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  • Carole, ma femme, et moi-même (Jacques) formons un assez joli couple du haut de notre quarantaine : elle, toujours aussi belle et élancée malgré deux grossesses, les fesses fermes et les seins lourds ; moi, un peu de ventre mais pas trop, assez musclé de façon générale, et toujours plus que vaillant au niveau sexuel. Et de ce point de vue là, notre couple va aussi très bien après plus de dix-sept années d’une vie commune faite de fantaisie et de plaisir, et surtout de confiance et de fidélité.

    Cette confiance mutuelle est pour nous plus qu’importante, car elle nous permet d’envisager de nombreuses possibilités durant nos jeux sexuels, sachant que l’on peut tout arrêter à tout moment. C’est ainsi que depuis plusieurs années, nous pratiquons beaucoup le nudisme, l’exhibitionnisme et n’hésitons pas à aller dans les clubs et saunas libertins, mais uniquement pour vivre notre sexualité ensemble, sous le regard des autres et rien d’autre. Nous apprécions ainsi particulièrement les clubs et les saunas disposant d’une pièce fermée avec miroir sans tain ou vitre nous permettant de faire l’amour sous les yeux de nombreux hommes se masturbant de l’autre côté. Carole est alors déchaînée et jouit comme jamais à chaque visite. Tout cela reste bon enfant et jamais nous ne sommes allés plus loin.

    Dernièrement nous sommes allés dans un sauna que nous ne connaissions pas encore, proche de la Gare de Lyon à Paris. Sitôt arrivés, nous nous déshabillons et passons en mode peignoir avant de visiter les lieux. Le club est sur deux niveaux avec douches, sauna, hammam, salle de repos et pièces privées au rez-de-chaussée. Des préservatifs sont disponibles dans toutes les salles. Au sous-sol, nous trouvons une salle sombre (sans lumière), une salle vitrée (comme nous les aimons), une salle plus SM et un mur à glory holes jouxtant une salle annexe.

    Dans une soudaine inspiration, je conduis Carole dans cette dernière et ferme le verrou derrière nous.

    Nous sommes dans une pièce sombre, et la seule lumière nous arrive par-dessous la porte et par les trois trous dans le mur, à hauteur de pelvis d’homme, dans le mur sur le côté. J’explique rapidement à Carole que j’ai envie de la prendre tout de suite en levrette, appuyée contre le mur tout en regardant les verges en érection qui se présenteraient à elle.

    — Et que veux-tu que j’en fasse ? me répond-elle.
    — Tu n’as qu’à les branler si ça t’amuse ! je lui réponds du tac au tac.
    — Je préfère encore te sucer, me dit Carole.

    Joignant le geste à la parole, Carole se met à genoux devant moi et écarte les pans de mon peignoir, dévoilant ma verge en érection qu’elle enfourne dans sa bouche. Elle s’active doucement sur mon gland et repasse sur mes testicules avant de m’enfourner complètement à nouveau.

    Quelqu’un essaye d’ouvrir la porte et constate qu’elle est verrouillée. Dans les secondes qui suivent, un pénis apparaît à travers un des trois trous dans le mur, celui de droite. Je le prends en main et commence à le branler doucement et à lui donner consistance. Puis je prends la main de Carole et la pose sur cette autre verge, l’invitant à la branler à son tour. Carole s’exécute doucement tout en me suçant. Cela me fait bizarre de voir Carole avec cette verge en main et en même temps cela m’excite beaucoup.

    Je relève Carole tout en lui demandant de continuer à branler l’autre homme et lui dit :

    — Tu saurais reconnaître ma queue dans le noir si tu devais la choisir entre plusieurs ?
    — Bien sûr ! Quelle question ! Après toutes ces années, je la connais très bien.
    — Donc si je passe de l’autre côté, tu me reconnaîtras sans difficulté ?

    Elle me sourit, m’embrasse en me disant « coquin ».

    Je sors de la salle et attends que Carole referme la porte à clé derrière moi, puis je me dirige vers les trous dans le mur de l’autre côté. Ce n’est pas très loin (4 – 5 mètres) mais c’est suffisant malgré tout pour que deux autres hommes aient pris place à côté du premier. Celui-ci (à gauche maintenant pour moi) est plaqué contre le mur et doit à nouveau se faire branler par Carole compte tenu des quelques expirations bruyantes qu’il produit. Ce faisant, un deuxième homme, un noir assez costaud, a pris position au milieu et déjà introduit sa verge dans le trou. Je me précipite pour prendre la troisième place avant le dernier homme, mais ce dernier est plus près que moi et semble lui aussi vouloir profiter de l’être, homme ou femme, qui semble prodiguer du plaisir aux autres dans cette salle.

    Zut ! Carole va être bien en peine pour reconnaître ma verge !

    Je regarde les trois hommes, chacun le ventre collé au mur, leur visage exprimant tour à tour des grimaces de contentement, leur bouche gémissant de temps à autre. Cela continue ainsi pendant une bonne dizaine de minutes avant que l’homme de gauche ne libère sa jouissance et gémisse un peu plus fort. Il libère apparemment toute tension, ramène rapidement son sexe flasque et s’en va content en remettant sa serviette. Je m’engouffre dans la place libre, les deux autres hommes à ma droite émettant toujours des petits bruits de contentement allant du « oui » au « ah ».

    Quelques secondes après avoir enfoncé ma verge dans le trou, une petite main, celle de Carole bien sûr, s’enroule autour et commence à me branler doucement pour me donner une belle érection. Carole doit avoir reconnu ma verge, et être enfin soulagée, car elle me reprend en bouche pour continuer la pipe qu’elle avait commencé plus tôt. Je suis aux anges et souris béatement à mes voisins. Carole me suce quelques minutes puis me branle à nouveau, mes voisins me regardant à leur tour en souriant et en émettant de nouveau des bruits de contentement. Elle doit sacrément bien les branler aussi.

    Mais si Carole me branle d’une main, comment peuvent-ils apprécier tous les deux en même temps que Carole les masturbe ??

    * * * * *

    Jacques est parti rejoindre son trou dans le mur, je referme la porte et verrouille à nouveau. Je me retrouve à nouveau à genoux devant ces trois trous et reprend la verge présente à droite pour la branler. Rapidement, une seconde verge vient remplir le trou du milieu, et quelques secondes plus tard c’est le tour de celui de gauche. Je prends chacune des nouvelles verges en main et les branle pour essayer de retrouver celle de mon mari.

    Celle du milieu n’est certainement pas la sienne car elle prend déjà des proportions que je ne lui connais pas, et elle ne semble pas encore à son maximum. En revanche, celle de gauche pourrait être la sienne, mais elle n’est pas aussi courbée d’habitude.

    J’en suis maintenant persuadée, aucune de ces verges ne correspond à celle de Jacques. À quel jeu joue-t-il ? Pourquoi a-t-il fait cela ?

    Je branle les verges des deux mains, alternativement, ne pouvant m’occuper des trois en même temps. L’homme de droite, le premier arrivé, gémit de plus en plus alors que celui de gauche est dur comme du bois. Enfin, celui du milieu a atteint une taille impressionnante en longueur ; jamais je ne pensais voir cela. Elle est vraiment superbe même s’il m’est difficile de la « voir » réellement dans cette pénombre.

    Je continue mes branlettes, changeant alternativement de propriétaire, pendant cinq bonnes minutes avant que ne survienne le premier incident. Alors que j’étais en train de m’occuper des verges de gauche et de droite simultanément, j’ai pris soudainement conscience de la longueur de celle du milieu lorsque le gland effleura mes lèvres. Impressionnée et interloquée, et en même temps très excitée depuis plus de dix minutes par le fait de branler trois hommes autres que mon mari, je me suis lentement rapprochée et j’ai pris ce gland dans ma bouche, titillant le méat de ma langue, léchant ensuite la hampe sur toute sa longueur. Arrivée à la base de la verge, soit contre le mur, quelle ne fut pas ma déception de ne pourvoir accéder aux couilles restées de l’autre côté du mur. De frustration et de dépit, je me mets à branler frénétiquement les deux autres hommes tout en gobant à nouveau la verge centrale et lui prodiguant d’importants va-et-vient de la tête.

    Je les entends tous les trois râler doucement, preuve que mon action semble leur plaire. J’abandonne l’homme du milieu quelques seconde et pars « goûter » celui de gauche. Il est beaucoup moins long, plus comme mon époux et je peux ainsi le prendre entièrement en bouche. Je m’active sur lui pendant une minute, branlant les deux autres alternativement, puis reviens au tout premier, à droite, qui a droit lui aussi à sa petite pipe.

    Deuxième incident ! Le contact de ma bouche autour de son gland a pour effet quasi-immédiat de libérer sa jouissance et je n’ai pas le temps de me retirer suffisamment vite pour éviter un premier jet de sa semence dans ma bouche et sur ma joue, le reste filant par terre, sur ma main et mon peignoir. Je recrache rapidement ce sperme non désiré et m’essuie le visage sur ma manche de peignoir. L’odeur du sperme m’excite encore un peu plus et j’ai la chatte en feu : j’ai envie que Jacques me prenne immédiatement.

    Mon jouisseur s’en va et laisse la place à un nouveau. Au passage, la lumière s’engouffrant par le trou « libre » me permet de remarquer les serviettes en papier au mur et une coupelle pleine de préservatifs comme il y en avait dans les autres salles lors de la visite.

    Je « récupère » le nouveau venu en main et le branle à son tour tout en reprenant M. Milieu en bouche, mais j’abandonne très vite ce dernier, constatant que le nouveau venu ne peut être que Jacques. Dès lors je m’active très fortement sur lui, le branlant et le pompant comme une forcenée. Ma main gauche passe alternativement de M. Gauche à M. Milieu puis les laisse pour s’occuper de ma chatte toute trempée. Quelques caresses suffisent à me porter à la limite de la jouissance. Je retire ma main, ne voulant pas venir tout de suite.

    Je reprends mes patients en main et m’active à nouveau sur eux, branlant Jacques et M. Gauche tout en suçant mon long sucre d’orge.

    * * * * *

    Comment est-ce possible ? Carole est donc en train de sucer un de ces deux hommes ! Mais est-ce bien sûr ? Elle me branle la plupart du temps, venant me lécher de temps à autre. Je bande comme un salaud et mes voisins sont dans un même état d’excitation apparemment. Elle est très douée, ma Carole, pour affoler les hommes, mais que leur fait-elle donc ?

    Pendant plusieurs minutes où je ne suis ni branlé ni sucé, semblant n’être pas aussi bien considéré que les autres, j’entends des râles étouffés de l’autre côté du mur, Carole semblant se faire du bien. Puis je l’entends de manière plus insistante pousser des cris et des gémissements, mon voisin direct mimant de légers mouvements d’avant en arrière, mais toujours collé au mur.

    Carole agrippe ma verge à nouveau pour la branler frénétiquement, tirant plus dessus qu’elle ne la branle vraiment. Elle gémit de plus en plus fort. Elle doit se titiller la chatte de manière importante. J’ai un grand sourire sur le visage tout en me demandant si elle n’est pas en train de sucer l’un des deux autres. Non ! Ses cris et gémissements sont trop nets ; elle est en train de se branler tout en me branlant aussi. Alors pourquoi le noir au centre est-il en train de jouir fortement en gueulant que c’est bon ? Carole de son côté jouit elle aussi fortement. Mon voisin se retire du trou et laisse apparaître une très longue verge couverte d’une capote.

    Nom de nom !

    * * * * *

    Après quelques minutes, suçant bien appliquée la belle verge du centre, je repasse alternativement d’une main et de ma bouche sur les trois engins qui me sont proposés. Ma main gauche est, quant à elle, retournée entre mes cuisses où elle s’active à nouveau sur ma chatte en feu. Alors que je reviens sucer Jacques, je me demande s’il n’est pas possible qu’il me pénètre ainsi, à travers le mur, mais malheureusement une double contrainte (il est trop près du mur, et sa verge n’est pas assez longue) ne me permet pas de mettre se projet à exécution. Bon sang, j’ai pourtant diablement envie d’une bite dans mon vagin !

    Je branle Jacques à nouveau quelques secondes tout en suçant M. Centre, lorsque je réalise que ce dernier serait vraiment idéal pour me satisfaire : sa bite est très accessible et terriblement longue, plus encore que celle de Jacques malgré les cinq centimètres d’épaisseur du mur. Je n’ai plus toute ma tête : je songe à me faire jouir avec une superbe verge (que je suis en train de sucer par ailleurs tout en me masturbant) alors que mon mari est à quelques centimètres seulement. Je dois vraiment être folle, mais je ne tiens plus et j’ai besoin que l’on me prenne tout de suite. Je retire mon peignoir.

    Dans un état second et en partie fébrile, j’abandonne ces messieurs et je me tourne vers le bol au sol, prend un préservatif et l’enfile sur la superbe verge du milieu. Je me redresse et tourne le dos au mur, me penche légèrement en avant, m’appuyant d’une main au mur. De l’autre, je saisis la verge capuchonnée et la guide dans mon sexe. Je m’appuie des deux mains au mur et m’empale littéralement sur cette verge. J’ai les jambes qui tremblent à la fois de bien-être, de la jouissance à venir que je sens si forte et du fait de savoir que tout cela n’est pas bien, Jacques étant à côté d’une part et n’ayant jamais souhaité le tromper. Je coulisse sur cette verge de plus en plus vite, poussant de nombreux cris et gémissements. Elle me remplit comme jamais je ne l’ai été auparavant. Que c’est bon ! J’agrippe les deux autres verges des mains et m’en sers comme point d’appui pour encore mieux sentir mon amant en moi. Je sens qu’il jouit, longuement, ses spasmes déchaînant mon plaisir à son tour. Je jouis comme une folle et me retrouve à genoux sur le sol, les jambes sciées de plaisir.

    * * * * *

    Le Noir est parti, la capote usagée pleine de sperme. Bon sang, mais qu’est-ce qu’elle a bien pu faire ? Au moins, si elle l’a sucé, elle a eu la présence d’esprit de lui mettre une capote afin de ne pas prendre de risques.

    Carole me reprend en main et me branle rapidement. Elle fait apparemment pareil au gars de droite qui jouit rapidement et s’en va à son tour. Un autre homme prend la place du milieu et engage son sexe à son tour. Carole continue de me branler et de me sucer alternativement, m’arrachant de nouveaux gémissements tout comme au nouvel arrivant. Elle va de plus en plus vite et s’active de mieux en mieux sur ma verge, me conduisant enfin au plaisir de me vider en partie dans sa bouche, le reste de ma semence allant certainement inonder le sol de la salle. Je me retire doucement tout en observant mon voisin jouir à son tour et quitter son trou à son tour.

    Je contourne la salle et retourne près de la porte où je frappe plusieurs petits coups.

    La porte s’ouvre sur Carole, nue, en sueur, les seins et le menton couverts de sperme. Elle me fait entrer dans la salle.

    * * * * *

    Je me retourne vers mes deux dernières verges et m’active frénétiquement des mains et de la bouche sur chacune d’elles. Rapidement je sens que M. Gauche va venir et je me concentre sur lui, le branlant et lui prodiguant des léchouilles jusqu’à sa jouissance que je laisse éclater sur ma poitrine. Je me retourne rapidement vers Jacques et constate aussi l’arrivée d’un nouveau. Je m’occupe d’eux alternativement et obtiens enfin leur jouissance, Jacques dans ma bouche, sur mon visage et sur mes seins, l’autre homme explosant littéralement et inondant ma poitrine.

    Tous deux se retirent et j’entends quelqu’un frapper à la porte. C’est Jacques et je lui ouvre la porte, lui révélant mon corps nu couvert de sperme. J’ai en partie honte de l’avoir trompé, mais je ne veux pas de scène. Je le fais entrer, verrouille la porte, le serre dans mes bras tout en lui demandant de me faire jouir à son tour, peu importe ce qu’il s’est passé.

    Je me retourne, les mains contre le mur, et lui présente mes fesses à genoux. Il me pénètre d’une poussée et mon corps encore électrique réagit immédiatement. Je gémis de plaisir : c’est trop bon. Jacques me baise littéralement comme un forcené. Il agrippe mes cheveux me poussant en avant. J’aperçois alors une verge nouvelle devant moi. Jacques me guide droit dessus et me pousse à la gober entièrement. J’ai la bouche contre le trou, la tête maintenue par Jacques. L’inconnu me baise, alors que Jacques m’arrache une nouvelle jouissance. Tous les deux viennent en même temps, emplissant ma chatte et ma gorge. Je n’ai d’autre choix que d’avaler. Jacques me retourne, me dit qu’il m’aime et m’embrasse à pleine bouche

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  • Suite à un accident, Raoul, retraité de soixante deux ans, très séduisant, sort de l’hôpital. On lui a plâtré le bras droit et la cheville, pour une durée de trois semaines. Raoul est veuf. C’est donc chez son fils Julien, vingt quatre ans, qu’il va passer sa convalescence. C’est son frère Roger qui le ramène. Les deux frères sont des joyeux fêtards. Les bringues, le sexe, rien ne leur fait peur.
    Marion, belle blonde de vingt et un ans, épouse de Julien, arrive du boulot. Elle travaille comme aide à domicile.

    — Bonjour tout le monde, dit-elle. Bonjour chéri. Mais que se passe-t-il ? Je vous sens inquiet.
    — Aucune infirmière n’est disponible avant trois semaines, dit Julien. Et moi, je pars en déplacement pour huit jours.
    — Et moi, je travaille, poursuit Roger.
    — Si ça pose un problème, dit Raoul, ramenez-moi à l’hôpital.
    — Hors de question, s’exclame Marion, on va se débrouiller, trois semaines, c’est vite passé.
    — Mais il faut le laver, le changer, reprend Julien. Tu feras ça toi ? Je sais que tu as l’habitude de le faire chez les autres, mais là, c’est mon père.
    — Ah, j’avais pas pensé à ça, répond Marion, mais s’il le faut, pourquoi pas. Il n’est pas impotent quand même.
    — Je peux pas t’imposer ça, dit Julien, c’est toi qui décide. Moi, ça me gêne pas. Et toi papa ?
    — Comme vous voulez, répond Raoul. Tu n’auras pas à le regretter ma chérie.

    Deux heures plus tard, Marion et Raoul, se retrouvent en tête à tête.

    — Vous avez un traitement, demande-t-elle.
    — Non, pas ce soir, répond-il, juste la toilette. Je te dérange ma chérie. Tu seras récompensée pour tout ce travail.
    — Je le fais pas pour ça, précise Marion. Ce qui me gêne, c’est de vous voir tout nu et de vous toucher.
    — Un homme est un homme, la rassure Raoul, on est tous fait pareil. Tu me passes mes béquilles, s’il te plait. Je vais à la salle de bains.
    — Je vous rejoins, dit-elle.

    Marion reste pensive. Va-t-elle s’en sortir ? Elle pousse la porte et voit Raoul essayer de se déshabiller. Le pauvre. Elle s’avance derrière lui pour l’aider.

    — A partir de demain, il faudra mettre une tenue plus appropriée, propose Marion. Un caleçon ou une liquette suffira. D’accord ?
    — Comme ça t’arranges ma chérie, le plus simple pour toi.

    Deux minutes après, Raoul est tout nu devant sa belle fille. Gêné, il ferme les yeux. Marion le découvre dans le miroir de la salle de bains.
    « Putain, beau papa, comme il est monté, se dit-elle. Il n’a rien laissé à son fils. Qu’est-ce que ça doit être quand il bande ».
    Elle savonne un gant de toilette et commence à le laver. D’abord le dos et les fesses. Elle passe bien entre la raie des cuisses puis fini par les mollets. Des gestes qu’elle pratique tous les jours. Mais là, c’est son beau père. Elle se met sur le côté, lave les cuisses et les jambes. Le plus dur reste à venir. Marion hésite à laver le sexe de Raoul, d’autant que son membre est maintenant bien raide. Elle prend son courage à deux mains.

    — Et bien beau papa, qu’est-ce qu’il vous arrive ? Cochon.

    Marion fait de son mieux pour laver la queue de Raoul. Elle est obligée de la décalotter pour nettoyer le gland. Elle fini par les couilles. La première séance est terminé.

    — Voilà, vous êtes tout propre, dit-elle. Vous allez manger et faire un gros dodo.

    De sa main droite, Raoul maintient celle de Marion sur sa queue.

    — Oh là, qu’est-ce-que vous voulez, vous croyez pas que…
    — Tu vas me laisser comme ça ? Regarde dans quel état je suis.
    — Mais ça va pas. Et si Julien apprend ça ? Non, non et non.
    — Il n’en saura rien, ça restera entre nous. S’il te plait.

    Marion le sent triste, elle le plaint. Après tout, ils sont que tous les deux, et l’âge n’est pas un obstacle. Elle se place derrière lui, lui saisit la queue et commence à le masturber. Elle sent un peut d’humidité envahir sa culotte. Raoul se tend en avant.

    — Vas y ma chérie, fais jouir ton beau père, branle.

    Marion fait coulisser ses doigts sur le frein, bien à la base du gland. Raoul est pris de tremblement.

    — Ha..ha..oui, que c’est bon ça, ha..hou..

    Raoul envoie son sperme contre le miroir, en donnant de violents coups de reins.

    — Voilà, je peux nettoyer la glace maintenant. Quelle giclée, ça en avait besoin, polisson, ça fera deux fois que je vous nettoie la queue.
    — Avec la bouche, demande-t-il.
    — Quoi, rugit-elle, pas question. Allez, je vous rhabille.

    Le repas se termine vers vingt et une heure.

    — Je vais me coucher, dit Raoul, ça te fais rien ?
    — Pas du tout. Vous m’appelez si vous avez besoin de quoi que ce soit.

    Marion fini de débarrasser et va à la salle de bains pour se rafraichir. Elle se caresse la chatte et le clitoris, en pensant au sexe de son beau père. Elle préfère en rester là, et se couche. Vers une heure du matin, Raoul l’appelle. C’est en chemise de nuit qu’elle regagne la chambre.

    — Que vous arrive-t-il ? Demande Marion.
    — C’est mon caleçon, il me serre.

    Elle soulève le drap. Raoul est en érection.

    — Hey, beau papa, faut se calmer.

    Elle ne sent pas la main qui passe sous sa chemise. Raoul glisse deux doigts dans la fente humide. Surprise, Marion essaie de se reculer.

    — Oh, lâchez moi, je vous en prie.

    Raoul la tire vers lui. Il ne sent pas une résistance farouche. Elle écarte volontairement les jambes, en gloussant de plaisir. Elle se penche sur lui et lui murmure à l’oreille.

    — Où vous voulez en venir ? Vous voulez me baiser, c’est ça ?

    Elle lui quitte le caleçon, ôte sa chemise de nuit, et l’enjambe. Raoul n’est pas handicapé de partout. La queue est là, prête à l’accueillir. Elle écarte ses jambes et s’y empale dessus.

    — Ha, gémit-elle, ça c’est de la bite. Allez-y, niquez moi. Je suis toute mouillée là. Attendez que je décalotte mon bouton. Voilà, c’est mieux. Putain, je me fais prendre la chatte par mon beau père, quel salaud. Mais que c’est bon.

    Marion se prend les seins, se cambre en arrière. L’orgasme est là. Elle hurle de plaisir. Raoul se retient au maximum, puis se lâche dans la chatte de sa belle fille.

    — Comme tu m’as régalé, dit Marion en l’embrassant. Je peux te tutoyer ?
    — Entre nous, bien sur. Tu aimes faire l’amour toi. Mon fils doit pas s’ennuyer avec toi, hein ? Petite vicieuse.
    — J’aime que ça, répond-elle. Surtout quand la queue en vaut la peine.
    — Mon frère Roger passe demain. Tu veux qu’on te prenne tous les deux ?
    — Oh là, doucement, je suis pas une trainée, répond Marion. Mais j’avoue que d’un autre côté, une partie à trois peut être intéressante. On verra demain. En attendant, tu peux me niquer encore ? Regarde comme je mouille. Si tu me grattes le bouton, je serai sage toute la nuit.

    Prise de fatigue, Marion se blottit contre son beau père. Le couple s’endort.

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    Nous nous sommes séparés avec mon épouse en janvier 2014. Après 3 ans de mariage, les disputes étaient fréquentes, et pour tout dire nous ne supportions plus la vie en commun. Je tiens cependant à signaler que nous avons partagé jusqu’à la fin de notre relation une exaltante entente sexuelle (pour les rares fois où nous ne nous disputions pas…)

    Mon ex s’appelle Anne. C’est une femme pulpeuse de 27 ans, petite, jolie avec un type que je pourrais qualifier de « blonde méditerranéenne ». Elle a en effet une peau mate et une flamboyante chevelure blonde bouclée, un nez un peu busqué, et de jolis yeux expressifs. Elle est petite et potelée. Lorsque nous étions ensemble elle passait son temps à suivre d’inefficaces régimes que je lui déconseillais, j’étais fan de ses rondeurs (comme souvent les hommes d’ailleurs).

    En juillet je suis parti en vacances dans un hôtel en Crète. Mon nouveau célibat m’a poussé pour faire des rencontres à prendre ce genre de vacances où les rencontres sont faciles et sans grandes conséquences sentimentales.

    Les logements de l’hôtel étaient d’agréables petits pavillons, regroupés par deux avec un petit jardin commun. J’ai vite fait la connaissance de mon voisin, un Italien de mon âge, Marco, qui profitait de ses vacances et de sa séduction naturelle (c’est un beau garçon très brun, bien bâti) pour multiplier les conquêtes. On est vite devenus copains. On parlait un effroyable mélange d’anglais, de mauvais français et de mauvais italien, et on se marrait bien. Je l’entendais parfois par les minces cloisons de ma chambre ravir ses compagnes d’une nuit ; et il m’arrivait de faire de même (j’avais toutefois moins de succès que lui ; d’autre part je gardais une certaine tristesse de ma séparation qui m’empêchait de faire comme lui le séducteur tous les soirs dans les boites où nous allions trainer ; soit celle de l’hôtel, soit d’autres aux environs).

    Après une semaine, un matin, au sortir du petit-déjeuner Marco me dit que ce serait sympa d’assister aux arrivées (les gens arrivaient massivement dans la journée du samedi). Il ajouta en me faisant un clin d’œil : « perhaps news girls this week !)

    Nous allâmes donc boire un café au bar de l’hôtel en regardant tous ces nouveaux arrivants harassés (voire parfois exaspérés après une nuit de transferts, avions, re-transferts et attentes diverses.)

    Soudain mon cœur s’arrêta. Parmi les arrivants je reconnus Anne, avec une de ses copines (Sandrine, qui m’avait toujours exaspéré).Au moment où j’allais dire quelque chose, Marco me pinça le bras : « Hey, look, the two girls, les deux filles ! Troppo bella, the blond with the beautiful big ass…)

    J’étais rouge comme une écrevisse. La blonde avec un « magnifique gros cul » c’était évidemment Anne. (entre parenthèses je n’aimais pas le terme « big » pour « gros », je mis ce choix de terme sur la méconnaissance de la langue anglaise de Marco, son postérieur était certes généreux, mais harmonieux, ce qui d’ailleurs fascinait visiblement Marco). En attendant, j’étais consterné de voir débouler mon ex sur mon lieu de vacances, voulant réfléchir, je prétextais un besoin urgent et m’éclipsais vers ma chambre.

    C’était évidemment un hasard, une pure coïncidence. Je ne savais pas comment aborder la chose, et surtout pas devant Marco, à qui je n’avais pas raconté ma récente séparation.

    Je partis à la piscine… Et je croisais Anne avec ses bagages et sa copine qui allaient vers leur chambre. Elles furent aussi surprises que moi. Anne avait l’air furieuse. Voyant arriver l’orage, Sandrine s’éclipsa pour nous laisser parler.

    « Comment se fait-il… » commença Anne. En voyant ma tête déconfite elle comprit que je n’y étais pour rien et se calma.

    « Ecoute, tu prends des vacances, je prends des vacances ; faisons comme si on était des copains de Paris qui se connaissent un peu. Ça nous facilitera la vie à tous les deux. »

    « D’accord, lui dis-je. Mais essayons de nous croiser le moins possible, ça aussi ça sera plus facile… » Elle acquiesça ; je rejoignis Marco qui m’attendait à la piscine et qui était tout surpris (et un peu émoustillé ?) à l’idée que je connaisse les deux filles. Je lui expliquai donc que c’étaient « de vagues copines de Paris » et on en resta là.

    Plus tard, alors que l’on se faisait dorer au soleil, nos vîmes les filles arriver à la piscine. Marco me poussa du coude. Il faut dire qu’elles étaient mignonnes en maillot, et surtout Anne , appétissante avec son postérieur tout dodu et ses seins généreux comprimés dans le maillot..

    Je fis comme si de rien n’était, et fis mine de me rendormir. Je surpris plus d’une fois le regard de Marco sur Anne ; et il me sembla bien que mon ex-compagne jaugeait mon pote derrière ses lunettes de soleil.

    Deux jours passèrent. J’avais présenté mes « copines » à Marco qui ne manquait pas une occasion de me faire une remarque salace sur le physique d’Anne. Cela m’agaçait et je ne pouvais pas lui dire pourquoi. Toutefois nous ne les rencontrions pas souvent, l’hôtel étant grand il était possible de ne pas se croiser trop souvent, à part au restaurant où je pouvais juger de son bronzage grandissant. Avec son type de peau elle était dorée par le soleil, et pour tout dire très séduisante (en tout cas pour ceux qui aiment les beautés callipyges).

    Ce soir-là nous décidâmes Marco et moi d’aller dans la discothèque de l’hôtel. J’avais marqué quelques points dans une entreprise de séduction avec Laura, une touriste suisse que je devais retrouver à la boîte, et Marco m’accompagna.

    Vers 23h, alors que j’étais en pleine discussion avec Laura, Anne et Sandrine firent leur entrée dans la boîte. Anne me jeta un coup d’œil inquisiteur. Elle ne se faisait visiblement aucun doute sur ce que j’entreprenais et je me sentis un peu gêné. Elle était ravissante : maquillée, ses beaux cheveux noués, une courte jupe mettant en valeur ses jambes gainées de noir. Je me rappelais alors qu’elle se mettait souvent des dim-up lorsqu’elle sortait et je cessais de me poser la question lorsque je surpris le haut nu de ses cuisses généreuses lorsqu’elle s’assit à quelques tables de nous. La bretelle du soutien-gorge contenant sa lourde poitrine dépassait de son haut et je fis un rude effort pour me concentrer sur Laura.

    Marco invitait à danser toutes les filles qu’il pouvait et je ne me fis pas trop d’idées lorsque je le vis danser avec Anne. Quand les slows arrivèrent j’invitai ma compagne. Tout en dansant (un peu trop collé) je vis cependant que Marco collait Anne, la faisait danser, boire et il lui chuchotait à l’oreille ce qui la faisait rire. Puis il la laissa un moment pour parler à un compatriote ce qui curieusement me rassura.

    Je quittai la boite avec Laura ; et tentai de la ramener vers ma chambre. J’obtins un baiser passionné d’adolescente, suivi d’une excuse à propos d’une « séparation récente qui la poussait à ne pas s’engager trop vite » et elle partit se coucher.

    Je fis de même, un peu désappointé. Je sombrai vers 2 h ; et fus réveillé vers 3h par des rires. Mon cœur s’arrêta. J’avais reconnu les voix d’Anne et de Marco. Je les entendis rentrer ; elle avait la voix un peu éméchée. Puis rien pendant un moment. Je me levai pour aller dans la salle de bain, allumai la lumière quand j’entendis se rouvrir la porte de mon voisin, puis on frappa doucement à ma porte. Etonné j’allais ouvrir. « Scusi, mon ami, I saw the light and I know you were not sleeping. I have a little problem, you can help me ? »

    Je le fis rentrer. Il chuchota, l’air ravi : « The beautiful girl with the beautiful big ass, she’s in my room ! But I’ve just

    see I have no condoms… Can you help me ? You have some ? »

    Alors là j’étais éberlué. Il venait me demander de lui donner des préservatifs pour s’envoyer en l’air avec Anne. Et je ne pouvais rien dire, il m’avait « dépanné » du même service cinq jours auparavant. J’ouvrai mécaniquement le tiroir de la table de nuit.Au moment où j’allais lui tendre la boite il me désigna le tube de lubrifiant qui était à côté (j’en ai toujours avec moi, certaines femmes ne supportant pas le caoutchouc) avec un clin d’œil : « And this also, my friend, if you don’t need it tonight ». Je lui tendis les deux objets. Il me remercia chaleureusement et me souhaita bonne nuit…

    Je me recouchai en essayant de ne pas imaginer ce qui allait se passer à côté. J’étais partagé entre la raison qui me disait que c’était normal (nous étions séparés !), un zeste de jalousie (fort mal placé avec ce que j’avais tenté avec Laura ) et une étonnante excitation. Je me rendis vite compte que je ne pouvais pas dormir du tout. Je sortis dans le jardin, et poussé par un mauvais instinct je me rapprochais en catimini de la porte-fenêtre de Marco, qu’il gardait souvent entrouverte (il détestait la clim).

    Il avait laissé la lumière de sa salle de bains allumée ce qui laissait une très douce lueur dans sa chambre. Je me rendis compte que ses rideaux ne m’empêchaient pas de voir à l’intérieur, me rapprochai encore et là, je les vis. Ils s’embrassaient passionnément sur le lit. J’étais à même pas trois mètres d’eux et je pouvais les observer (et les entendre!) tranquillement sans être vu. Il y avait devant moi un petit buisson qui devenait mon allié dans l’obscurité… Je n’ai pas une mentalité de voyeur mais je ne résistais pas au spectacle. Elle avait dénoué ses cheveux et l’embrassait avec ardeur. Je me dis qu’elle n’avait peut-être pas fait l’amour depuis fort longtemps. Elle s’arracha de sa bouche quand il commença à lui pétrir les seins et gémit « ooooh… » Sa main à elle malaxa son entrejambe à lui, elle cherchait à le masturber au travers du jean’s. Elle se leva, fit disparaître son haut, ses chaussures et sa jupe et apparut en string, soutien-gorge et dim-up (comme quoi je ne m’étais pas trompé…) Tout en la caressant il se déshabilla entièrement, puis fit glissa au sol pour lui embrasser l’entrejambe. Il fit glisser au sol le petit string. Elle voulut enlever les dim-up mais il lui dit « no, no please, it’s beautiful, keep it… » Elle sourit et marmonna en français « toi, tu es un coquin… » Il se releva, recula un peu et l’admira : « you’re so beautiful » Elle minauda un peu et dit « oh no, I’m too fat ». Elle était de fait un peu grassouillette, mais admirablement et juste où il faut, pleine de sensualité : des gros seins lourds en poire, des hanches un peu larges mais la taille fine et cambrée, et des fesses dodues à souhait. Et je savais à quel point sa peau est douce… « You’re a strong man » dit-elle en observant d’un air appréciateur son érection. Il avait un sexe large et long et, toujours debout, elle lui roula une pelle enamourée en le branlant lentement. Il lui caressait le dos, les fesses avec passion, et elle le poussa à s’asseoir au bord du lit. Elle s’agenouilla, ouvrit la bouche, et lentement, très lentement, engouffra son sexe entre ses lèvres pulpeuses. Il poussa un râle de satisfaction, et lui caressa les pointes de ses seins que je voyais érigées sous la fine dentelle du soutien-gorge. Elle commença à le sucer avec passion (et je savais à quel point elle pratiquait bien cet art !). Il gardait les yeux fermés et ne vis pas ce que je vis : sa main droite à elle disparut entre ses cuisses ; et tout en pratiquant sa fellation elle se masturbait avec délice. J’avais une vision incroyable d’où j’étais : je voyais Marco, assis sur le lit, en train de se faire tailler une pipe par mon ex-femme que j’observais de dos, son large postérieur s’agitant sensuellement pendant qu’elle se masturbait… Je m’étais couché en gardant mon short sur moi et je ne résistais pas à me caresser machinalement au travers de la toile… Marco gémissait sous la caresse buccale, il lui empaumait les seins tout en marmonnant des phrases en italien que je ne compris pas. Soudain, il s’arc-bouta et jouit longuement ; je vis à l’accélération subite des doigts d’Anne et surtout à la chair de poule qui recouvrit ses fesses qu’elle aussi jouissait ; elle le maintint dans sa bouche et avala tout ; elle ne fit pas part de son orgasme autrement que par des « mmh, mmh » tant elle tenait à le sucer jusqu’au bout. La scène était tellement érotique que je me rendis compte que j’avais joui en même temps qu’eux, en me touchant… Lorsqu’il eut fini de jouir, elle se dégagea lentement, le regarda avec un sourire ironique et lui dit : « So quick ? and me ? I didn’t come… »

    Quelle menteuse ! bien sûr qu’elle avait joui ! Je me sentis curieusement rasséréné du fait qu’elle lui reproche sa jouissance rapide. Cela en faisait moins un Superman… Mais il se dressa, son sexe un peu débandé et dit en souriant: « No problem, it’s your turn now ». Il l’allongea sur le lit, et lui écarta doucement les jambes. Il se mit à lui lécher fort délicatement le sexe en la tenant par les fesses qu’il malaxait voluptueusement. Elle se mit à gémir, à haleter, puis elle fit glisser les bretelles de son soutien-gorge pour libérer sa poitrine, s’humecta les doigts et se toucha le bout des seins. Je l’avais vue pratiquer ce type de caresses souvent par le passé mais là la vision était fort différente puisque ce n’était pas moi qui étais en train de la lécher…

    Je suivais sur son visage la montée de son plaisir, elle s’agitait de plus en plus sous la langue de Marco ; elle prit la chevelure de son amant à pleine main et lui appuya sur la tête en haletant ; elle se tendit en arc de cercle en criant pendant qu’elle jouissait pour la deuxième fois. Marco se redressa, son sexe avait repris une forme plus honorable (le mien aussi). Anne, insatiable (je savais qu’elle pouvait avoir plusieurs orgasmes consécutifs) se pencha sur lui pour le sucer encore un peu, jusqu’à obtenir une rigidité absolue… Il tendit la main et attrapa un préservatif qu’il déroula sur sa verge tendue et roula sur le dos… Anne se mit sur lui, guida sa verge et lentement, très lentement, se l’introduisit en elle. Elle poussa un râle de satisfaction. Elle était tellement inondée que j’entendais le doux clapotis de leur accouplement. Il la maintenait soudée à lui en lui pétrissant les fesses pendant qu’elle s’agitait en gémissant, ses gros seins totalement échappés du soutien-gorge ballottant au rythme de leur coït.

    Il se dégagea doucement, la coucha sur le ventre et la pénétra ainsi. Je savais qu’elle adorait être prise comme ça et elle répondit à ses coup de reins par un roulage des fesses des plus érotiques. Tout en lui faisant l’amour il se redressa et caressa ses fesses. Il semblait obnubilé par cette partie de son anatomie. Il glissait de temps à autres son pouce dans le sillon fessier d’Anne qui ne protesta pas (au contraire si j’en jugeais par ses gémissements). Il humecta son majeur et lui pénétra doucement la rosette. Elle cria « oui, oui » et eut un troisième orgasme. Marco, rendu endurant du fait de son premier orgasme la laissa reprendre ses esprits et, toujours en elle, tendit la main pour attraper le flacon de lubrifiant. Je voyais bien où il voulait en venir. Je m’attendais à un refus d’Anne. Nous avions pratiqué la sodomie du temps de notre mariage, mais cela n’arrivait que certaines fois lorsqu’elle était extrêmement excitée. D’autre part elle m’avait dit qu’avant notre rencontre cela lui était déjà arrivé mais qu’elle ne réservait ce plaisir qu’elle jugeait très particulier qu’à des hommes qu’elle connaissait déjà bien et avec qui elle avait déjà eu plusieurs semaines de relations.

    Eh bien je me trompais. Visiblement elle en avait envie car lorsqu’elle sentit le produit couler sur son orifice anal, après un léger sursaut elle fit juste entendre un « mmh » qui semblait me donner tort.

    « You like it ? » demanda-t-il.

    « Yes, but do it very slowly, carefully, please »

    Il enfonça tout doucement son doigt dans son petit œillet lubrifié. Elle roulait des fesses, tendant sa croupe vers le doigt qui lui fouillait l’arrière train, et je sus que Marco n’allait pas tenir longtemps. Il se dégagea de son sexe et approcha son pénis de sa « petite porte d’entrée secrète » (expression d’Anne) Il lui souffla à l’oreille : « you make me go inside you, I don’t want to hurt you, you decide »

    Mauvais anglais, mais sens limpide. Anne d’ailleurs avait fort bien compris et je sentis me monter l’adrénaline lorsque je la vis prendre le sexe de son amant et le positionner entre ses fesses charnues. Elle poussait en arrière, gémissait quand le gland pénétrait un peu son intimité anale. Elle tourna la tête vers Marco et lui dit : « Please, more of this (elle désigna le lubrifiant). More, more, I want to get you all… »

    Il ne se le fit pas dire deux fois, et pour le coup se recouvrit le sexe d’une généreuse couche de lubrifiant, ainsi que la « petite porte secrète » de mon ex. Ainsi préparée, elle s’introduisit sans difficulté le sexe de Marco dans ses reins. Lorsqu’il fut entré en entier elle se mit carrément à crier son plaisir. « Don’t move, don’t move, wait… » Elle se redressa sur les bras. Il commença à faire des va-et-vient dans ses fesses, d’abord doucement, puis de plus en plus vite. Elle était comme une femelle en chaleur, râlant, gémissant, hoquetant. Ses fesses tremblaient un peu sous les assauts de son mâle, ses gros seins tendus par le plaisir ballottaient. Mon sexe à moi avait la rigidité d’une statue et je me caressais sans honte, les yeux rivés sur le spectacle de mon ex sodomisée.

    Elle prit le coin du drap et commença à se masturber avec ardeur. Marco, abouté à ses fesses, accéléra ses mouvements face à ce spectacle charmant… Elle dit (en français, ce qui prouve à quel point elle n’avait plus sa tête à elle, en route qu’elle était pour le 7ème ciel…) : « oui, oui, mon chéri, viens dans mes fesses, jouis, jouis » Accroché à ses larges hanches, il se vida en elle, en criant pendant qu’elle jouissait comme une folle, je vis le morceau de drap s’agiter à toute vitesse entre ses cuisses charnues, et je dois avouer que moi aussi j’arrosai la végétation autour de moi de ma semence…

    Apparemment repus, ils s’endormirent l’un sur l’autre. J’allais me coucher, plein de pensées fort confuses. J’avais à la fois honte de m’être masturbé comme un adolescent en les matant ; j’avais un curieux sentiment de jalousie et je me posais des questions sur le désir qu’elle me procurait maintenant. Heureusement qu’elle ne savait pas que j’avais la chambre contiguë à celle de Marco…

    Vers 7h 30, j’entendis par la cloison des bruits sourds, des râles. Apparemment ils avaient remis ça. Je tentai de me rendormir, mais, exaspéré je me levai et allai prendre mon petit-déjeuner. Lorsque je revins, au moment où j’ouvris ma porte, je tombais nez à nez avec Anne qui sortait. Mon cœur battait la chamade. « Ah, c’est ta chambre, ici ? » dit-elle un peu sottement. « Remarque, j’aurais pu m’en douter, comme tu es copain avec Marco… »

    Elle était rouge de confusion, et moi aussi. Je luttai contre une érection envahissante car me revenait ses ébats de la nuit. Elle le vit, et, le regard trouble, me demanda d’une voix douce : « Tu nous as entendus ? »

    « Ben… oui. » Je ne pouvais évidemment pas lui dire que non seulement je les avais entendus (elle savait qu’ils avaient été bruyants) mais que je les avais matés copieusement…

    Elle me sourit : « On dirait que ça t’a fait de l’effet. » Son regard désignait la bosse de mon short que je n’arrivais pas à dissimuler. « Et toi, tu t’amuses bien ici aussi… » Elle faisait allusion à Laura, et je ne cherchais pas à la détromper. D’autant que depuis notre séparation je n’avais pas vécu comme un saint, loin s’en faut.

    « Tu sais, depuis notre séparation je n’avais pas fait l’amour. Et là, avec les vacances, c’est comme un déclic, j’en ai follement besoin »

    « C’est ton problème » bougonnai-je, « tu fais ce que tu veux »

    Elle me regarda avec douceur. « Ca peut être le tien, si tu le souhaites. Il y a des choses sur lesquelles on fantasmait tous les deux et que l’on n’a jamais tentées… »

    Là elle me sciait. On avait parfois parlé, dans les jeux de l’amour de parties avec un troisième partenaire, mais j’avais toujours pensé que c’était un jeu de pensée pour elle, un fantasme uniquement…

    « Et puis… Tu me manques » dit-elle en me poussant dans ma chambre. Bon sang ! Elle ne doutait de rien ! Cependant lorsqu’elle me fit tomber sur le lit et qu’elle m’arracha mon short, mon sexe érigé ne pouvait faire mentir le désir que j’avais d’elle.

    « Je te vais te soulager, mon pauvre chéri ; dit-elle suavement. Et puis je vais parler à Marco. Je suis sûr qu’il est partageur et qu’il aimerait bien que l’on joue tous les trois. Je vais organiser ça pour ce soir. Tu veux ? »

    En me parlant, elle se mit à me masturber avec ardeur. Je voulus lui toucher les seins, elle me fit « tu-tut, ce soir peut-être si tu es sage » Je déclarai assez vite forfait, et éjaculai à longs traits brûlants.

    « Ne t’inquiètes pas, il dort encore » me dit-elle. « A ce soir, alors »

    Je la regardai s’éloigner, songeur.

    A midi je retrouvai Marco, dithyrambique sur sa conquête de la nuit. « She loves to take it in her ass, my friend, it’s incredible, she loves sex very very much ! »

    Elle vint le rejoindre au dessert et lui parla à l’oreille un long moment. Je m’éloignai prendre un café. Il vint me voir, hilare : « She thinks you’re cute, she want to try with you and me together… »

    Ca prenait des proportions des plus étranges. Voilà qu’un copain de vacances, amant de mon ex, me proposait une partie à trois avec elle…

    Nous allâmes nous reposer à la piscine. Anne apparut, sanglée dans un maillot de bain deux-pièces qui moulait étroitement son anatomie. Elle vint nous voir, et nous dit : « Il fait un peu chaud pour rester au bord de la piscine, moi j’irai bien me reposer au frais.. » « Give me your key, Marco, please… »

    Elle me fit un petit clin d’œil. « Rejoignez-moi dans dix minutes… » Je ne résistai pas à lui balancer un : « je croyais que tu pouvais attendre jusqu’à ce soir » qui lui fit hausser les épaules. Elle s’en alla, ses hanches ondulant de manière sensuelle. Marco me dit : « I said it to you, she’s incredible ! »

    Difficile de lui dire que j’avais profité de ses charmes bien avant lui…

    Nous allâmes la rejoindre sans mot dire. Lorsque nous pénétrâmes dans la chambre, l’ambiance était électrique, d’un érotisme intense. Elle roula une pelle enflammée à Marco en me tournant le dos, je lui pétris les fesses et elle m’attrapa le sexe. Je lui dégrafai le haut de son maillot, pendant que Marco lui faisait glisser le bas le long de ses jambes. Je lui empaumai ses gros seins et elle gémit quand Marco agenouillé commença à lui lécher le sexe. Nous retrouvâmes nus comme des vers tous les trois, je m’assis sur le lit. Elle se mit à plat ventre en face de moi pendant que Marco enfilait un préservatif. Elle m’attrapa le sexe et le prit en bouche pendant que derrière elle, Marco, la pénétrait. J’étais fasciné, je voyais sa bouche pulpeuse sur moi pendant que son arrière-train tressautait sous l’assaut de Marco.

    Après quelques délicieuses minutes nous échangeâmes la position et je ne résistais pas à l’envie que j’avais de la sodomiser. Pendant qu’elle avait la hampe de Marco dans la bouche, j’allais et venais dans ses reins avec facilité (la boite magique de lubrifiant ayant été mise à contribution une fois de plus…) Elle ôta un instant le sexe de sa bouche et me dit d’une toute petite voix : « touche mon clitoris, je vais jouir » Je lui massai délicatement son petit bourgeon et elle fut agitée de spasmes violents ; Marco se déversa dans sa bouche et je me répandis à grands jets dans ses reins. Elle se dégagea et dit : « Ce soir, j’aimerais essayer avec vous deux en même temps… Là, il faut vraiment que j’aille dormir, je suis épuisée».

    Le soir nous nous retrouvâmes, toujours dans la chambre de Marco (la mienne ou la sienne semblant être tabous, d’un tacite accord). Elle nous avait fait la totale : maquillée, de grands anneaux de gitanes aux oreilles, et le retour des dim-up…

    Elle voulut d’abord se faire sodomiser par Marco pendant que je les regardais (fantasme ?) Puis elle s’embrocha sur lui, se tourna vers moi et me dit : « doucement, tout doucement » Je la sodomisai lentement. Enfoncé au fond de ses fesses majestueuses je pouvais sentir Marco ! Ce fut elle qui commença à bouger. Elle était échevelée, marmonnait des mots sans sens. Puis elle annonça qu’elle allait jouir, elle me demanda de lui toucher les seins. « Allez-y mes chéris, jouissez tous les deux en moi, j’aime, j’aime »

    Nous eûmes, tous les trois en même temps, un orgasme foudroyant.

    Nous continuâmes nos activités à trois jusqu’à la fin de notre séjour, et je redécouvris ma femme, et elle me redécouvrit.

    Depuis que nous sommes rentrés, nous avons arrêté la procédure de divorce. Nous habitons encore chacun de notre côté ; mais nous nous voyons presque tous les soirs. Il n’est plus question de « parties à trois », en tout cas nous n’en avons jamais re-émis le désir. Ce qui est sûr, c’est que ces étonnantes expériences sexuelles nous ont réconciliés…

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    Je m’appelle Anne-Laure, la vingtaine juste passée. Afin d’être tout à fait honnête, je dois avouer que mon physique n’est pas exactement celui d’une top-modèle. Loin s’en faut ! Pour tout dire, je suis plutôt bien en chair même ! Mais mes rondeurs semblent pour autant ne pas déplaire à tout le monde… Ainsi, pour preuve, lorsque mes envies deviennent pressantes et ma libido trop impérieuse, il suffit que j’exhibe un décolleté suffisamment plongeant avec un soutien-gorge qui remonte bien ma poitrine pour que je déniche sans difficulté dans la soirée même une âme charitable pour partager mon lit. Aux regards appuyés ou furtifs que je surprends sur mes seins, je peux affirmer d’ailleurs que la grande majorité des hommes apprécie les poitrines plantureuses comme la mienne ! Mais de cela, je ne peux pas me plaindre, car je crois que c’est bien là mon seul atout physique ! Bref.

    J’ai longuement hésité avant de raconter mon expérience car je sais qu’il y a toujours des gens qui se croient plus malins ou au-dessus du lot de leur semblable pour juger les autres, et je me doute bien qu’ils ne seront certainement pas tendres avec moi. Mais qu’y puis-je ? Pendant longtemps, j’ai préféré caché ma petite aventure comme on le ferait d’une une faute impardonnable et n’en ai jamais parlé à personne. J’ai même tenté de l’oublier, de la nier, de la refouler. Mais en vain… Et aujourd’hui, l’heure semble être celle de l’acceptation…

    Cela s’est passé l’été dernier. Mon frère qui a une propriété dans le sud de la France m’avait demandé si je pouvais rester chez lui pendant quelques jours. Il partait en vacances avec femme et enfants et préférait ne pas savoir sa maison inoccupée durant son absence. Bon, même si cela m’ennuyait profondément de jouer ainsi le rôle de gardien solitaire, je n’en dis rien et acceptais finalement en priant le ciel pour qu’il fasse au moins un grand beau temps. Comme ça, me disais-je, je pourrais profiter de la piscine ! Car à part cela, il n’y a pas grand-chose à faire là-bas. Sa maison est en pleine cambrousse et le premier voisin doit être au minimum à trois kilomètres de distance. Et pour les sorties, c’est même pas la peine d’y penser ! Sauf à se taper trois heures de bagnole aller-retour.

    Au bout de cinq jours d’isolement, je n’en peux plus et regrette amèrement d’avoir accepté. Heureusement que le soleil et la chaleur sont de la partie, mais mis à part un répétitif va et vient entre la piscine et le transat, je commence littéralement à crever d’ennui. Et dire qu’il faut que je tienne encore deux jours comme ça !
    En cette fin d’après-midi, le temps tourne peu à peu à l’orage et l’atmosphère devient littéralement étouffante. Complètement nue – aucun risque ici d’être aperçue par qui que ce soit dans ce désert humain – et affalée sur un matelas pneumatique, j’observe de gros nuages noirs s’amonceler et moutonner au loin dans le ciel. Putain, quelle merde ! C’est bien ma veine ! Alors qu’il semble bien que le mauvais temps ait décidé de foncer droit sur moi, je sors de la piscine et sans même me sécher, enfile ma robe. Le coton se colle instantanément à ma peau, et amusée en avisant les tâches sombres que forment mes larges aréoles, je me rends compte à quel point le tissu est transparent sur ma peau détrempée.

    Mon neveu et ma nièce m’ont laissé leurs instructions avant de partir et tous les soirs, je dois m’occuper de leurs poneys et les brosser. Quelle galère ! En fait, je m’efforce de le faire tous les deux jours, et c’est déjà pas mal pour quelqu’un comme moi qui n’apprécie pas particulièrement la compagnie des animaux. Mais l’orage se rapproche et j’entends gronder quelques coups de tonnerre. Il faut vraiment que je me grouille d’aller au moins les mettre à l’abri. J’accélère donc le pas en direction du pré attenant à la maison où se baladent les deux bestioles.
    Les tenant bientôt par leur longe, je les dirige vers l’abri de fortune qui leur est destiné. Constitué sommairement de matériaux de récupération, il y a un toit, mais il est complètement ouvert sur le devant. J’imagine qu’ils auraient peut-être eu l’intelligence de s’y rendre tout seul, mais dans le doute, je préfère les y conduire. On ne sait jamais… Et puis, je n’ai vraiment pas envie d’avoir de problèmes, et cela me rassurera de les savoir ici plutôt que dehors sous l’orage.
    De grosses gouttes de pluie commencent déjà à tomber et c’est en les tirant vigoureusement que j’atteins enfin leur refuge. A peine à l’intérieur, la pluie se met à tambouriner d’un coup et le bruit que cela provoque sur les tôles du toit en devient assourdissant. Je jette un œil dehors… et merde, il pleut vraiment des cordes ! Va falloir que j’entende ici que ça se calme un peu. Bon, tant qu’à y être, je me dis autant en profiter pour procéder à la corvée du brossage !
    Je commence par le plus petit des deux et lui démêle la crinière avant de changer de brosse et de lui frotter les flancs. Une main posée sur son dos et l’autre s’activant sans véritable ardeur sur son poil, je tourne la tête un instant vers le deuxième poney qui ne bouge pas et semble indifférent aussi bien à l’orage qu’au raffut de la pluie sur le toit. Mais soudain quelque chose d’inhabituel attire mon attention. Et un peu gênée, je remarque finalement que son sexe déplié pend mollement sous son ventre. Je souris et murmure : « Eh ben ! Tu t’en fais pas toi ! »

    Après en avoir terminé avec le premier poney, je m’approche du deuxième et entreprends de lui brosser également la crinière. Par curiosité, ou plutôt par vice, je suppose, je ne peux m’empêcher de me reculer un peu afin de vérifier si son état est redevenu à la normale. Incrédule, au lieu de cela je m’aperçois que son sexe a au contraire doublé d’épaisseur depuis tout à l’heure. Et que dire de la longueur…

    C’est à partir de là que l’inconcevable a commencé.

    Etait-ce le résultat de ma solitude ? Du désœuvrement ? De l’ambiance orageuse et électrique ? Ou tout simplement du fait qu’il y avait bien trop longtemps que je n’avais pas fait l’amour ? En tout cas, en brossant cette crinière, je n’arrêtais pas de penser à ce sexe énorme, tendu, juste là…

    Me voulant imperturbable, je continue à le brosser en me disant que je suis cinglée. Moi ? Excitée par la queue d’un poney… vraiment n’importe quoi ! Et pourtant, malgré moi, je sens un trouble grandissant, une chaleur de plus en plus insidieuse irradier dans tout mon ventre et faire battre mon cœur un peu plus rapidement. Pire, plus j’y pense, plus je trouve ça dégueulasse, et plus je réalise que c’est justement cela qui m’excite le plus. Je me sens glisser dans une perversion obscène et sans véritablement en avoir conscience, je me rends compte que je suis en train d’écraser mes gros seins contre le flanc de l’animal. A ce contact, la fermeté de ses muscles m’électrise et c’est sans pudeur que je mets à me frotter contre lui. Tenant toujours la brosse d’une main, je glisse la deuxième entre mes jambes en soulevant ma robe. Et le constat est sans appel ! Mon sexe ne ment pas. Il est trempé et dégoulinant sous mes doigts. Je me masturbe doucement en continuant à frotter mes grosses mamelles contre lui. Je ne sais pas s’il réalise ce qu’il se passe, mais, il reste là, docile, sans bouger.
    Je crois que j’aurais pu jouir ainsi très vite tellement j’étais excitée. Mais déjà se bousculaient dans mon esprit des envies dont je n’aurais jamais cru pouvoir être capable.

    Abandonnant alors la brosse, je retire ma robe en vitesse. Le fait de me retrouver ainsi complètement à poil exacerbe encore un peu plus mon état d’hystérie vicieuse. Je m’accroupis et ne suis vraiment pas déçue du spectacle qui s’offre à moi. Hum… Je contemple un instant cette grosse queue qui m’attire irrémédiablement avant de tendre le bras pour la saisir. Bon dieu ! Comme c’est gros ! J’adore… Je tente de replier mes doigts autour mais c’est bien trop gros pour je parvienne à l’enserrer complètement. Je le prends donc entre mes deux mains et suis agréablement surprise par la douceur de cette peau lisse et tendue. Je le branle un peu et comblée, je le sens encore grossir.

    A ce moment-là, je ne me rendais déjà plus compte de ce que je faisais, comme s’il n’y avait plus aucune limite à ma débauche. Toute mon attention était tournée vers des sensations inavouables. Des sensations nouvelles qui me faisaient perdre les pédales. Je sentais une forte odeur animale flotter tout autour de moi, et cette fragrance de bête chauffait à blanc ma libido. Je me disais : « Mais putain, t’es en train de branler la queue d’un poney là ! » Et oui ! C’était bien ce que j’étais en train de faire, et je dois confesser que j’ adorais cela… Sentir cette bite immense entre mes doigts.

    Je me glisse ensuite un peu sous lui et dirige l’extrémité de sa trompe vers mes tétons qui deviennent aussitôt durs comme du bois et tandis que je le manipule toujours des deux mains en le frottant contre mes aréoles, je sens mon propre sexe devenir brûlant et dégouliner d’excitation. Puis je tente de placer son engin entre mes seins. La chose n’est vraiment pas facile car l’angle de son sexe n’est guère approprié pour cette pratique mais je parviens tant bien que mal le positionner. L’entourant alors de mes chairs généreuses, je recommence à le masturber entre mes nibards. J’éprouve un plaisir sans borne à faire cela et je jubile lorsque, au gré de mes mouvements, son bout énorme vient heurter le creux de mon cou. Je crache à plusieurs reprises sur sa queue afin de bien la lubrifier et je m’aperçois avec contentement que sa queue ne mollit pas.
    A mon grand désarroi, je suis néanmoins obligé de changer rapidement de tactique car la position n’est vraiment pas évidente à tenir et une envie contre nature m’obsède de plus en plus. Je me redresse donc et me tenant debout à côté de lui, fléchis un peu les genoux. Impatiente, le souffle court, je m’empare de son sexe et l’amène tout contre ma chatte. Ce contact pervers me transcende et je regarde, abasourdie, la queue de cet animal toucher mon intimité. Le tenant fermement, je prends plaisir à l’utiliser comme un énorme pinceau, comme s’il s’agissait de bien étaler tout mon jus et de m’en barbouiller. Je pousse même le vice à le faire aussi glisser entre mes fesses. Hum… Je crois que lui et moi sommes au comble de l’excitation… En tout cas, en ce qui me concerne, il n’y a aucun doute !
    J’ai terriblement envie de le sentir en moi. Tout de suite. Mais comment s’y prendre ?
    Je jette de rapides regards aux alentours, et mon esprit tourne à cent à l’heure. Vite ! Vite ! Une idée. Quelque chose. J’aperçois alors dans un coin quelques bottes de foin. En vitesse, j’en prends une et la jette à côté du poney. Hum… encore trop bas je pense. J’en ramène une autre et la positionne sur la première. Oui ! Comme ça, ce sera mieux ! J’attrape alors ma robe et l’étale à plat sur le foin. Je m’allonge ensuite sur le dos en écartant les cuisses, et de toute urgence je me saisis à nouveau de sa bite.
    La manipulant d’une main, de l’autre j’écarte les lèvres de mon sexe en agitant sa queue entre mes jambes. Putain, c’est vraiment trop bon ! J’écarte encore plus les jambes. Comme la dernière des salopes… Et bizarrement, je me sens libérer de toute retenue, de toute convenance, comme si rien d’autre ne comptait que le plaisir pur que j’allais m’offrir. Je sens avec délectation son extrémité glisser et écarter peu à peu mes lèvres. D’un léger mouvement, je me place dans l’angle adéquat et en l’immobilisant fermement, je viens à sa rencontre. Je crains un instant qu’il ne soit trop gros, mais non, en poussant mon bassin vers lui, je le sens enfin s’insinuer en moi… Oh… Que c’est bon ! L’extrémité évasée de sa queue est passée et les parois de mon sexe se dilatent de plaisir sur son passage. Je ne peux m’empêcher de gémir tellement les sensations sont fortes. Par de légers mouvements ondulants, je m’empale de plus en plus loin sur lui et sens bientôt sa queue me remplir toute entière. Quel délice de se sentir ainsi comblée !
    Des images obscènes s’emparent alors de moi. Je m’imagine me mettre à quatre pattes à même le sol et présenter ma croupe de femelle en chaleur à cet animal pour qu’il me possède sans vergogne… Sa queue me rend dingue et je couine de plaisir. Je m’en sers comme d’un gode géant, sauf que c’est infiniment mieux ! Oui, là c’est chaud, c’est vivant. J’adore !
    J’ai tellement retenue ma jouissance que l’orgasme me cueille sans prévenir. Il est dévastateur et tout mon corps se raidit sous des spasmes de plaisir. Alors que je jouis comme une dingue, je continue néanmoins à le masturber car il est toujours aussi dur en moi. Réalisant soudain ce que je suis en train de faire, c’est-à-dire branler ce poney dans ma chatte, je me sens à la limite de connaître un deuxième orgasme.
    Soudain, je sens sa queue se gonfler imperceptiblement. Merde ! Lui aussi il va jouir ! J’accélère le mouvement car j’ai une envie folle qu’il éjacule en moi. Une envie sale, cochonne, un désir de souillure que je n’avais jamais connu auparavant. Je me redresse alors sur un coude et regarde sa queue toujours plantée dans ma chatte. Et soudain, le voilà qui part ! C’est trop bon ! Je n’avais jamais imaginé la quantité de foutre que pouvait balancer ces animaux ! Avec un frisson, je me rends compte qu’il me remplit littéralement et cette pensée m’électrise. J’ai l’impression qu’il ne s’arrêtera jamais et un liquide blanc coule bientôt de mon sexe. Ce flot de sperme est pour moi l’apothéose, le coup de grâce. Je retire sa trompe et étale de son bout toute sa semence sur ma chatte inondée. Mes poils sont baignés d’un liquide blanc et il suffit que je frotte à peine son bout contre mon clitoris pour que je connaisse un deuxième orgasme.

    Voilà, les deux jours suivants, j’étais tellement bouleversée par ce que j’avais fait que je n’osai même pas retourner voir les animaux. Pendant longtemps j’ai eu honte, je l’avoue. Honte surtout d’avoir éprouvé un tel plaisir.
    Puis les jours, et les semaines passant…
    … j’avoue qu’il m’arrive de plus en plus souvent de me masturber en repensant à tout ça.

    C’était ma première expérience du genre…

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