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    Le chanteur de rap accuse son producteur d'agression sexuelle

     Je ne sais plus si j'avais 26 ou 27 ans, je n'ai pas envie de me souvenir .... J'étais vierge, elle était gentille, c'était notre seconde rencontre et elle devenait moins gentille puis m'a coincée dans le noir ....   Sa fille est passé une 1ère fois, là l'autre m'a mit la main sur la bouche ! Puis elle est repassé une seconde fois mais cette fois-ci il a attendu, attendu que l'on parte ! J'avais honte, je n'ai rien dit avant des années et quand je l'ai dit à ma mère elle ne m'a pas cru car pour elle j'aurais dû en parler de suite ! Jamais je ne m'étais sentie aussi honteux et  humilier ! Durant des années si je regardais un film avec des viols je comencais à étouffer, je me repliais sur moi et les larmes coulaient ! Depuis j'ai réussi à passer dessus peut-être parce que les hommes et moi font deux et que celui que je pensais être mon sauveteur a été une amie manipulatrice pervers narcissique et violent. J'ai toujours eu beaucoup de caractère... Comme quoi la peur de mourir peut nous faire faire l'inverse de ce que nous pensions faire dans ces cas là ! Mais si un jour un homme, ou une femme, car cela existe, veut à nouveau me violer, me battre, me salir, là je deviendrai un montre de cruauté car plus jamais je ne veux revivre cela ni devoir mettre des années pour ne plus avoir peur !
     
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  •   En fait, au fond de moi, il y a toujours eu une petite voix qui m’a poussé à faire ça. Du genre :masqué « Vas-y essaye ! Toutes façons t’as qu’une vie ! ». Et c’est vrai on n’a qu’une vie. Si tu n’essayes pas de faire ce que t’as vraiment envie de faire, même si tu te plantes, ben tu pourras essayer dans quelle vie ? Celle que tu auras après, s’il y en a une ?  Je me suis dit, vois, tu verras bien ! Tu as peut-être quelque chose à apporter avec ta connerie.

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  •  Je suis avec mon ami depuis maintenant six ans. Nous avons un rapport sexuel par mois, parfois tous les deux mois. Il en a toujours été ainsi. Au début, je pensais qu'il fallait prendre patience. J'avais des problèmes familiaux, lorsque l'on s'est rencontrés, et j'étais peu démonstrative. Je lui parlais de mon manque, bien sûr, mais il était timide et avait du mal à parler de ce genre de chose. Avec les années, cette routine sexuelle s'est installée. J'ai décidé de prendre les choses en main et de pimenter notre relation. Malheureusement, c'est toujours à mon initiative : lingerie sexy, jeu de rôle, dîner aux chandelles et bain aux pétales de roses... Lorsque nous avons des rapports, cela se passe bien, même s'ils peuvent être un peu douloureux pour moi au début. Mais je suis frustrée.

    J'en parlais tellement pendant une période, que ça déclenchait chez lui des pannes à répétition et qu'il a fallu qu'il prenne des produits érectiles pour arriver au bout de l'acte. La patience et l'amour sont venus à bout de ce problème mais le nombre de rapports est resté le même. C'est l'homme de ma vie, je l'aime. À part le sexe, notre relation est parfaite, c'est vraiment la seule chose qui me manque. Je n'ai jamais eu besoin de faire autant d'efforts avec mes précédents partenaires, ils avaient toujours envie de moi. Il y a eu une période où j'ai douté de moi, me disant que je n'en faisais pas assez, que je n'étais pas assez jolie, pas assez sexy.

    Nous en parlons avec beaucoup plus de liberté à présent, il me désire, me trouve sexy, mais il est fatigué : pour lui, c'est un effort. On pourrait croire qu'en vacances, nous aurions plus de rapports mais non, pas du tout. J'essaie de faire sans. J'espère qu'avec le temps, je n'irai pas chercher ailleurs ce manque de passion et de désir. Il est conscient de ça aussi ; c'est comme une épée de Damoclès au-dessus de sa tête. Il ne veut pas me perdre pour ça. Il n'y a pas de solution, je ne veux pas le quitter. Je me résouds car nous nous aimons et c'est ça qui compte.

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  •  On le sait toutes, en matière de sexe, il n’y a pas de normes ! Mais, nous avons tout de même nos préférences. Les hommes aussi d’ailleurs… Parce qu’il y aurait des filles qui assurent au lit et d’autres non, nos hommes se sont livrés pour nous donner leur définition du « bon coup ».

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  •  Ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l'as révélé aux tout-petits

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