créature est une experte en matière de plaisir. Pas étonnant qu'elle n'apparaisse que pour les couples enflammés par l'envie de sexe et dégoulinants de sueur ...de sueur que tu aimes

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    cchnnnneee!!!!!

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    Tu te redresses, offrant ta poitrine aux mains froides et douces de notre invitée et découvrant du même coup ma virilité, jusque-là comprimée entre nos deux corps. Tu prends cette colonne de chair entre tes doigts pour la sentir palpiter et grossir jusqu'à prendre une taille impressionnante qui, je le sais, te rend folle.

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    Tout autant que la bouche de la nymphe qui te dévore à présent les seins pendant que tu me branles doucement. Nous gémissons en chœur ce goût de noisettes qui coule sur ta joue et la tension sexuelle monte encore d'un cran lorsque cette créature quitte ton corps pour s'attarder sur le mien. Sa langue humide se pose sur mon membre et je ne peux retenir un gémissement.Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...

     

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    À grands coups de langue, elle recouvre mon sexe de sa salive, ce qui facilite ton mouvement manuel de va-et-vient. Tu te mets alors à me masturber furieusement tandis que mon gland est à l'intérieur de sa bouche, et votre traitement me fait me tordre de plaisir et gémir de plus en plus fort. Si bien que je suis à deux doigts de jouir lorsque la nymphe se relève en se léchant les lèvres.

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    Elle s'allonge sur l'herbe grasse, exposant ainsi son corps gracile au soleil comme si elle voulait s'offrir à lui. À la place, elle te fait signe d'approcher avec un petit rire et j'ai déjà une petite idée de ce qu'elle a en tête.

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    Tu viens la surplomber de ton corps blanc superbe quand elle te fait comprendre de changer de sens. Je vous vois donc vous positionner en 69, chacune ayant l'intimité de l'autre à portée de langue. Sans attendre, elle vient goûter ton entrejambe qui ruisselle déjà de cyprine, ce qui te fait trémousser.Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...

    Voir ton cul se dandiner de cette manière en est trop pour moi et je viens, mon membre à la main, le présenter à l'entrée de ta chatte déjà toute ouverte. Encouragé par un coup de langue de la part de la nymphe sur toute la longueur de ma queue, je finis par l'enfoncer sans précipitation en toi, et tu la sens entrer progressivement jusqu'à ce qu'elle te remplisse, en long comme en large.
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    La bouche de la nymphe sur mes couilles et ton clito, la tienne sur l'intimité trempée de notre partenaire, je commence à te prendre doucement. Ma virilité entre et sort de ton antre et je m'efforce de contrôler mes coups de reins malgré l'excitation ardente qui fait bouillir mon corps. Je sais bien que, si je me laisse aller, il ne me faudra que quelques mouvements puissants pour jouir en toi et je veux te faire languir le plus longtemps possible.Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...

    De son côté, la nymphe gémit sans retenue et griffe tes fesses de plus en plus fort, appréciant grandement le traitement que tu lui fais subir. Ce goût de liberté qui te conduit vers le libertinage ... J'étais certain que tu es une ptite salope, tant pour avaler une bite que pour bouffer une chatte.
    siiii!!!!!,ta meilleure amie-voisine
    Ma queue grossit plus encore dans ton intimité et je la sors de temps en temps pour la donner à sucer à notre invitée. Celle-ci s'applique à y enlever toute trace de cyprine, buvant ta mouille goulûment. Elle est servie lorsque tu jouis puissamment, déversant ton plaisir jusque dans sa gorge, après les efforts conjugués de mon membre et de sa langue.Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...

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    Cet orgasme t'a terrassée et tu te laisses le temps de reprendre tes esprits en t'allongeant dans l'herbe. Mais mon sexe est toujours tendu et durci par l'envie, et la nymphe semble vouloir en profiter. Elle m'appuie donc sur le torse et me pousse dans l'herbe, à côté de toi. Ses longues jambes fuselines se posent de part et d'autre de mon corps, et elle est prête à s'empaler sur moi.

    Voilà maintenant 4 jours que j'ai un goût amer dans la bouche sans savoir pourquoi...

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    Dressée, ma queue n'a aucun mal à la pénétrer de toute sa longueur. Sa chatte est douce, trempée et incroyablement serrée. Elle compresse mon membre avec tant de force que les sensations sont décuplées.

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    Mon plaisir atteint un nouveau seuil que je pensais inexistant quand tu viens m'embrasser à pleine bouche. Tu me donnes aussi tes seins à lécher et je les dévore avidement, pendant que la nymphe me chevauche à un rythme soutenu. Elle saute et s'enfonce ma queue presque avec violence à chacun de ses coups de bassin. Ses petits seins fermes et ronds bougent en rythme avec elle.

    Je lui fais comprendre que j'aime ce qu'elle me fait en lui attrapant les fesses pour accompagner ses mouvements. Je m'autorise même à lui mettre une fessée, puis une autre en entendant son petit cri surpris de coquine. Nul doute que ça lui fait du bien d'être ainsi traitée.

    De nouveau excitée, tu en redemandes encore et, sans attendre d'invitation, tu viens t'asseoir sur ma bouche. Je ne me fais pas prier pour te lécher avec gourmandise et bientôt vos deux voix se mêlent dans un concert de soupirs et de gémissements, donc je suis à l'origine.

    C'en est trop pour moi, ma queue va exploser. La nymphe le sent et elle se retire de mon membre, qui luit de sa mouille. Après un coup de langue qu'elle passe sur ses lèvres, elle se penche et engloutit ma bite jusqu'au fond de sa gorge. Ma queue, jouibrulance t'enverra en mp des messages d'amour , se contracte et décharge des torrents de sperme dans sa bouche. Mes joues se gonflent sous la pression de ta semence chaude et abondante, qu'elle semble apprécier de sentir sur sa langue.

    Approchant son visage du tien, elle vient te rouler une pelle pleine de sperme brûlant pour te faire partager le goût de mon plaisir, et vous buvez toutes les deux ce que ma queue vient de gicler.

    Avec un dernier coup de langue sur ses lèvres et un petit rire, la nymphe nous quitte finalement et nous laisse épuisés dans l'herbe, le souffle court et le corps tremblant de plaisir…fallais t'ils qu'ont s'aiment encore et de laisser l'amour  prendre goùt amer dans sa bouche qui prend un bon goùt?

     

    2 commentaires
  • i!i!i!

     Jouibrulance est déjà là.
    -Bonsoir ma chérie, dit-il, ça va ? Ta cousine a appelé pour savoir si tu voulais enterrer sa vie de jeune fille samedi. Il y aura ta copine également.
    -Mais, elle sait que je suis cchnnnee!!!, répond Afuya, ça va finir à point d'heure. Je ne me vois pas en boite jusqu'à cinq ou six heures du matin. A moins que tu viennes.
    -Ah non, reprend Jouibrulance, c'est entre filles. Mais vas-y, tu sors jamais. Et puis j'ai confiance, tu es plus une gamine, ça lui fera plaisir.
    -C'est pas que ça m'enchante, mais bon, j'irai. On a rendez-vous à quelle heure ?
    -Au bar des sports, à vingt deux heures, je crois.
     Afuya, seule fille du groupe, est très sérieuse, très stricte sur les principes.
    Sa cousine va se marier, donc très sérieuse.
     Sa copine, c'est la bombe du groupe, ne reculant devant rien. Elle est avec un petit copain depuis un an. Elles sont vêtues d'une jupe et d'un petit haut, mais rien de bien sexy.
    Le samedi arrive.
    Au bar, tout est prêt. Boisson et petit buffet. rien ne manque. Toutes les copines sont là. Pas d'hommes. Vers minuit, ta copine propose une virée en boite. Mais, attention, c'est une boite spéciale. C'est une boite qui est réservée uniquement aux filles.
    Ouf, Afuya se sent rassurée.
    Elles arrivent en boite vers une heure du matin.
    Pour toi et ta Cousine, la surprise est totale.Ta copine, elle est habituée à ce genre de soirée.
    C'est vrai qu'il n'y a que des filles, mais une douzaines d'entraineurs, style chippendales arpentent la salle, une serviette nouée autour de la taille.
    La musique est franchement disco. Les filles sont déchainées.
    L'alcool aidant, la salle est en folie.
    Certaines filles, le bustier relevé, se font caresser les seins.
    C'est là que les hommes, taillés comme des dieux, rentrent en scène.
    Des femmes, habituées à ce genre de soirée, n'hésitent pas à passer leurs mains sous les serviettes.
     Afuya et sa Cousine, dansent sur la piste, se demandant ce qu'elles font ici.
    Un entraineur saisit ta copine par la taille, et, tout en l'embrassant dans le cou, lui murmure à l'oreille.
    Elle fait signe de la tête, et pousse le jeune vers un pilier.
    Elle ôte la serviette, et commence à le caresser. Quand son sexe est bien raide, elle se penche et le prend en bouche, pour lui tailler une pipe.
     Toi et ta Cousine sont sur le cul.
    Malgré tout, elles jouent le jeu, et continuent à onduler sur la piste.

    Deux chippendales les serrent, et se frottent contre elles.
    Les entraineurs passent leurs mains sous les bustiers, et saisissent leurs seins.
     Afuya se débat et passe une main en arrière pour repousser le danseur.
    La serviette est tombé.
    Elle rentre directement en contact avec le sexe imposant du jeune homme.

    -"Putain, se dit-elle, quel engin"

    Le danseur l'a tient plaquée contre lui. Afuya a pris la queue à pleine main, elle la sent vibrer entre ses doigts. Elle se surprend même à lui soupeser les couilles.
    Le jeune homme libère un sein, et glisse une main sous la jupe en jean de Afuya. Il écarte le string, et lui caresse les lèvres intimes déjà humides.

    i!i!i!

    Jouibrulance sait que c'est gagné.

    Elle se retourne et l'embrasse.
    -Prends-moi, lui dit-elle.
    Il l'entraine au bord de la piste. Elle se met toute nue, et s'allonge sur une table.

     Ta cousine suit le même traitement. Sauf que le couple est entièrement nu sur la piste.
     Et suce la queue du danseur, pendant qu'une fille lui caresse la chatte.

     Ta copine, elle, a déjà pris sa rasade de sperme au fond de la gorge. Un autre danseur a pris la relève. C'est elle qui est appuyée contre le pilier, et qui se fait mettre un coup de queue.

     Toi aussi

    tu décide d'en profiter. Elle a noué ses jambes dans le dos du mec qui lui lime la chatte comme un forcené.
    Elle saisit même un black qui passe devant la table.
    -Viens ici toi.
    Elle lui prend son énorme queue, et l'enfonce au fond de sa bouche. Elle entame une fellation. Au bout d'un quart d'heure, le trio hurle sa jouissance. Le sperme coule à flot.

     Ta cousine est empalée sur la queue d'un entraineur. Une fille, placée derrière elle, lui a saisit les seins, et fait rouler les bouts, durcit par l'excitation, entre ses doigts.
    Elle pense a son fiancé.
    -Pardon mon chéri, mais c'est tellement bon.

     Ta copine surprend Toi en train d'embrasser une fille, et jouer avec la queue d'un chippendale. Elle lui caresse les couilles, puis remonte vers le gland entièrement décalotté.
    Le trio se déplace dans un coin. Pendant une heure, le couple va te faire hurler de plaisir.

    La queue a changé dans la chatte de ta cousine. C'est en larmes qu'elle joui pour la dixième fois.
    Elle entend crier derrière elle. C'est ta Copine qui se fait gouiner par deux jeunes métis.

    Vers cinq heures du matin, les trois copines, épuisées, se retrouvent à la voiture.
    -Il faut qu'on se couvre les filles, dit Afuya. Si nos mecs apprennent ça, on est mal. Par contre, si on dit qu'on a été sage, ils seront bien obligés de nous croire. Et qui sait, ils nous laisserons peut être ressortir entre nous.
    -Pour moi, c'est d'accord, dit ta Cousine.
    -Super, poursuit ta Copine en prenant le volant, on rentre.
    -Tu veux qu'on se chatte, propose Toi à ta Cousine.
    -Si tu veux, passons derrière.

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  •          ;     ;                       
         ;            ; 
      O                ;
      II                 
     
    II                    ;
     OO tes ccahuettesont encore pleinne

     

    J'y vais t'en faire une surprise : tu peux donc mieux coiffer tes cheveux toi! que des ... Place à la coupe

     

    i!i!i!

    Ceci est une histoire mi réelle, mi fictive entre Afuya , Lockie et moi. Les noms ont été changés pour notre anonymat

    Tout a commencé l’été de mes (18ans ou pas)au camping. Se retrouver 3 semaines dans moins de 30m2 est toujours compliqué pour n’importe qui mais pour moi.Le fait de ne pas pouvoir faire l’amour avec Afuya c’était absolu insupportable me donnait des érections n’importe quand et l’absence de connexion internet pour regarder mes films porno favoris n’arrangeait pas. Tout ce que je désirais était de me branler furieusement sur quoi que ce soit et d’éjaculer le plus vite possible.

    Samedi matin, après près de deux semaines d’abstinence sexuelle, je l'a rejoint en vacances pour 1 semaine qui j’espère sera très torride vu le nombre de SMS endiablés que nous nous sommes envoyés. Je file dans la salle de bain avec une énorme érection matinale qui dépasse de mon short. J’enlève rapidement ce short qui colle au bout de mon pénis en raison d’un nouveau rêve érotique ou Afuya me donnait une fellation d’enfer. Une fois enlevé je me contemple dans le miroir, mon corps est plutôt musclé et bien en forme. Au bas du miroir, je peux voir mon pénis bien dur qui pointe plus que d’habitude. Laissé moi me décrire, je m’appelle Jouibrulance et je suis plutôt beau gosse. Mon pénis...suffit à donner à Afuya de superbes orgasmes.
    Je rentre dans la douche et l’eau brûlante coule sur mon corps. La vapeur d’eau se forme et très rapidement, de la buée apparaît. Je commence à me masturber légèrement et je me touche le bout du sexe comme j’aime bien le faire. L’excitation monte mais Afuya m’a demandé de se préserver pour elle et de plus, je suis assez bruyant et ses parents sont à côtés. J’écarte donc mes mains de ma bite et fini ma douche. Cependant je n’en peux plus, je veux glisser ma bite dans la bouche et la chatte de Afuya au plus vite.Je m’assis sur mon lit et observai ce si doux tissu dans ma main comme un précieux cadeau.
    Une chaleur exquise envahit mon bas-ventre, une torpeur s’empara de mes muscles et mon membre se raidit. Je ne pouvais que reconnaître que la culotte m’excitait. Je me sentais stupide, mais j’avais envie de sentir son odeur. D’un bras hésitant, je la portai à hauteur du nez pour en humer le parfum. Les arômes me firent tourner la tête. Je finis par me débarrasser de mon propre sous-vêtement et libérai mon sexe tendu. Ma main l’enserra délicatement et commença à glisser sur tout le long. Je me retrouvai à me masturber tout en respirant le parfum qui imprégnait la culotte de sa mére. J’avais honte, mais c’était si excitant !

    — Mais qu’est-ce que tu fais Jouibrulance?

    Cette voix me fit sursauter. Je jetai un regard sur le visage choqué de Afuya .

    — Non, attends, c’n’est pas ce que tu crois !
    — Mam… commença-t-elle à hurler.

    Je me précipitai sur elle en un instant et plaquai ma main sur sa bouche pour la faire taire. Je l’attirai ensuite violemment à l’intérieur et fermai la porte d’un coup de pied pour enfin plaquer Afuya sur le mur. Elle se défendit mais je la maintins en me servant de mon corps.

    — Ne crie pas, s’il-te-plaît. Je peux tout t’expliquer. Tu promets de ne pas crier ?

    Elle me répondit positivement d’un signe de tête. Je pris donc le risque de lui libérer la bouche.

    — Ne me fais pas de mal, implora-t-elle.
    — Te faire du mal ? Mais t’es cinglée ou quoi ? Pourquoi te ferais-je du mal ? Tu es ma copine, tout de même.
    — Je croyais que tu allais me… Tu t’es plaqué contre moi et…
    — Non ! Non ! réagis-je soudain en comprenant de quoi elle voulait parler. J’ai juste paniqué Excuse-moi
    — D’accord, se rassura-t-elle. Tu peux donc me lâcher. T’as ton truc pointé sur mon ventre.
    — Oh merde, désolé, obéis-je.
    — Et la prochaine fois, évite de m’obstruer la bouche avec la main qui tenait ta bi… ta chose.
    — Bon, écoute, encore désolé. Mais je te promets que ce n’était pas ce que tu crois.
    — Pas ce que je crois ? Tu n’étais donc pas en train de te branler avec la culotte de ma mére ?
    — Euh… Je te promets que c’était la première fois. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Écoute, Afuya, tu dois me promettre de ne rien dire à ta maman. Il ne faut pas qu’elle le sache.
    — Ne rien dire ? Mais t’étais en train de te branler…
    — Je t’en prie. Elle va me tuer si elle le sait.
    — Bon, d’accord. Mais toi, tu dois me promettre de ne jamais recommencer.
    — Marché conclu, m’exclamai-je, rassuré.Heureusement, j’avais échappé à la catastrophe cette soirée-là, mais je savais que ma relation avec Afuya risquait de changer irrémédiablement. Par contre, j’ignorais encore jusqu’à quel point.
    Je m’étais fait surprendre par  Afuya et j’en avais honte. Qu’allait-elle penser de moi ? Me prenait-elle pour un pervers ? Tiendrait-elle parole ou révèlerait-elle la scène qu’elle venait de surprendre ? Je me réfugiai sur le canapé du salon pour reprendre la lecture de mon bouquin afin de penser à autre chose, mais rien à faire, je ne parvenais pas à me concentrer sur la lecture. La scène me hantait l’esprit. Je décidai donc d’allumer la télé. J’observais d’un air absent les images qui défilaient sur l’écran tandis que je zappais.

    — Quelque chose ne va pas ?

    C’était sa mère. Elle venait d’arriver dans la pièce et avait remarqué mon air préoccupé. Elle avait toujours su quand quelque chose clochait.

    — Non, rien, mentis-je.
    — Il fut un temps où tu me disais tout ce qui te préoccupait, évoqua-t-elle en s’asseyant à côté de moi. Visiblement, ce temps est révolu. Je vois bien que ça fait quelque temps que tu te comportes bizarrement. Allez, viens faire un câlin...
    — Madame, me plaignis-je, gêné. Je suis trop grand pour ça.
    — Tss, rit-elle en se blottissant contre moi, nous ne sommes jamais trop grands pour ça. Tu ne veux peut-être pas me dire ce que tu as – et je respecte ton choix – mais tu n’empêcheras pas de consoler comme son fils par tous les moyens qui lui sembleront nécessaires.

    Je baissai les armes et acceptai ce contact.huummm!!!! C’était agréable de la sentir le long de moi. Son parfum fruité m’envahissait les narines et me détendait. Je choisis finalement d’afficher sur la télé une émission traitant de la guerre de Cent ans. La tête appuyée sur l’épaule de sa mère, j’avais une nouvelle fois une vue plongeante sur son décolleté. Je voulus détourner les yeux mais la vision était trop attrayante. Sa mère posa sa main sur ma cuisse comme elle le fais à son mari, mais ce geste avait une toute autre signification pour moi, maintenant. Ses légères caresses firent poindre une douce excitation.

    — Tu l’aime, mon chéri, murmura-toi (lectrice) doucement.


    ***
    est comme cela que nos discussions commencèrent à ce vous du soir précise. un tas de questions. Si je pour vous faire s*domiser par Jouibrulance qui vous accompagnera en voiture.Si javait fait espérer une histoire mais qui en fait jouait avec moi,
    bas, Jouibrulance aura un bon plan avec vous deux, réunies comme des chi*nnes et qui baisent bien.avais pris.

     Ta mère se renseigna aussi sur ce que j’aimais en général chez les filles. Elle voulut aussi savoir à quelle fréquence je me masturbais, et si c’était pareil pour tous les garçons. Elle fut d’ailleurs étonnée du résultat. Elle me demanda aussi de lui décrire comment je procédais.

    Tout au début, j’étais plutôt réservé de lui parler de tout cela, mais elle sut très rapidement me mettre en confiance et m’inviter à me livrer sans aucune entrave. Elle semblait vouloir tout savoir. Sa curiosité et son enthousiasme me firent baisser la garde, si bien que je finis par répondre à toutes ses questions indiscrètes. Très vite, j’appréciai ces moments où je n’avais pas à me cacher. Ça me faisait du bien de pouvoir parler de ces choses, et puis ça m’amusait de voir les réactions de ta Mére. Parfois elle était subjuguée par mes révélations ou étonnée. Parfois, et c’est ce que j’appréciais le plus, elle paraissait excitée par ce qu’elle entendait. J’étais heureux de réussir à lui faire ce dernier effet, et je finis moi-même par éprouver une certaine excitation à lui avouer mes secrets les plus intimes. Mon regard sur elle changea peu à peu. Elle n’était plus la gentille maman riante et parfois capricieuse : je la voyais plus grande cochonne!!! et lui avais trouvé un côté sexualisé. Son corps est bien métamorphosé au cours des précédentes années ; elle était devenue (une jeune femme) très attirante. Sans m’en rendre compte, je transférais les désirs que j’éprouvais pour ta mère sur toi.

    Et voilà qu’un soir elle me posa une autre question qui allait permettre de franchir une nouvelle étape dans notre relation. Toi et moi...

    — Et moi ?
    — Comment ça, et toi ? demandai-je en craignant la réponse.
    — Eh bien, tu as dit avoir fantasmé sur d’autres filles, mais aujourd’hui tu fantasmes principalement sur ma Mère. Tu dis la trouver belle. C’est vrai qu’elle l’est encore beaucoup malgré son âge. Moi, je ressemble beaucoup à maman bien que j’aie une poitrine bien plus petite, mais j’ai l’avantage d’être plus jeune. Et puis je semble correspondre à tes critères de beauté. Je me demandais donc si cela t’était déjà arrivé de fantasmer sur moi.
    Afuya, tu es sûre de vouloir savoir ?
    — Oui, ne t’inquiète pas. Je ne comprends pas encore tout à fait tes désirs, mais j’ai fini par les accepter. J’ai compris que ce n’était pas de ta faute, que tu ne les avais pas choisis. Alors ?
    — Pour être honnête, hésitai-je, j’ai déjà fait un rêve érotique là concernant.
    — C’est vrai ? Raconte-moi, s’il-te-plaît.
    — Oh, rien de bien original ! Elle venais de se faire larguer par ton pére et j’ai voulu l'a consoler. Nous avons fini par nous embrasser et nous caresser. Tu l'as ensuite proposé de me sucer et tu as offert de recommencer dès que je te le demanderais.
    — Ah ouais, carrément ! Et j’ai accepté comme ça ?
    — Oui. Je sais, c’est plutôt débile mais je n’y peux rien, ce n’était qu’un rêve.
    — Et alors, je me suis bien débrouillée, j’espère ? demanda-t-elle en plaisantant.
    — Je ne me souviens plus vraiment des détails, mais je sais que j’appréciais beaucoup. Malheureusement, je me suis réveillé avant la fin.
    — Et tu t’es branlé après en repensant à ton rêve ? poursuivit-elle avec un sourire espiègle.
    — Oui…
    — Tu m’as donc imaginée en train de te sucer ? me demanda-t-elle afin de me pousser à détailler.
    — Oui, je l’ai fait. Désolé, mais ce rêve ne me lâchait pas et je n’arrivais pas à retrouver le sommeil ; j’étais trop excité.
    — Ah ouais, il t’a autant excité ?
     
    Il y avait quelque chose d’étrange dans son intonation. La confidence que je lui livrais avait l’air de la chambouler, de la perturber. Visiblement, son esprit semblait traiter l’information à vive allure mais ne semblait pas parvenir à distinguer quelle serait la réaction la plus adéquate à fournir. Afuya semblait à la fois curieuse d’en savoir plus et gênée, intéressée et surprise, confuse et honteuse…
    En même temps, je pouvais la comprendre. Quel choc cela devait être pour elle, découvrir que Jouibrulance avait rêvé d’elle et s’était branlé ensuite. Indirectement, je venais de lui avouer qu’elle me plaisait aussi beaucoup. Ce que je n’avais pas précisé, c’est que depuis le début de nos conversations je fantasmais de plus en plus sur elle et que je m’imaginais parfois que les choses dérapaient entre nous deux et que cela se terminait au lit.

    Nous n’abordâmes pas ce sujet plus longtemps ce soir-là. Ce n’est que trois jours plus tard qu’elle me demanda plus de détails sur ce rêve et sur ce qui avait suivi. Je lui racontai donc comment je m’étais imaginé sentir ses lèvres coulisser le long de mon sexe, sa langue laper le gland et ses mains masser les bourses. J’inventai même les détails qui me manquaient. Bien qu’elle eût le visage empourpré, Afuya ne me coupa pas dans mon récit et m’invita à détailler un maximum. Je dois dire que raconter tout cela à toi ne me laissait pas indifférent ; l’excitation était grimpée en flèche et mon sexe avait pris du volume dans mon pantalon. Ce dernier élément n’était pas passé inaperçu aux yeux de Lockie.

    — Cela t’excite d’y penser à moi aussi Jouibrulance ? demanda Lockie pour confirmation.
    — Oui, avouai-je.
    — Tu te branlerais si tu étais seul ? ajouta-t-elle avec hésitation.
    — Je pense que oui.
    — Peux-tu me montrer, s’il-te-plaît… comment tu fais ?
    — Quoi ? fis-je, surpris. Tu veux que je me masturbe devant toi ?
    — Oui. Tu n’as qu’à repenser à ce rêve  et faire comme si je n’étais pas là. Moi, je reste à côté et je te regarde faire.
    — Es-tu sûre de toi ?
    — Oui, affirma-t-elle d’un ton ferme. Je verrai mieux comment vous faites… et puis j’ai besoin de vérifier un truc.
    — Vérifier quoi ?
    — Quelque chose, répondit-elle, mystérieuse. Tu vas le faire, oui ou non ?
    — Très bien, concédai-je. C’est d’accord.

    Ce qu’elle me demandait était incroyable ! J’enlevai mon maillot pour me mettre à l’aise et défis ma ceinture. Je m’allongeai sur son lit et essayai de me détendre. Bien que la situation fût excitante, se laisser aller était loin d’être évident. Lockie s’allongea à mes côtés et posa la tête sur mon épaule. Je pouvais sentir son corps chaud pressé contre moi, son souffle tiède dans mon cou et son parfum apaisant. Je dus fermer les yeux et laisser les images envahir mon cerveau. La suite fut plus aisée que je ne le pensais. Je défis mon pantalon et libérai mon sexe sous le regard attentif de Afuya .

    Ma main glissa sur mon ventre pour finir par caresser mon sexe afin de le raidir. Je puisai dans ma mémoire les restes de mon rêve. Je l’imaginais totalement dédiée à mon plaisir. Je fantasmais sur mes mains parcourant son corps et sur les siennes en train de me masser le sexe.
    J’étais maintenant bien dur. Je sentais ton regard fixé sur ma hampe. Comment réagissait-elle ? Était-elle excitée ? En tout cas, siiiii!!!.....t'es une sacrée vicieuse c’est ce que j’imaginais. C’était incroyable de me masturber en sa présence ; et le pire, c’est que c’était son souhait !

    Ma main glissait de plus en plus rapidement le long de mon membre, et le plaisir grimpait. Des images érotiques défilaient dans ma tête :  Afuya se caressant elle aussi, les doigts glissés dans sa vulve ; elle se pinçait les seins, son corps ondulait sous le plaisir qu’elle se procurait, son visage était radieux et sa respiration saccadée et bruyante. D’ailleurs, ce dernier point était réel : à mes côtés, le souffle de la véritable Lockie s’était considérablement accéléré depuis qu’elle avait découvert mon membre dans toute sa splendeur. Quoi qu’il en fût, j’étais sûr que le spectacle que je lui offrais ne la laissait pas indifférente.

     Ta demande insolite, les images dans ma tête, ta présence envoûtante, le fait que tu semblais apprécier, tout ça commençait à faire beaucoup pour moi. Il ne me fallut pas beaucoup plus d’allers-retours sur mon sexe pour offrir à toi une scène d’éjaculation.


     L’après-midi ma copine Afuya arrive et dès que je la vois, je lui offre un long baisé passionné accompagné d’une main sur ses fesses bien fermes.Ses seins sont assez petits mais sont en régales en mains. Par contre ces fesses sont toutes simplement exceptionnels : fermes, rebondies et lorsqu’elle porte un string taille haute, je tuerai pour les toucher. Je dois dire que beaucoup d'hommes les regardent dans la rue et j’aime ça.
    J’aide à installer Afuya avec une érection qu’elle remarque tout de suite et s’empresse de poser la main sur mon short. Elle presse fortement mon pénis entre ses mains et à cet instant, tout ce que j’ai envie de faire, c’est la prendre en levrette et la faire crier. Malheureusement, je sais que les parents vont bientôt arriver et mes ardeurs s’estompent.

    Je passe la journée chaud comme un lapin et la nuit arrive. Les lits sont trop petits pour dormir à 2 mais nous décidons au moins de passer un peu de temps ensemble dans le lit mais je sais pertinemment que nous ne pourrions rien faire car sa copine dort à moins d’un mètre de nous. Sa copine,Lockie, est petite et bien foutue pour son âge. Je sais que quand elle sort de la salle de bain en sous-vêtements elle est assez sexy... car je crois qu’elle a eu des copains.

    Nous sommes donc allongé sur le lit en pyjama, c’est-à-dire un short pour moi et une nuisette pour elle lorsqu’elle me demande qu’on passe sous la couette car elle a froid. Moi qui a déjà chaud lui demande pourquoi et elle me répond qu’elle a froid. J’accepte donc et nous nous agrippons sur la couette. Je pose ma main sur ses fesses et elle sur mon torse. Quelques minutes passent et je sens tout doucement ses doigts fins descendrent le long de mon corps pour s’arrêter sur mon short. Mon excitation monte et un sourire se dessine sur son visage lorsque je suis en érection complète. A ce moment elle commence à faire des va et viens et accélère
    - « Qu’est-ce que tu fais » lui dis-je
    - « Je te branle, j’ai envie de sentir ta bite dans ma main et ma chatte » me répond-elle en chuchotant pour que sa copine n’entende pas
    - « Arrête s’il te plait, j’ai pas envie que Lockie nous surprenne et le raconte à nos parents »
    - « Je m’en fous si on se fait prendre. Je veux te branler et que t’éjacules sur mon ventre » et sur ce elle reprend de plus belles
    Alors qu’elle commence à accélérer et que j’essaie de contenir mes bruits de plaisir, j’entends les draps bouger sur le lit d’à côté et Afuya sourit d’un coup. Elle accélère encore la cadence et je commence à ne plus pouvoir retenir mes soupirs.
    Et dans la seconde qui suit, Lockie me demande ce que nous faisons.
    - « Qu’est-ce que vous faites ? »
    - « Rien, rien, Afuya me masse » en répondant du tac au tac
     Afuya continue quand même à me branler avec un sourire coquin sur le visage.
     Lockie prend note de l’information et reprend son livre.
    Dans l’excitation je me surprends à caresser le string noir de Afuya qu’elle a mis sous sa nuisette et je sens qu’elle est toute mouillée.
    Me laissant prendre par le jeu, je commence à glisser un doigt dans sa chatte en tirant son string sur le côté ce qui la laisse pousser un grognement.
     Lockie rebouge à coté et je ne sais pas du tout si elle nous voit comme je suis allongé de côté dos à elle mais Afuya ne bronche pas donc je continue.
    Je la doigte et lorsque je sens que l’intégralité de sa chatte est mouillée, je remonte vers son clitoris sur lequel j’appuie fortement. Nous nous masturbons mutuellement et les bruits de plaisir se font de plus en plus insistants.

    - « Hé je sais ce que vous faites !! Arrêtez tout de suite ou je vais le dire à tes parents » nous crie t’elle
    Nous nous regardons et Afuya répond
    - « Qu’est ce qu’on fait ? On a bien le droit de se faire des câlins »
    - « Vous êtes en train de vous toucher ! Je vous ai entendu et je vois ses mouvements de mains à travers la couette »
    A ce moment-là, je préfére ... savoir que Lockie vient de nous surprendre pendant une sorte d’acte. Mais à ce moment-là, Afuya chaude comme la braise répond tout naturellement
    - « Et bien t’as qu’à faire pareil que nous ! Touche-toi ! ses parents doivent dormir à cette heure-là »
    Ce à quoi Lockie répond
    - « Et je gagne quoi là-dedans ? Je me masturbe depuis toute petite et je n’ai jamais vu le pénis de Jouibrulance dans m…. »
    D’un seul coup,Afuya tire la couette et laisse apparaître mon pénis à la vue de Lockie qui pousse un petit cri.
    Ayant le doigt sous son string, je ne peux rien faire et ma copine Afuya lui répond tout simplement
    - « Tu gagnes ça. La bite de Jouibrulance a regardé pendant que je le masturbe et que je le suce »
    Malgré le fait que je suis nu devant Lockie, je continue de stimuler le clitoris de Afuya »
    Lockie, que je sens désormais toute excitée me demande alors
    - « Tu peux te tourner vers moi Jouibrulance » sans se soucier si je suis d’accord ou pas.
    A cet instant,Afuya me retire la main de sa chatte, me dit qu’il faut partager et me retourne.
    - « Voila. Regarde cette bonne bite bien dure que je te montre. T’aimes ça hein. Regarde comme je le branle et comme il est bien quand je pose ma main sur son gland »
    Lockie me regarde droit dans les yeux et repose son regard sur mon pénis.
    - « Je peux ? » Lockie demande
    - « Bien sûr. Prend la en main bien fermement et pompe. Je suis sûr que Jouibrulance apprécie » Afuya lui dit tout en me jetant un regard coquin
    Je suis entouré de 2 belles créatures.Afuya à ma droite allongée et Lockie à genoux au bord du lit qui me branle lentement mais qui augmente vite la cadence.
    Après environ 45 secondes,Afuya descend du lit et passe à côté de Lockie et lui enlève sa culotte. Sa copine ne bronche pas et dis tout haut
    - « Jouibrulance a besoin d’une autre source d’excitation que ta main. Fais lui goûter ta chatte il adore ça. Moi je vais le sucer »
    Elle guide Lockie près de moi et sans broncher, je lui claque la fesse gauche et commencer à doigter sa petite chatte dégoulinante pendant que Afuya fait tournoyer sa langue autour de mon gland.
    Je vis un rêve éveillé et je glisse un « Je vous adore vous et vos petits culs de salope.
     Afuya me suce de plus belle en me faisant une gorge profonde et Lockie à les cuisses tremblantes. J’en suis désormais à 4 doigts alors qu’au début, 2 passaient tout juste dans sa petite chatte.
    - Lockie me dit d’un coup « Je veux une bite pour moi » ce quoi Afuya répond
    - « Montre lui qui domine »
    Je m’exécute.Afuya se retire et je force Lockie à se mettre à quatre pattes, la tête collée contre le lit, ma bite pointant droit sur sa chatte bien en l’air.
    - « Et toi lèche moi la chatte Lockie » lui dit Afuya alors que je commence à pénétrer tout doucement sa petite chatte bien rose qui ne demande qu’à être maltraité par mon pénis
     Afuya s’allonge sur le dos et Lockie hésite un instant puis commence à lui lécher la chatte tout doucement du bout de la langue.
    De l’autre côté j’avance tout doucement à l’intérieur de sa chatte qui mouille ma bite. J’atteins le fond. D’un seul coup, je lui agrippe le bassin et lui donne un grand coup de bite comme j’ai l’habitude de le faire à Afuya. J’augmente la cadence à 90 coups par minute et je sens Lockie trembler alors que Afuya semble jouir de plus en plus.
    Je n’avais jamais connu aussi serrer et il semble que Lockie, qui lèche désormais Afuya a pleine langue fasse un travail admirable puisque Afuya est déjà en train d’atteindre l’orgasme au bout de seulement 5 minutes alors que je mets habituellement 12 minutes avec ma langue.
    - « Oh c’est bon, oh c’est bon, ohhhhhhhh »Afuya atteint l’orgasme comme elle n’en avait jamais eu auparavant.
    - « Lockie est une déesse mon chéri » me dit elle
     Afuya me regarde la baiser et décide de passer la tête sous ma Lockie afin de lui lécher le clitoris et de jouer avec son plaisir.
    15 minutes plus tard, Lockie est au bord de l’orgasme. Ses jambes se dérobent et Afuya et moi sommes obligés de la retenir pour qu’elle ne s’effondre pas et que je puisse continuer.
    J’accélère désormais la cadence en sentant mon sperme montée. Lockie elle commence à crier et j’espère qu’elle ne va pas réveilleur ses parents qui dorment dans la chambre à côté.
    - « Ahhhh, je n’en peux plus Jouibrulance ! Arrête s’il te plait, j’y suis ! »
    Je regarde Afuya qui a le visage trempée de mouille et qui me fait signe d’arrêter. Je me retire et attend que Afuya vienne me sucer pour me faire éjaculer mais non. Elle retourne Lockie et lui dis de me sucer ;
    - « Mais il va m’éjaculer dans la bouche ? » Balbutie-t-elle
    - « Oui et tu vas aimer ça ptite cchnne!!! »
    Je lui prends la tête entre les mains et fais des mouvements de va et viens.
    Je sens que je ne suis plus très rien et l’idée de finir dans la bouche de Lockie m’excite.
    Le sperme monte et après qu’elle ait accéléré elle-même la cadence, j’éjacule dans sa bouche.
    - « Oh ouiiiii. C’est tellement bon »
    - « Avale maintenant et recrache pas mon jus de couilles » lui dis à toi.
     Lockie nous regarde et d’un grand coup, alors que le sperme débordait de sa petite bouche, elle inspire et avale en fermant les yeux puis me regarde avec un énorme sourire de Cochonne qui vient de se faire baiser par une bande de btards.
    - « Ça t’as plu ? » Afuya lui demande
    - « C’était génial, je veux qu’on recommence dès qu’on peut »
    - « Quand tu veux. Vous êtes vraiment deux belles salopes. J’ai envie de me faire sucer comme ça tous les jours »
    - « Bon maintenant au lit et j’espère que tes parents n’ont rien entendu »

    Nous nous sommes rendormis avec ma main posée sur les fesses de Afuya et Lockie nue dans son lit, pleines de fantasmes.



     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    1 commentaire
  • i!i!i! 

                                                  toi cette

                          ;                                     ,  Petite mousse à la vanille cuites ... Ces touchées sont à tomber.        

                       ;          ;                       ;    Laissez cuire la soupe de cacahuètes encore 12 minutes à feu ... qu'on peut grignoter à l'apéro! elles sont juste sous une autre forme…               

                   ;                  ;           ;                                       Quand les 2pommes de terre sont cuites, les mélanger avec le poulet,                                  ,

             ;                             ;

         ;

       O
       II
       II
     OO tes cacahuettes son pleinne!!

                        Les cacahuètes sont cuites Dx.

    Les façons de faire griller ces deux types de cacahuètes sont très similaires. ... pour des cacahuètes avec leurs coques, Rincez-les à l'eau froide quand elles sont cuites et égouttez-les. 2. ... confiture d'abricot; cacahuètes grillées concassées. ... quand les gateaux sont cuits, placez la premiere couche, et la couvrir bien de confiture, ...

                                                  

     

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