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Par JOUIBRULANCE dans LE BLOG DE NESUMI le 22 Septembre 2015 à 15:15
La suite de notre aventure ressembla beaucoup à ce que nous avions vécu ce week-end. Je remarquai que tu avait acquis un goût prononcé à m’exciter en présence de ton copain sans qu’il ne s’en rende compte, semblablement à ce qu’il s’était passé dans la cuisine.
Tu aimes par exemple venir t’asseoir sur mes genoux et remuer discrètement du popotin pour me sentir se gonfler sous ton cul.
Généralement, tu t’habille de courtes jupes
– de plus en plus je fréquentes dans ma garde-robe – et me glissait à l’oreille qu’elle n’avait pas de culotte.
Un soir, alors que nous regardions un film – un bon porno – tous les trois dans le salon.Tu avais posé une couverture sur tes genoux. J’en profitai pour lui caresser le sexe pendant quasiment toute la durée du film pendant que ton copain était absorbé par l’action qui animait l’écran.
Autant dire que quand ce dernier déclara qu’il était éreinté et qu’il proposa à toi de venir se coucher avec lui, elle lui dit n’être pas encore fatiguée. Une fois ce gêneur parti, tu me procura une de ses plus belles fellations.
i!i!i!
On se suit,je veux te porter de sentir ton eau de me parler ta futur vengeance
-T'as dù planté ta saison en blonde,d'une fille féconde...
Parfois, elle se levait en pleine nuit pour me rejoindre dans ma chambre et me réveillait en me suçant.siii!!!!
c'est de toi,je parle là....en ce soir!
— Tu ne devrais pas être là, lui dis-je une fois.
— Je sais, mais j’avais une grosse envie d’avaler un peu de sperme.
— Tu as un copain : tu aurais pu te servir sur lui.
— Ouais, mais ton sperme est meilleur et bien plus abondant. Et puis, tout comme je réserve à lui sa chatte, je te réserve ma bouche.
J’ignore encore comment Il fit pour ne pas se rendre compte de ce qu’il se passait sous son nez. ( la Lectrice)Entre les caresses sous la table ou les chahutages qui permettaient aux mains de s’égarer sur le corps de l’autre dans la piscine l’été, il ne vit rien. Pour ma part,cette fois-ci bien rempli,encore lui....dit-moi ouiiiii!!!!....hooo!!!,ouiiiii!!! de vider ses en nuit.
j’étais toujours partagé entre honte et fierté. Je me sentais horrible de profiter de la copine d’un autre. J’aurais détesté être à sa place. Je comprenais ce qu’il aurait ressenti s’il avait su. Après tout, il me l’avait bien volée, lui !
Ta copine,ho! ouii!!! Ici, la situation était légèrement différente ; mais tout de même, la trahison était très similaire. Et puis, il faut dire que j’avais fini par l’apprécier. J’étais maintenant habitué à sa présence. Il faisait presque partie de sa famille, vu le temps qu’il passait chez eux. En même temps, j’étais heureux de profiter de ta sœur sous ton nez.
C’était lui le dindon de la farce.
Je crois que le meilleur souvenir que j’ai de cette période fut ce qui se passa durant les grandes vacances de cette été. Toi et Lui avait décidé d’aller faire du camping. Comme je n’avais rien de prévu, ta sœur m’avait proposé de les accompagner. Cela n’avait pas eu l’air de plaire à Lui, mais comme bien souvent quand ta sœur avait décidé quelque chose, il n’avait rien d’autre à faire que faire semblant d’être d’accord.Elle arrivait parfaitement à lui imposer n’importe quel caprice, ce qui était fort utile pour nos petits jeux. N’ayant pas de tente à Toi, tu devais forcément partager la notre.
T’avais parfaitement saisi les véritables intentions que cachait ma sœur derrière ce voyage, et c’est pourquoi j’hésitais à les accompagner ... mais la tentation se révéla trop forte.
i!i!i!
Nous n’étions pas plutôt couchés que Elle se colla et se frotta discrètement à moi. Je ne mis pas longtemps à venir la peloter : d’abord ses seins que je malaxai bien, puis son joli petit cul. Je remontai sa nuisette et je commençai à la doigter ; elle était trempée ta sœur,encore et encore. Visiblement, se faire peloter par Jouibrulance alors que son mec sombrait dans le sommeil juste à côté lui faisait beaucoup d’effet.Elle libéra mon sexe et nous nous frottâmes l’un à l’autre doucement pour ne pas éveiller les soupçons pendant de longues minutes. Je crois qu’elle était prête ce soir-là à me laisser la baiser. Si j’avais essayé de chercher à la pénétrer, elle se serait laissée probablement faire. Quoi qu’il en soit, je n’osai pas car cela aurait sûrement alerté.
Ce n’est que quand nous entendîmes clairement ce dernier ronfler qu'elle se décida à me sucer. Quel plaisir de me faire sucer par ta sœur tandis que lui dormait sur son dos ! Le risque de le réveiller et de nous faire surprendre ajoutait du piment. C’est pourquoi je ne fus pas long à jouir dans la bouche d'elle, qui avala tout. Nous recommençâmes l’opération 4 fois cette nuit-là, et moi je fis jouir Elle en me servant de mes doigts.
Il serait faux de dire que je regrette cette période ; j’y pris bien trop de plaisir. Je profitais à fond des peu de fois où je voyais ta sœur. Même si nous ne trouvions aucun moment pour nous soulager, s’amuser à exciter l’autre dans le dos de lui était un jeu des plus grisants. Je me contentais du peu qu’offrait cette situation sans m’en plaindre ni même en désirer plus, bien heureux d’avoir pu retrouver ta sœur. Voilà la dynamique qui anima notre relation durant cette période jusqu’au réveillon de Noël suivant où Il allait nous faire à tous une énorme surprise qui allait modifier les choses.
Au moment de cette soirée, tu venais, et cela semblait déjà annoncer aussi catastrophique que lors de la précédente.Quant à moi
Nous passions le réveillon chez mes parents ; Lui était bien entendu avec nous. Nous avions préparé en famille le repas durant tout l’après-midi dans la bonne humeur.Je lui faisait du pied sous la table et n’arrêtait pas de me jeter des coups d’œil avides. Je me sentais surexcitée. Arrivés en début de soirée, nous partîmes chacun notre tour sous la douche afin de nous préparer ; d’abord mes parents, puis moi, suivi de ma soeur. Lorsqu'il y était à son tour, il avait fini de s’habiller et avais choisi un costume gris clair qui lui donnais belle allure.....EEETTT........psss!!!:cchnnneee!!!
assis toi devant ton bureau ordinateur et laisse Jouibrulance afin d’animer le réveillon lorsque ta Soeur fit son apparition, vêtue d’une courte robe rouge et blanche de Mère Noël très sexy.
Elle avait même le bonnet assorti et était chaussée de longues bottes noires à talons qui lui remontaient jusqu’en dessous des genoux. Une ceinture noire venait lui serrer la taille afin de mettre en valeur sa silhouette.
— Alors, ça te plaît ? fit-elle avec un sourire malicieux tout en refermant la porte derrière elle.
— Ouah ! Tu es vraiment magnifique.Elle est venue m’aider pour la play-list ?
— Officiellement, ouiii ! rit-elle.Officieusement, je suis venue déballer mon cadeau.
— Petite gourmande, va ! souris-je. Normalement, ce n’est que demain qu’on ouvre les cadeaux.
— Je sais, mais je n’ai jamais été très patiente, affirma-t-elle en avançant doucement à quatre pattes vers moi avec une allure féline.
i!i!i!Elle,ma,elle ma ,elle,ma ,elle ma,une fois à ma hauteur, elle remonta lentement ses mains le long de mes jambes et massa la bosse naissante de mon entrejambe. Alors qu’elle était prête à ouvrir mon pantalon, je lui chopai les mains.
— Hé, mais je veux mon gros sucre d’orge, protesta-t-elle.
— As-tu bien été sage cette année, jeune fille ?
— Oh non, lâcha-t-elle, complice, j’ai été une véritable salope et une très vilaine fille.
— Dans ce cas, je devrais te punir.
— Mais, rouspéta-t-elle faussement inquiète, pourrai-je quand même déguster mon sucre d’orge après ?
— Rassure-toi ; je m’en voudrais de te priver de ce petit plaisir.
— Merci, Jouibrulance. Dans ce cas, j’accepte d’être punie. Après tout, je le mérite. Que dois-je faire ?
— Pose ton ventre sur mes cuisses et tends le cul.
Elle m’obéit, jouant le jeu. Je lui remontai sa petite robe et lui caressai ses deux magnifiques fesses dodues avant de lui asséner une petite claque qui la surprit. Nouvelle caresse suivie de peu d’une deuxième claque. Sa peau commençait déjà à rosir légèrement. J’enchaînai donc sur une série de tapes. Tu commençait à gémir de plus en plus fort. Je décidai de faire une pause, ce qui eut l’air de décevoir ta punition...-Mais elle en profita pour reprendre son souffle.
Ma main caressa ses lèvres intimes qu’elle trouva bien humides : visiblement, la séance plaisait à toiPardonne moi si mes doigts te laisse 100voix.
-C’était la première fois que l’on me faisait ça, et je dois dire que je trouvais l'exercice excitant. Mes doigts s’engouffrèrent dans sa chatte trempée tandis que mon autre main se glissa dans son décolleté afin de lui palper son adorable poitrine.
écarte les cuisses pour me faciliter la fouille de ton sexe, il faut tout oublier!...en fesser de velours de soie
mais j’entamai une nouvelle série de claques, cette fois-ci de plus en plus fortes.
— Oh oui, punissez-moi, Jouibrulance, haleta-t-elle, je suis une très vilaine fille.
Je fis une petite pause pour lancer plusieurs musiques sur mon ordinateur afin que le son couvre notre activité ; j’eus ainsi tout le loisir d’augmenter la puissance de mes coups.respire je veux entendre ton petit cœur qui bat pour moi de plus en plus bruyamment. Je la voyais retenir ses cris tout en se dandinant sur mes cuisses.
Aller!!!!, dance,dance,dance d'en perdre le "car table "tes fesses devenaient de plus en plus rouges, et ta chatte dégoulinait de plaisir. Quant à moi, j’étais aussi de plus en plus excité. Je bandais comme un âne. Mon sexe me faisait un mal de chien. Il était temps de me soulager.
sii!!! à toi je parle là; améne moi dans le vent
— Et voilà, jeune fille. Tu vas pouvoir déballer ton cadeau, maintenant.
— Oh, chouette, mon sucre d’orge adoré !
En une seconde, tu étais à nouveau à genoux devant moi et libérait mon sexe qui jaillit en direction de ses lèvres affamées, prêt à se faire engloutir.
Elle l’avait presque engouffré quand soudain quelqu’un frappa à la porte et nous fit sursauter.
— Coucou, c’est moi, se fit entendre ta voix.Vous avez besoin d’aide ici ?
Elle paniqua un instant, prête à se précipiter sur la porte, mais je la retins et d’une main la forçai à prendre mon sexe en bouche.
— Non, ne t’inquiète pas. On gère, répondis-je tandis qu’enfin tu commençais à me sucer.Va plutôt aider tes parents à mettre la table. Là,c'est la voisine de ta mère qui te parle et ont vous assez entendu Jouibrulance là et nous sommes gavé trop assez de votre connerie vous deux.je mets mes doigts à la détente....
Une minute plus tard, elle se déchaînait comme une furie à me pomper la bite. Nous n’étions pas passés très loin de nous faire surprendre. Heureusement que MADAME VOISINE..... n’était pas entré sans frapper ! J’imagine le boxon que cela aurait mis à la soirée si ça avait été le cas... Mais le danger était passé et tu m’offrais une très belle fellation tandis que, afin de ne pas perdre de tempsEt moi dans cette histoire, je m’efforçais de compléter la play-list pour la soirée.
Toi sa sœur,tu mets trop de temps à me préparer
Tu aurais pu paraître suspect, même si je doute que nos proches aient pu soupçonner un seul instant notre secret. Je cherchais, triais et sélectionnais tandis qu'elle me suçotait, léchait et pompait : c’est ce qu’on peut appeler un parfait travail d’équipe.
Sa bouche était une vraie merveille ; elle était capable de faire découvrir des sensations incroyables et inconnues. Malgré toutes les fois où elle m’avait sucé.Je parvenais encore à te surprendre d’un coup de langue habile. T’avais de plus en plus de mal à te concentrer
écoute sur la musique.
Mon attention était déviée vers une certaine partie de mon anatomie à la chair gorgée de sang. Le plaisir était de plus en plus intense. Je m’approchais de la jouissance. Comme d’habitude, ta sœur l’avait vue venir et accéléra la cadence pour me pousser au bord du gouffre. J’explosai dans sa bouche et elle avala jusqu’à la dernière goutte en arborant un sourire fier.
Ma soeur prit ensuite un de ses habituels rose rouge bon,bon à la fraise afin de couvrir son haleine, puis-je terminé la play-list avant de rejoindre les autres en bas......enrhumé de bleu en rendez-vous!
Montre toi,sous la mer.....
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Par JOUIBRULANCE dans LE BLOG DE NESUMI le 22 Septembre 2015 à 15:02
i!i!i!
Tu n'as plus de pression pour l'eau chaude sur une Pression eeeeaaaaaauh!!!! : le réducteur de pression, le surpresseur, le débit de l'eau,en ce tableau des dimensions des alimentations – Tout pour comprendre,choisir ce vertical clair d'eau. il coule simplement un petit filet alors que pour l'eau froide, tu peu raconté cette histoire d'un hamburger de toimoielle en cette couleur qui n'est pas un indicateur de cuisson. ... hautes pressions
aaaaaaaaaaaaaah!!!)Combien d'eau a été utilisée pour fabriquer ce que nous utilisons quotidiennement ? ... 1.2.3 : sous la pression de12 fois...
mais avec la sympathie des fans ..... Les pastilles de couleur de Jouibrulance .
peut réduire le risque d'une tempête dans un verre d'eau peu s'élever à une histoire... Vraiment. Dx jusqu'à la hauteur d'arrivée à ce point ...
Si!, ta meilleure copine elle s'introduit dans le conduit D d'où elle coule dans la cuillère ou cuvette X. Celle-ci ...tic!tic!tic! La pression qu'effectue la cuvette sur la planche, fait presser le tampon contre ... En Lom- bardie l'eau se paie, selon Jouibrulance, lanceur au volume et au temps,d'étoiles ...
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Par JOUIBRULANCE dans LE BLOG DE NESUMI le 21 Septembre 2015 à 21:44
Quelqu'un de trop absorbé par le fait d'avoir à se débarrasser de l'eau sale du bain et qui ... Malgré les cris et supplications des étoiles, elle a été jeté à l'eau, d'12minuètres plu+s ''o" ...
... pq encore tout remettre sur le dos des jeux, ... Elle se jette hors de sa chaise de bain à cause d'une araignée sur son épaule.Un sport idéal pour ceux et celles qui veulent perdre du poids sans faire un ... arc-en-ciel sédentaire, la couleur du dos va du bleu au vert olive, ...
i!i!i!
cchnnnnnnnneee!!!
qui se jettent dans de plus grandes rivières, de même que dans les prises d'eau et ...
À cette faim, la température idéale de l'eau se situe entre 10 et 15,5 °C. ... creux plus long et plus profond que son corps, qui s'avère idéal pour l'accueillir en ... se déroule en musik ( en pRas:tic!tic!tic!) et les séances sOnt toUx spéciaLemEnt ...bon!
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Par JOUIBRULANCE dans LE BLOG DE NESUMI le 21 Septembre 2015 à 18:38
i!i!i!
Le chatt feule, miaule, ronronne,l'entends-tu loin làbas ce Grognement d'utiliser les mains, les doigts, la bouche, la langue, jusqu'à ce que tu me supplies ... viens rejoins la communauté qui aboie, clabaude, glapit (chiot), grogne, gronde, hurle, jappe car aimé Le cheval (ou l’étalon)Je plonge en ailes d'abeille bourdonne, vrombit Bourdonnement, vrombissement et me retire presque entièrement, encore et encore. ... d'avoir un puissant L’otarie bêle, grogne, rugit,
Bêlement, grognement, rugissement
mais je veux m'assurer que La pie babille, cajole, jacasse, jase,
Babil ou babillage, jacassement, jasement
vas L’ours hurle, gronde, grogne,Hurlement, grondement, grognement avec moi,la tourterelle caracoule, gémit, roucoule
Gémissement, roucoulade, roucoulement ou roucoulis
. TtrOIs jument) s’ébroue, hennit...d'étre fan's'.Le zèbre hennit,Hennissement qui lèche tes rouilles,
Recette de sauce rouille, une sauce traditionnelle du sud de la france fidele accompagnatrice de la bouillabaisse c est une sauce froide a base d huile d olive La baleine, gronde,chante ou gémit,
Chant, gémissement, grondement
puis te goûte en entier comme si tu étais une friandise ?Le bœuf (ou le taureau, la vache) beugle, meugle, mugit, Beuglement, meuglement, mugissement
Onomatopée : meuh...Le chimpanzé crie, hurle,
Cri, hurlement
bouche, si profond, et tu as si bon goût que je ne peux pas m'arrêter, et tu yandes encore son nom La chouette chuinte, hue, hulule (ou ulule)Chuintement, hululement ou ululement
Onomatopée : hou hou plus dur, encore et encore. ... Alorstu vas souirr Le canard cancane, nasille
Cancan, nasillement
Onomatopée :,
toi aussi. ... Dis-moi Le corbeau craille, croasse, graille,Craillement, croassement, graillement Dis-moi que tu aimes, dis-moi que tu vas souRir grâce à moi.L’alouette grisolle, tirelire, turlute,Grisollement, tireli ou tirelis
— Oui, là je sens Le buffle beugle, mugit, souffle... Encore ! Beuglement, mugissement, soufflement
Ah encore !Le chacal aboie, jappe,
Aboiement, jappement
Ahhhh ! Le chameau blatère,Blatèrement
Tu sens ma lite )Le crapaud coasse,Coassement qui décharge ?
ahhhh ! Tu m'as fait Le criquet stridule,
Stridulation
Eh bien, je me suis juste dit que je devrais assortir le tout avec un autre accessoire.Tu es venue à moi, et maintenant je vois que tu es venue à moi parce ... Le dauphin cliquette, glousse, grince, siffle,Cliquetis, gloussement, grincement, sifflement
Le lion rugit se pencha et lui embrassa le cou, puis la mordilla, la douleur contrastant durement avec la manière dont sa ... Et quand le moment sera venu,en ce Rugissement . ...
Ça va ? » Elle hocha la tête. « Tu as encore peur ? » « Un petit peu, »Le loup hurle, murmuratelle.
Hurlement
Le bouc (ou la chèvre) béguète, bêle, chevrote,Béguètement, bêlement, chevrotement
Onomatopée : bé, bè ou bêLe cochon grogne,car la truie adore sà! en cette musik qui grouine,tu couine ce porc qui grogne,c'est son accent qui commet d'en mettre un accent circonflexe sue une lettre
Avec des mouvements précautionneux, au cours desquels elle prenait soin de se redresser à La panthère feule, miaule, rugit l'extrême pour ...
Feulement, miaulement, rugissement
Tu es Le renard glapit, jappe
Glapissement, jappement
si chaude...Le serpent siffle Serremoi plus fort. Encore... Encore, ma belle,Sifflement.
Bon sang... Le tigre feule, miaule, râle, rauque, rugit,Feulement, miaulement, râle ou râlement, rauquement, rugissement mes paroles la stimulèrent encore davantage. — Tu vas lui demander
La souris chicote, couine,Chicotement, couinement
d'une voix presque suppliante sur moi ?
La sauterelle stridule augmentes le rythme du « va et vient », je te sens Oh! dites—moi, que ce n'est pas mensonge, s'avançant. ... ... mais pour un instant encore étouffe les battemens de ton cœur... comme moi, ... et tu vas aussitôt de ta liberté; car j'ai profité de son imprudence pour ... en mois, ...Stridulation
Il est 6heures Le coq chante, coquerique La poule caquette, claquette, glousse,coqueline
Onomatopée : cocoricoCaquetage, caquet ou caquètement, gloussementOnomatopée : cot cot -
Par JOUIBRULANCE dans LE BLOG DE NESUMI le 20 Septembre 2015 à 21:15
Unis, étudiant dans une grande école d'informatique. Mon père est à Paris, ainsi que ma soeur ainée Virginie, qui est en Maitrise de Droit. J'ai passé une semaine avec eux, puis je suis descendu sur la côte méditerranéenne, près de Perpignan, pour y voir ma mère, Clem pmu.je toujours eu pour elle beaucoup d'affection, que sa réputation n'aurait su entacher, même si à l'heure actuelle je sais qu'elle rencontre encore beaucoup d'hommes. Jusqu'à cet été, je n'avais jamais fantasmé sur elle. Je ne me le serais pas permis, même si pour ses trente six, elle reste une très belle femme. De plus, je n'étais jusque là pas particulièrement attiré par les femmes dites "mûres". Par contre, à maintenant moi,Its Me..., je multipliais les aventures avec les filles, et, je dois l'avouer, j'étais un sacré obsédé sexuel, m'attachant rarement à quelqu'un.Je suis arrivé hier soir par le train. Des retrouvailles chaleureuses, un bon dîner, et au lit. J'étais exténué par tous ces voyages.
Ce matin, je me réveille vers 11 heures. Il fait déjà une chaleur moite. Je suis sur le point de descendre en petite, mais matinale m'oblige à enfiler un bermuda. Je ne vais tout de même pas me présenter ainsi à ma mère! Je me rends à la cuisine et l'y trouve en train de préparer un salade pour ce midi.
-Salut m'man!
-Salut Its Me...,bien dormi?
-Comme un loir!
On se fait la bise.
-Il reste du café si tu veux.
-Ok! Merci!Je me sers, et m'installe à la table de la cuisine. Nous échangeons d'aimables banalités. Ce faisant, je regarde maman qui est au minibar, de profil, coupant des légumes. Je m'aperçois que je ne l'écoute pas vraiment, attardé à détailler son anatomie. Je ne sais pas ce qu'il se passe dans ma tête, mais je ne peux m'en empêcher. Ma mère est blonde. Une fausse blonde, en fait, les cheveux coupés au carré, surmontés de sourcils fins, impeccablement épilés, un joli nez légèrement courbé, et des lèvres pleines. Elle a quelques charmantes rondeurs."Opulente", serait un doux euphémisme pour qualifier sa poitrine plus que généreuse. Et pour finir le portrait, elle a un tout petit ventre, plutôt mignon, une croupe pleine et cambrée, et des jambes plutôt fines et au galbe très sexy. Sexy, sexuelle même, voilà comment je trouve maman en cet instant. Je l'ai toujours trouvée jolie, certes, mais là, je la trouve bonne. Je ne comprends pas ce qui m'arrive, mais ce qui est certain, elle s'est même empirée. Et la tenue de maman n'arrange pas les choses. Elle a toujours aimé porter des tenues très féminines, mais le temps passant, elle a de plus en plus mis ses charmes en valeur. Et aujourd'hui, ses vêtements son presque déplacés pour une femme de son âge, bien que ça lui sied à merveille. Elle porte un top bleu ciel noué dans la nuque par deux ficelles très fines. Ce petit haut est très échancré sous les bras, et lui fait un décolleté profond, jusque sous la naissance des seins. Maman ne porte pas de soutien gorge. En bas, elle a mis un petit short en jean très court qui moule savamment ses fesses, et elle a chaussé des mules blanches compensées à talons haut. Maman en a fini de préparer la salade, elle se sert un café et vient s'assoir en face de moi. Mon regard est d'abord absorbé par son beau visage, un peu plus maquillé que dans mes souvenirs, puis par sa paire de seins si lourds qu'ils me donnent l'impression de vouloir s'échapper du top d'un moment à l'autre. Ma mère me dit quelque chose que je n'entends pas, mon esprit est ailleurs.
Mes parents ont toujours eu une entente sexuelle parfaite et ça a eut une très bonne influence sur mon frère, ma grande sœur et moi. Le sexe n’était pas un tabou comme dans de nombreuses familles. Grâce à eux, on a pu rapidement se libérer très jeunes et trouver des partenaires et s’épanouir sexuellement. Ca n’a pas non plus empêché, mon frère de se marier ni ma sœur de se fiancer et d’être enceinte depuis 6 mois. Je suis donc le dernier vivant à la grande maison familiale et pour le moment célibataire. Mes parents ont une activité sexuelle régulière et à entendre crier ma mère, cela me donne envie. Dans un an, avec mon futur appartement, ce sera plus facile pour moi aussi de baiser. Etant régulièrement honorée, ma mère était toujours épanouie, sexy et en faisait dix de moins mais se donnait pour mission de satisfaire mon père qui se démenait au travail. Il était comblé et la famille allait bien.-Its Me...? Tu rêves?
-Hein, euh... Je suis pas très bien réveillé... Tu disais?
-Je vais au centre ville faire deux trois courses... Je serai rentrée pour midi...
Il faut que je quitte cette pièce! Je finis mon café.
-Ok, lui fais-je, prends ton temps... Je vais me laver.
Je quitte la cuisine en tournant rapidement le dos à ma mère,i!i!i!
t'as de peur qu'elle remarque le gourdin emprisonné dans mon caleçon.
Il faut que je me calme. Dans la douche, je ne peux m'empêcher de me masturber.(sourire)
J'essaie de visualiser n'importe quoi, n'importe qui. Rien n'y fait, c'est l'image de ma Jouibrulance qui persiste, ses couilles pleinnes,sa belle bite. Et quand il éjacule, c'est sur mon visage qui est imprimé dans mon esprit. Ensuite, c'est la culpabilité qui me gagne. Culpabilité qui disparaît en même temps.
Cchnnnnnnnnnneee!!!
Après le repas, Jouibrulance te propose d'aller à la plage. J'en ai très envie, certes, mais avant appréhende un peu la réaction de ma queue quand tu te trouvera devant moi en maillot. Nous prendrions le nécessaire et nous y rendrions à pied. C'est une petite crique assez isolée, peu connue des touristes. Tu installeras entre dans un petit endroit de sable fin, entouré de rochers sur les côtés, et à l'abri des pins en retrait. J'installerais ma serviette, et tourne le dos à ta mère pour me changer tandis qu'elle fait de même. Quand je lui fais de nouveau face, je la vois en maillot deux pièces rose fuchsia. Le bas, une culotte qui couvre ses parties intimes, est très raisonnable. Mais le haut est plutôt rikiki, et ne cache pas grand chose de sa poitrine. L'absence de traces de bronzage sur sa peau hâlée me fait constater qu'elle doit habituellement se mettre seins nus. Et peut-être plus.
-Tu viens te baigner Its Me...?
J'irai plus tard...Jouibrulance Comme ça tu me diras si elle est bonne!oo!!
-Elle est toujours bonne ici, rétorque-t-elle en riant, et en se dirigeant vers la mer.
ta Maman reste un bon quart d'heure dans l'eau. Pendant ce temps, je gamberge, et je bande encore pour toi Its Me... . Tout est allé si vite! Hier encore, avoir la trique en pensant à ta soeur m'aurait parut inconcevable, immoral. Mais en cet instant, j'ai beau faire, rien ne me raisonne. Au contraire, le fait qu'elle soit ta génitrice, et ce côté immoral, ne font que m'émoustiller d'avantage. "Et puis merde", pensé-je, après tout. Elle est quand plutôt allumeuse t'as maman. Je ne peux être de marbre, et même si je suis pas son beau fils, elle doit bien s'en rendre compte. A Paris, ta meilleure copine ma bien sucer . Quand tu sort de l'eau pour me rejoindre, je n'ai plus qu'un objectif en tête. Je ne serai plus jamais serein tant que je n'aurai pas assez baisé ta copine. Il va falloir manouvrer, tenter ma chance, au risque de détruire à jamais notre si belle complicité.Alors Jouibrulance?
-Super bon! Tu verras!
Elle s'allonge près de moi, sur sa serviette, et met ses larges lunettes de soleil. J'allume mon joint. Maman tourne la tête vers moi.
Mais... C'est un pétard! Tu fumes ça toi? de temps en temps... T'inquiète! T'as jamais essayé?
Oh... Une ou deux fois... C'est tout... Après tout... T'es assez grand... Tant que c'est occasionnel...
Maman a toujours été plus permissive que mon père. Je lui tends le pétard. Elle tire quelques bouffées avant de me le repasser. Deux ou trois minutes plus tard, elle me fait:
-Oulah! Ca fait bizarre... Ca tourne!
-Moi aussi! C'est pas désagréable, si?
-Non...
On se marre un peu bêtement. Je me détends, maman aussi.i!i!
Pas ma pine, mais tu ne semble pas l'avoir remarqué.Parle un peu de moi, de mes études.
On se repasse plusieurs fois le joint. Je suis un peu défoncé, et ma mère aussi, ça se voit à son comportement. Il y'a un silence. J'en profite:
-Dis moi, maman, t'as pas de marques de bronzage...
-Nan... Quand je suis seule, je m'embarrasse pas du haut.
-Tu sais, tu peux l'enlever... Te gêne pas pour moi!
-Après tout, oui, t'as du en voir d'autres! Et puis, on est en famille.
Je suis surpris qu'elle ait cédé si facilement. Surpris et excité, quand sous mes yeux se dévoilent ses deux gros nichons bien pleins, aux magnifiques et très larges tétons.Jouibrulance ton érection est à son maximum.
Je relève les genoux pour essayer de la cacher.
-Tu as quelqu'un en ce moment? Lui demandé-je, assez brutalement.
-Euh... C'est indiscret Its Me...!
-Ça veut dire oui!
Elle rougit.
elle en riant.elle, il fallait le rendre un peu jaloux.Puis, comme pour faire diversion, elle prend son sac de plage et en sort un tube de crème solaire. Elle commence à s'en enduire le ventre, puis, lentement, d'une façon que je trouve très sexuelle, elle passe ses mains sur sa poitrine, s'y attarde, les malaxe.Jouibrulance ta queue en centimètres de ses fesses, prête à sortir de ton maillot.
tu tremble,hein!? un peu d'excitation. Je commence à étaler la pommade, tout d'abord de manière anodine, puis je lui fais un massage plus appuyé au niveau des épaules. Elle se laisse faire, si elle continue tu vas éjaculer sur mon maillot.
-...
- Dis-le-moi, et j'arrête...
Pas de réponse, juste la respiration de maman qui s'accélère, et sa poitrine qui se soulève à un rythme irrégulier. Je continue, malaxe ses seins plus fort.
-Tu sais m'man... Si je t'ai demandé si t'avais quelqu'un, c'est parce que tu mérites pas d'être seule... Tu es belle... Très belle...
-Merci...Merci Its Me..., mais... Ce n'est pas déplacé venant de ta part?
Je me penche à son oreille et lui chuchote:
-Ce n'est pas déplacé de se laisser tripoter par sa fille?
-Tu sais... Je suis une femme et... Tu as beau être mon fils...Je ne peux être indifférente...
-C'est mal?
-Oui... C'est mal... Its Me...,et tu commences à m'exciter sérieusement. Quelqu'un pourrait vous voir...
-Il n'y a personne...
Ma mère ne contrôle plus sa voix ni son souffle. Quand je commence à faire rouler ses mamelles entre mes doigts elle ne fait rien pour m'en empêcher, se contentant de me dire:
-Ma chérie... Qu'est-ce-qu'on est en train de faire là?
-On se fait du bien maman... Et personne ne le saura... Si tu veux que j'arrête, dis le moi maintenant, sinon...
-Sinon? me dit-elle dans un souffle?Comme elle arrive près des épaules, je lui dis:
-Laisse, je vais te la mettre dans le dos.
Elle ne répond pas mais me tend le tube de crème. Je viens me mettre assis derrière elle, mes jambes légèrement pliées le long des siennes, puis me dit:
-Tu as des doigts en or ma chérie... Tu fais ça bien...
-Ça te plait?
-Oui... C'est bon...Sa voix a changé, ou peut-être me fais-je des idées. J'ai envie de lui sauter dessus mais je me retiens. Je continue mon massage, sur toute la surface de son dos.
Ça y'est, mon gland pointe son nez dehors. Très lentement, mes mains se dirigent vers ses côtes.
Elle soupire, tandis que je lui effleure le côté des seins. Progressivement, mes mains gagnent du terrain vers sa poitrine. Je n'en peux plus, et les empoigne entièrement.
-Que fais-tu Jouibrulance?demande à ta mère, en ta voix tremblotante.
-C'est désagréable...ce que tu fais,je disais çà pour rire...Non, mais...
-Mais quoi?
-Jouibrulance... Enfin... Ce n'est pas très raisonnable... Un fils qui caresse les seins de sa mère...
-Je ne fais que te mettre de la crème solaire...Je veux que tu arrête ?
Je regarde toi ( la lectrice perverse ) qui, sans rien dire, sourit à cette idée de revoir ta copine à poil.
i!i!i!
écrit donc à jouibrulance et envoi tes Messagerie SMS sms sur son compte HOTVIBER de sa messagerie...et dite:mon histoire... Vraiment. Dx il écrira l'histoire de toi et tes amie très cchonne que tu m'as envoyer ...
- Oh, oui ! Moi je suis entièrement d’accord !
Dit une fan avec enthousiasme DX
-...Je n'ai pas le temps de répondre. Jouibrulance attrape sa main droite et la fait glisser jusqu'à son entre-jambe. il me fait passer mes doigts sous son bas de maillot, et repositionne sa main sur son sein, qu'elle malaxe ses couilles à son tour. J'ai du mal à y croire. Sa main gauche continue à peloter sa poitrine, tandis que l'autre se perd dans une toison fournie.
Elle ne s'épile pas la chatte, c'est donc pour ça que sa culotte de bain est si large.
Ça m'étonne de ma mère, qui prend tellement soin d'elle. Mais ça m'excite aussi, cette chatte velue, et déjà très humide. Ça doit faire un moment qu'elle mouille. Je palpe ses grandes lèvres gorgées de sang, et commence à la caresser, avant de m'en prendre à son clitoris gonflé de désir. Ma queue dure comme du bois est maintenant entièrement sortie de mon caleçon. Je me serre contre toi, et ma bite vient se plaquer sur le bas de son dos, y laissant une trace humide. Cela dure quelques minutes, sans un mot. Quelques instants plus tard, je te doigte carrément, rapidement, et je triture tes grosses loches avec entrain, frottant ma tige sur le bas de ton dos, jusqu'à ce que je lui chuchote:
-Madame... J'ai envie de baiser...Its Me...,
RapidementJouibrulance libère de mon étreinte, et me fait face, à quatre pattes entre mes jambes.
et ta mère me dit:
-Tu veux nous baiser, mon p'tit salopard... Alors faisons-le... Maintenant, nous sommes allés trop loin pour reculer.Sans que je puisse réagir, maman dégage totalement sa pine du maillot, l'empoigne, et se jette la bouche grande ouverte sur son gland. Aucune femme ne l'avait sucé ainsi,qu'il dit. Pelotant ses couilles pleinnes d'une main, branlant sa tige de l'autre, maman tête son gland de façon experte. Je découvre ainsi que ma propre mère est une suceuse de première.
i!i!i!
La meilleure suceuse que je connaisse.
Puis, continuant à pétrir mes couilles, elle se met à me pomper plus profondément. Je lui enlève ses lunettes de soleil.
Regarde-ta fille, regarde là dans les yeux.Quel regard! Quel regard de chienne de ta tendre mère peut avoir tandis que ma bite lui déforme la bouche!La pipe me semble durer une éternité.
Maman lèche, suce, tète, gobe ses couilles, tout y passe. Elle s'arrête à temps.
J'étais à deux doigts d'éjaculer.
Très vite, maman se débarrasse de sa culotte de bain, m'exposant sa belle et grosse chatte velue de poils bruns. Puis elle vient sur Jouibrulance, et s'empale sur sa queue, d'un seul coup. Elle commence à la limer. Elle bouge son bassin comme une dératée
Pour que je te la bourre plus fort.
Je n'aurais jamais cru ça d'elle.
Nous ne faisons pas l'amour, non. Nous baisons. Nous baisons comme des chiens. Je baise la baise comme une chienne. J'empoigne sa croupe pour la bourrer plus fort, plus vite et plus profond. Ses énormes loches ballottent en tous sens au dessus de tes yeux. Ma queue est inondée de sa mouille. Tu te mets à me souffler à l'oreille:
-Oh oui! Vas-y! Baise là mon chéri! Défonce-là! Baise là bien ta belle maman... C'est bon, vas-y!,c'est une salope!!
-Salope...ma belle mère
C'est sortit tout seul, je l'ai insultée presque malgré moi. Je suis sur le point de le regretter, quand maman me dit:qu'elle jouis!!!
-Oui! Oui mon amour! Je suis une salope... et toi une p'tite salope comme... Vas-y fort! Baise ta p'tite salope de belle mère!
C'en est trop. Je ne tiens plus. Je m'enfonce bien au fond de sa fente.Regarde Jouibrulance ta belle Maman se cambre et jette la tête en arrière.elle jouiiis!!!...
Mes mains lâchent ses miches pour venir s'agripper à tes nibards.
pousse un grognement rageur tandis que tu te vide les couilles au fond de son trou, et qu'elle pousse un long hurlement de jouissance.
Ma mère retombe sur moi, m'embrasse longuement, langoureusement, et nous sombrons tous les deux dans une douce torpeur.
Tout deux se mirent en tête que Clem, c’est le prénom de ma mère, irait faire ses courses habillée le plus sexy possible.
Ils me demandèrent mon avis et je dis oui. J’aime voir ta génitrice se mettre en valeur, et comme toute les femmes d’ailleurs.
Ce fut au début soft même classe. Ma mère sortait en tailleur jupe car elle avait un peu honte malgré que ce soit une femme libre. Mais ce n’était pas suffisant et il y’avait trop de femme qui était pareil et elle passait relativement inaperçue. Je dis relativement car en général, on l’a remarquait à cause de son énorme poitrine qui même cachée, déformait ses pulls ou chemisiers. Ses gros seins étaient naturels, de quoi allaiter des régiments entiers comme avait dit Jouibrulance en parlant d’elle.
De plus, Clem était bien conservée. Yeux bleus, visage rond, Cheveux noirs coupé au carré, 1m58. Décolleté monstrueux et mini jupe pour cette presque quinqua provoc qui ne les faisait pas.
Mon père aimait que sa femme s’exhibe et des fois, il l’accompagnait faire des courses et l’attendait dans la voiture. Il bandait à l’idée qu’elles deviennent l’objet des envies des hommes. Il m’emmena aussi pour partager mes impressions. Je trouvais que c’était une merveilleuse idée car cela le forcerait à se dépasser pour pouvoir plaire davantage à Clem. Rapidement, il retrouvait goût à ma mère et les revoilà reparti dans de belles parties de jambes en l’air. Bien sûr, à force d’entendre baiser...
ma queue se dresse à nouveau et je désirais les voir à l’œuvre.
Un soir, je fus attiré par le bruit et surpris mon père en train de se faire sucer dans la chambre par ma mère à quatre pattes. Ils se retournèrent vers moi, ma mère, à poil avait encore la bite dans sa bouche. Ses seins pendait et c’était encore pire ce que j’imaginais question grosseur.
-Bon, ben tu n’as plus qu’à nous rejoindre au lieu de rester là à regarder comme un imbécile.
Ma mère ne dit rien et resta me regarder de ses yeux bleus...i!i!i!
Elle se contenta ensuite de me défaire la braguette, de sortir mon sexe et de me pomper.
Pas de doute, elle sait sucer ma mère et elle adorait ça.
J’aime aussi enfoncé ma bite au plus profond de ta gorge et et ta mère l’avalait comme une gâterie.
Sa bouche avait l’habitude de donner du plaisir. Ma queue était prête à exploser mais elle sut arrêter a temps.
pss!!!:Ton père serait tout excité à voir son propre beau fils baiser sa femme.
Je me mis alors à lui malaxer les nibards. Ils étaient énormes avec de grandes aréoles. Ils étaient chauds, lourds et ses tétons pointés durs. Avec une paire de seins aussi énormes, elle aurait pu faire du porno facilement même si je les trouvais vraiment beaucoup trop gros. Je me mis à les lécher, à le sucer et ta mère gémit.
C’était bon. Alors elle s’allongea et m’invita à poser ma bite entre ses loches. Puis elle me branla en pressant mon sexe entre ses deux nibards. Du coup, tout excité, je jutais entre ses gros seins et une partie gicla jusque sa bouche. Elle avala mon sperme. Ton père se branlait devant cette scène. Il reprenait toute sa vigueur. Voire Jouibrulance baiser sa femme le faisait bander plus que jamais. Ensuite, elle se mit à quatre pattes, le cul offert. Après avoir lubrifié son trou, nous l’enculâmes chacun notre tour.
Ce fut merveilleux et ma mère criait comme une pute.
Ses seins monstrueux bougeaient pendant l’acte. Nous jutâmes en elle. Depuis ce jour, nous décidâmes de baiser à trois des qu’on pouvait tout en exhibant ta mère lors de ses sorties. Elle adorait ça de savoir qu’on la surveillait et surtout elle aimait voir les regards la désirer. C’était magnifique de la voir se pavaner habillée aussi sexy. Elle remis des minijupes et des décolleté exhibant ses énormes loches. Certains devaient la prendre pour une nymphomane car rare sont celles qui ont tant d’audace surtout à presque 40ans.
Je suis vraiment très fier d’avoir une mère comme ça et aussi libérée. Ce petit jeu dura quelques temps sans incident. Seuls quelques regards appuyés et des sourires en coin. Mais à force de trop jouer avec le diable, celui-ci fini par se manifester. Et un jour, mon père qui venait à peine d’arriver du travail me vit et me demanda.
-Ta mère n’est pas rentrée de ses courses ?
-Non, pourquoi ? Je pensais qu’elle était dans la cuisine.
Mon père la rappela sur son portable mais toujours rien. Une heure plus tard, après maints appels, mon père, inquiet,... mais le portable sonna. C’était le numéro de celui de ma mère. Mon père fut soulagé mais de l’autre coté du fil, ce n’était pas Clem .
Il entendit des voix derrière…des voix d’hommes.
-Qui est là ? demanda t’il.
On entendit des rires d’hommes et les cris horrifiés d’une femme tentant en vain de se débattre qui n’était autre que ceux de ma propre mère subissant les pires outrages quelque part. L’homme au téléphone éclata d’un rire à faire peur puis raccrocha.Peut être la suite?