• reprend cette idée consoler a mon idée

    je voyais sur ton visage une larme qui coulais

    en ce tant a passer

    tu as mal au front

    prisonnière malgré toi

    malheureuse, pleinne de joie à chaque fois

    ta chmabre est une grande scène en décor de tes nuits en tes mains..

    surtout si le bureau est oval. arf 

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  •  

    Nous étions trois. Les meilleures amies du monde. Moi, Marie, une petite brune à forte poitrine qui n’aimait que les filles. Carole, la blonde de service, bien foutue qui faisait bander les mecs à distance. Et Sylvie, l’intello, la femme à lunettes, qui sortait tout juste d’une grande école de commerce.

    Comme chaque année, on passait la première semaine d’août, ensemble, chez Sylvie. Cette dernière possédait une grande maison située dans le Var, loin du bruit et de l’agitation parisienne. C’était un endroit fort agréable et nous étions toujours heureuses de nous y retrouver.

    A notre arrivée, un grand chien noir, haut sur pattes, nous sauta dessus. Il aboya très fort et nous lécha le visage. Sylvie nous expliqua que c’était Thor, le dogue allemand de sa tante, et qu’elle avait promis de s’en occuper quelques jours…

    Après avoir vidé nos valises, on s’installa en maillot près de la piscine avec un cocktail dans chaque main. L’alcool faisait déjà son petit effet et on était de plus en plus décomplexé. On parlait de nos histoires de cul, nos fantasmes, sans aucune honte. A un moment, ont voulut quand même goûter à la piscine.

    Comme on était entre filles, Sylvie nous proposa de toutes enlever nos maillots. C’était amusant et excitant à la fois. J’étais curieuse de voir mes copines nues. Même moi, alors que j’étais complexée par mes rondeurs, je n’hésitais pas un instant à me foutre à poil.

    Nue au soleil, j’avais la sensation d’être libre. Je profitais au maximum de ce moment de bien être… Entourée par deux beaux spécimens féminins, j’étais au paradis. Je maitrisais mes pulsions mais je me sentais toute chose face à leurs parfums, leurs beaux seins, leurs courbes, leurs fesses, leurs chattes épilées… Bref, on plongea en hurlant sans vérifier la température de l’eau… elle était glaciale et cela nous donna la chair de poule. Après avoir nagé une bonne demi-heure, on regagna nos serviettes respectives. Ce bain frais nous avait fait du bien.

    Allongée sur le dos, j’avais replié les genoux et je lisais un magazine. J’étais bien installée mais je ressentais des chatouillis sur le bout de mes orteils. Aussitôt, j’écartais les jambes…

    Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir Thor qui me léchait avec sa grande langue. Je remuais les orteils pour qu’il arrête mais il continuait, comme un robot. Il bavait et j’en avais partout sur les pieds, les jambes. Je chuchotais son nom d’une façon autoritaire pour qu’il arrête mais il avança sa gueule vers moi et son museau se retrouva entre mes cuisses !

    Surprise, je voulus resserrer mes jambes autour de sa tête. Mais aussitôt, il se mit à laper mon clito à une vitesse folle. Ce fut comme un électrochoc… Mon premier orgasme arriva comme une flèche ! Ca faisait tellement longtemps… Allongée sur les coudes, ma tête partait en arrière… et je fermais les yeux. J’étais de plus en plus sensible aux sensations et à chaque fois qu’il me touchait, je sursautais… J’eu plusieurs orgasmes d’affilés avant de reprendre mes esprits…

    Heureusement que les filles ne s’étaient rendues compte de rien… J’aurais eu la plus grosse honte de toute ma vie… Carole écoutait sa musique au casque et Sylvie dormait profondément…

    Reprenant peu à peu ma position de départ, je le repoussais gentiment avec mes mains mais il semblait vouloir continuer… Lui aussi, il prenait du plaisir. Malgré l’envie qui me démangeait de recommencer, je décidais d’en rester là pour le moment… c’était bien trop risqué.

    Je me levais en direction de la piscine, laissant Thor à ses préoccupations. Il semblait déçu de voir sa nouvelle amie s’en aller. Il roda un certain temps près du bord, puis disparu de mon champ de vision…

    Je nageais tranquillement en repensant à ce qui venait d’arriver… Je n’avais jamais pensé à ce genre de rapport avec un animal… Etait-ce bien ou mal ? Je me posais la question quand soudain, du bruit me fit sortir de ma rêverie… C’était Carole ! Elle cherchait un truc dans ses affaires. A quatre pattes, sur les coudes, la tête bien basse, elle fouillait à l’intérieur de son sac. Le cul à l’air et les reins bien cambrés, elle était en parfaite position de levrette !

    Qu’est-ce qu’elle est bien foutue ! Ah si j’étais un mec… pensais-je jalousement.

    Elle nous avait avoué son petit secret pour rester en forme et avoir toujours une ligne de guêpe. Bien sûr, comme tous les aficionados du bien-être, elle mangeait moins de laitage, évitait le gluten, consommait moins de pain, etc. mais étrangement, elle suivait également un tout autre régime. Sa diététicienne lui avait vanter les bienfaits du sperme et depuis elle ne pouvait plus s’en passer. Il fallait juste trouver le bon approvisionnement, ce qui n’était pas toujours évident… Les joueurs de l’équipe de foot locale lui fournissaient son lot de jus de couilles quotidien. Quand elle avait vraiment faim, il lui arrivait même de se doucher avec eux et de les sucer l’un après l’autre. Mais une fois, l’équipe adverse s’était incrustée et elle avait eu droit à une double ration. Elle avait fait une sacré entorse à son régime ce jour-là !

    Thor s’approchait d’elle et à cause de son casque audio, Carole ne l’entendit pas arriver… Voulait-il la lécher, elle aussi ? Il lui renifla le postérieur et se mit à remuer la queue, plusieurs fois… On dirait bien… Mais cette fois, le chien se dressa sur ses pattes arrières et lui grimpa dessus, de tout son poids ! Carole s’efforça de garder l’équilibre mais faillit bien tomber…

    J’hallucinais complètement de voir cette bête essayer de la prendre par derrière… Alors qu’un sexe rouge vif sortait déjà de son fourreau, Carole n’essaya même pas de se dégager… Pensant surement qu’il voulait jouer, elle supportait la charge en attendant qu’il veuille bien redescendre.

    Hélas, comme elle n’y connaissait rien aux chiens, elle était loin d’imaginer de quoi Thor était capable… C’est quand il la pénétra, d’un coup sec, qu’elle eut un soubresaut et ouvrit grand les yeux.

    — Oh ! dit-elle.

    Le chien avait trouvé l’ouverture et s’y engouffrait comme un forcené. Impuissante, Carole encaissait des coups de boutoir d’une force incroyable. Il l’a bloquait avec ses pattes et elle n’arrivait pas à se dégager…

    Sous la puissance du coït, elle poussait des gémissements et grimaçait. Cela dura quelques minutes. Une fois calmé, Thor retomba sur ses pattes mais resta collé en elle. Elle voulait se détacher mais n’y parvenait pas… Elle dut attendre un peu avant de pouvoir se dégager de son emprise… On entendit un gros « plop » et le sexe du chien glissa à l’extérieur, délogeant de son orifice, une grosse quantité de semence…

    — Putain, c’est pas vrai ! dit-elle en parlant trop fort à cause du casque.

    Ce qui réveilla Sylvie…

    — Qu’est-ce qui se passe ?

    Sortant enfin de l’eau, je regardais Carole qui ôtai ses écouteurs et qui ne se doutait pas que j’avais assisté à toute la scène, trop intriguée pour l’interrompre. Elle réussit juste à dire un timide « Rien… pourquoi ? ». Elle était allongée sur le ventre, les fesses et le dos recouverts de sperme canin.

    — Mais ? Qu’est-ce qu’il y a ? Pourquoi t’as crié alors ?

    Elle n’osait trop rien dire.

    — C’est ton chien, je crois… Il l’a prise pour une chienne ! dis-je d’un ton amusé.

    Carole rougit des pieds à la tête. Elle nous regarda, honteuse…

    Sylvie ferma les yeux un instant et les rouvrit, essayant de comprendre ce qui s’était passé.

    — Bon sang ! Tu t’es tapé le chien ?
    — C’est lui qui…
    — En plus, il t’a bien arrosé, il t’en a mis partout ! Regarde ! s’esclaffa Sylvie.

    Carole regarda ses fesses et son dos en tournant légèrement la tête. Elle remarqua quelques griffures qu’elle n’avait jamais vu et effectivement, elle était trempée… une grosse flaque se formait déjà sous elle…

    Thor aboya et nous fit soudain sursauter… Il nous exhiba son sexe, rouge vif, démesuré, tout luisant, et qui remuait tout seul…

    — Il est souvent dans cet état ? demanda une Carole curieuse.
    — Je n’en sais rien, mais c’est la première fois que je le vois excité comme ça… répondit Sylvie encore mi réveillé mi choqué par ce qu’elle découvrait. Dire que je le laisse parfois dormir sur mon lit…
    — En tout cas, il m’a explosé la chatte dit Carole en se relevant. Dommage que ce soit un chien… dit-elle, toute rêveuse.
    — Ca change quoi ? Une bite reste une bite, non ? balança Sylvie.
    — C’est pas pareil, quand même… gloussa Carole.
    — Ah ?
    — Bah non, c’est plus gros !

    Et on éclata de rire.

    Sylvie attrapa une serviette et commença à nettoyer les fesses de Carole, puis elle la rapprocha de son nez…

    — Ca sent le sperme, tiens ! dit Sylvie en balançant la serviette vers elle. Bon ap !

    Carole eut un mouvement de recul et reçu la serviette en plein visage. Sylvie rigola comme une gamine. Carole, sans broncher, ôta la serviette. Elle en avait partout sur la figure, elle en goûta un peu avec sa langue et trouva ça plutôt bon.

    Elle voulut même qu’on essaye mais je fis un non de la tête… Sylvie, quand à elle, hésita. Curieuse, elle voulut quand même essayer. Elle s’approcha de la serviette mais Carole l’attrapa par la main et pour se venger, lui frictionna la tronche avec la serviette encore humide.

    — Voilà, ça t’apprendra !
    — Salope ! C’est dégueu…

    Thor, toujours en érection, les regardait, en remuant la queue…

    Les filles ne le quittaient pas des yeux.

    — Et si on le branlait ? Un peu ? osa dire Carole.

    Je n’en revenais pas… ça partait vraiment en live cette histoire.

    — C’est toi la pro, alors… Je t’en pris, vas-y.
    — Non mais je n’ai pas dit que je le ferais. C’est juste que ça devrait le calmer…
    — Alors qui se dévoue ? leur demandais-je.

    Sylvie se baissa sous lui, comme une automate, hésita puis s’allongea perpendiculairement entre ses pattes. Elle se retrouva avec le sexe canin au milieu de la figure…

    — Je dois être complètement folle !

    Elle se caressa un peu.

    — Tu es toute mouillé Sylvie ? demanda une Carole espiègle.

    Sans lui répondre, avec son autre main, elle attrapa le membre gonflé.

    — Bon, tenez-le les filles. Je n’ai pas envie qu’il me morde !

    Elle tenta un « handjob » mais le chien devenait agressif et releva sa patte arrière gauche plusieurs fois, essayant de la griffer. Cela ne semblait pas être la bonne méthode. Elle releva alors un peu la tête et lui lécha l’extrémité pointue du pénis. Elle le goba de plus en plus pour finir par lui engloutir totalement la queue. Elle fit une drôle de tête puis resta comme ça sans bouger. Thor ne débandait toujours pas. Au bout d’un moment Carole demanda :

    — Alors ?

    Sylvie lâcha enfin prise et répondit, la bouche pleine.

    — C’est dingue… ça n’arrête pas de sortir.
    — Tu veux dire que depuis tout à l’heure, tu avales tout ?
    — Oui…
    — Bon, à mon tour alors… laisse-moi en.

    Et Carole prit la place de Sylvie.

    Elle resta dessous en gardant la bouche ouverte et tirant la langue pour qu’on puisse profiter du spectacle, c’était gentil de sa part ! Effectivement, Thor lui jouissait dessus, encore et encore… Son visage était recouvert.

    — Il a une sacré endurance ce chien ! dis-je tout haut.
    — C’est sa Tante qui a du l’entrainer ! annonça Carole.

    Sylvie éclata de rire.

    — T’as raison… Elle n’a personne d’autre avec qui baiser !

    Comme un déclic, elles me regardèrent avec la même idée en tête.

    — Bon à toi maintenant !

    Carole me tendit le membre et m’obligea à le sucer. C’était étrange comme expérience… Heureusement, plus rien ne sortait de sa bite. Voyant que cela m’écoeurait, elles me laissèrent tranquilles…

    Les jours suivants, Carole et Sylvie s’amusèrent avec Thor. Elles devenaient peut-être zoophiles sans le savoir. Je me sentais un peu à l’écart, aussi avant de rentrer sur Paris et pour essayer de me rendre intéressante, je leur proposais un truc.

    — L’année prochaine, on pourra aller chez mon oncle Jean.
    — Ah bon pourquoi, t’es pas bien chez moi ? répondit Sylvie, vexé.
    — Si, mais lui, il a une grande ferme avec des chevaux !

    Elles étaient toutes les deux ravies d’entendre ça.

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  • Quand on a 18 ans, on n’a pas toujours une idée très claire de ce qu’on veut faire dans la vie. Alors, on cherche, on tâtonne, avant de trouver sa voie.

    Florence en était là. Ravissante petite jeune fille brune, elle avait déjà exercé plusieurs petits boulots sans réellement parvenir à se fixer sur aucun. Chaque fois, ses employeurs l’auraient bien gardée, surtout que sa bonne humeur et sa gentillesse la faisait apprécier de tous, mais elle préférait invariablement partir, aller voir ailleurs, essayer autre chose. Trouverait-elle jamais une activité à son goût ? Cette question commençait à la turlupiner, mais ce n’était rien comparé à l’inquiétude de ses parents, qui auraient aimé qu’elle se fixe pour de bon, trouve un emploi stable, se marie et surtout puisse avoir des enfants.

    Finalement, c’est une de ses tantes, Suzanne, qui vint offrir à Florence une nouvelle opportunité, en lui proposant de venir travailler dans la maison de retraite dont elle était la gérante. Chacun espérait que, cette fois, cela fonctionnerait, durablement.

    Florence n’était pas particulièrement attirée par l’activité en elle-même. Comme on peut le comprendre, une maison de retraite était plutôt un lieu répulsif pour une jeune fille pleine de vie comme elle. Cependant, c’était surtout le fait de travailler pour sa tante qui l’intéressait.

    En effet, depuis son adolescence, tante Suzy était, sans que personne ne s’en fut jamais vraiment aperçu, en quelque sorte devenue son modèle. Il faut dire que Suzanne était un peu la rebelle de la famille. Contrairement à son frère, le père de Florence, elle s’était rapidement opposée à l’autorité morale de ses parents. Dans cette famille de la petite bourgeoisie, teintée d’un catholicisme rigide, l’ambiance était parfois assez pesante. Dès ses 18 ans, donc, Suzy avait quitté le foyer parental pour partir faire le tour du monde avec un aventurier qui avait à peu près le double de son âge. Cette histoire ne dura pas très longtemps, et elle revint rapidement au pays pour s’installer avec le fils d’une bonne famille, dans un quartier chic de la capitale. Elle en profita pour nouer des contacts avec des gens influents et fortunés, tout en consacrant l’essentiel de son temps à la peinture. Quelques années plus tard, redevenue célibataire, elle parvint à réunir quelques amis autour d’elle pour investir dans la création d’une maison de retraite dont elle prit la direction. Rapidement, le business apparut lucratif, et Suzanne acquit une situation sociale enviable. Surtout, au grand dam de ses parents, à quarante ans passés, elle refusait obstinément de se marier, préférant voguer d’aventure en aventure, plus ou moins durables.

    Pour Florence, comparée à celle de ses propres parents, la vie de sa tante ne semblait pas loin d’être romanesque et exerçait sur elle une indéniable fascination. Ainsi, même si elle n’avait jamais eu vraiment l’occasion de passer beaucoup de temps avec elle, elle aspirait à mieux la connaître. Travailler pour elle serait l’occasion idéale, imaginait-elle.

    Naturellement, Suzanne refusa d’accorder un quelconque traitement de faveur à sa nièce qui dut donc commencer au bas de l’échelle, en tant que femme de chambre. Les débuts furent d’ailleurs difficiles. Non seulement le travail était physiquement éprouvant, mais c’était aussi moralement difficile à supporter. Il fallait composer avec des pensionnaires pas toujours aimables, et surtout, apprendre à s’habituer à cette proximité, inhabituelle pour une jeune fille, avec la maladie, et même, parfois, avec la mort. Pour ne rien arranger, même sa tante lui apparaissait différente dans le contexte professionnel. D’ailleurs, tous les employés la craignaient, non parce qu’elle était particulièrement odieuse, mais parce qu’elle exigeait toujours l’excellence de ses subordonnés. Elle avait l’image d’une femme juste mais dure.

    De fait, il lui arrivait même d’être sévère avec Florence. Plusieurs fois, la jeune fille songea à abandonner, surtout la première semaine, mais elle s’accrocha. Elle n’était pas du genre à se laisser faire. D’ailleurs, plus le temps passait et moins sa tâche lui semblait insurmontable. À dire vrai, c’était juste au moment où ce travail commençait presque à lui plaire qu’elle rencontra un autre genre de problème.

    Cela se passa avec le pensionnaire de la chambre 124, un vieux grabataire de 84 ans qui ne quittait plus que rarement son lit et qui, d’ailleurs, ces derniers mois, semblait lentement mais sûrement s’avancer vers la fin. Toutefois, depuis quelques jours, Florence avait noté un petit regain d’activité.

    Ce matin-là, lorsqu’elle entra dans la pièce, le vieux la regarda d’un air un peu hébété. Elle lui sourit en lui disant bonjour. Elle était toute mignonne, avec sa petite blouse blanche, ses longs cheveux bruns attachés un peu négligemment en chignon sur sa tête. Elle commença à s’affairer dans la chambre, lorsqu’il lui sembla que le vieux monsieur essayait de lui dire quelque chose. Sa voix n’était cependant qu’un souffle presque inaudible. Elle s’approcha, se pencha au-dessus du lit pour essayer de saisir le sens de ses mots. Et là, la main du grabataire vint soudain se plaquer sur son sein droit. Elle recula d’un pas, hésitant entre la surprise et l’effroi. Aussitôt, cependant, elle reprit ses esprits. C’était sans doute un de ces gestes brusques et involontaires auxquels les vieilles personnes sont parfois sujettes… Alors, elle continua sa besogne et n’y pensa plus.

    Les jours suivants, cependant, le même genre d’incident se répéta. En fait, elle ne pouvait plus s’approcher du lit de ce pensionnaire sans qu’il essaye de la toucher. En définitive, on pouvait même dire qu’il tentait véritablement de la tripoter, en particulier aux endroits que les hommes aiment à tripoter. Elle avait beau essayer de le raisonner, même lui faire des remontrances, rien n’y faisait. D’ailleurs, elle n’était même pas sûr que le vieux puisse la comprendre ou même l’entendre.

    Les jours passèrent et le vieux semblait reprendre de plus en plus de vigueur, ne faisant finalement qu’aggraver le problème de Florence. Maintenant, elle parvenait à saisir certains mots qu’il marmonnait et qui ne laissaient guère de doute sur ses motivations : « Nichon… cochonne… cul… ». Elle ne savait pas bien s’il fallait en rire ou en pleurer. En l’espèce, ça la contrariait plus qu’autre chose. Il lui devenait en effet de plus en plus difficile de faire son boulot dans la chambre 124. Plus l’élocution du vieux s’améliorait et plus il en profitait pour lui tenir des propos salaces. Plus ses gestes se faisaient vifs et moins elle parvenait à les éviter. Au bout du compte, chaque jour, elle appréhendait le moment d’arriver à cette chambre devenue fatidique et y passait, de fait, le moins de temps possible, se contentant du strict minimum.

    En même temps, elle n’osait pas en parler autour d’elle, parce qu’elle s’imaginait qu’elle était sans doute la seule, en tant que petite débutante, à ne pas savoir gérer ce genre de situation. De toute façon, elle ne voyait pas comment en parler sans que ce soit gênant. Finalement, ce fut Suzanne qui, lors d’une inspection, s’aperçut des négligences de sa nièce dans la dite chambre, sans en connaître toutefois la cause. Elle décida aussitôt de la convoquer dans son bureau pour tirer ça au clair.

    Ça avait beau être sa tante, Florence n’était pas vraiment rassurée de se retrouver face à elle, dans ce contexte. Ce fut d’ailleurs assez sèchement que Suzanne lui demanda des explications. Au début, Florence se contenta de se tordre les doigts en regardant ses chaussures mais, sous l’insistance de sa tante, elle finit par lui raconter toute l’histoire. En l’écoutant, il lui sembla que Suzy avait esquissé un petit rictus, sans qu’elle puisse trop bien en saisir la signification. Elle resta d’ailleurs très froide pendant tout leur entretien. Elle avait un regard bleu-acier qui accompagnait assez bien son habituel petit air de supériorité :

    — Je vois. Ce sont des choses qui arrivent… Il est trop tard pour s’en occuper ce soir mais, demain, avant d’aller faire la chambre 124, tu passeras me chercher : nous réglerons ça !

    Florence ne sut pas trop quoi en penser. En un sens, elle était soulagée que la chef prenne les choses en main et résolve son problème. D’un autre côté, n’aurait-elle pas du régler ça toute seule ? En fait, elle craignait surtout que sa tante ne la prenne pour une cruche, ce qui l’aurait fortement vexée.

    Le lendemain, ce fut donc accompagnée de sa tante que Florence se présenta à la porte de la chambre 124. La pièce était baignée d’une lumière blanche et crue de néon blanc. Suzanne lui emboîta le pas et verrouilla la porte derrière elle. Le pensionnaire de la 124 accueillit la jeune fille dans une éructation essoufflée :

    — Voilà ma petite cochonne.

    Elle répondit par un timide bonjour. Le vieux aperçut aussi la patronne. Il en fut surpris mais ne s’y attarda pas plus que ça. Suzy poussa alors Florence devant elle et s’adressa au vieux, d’une voix forte :

    — Alors, il paraît qu’on fait des misères à la p’tite ?

    Il haussa les épaule et retroussa sa lèvre supérieure :

    — C’est une petite cochonne…
    — Comment ça, c’est une cochonne ?

    Bizarrement, il regarda alors par la fenêtre, à l’opposée des deux femmes, et marmonna :

    — … des gros seins…
    — Je vois, dit Suzanne en levant les yeux au ciel, comme si elle s’attendait tout à fait à ce genre de situation.

    Elle se tourna aussitôt vers Florence et, d’un ton conciliant mais ferme, lui dit :

    — Montre-lui ta poitrine !

    Un instant, Florence en eut le souffle coupé. Déjà, son cœur battait la chamade. Surtout, elle ne comprenait pas bien ce que venait de lui demander sa tante. Elle la regardait d’un air apeuré. Alors, Suzanne reprit :

    — Ça arrive à cet âge : il fait une fixation. Si tu lui montres tes seins, il sera content et il passera à autre chose.
    — Mais, Suzy…
    — Allons, allons, Florence, ne fais pas ta prude, on dirait ta grand-mère ! Ça fait partie de ton travail que de savoir te sacrifier parfois… et, pour te donner du courage, pense au petit plaisir que tu apporteras à ce pauvre vieux bougre !

    Pendant que les deux femmes parlementaient entre elles, le vieux restait affalé sur son lit sans sembler comprendre tout ce qui se disait. En même temps, il tendait avidement les mains vers Florence, qu’il ne pouvait toutefois pas atteindre. Finalement, la jeune fille finit par s’incliner devant l’expérience de sa tante, non sans en ressentir aussitôt une certaine honte. Elle ôta alors sa blouse et la déposa sur une chaise. Ensuite, elle se rapprocha timidement du lit, tout en prenant soin de rester hors de portée du pensionnaire, et retira son débardeur. En haut, elle n’avait plus alors que son soutien-gorge en imprimés mauves, avec une petite bordure de dentelles. Le vieux la fixait sans piper mot. Muette, elle aussi, Florence regarda sa tante, qui l’encouragea d’un simple geste du menton. Alors, elle dégrafa son soutif, hésita un instant puis libéra enfin son opulente poitrine qui rebondit légèrement avant de se stabiliser dans l’air tiède. Elle avait de vraiment beaux seins : gros et bien ronds, ils se tenaient encore bien étant donné son jeune âge ! Ses aréoles étaient assez étroites mais d’un rose presque brun. Ses tétons étaient épais et cours, légèrement durcis pour la circonstance. Le vieux n’en revenait pas, il en prenait plein les pupilles. Florence baissait les yeux et Suzy couvait la scène d’un œil bienveillant, presque maternel.

    Une fois la première gêne légèrement passée, Florence releva le regard et vit le vieux qui la fixait. Il n’avait pas l’air bien méchant. Simplement, il la dévorait du regard, fasciné, un peu bêtement, comme un gamin, captivé par ses seins. Elle s’aperçut alors qu’elle ne l’avait jamais vraiment regardé. Il avait la peau toute fripée, des sourcils broussailleux et une mince couche de cheveux gris rejetés en arrière. Ses yeux étaient légèrement vitreux et mi-clos, sa bouche vaguement tordue. Elle trouva cette vision plutôt rassurante et se détendit légèrement. Elle regarda Suzy comme pour savoir si elle faisait ce qu’il fallait. Le vieux recommença à tendre les bras vers la jeune fille, avec un air un peu désespéré. Suzy posa alors délicatement la main sur le dos de sa nièce et lui glissa à l’oreille :

    — Allons, approche-toi un peu.

    Florence se sentait dans un état vaguement hypnotique, tout en ayant parfaitement conscience de tout ce qui se passait. En tous cas, elle sentit nettement qu’elle n’avait pas les moyens de résister. Elle s’avança donc vers le lit, jusqu’à ce qu’une des mains du vieux prenne appui sur sa hanche. Puis elle se pencha légèrement en avant. Alors, le vieux se redressa dans un râle et plaqua ses mains sur chacun de ses seins voluptueux. Il était excessivement maigre, presque squelettique, et ses mains étaient toutes tendineuses, sèches, un peu râpeuses. Ça contrastait avec la peau lisse de Florence, ses seins lourds, son teint légèrement mat. Il les caressa d’abord un peu maladroitement puis les malaxa bientôt sans ménagement. Il était parcouru de petites secousses, on avait l’impression qu’il riait. Florence regardait ces mains fripées qui parcouraient sa poitrine et les yeux espiègles du vieux. Elle était proche du dégoût mais était en même temps animée par un certain sentiment de devoir. Les sensations qu’elle ressentait étaient contradictoires.

    Le vieux s’agitait de plus en plus, il s’inclina soudain sur le côté pour fourrer son nez entre les deux seins de la jeune fille. Dans le mouvement, il attrapa le téton droit entre ses lèvres sèches, sans que Florence n’ait eu le temps de réagir. C’est Suzanne qui la tira en arrière et calma les ardeurs du vieux bonhomme :

    — Allons, allons, papy, du calme : tu vas finir par te tuer…

    Et elle le repoussa sur son oreiller. Le vieux se radoucit un instant, puis reprit ses discours décousus :

    — Cochonne, c’est beau… c’est bon… le cul… le cul.

    Tout en pointant clairement du doigt le nouvel objet de sa convoitise. Ça fit sourire Suzanne :

    — Hé là, grand-père, il t’en faut toujours plus, c’est ça ?

    Lui, il faisait un peu une tête de chien battu :

    — Le cul… joli… le cul…
    — Et après, tu nous fous la paix, hein !?

    Le vieux n’approuva pas vraiment mais Suzy se retourna vers sa nièce :

    — Allez, montre-lui, ça lui fera plaisir et on sera débarrassé.

    Florence, qui était restée en retrait, torse nu, avait un peu froid. Elle regarda sa tante avec des yeux tout ronds :

    — Tu es sûre, Tatie ?

    Suzanne hocha la tête et cela devait suffire, semblait-il. Elle laissa à la jeune fille sa place au bord du lit. Toujours seins nus, Florence s’avança à portée de main du vieux. Il s’agrippa aussitôt à son jean, ce qui énerva la patronne :

    — Allons, tu es sage où ça s’arrête-là !

    Du coup, le vieux reposa ses bras sur le lit. Il n’en fixait pas moins la petite jeunette qu’on lui donnait en spectacle. Florence défit donc les boutons de son jean, laissant apparaître le haut d’une petite culotte en coton toute simple, assortie au soutif. Elle sentait une boule dans sa gorge tout en sachant qu’elle devait faire ce qu’on lui avait demandé. Elle baissait les yeux mais elle sentait bien le double regard qui pesait sur elle, celui du vieux bonhomme et celui de sa tante Suzy, attentifs, inquisiteurs. Elle se tourna lentement, dos au lit, se pencha légèrement en avant, glissa ses pouces dans sa culotte puis les fit glisser le long de sa cuisse, découvrant ainsi ses fesses amples, pleines, généreuses. Elle descendit son pantalon et sa culotte jusqu’aux genoux dans un geste aussi chaste que possible mais déjà bigrement indécent. Dans le mouvement, sa raie s’écarta légèrement, laissant apparaître un fin duvet de poils bruns. Le vieux s’en étouffa presque. Elle se redressa aussitôt et lui, il apposa ses mains tremblantes, constellées de taches brunes, sur la chair fraîche de ce cul presque juvénile qu’on lui offrait. Il n’avait rien vu de tel depuis un moment ! Rapidement, il glissa un doigt entre ses fesses, sentit la rugosité des poils. Ce contact était si étrange que Florence en avait la tête qui tournait. Elle avait envie de s’enfuir ou envie d’aller plus loin, elle ne savait plus trop. Elle avait envie de tout et de rien. Elle sentait les doigt de ce vieux qui cherchaient à la fouiller, à s’immiscer en elle. De plus en plus, elle se raidissait, se crispait puis, soudain, sans réfléchir, elle se pencha en avant et écarta légèrement les jambes. Elle serra les dents.

    Aussitôt, la main osseuse du vieux s’infiltra entre les cuisses de la jeune fille. Son doigt tordu par les rhumatismes glissa entre les lèvres charnues de son sexe dégoulinant. Ce contact l’électrisa. Le vieux jubilait :

    — Bon dieu… la cochonne… le cul…

    Il en bavait ! Même Suzanne était comme paralysée par la scène qui se déroulait sous ses yeux. Tout en continuant de labourer le sexe de la fille avec sa main malhabile, le vieux bonhomme pencha sa tête entre ses fesses, en huma l’odeur exquise et glissa un instant sa langue dans sa raie. Elle s’offrait de plus en plus, écartant les jambes, laissant maintenant clairement apparaître son sexe ouvert, et même son anus qui se dévoilait de plus en plus nettement.

    C’est alors que sa tante l’agrippa par les épaules pour la soustraire aux assauts du vieux :

    — Allons, allons…

    Florence était dans un état second, son excitation était à un point qu’elle n’avait jamais connu. Elle se débattait presque, au bord des larmes :

    — Non, je ne peux pas arrêter, maintenant ! Je vais exploser.

    Le vieux, lui, incapable de se lever, s’était écroulé sur son oreiller hors d’haleine. Luttant contre sa nièce, au corps à corps, Suzanne ne pouvait s’empêcher d’admirer ce corps nu si désirable qui ne cessait de se frotter contre elle. Elle n’avait jamais été attirée par une femme auparavant mais, là, il fallait reconnaître que tout ceci l’avait troublée, qu’elle la regardait désormais avec envie. Alors, subitement, elle saisit Florence par les poignets, la retourna et la plaqua contre le mur. Les mouvements de la jeune fille étaient entravés par son pantalon qui avait glissé jusqu’à ses chevilles. Tout en la maintenant fermement en respect, Suzanne dit alors :

    — Ah, tu veux jouir, hein !? Alors, tu vas voir, petite cochonne.

    Dans son esprit, elle se justifiait en considérant cela comme un mélange de punition et de nécessité induite par la situation précédente. En quelque sorte, elle se persuadait qu’elle ne faisait là que son devoir de patronne, et de tante. De force, elle écarta les cuisses de sa nièce et y glissa sa main. Elle introduisit aussitôt un doigt dans son sexe, tout en titillant son clitoris :

    — Oh, Tata ! Tata !

    Florence n’en revenait pas, mais c’était exactement ce dont elle avait envie à ce moment-là. Suzanne, de son côté, ne se souvenait pas qu’un corps de jeune fille pouvait être aussi beau. Surtout, elle n’aurait jamais soupçonné que sa propre nièce pouvait lui apparaître aussi désirable. Elle avait envie de la posséder complètement, de lui donner du plaisir comme jamais, et Florence se laissait visiblement faire, sous la dictature de son désir. Les caresses de sa tante sur sa vulve lui faisaient un effet incroyable. Il faut dire qu’une pratique régulière de la masturbation avait donné à Suzy un certain savoir faire en la matière. En même temps, de son autre main, elle caressait les seins magnifiques de sa nièce, lui pinçait les tétons. À son tour, Suzanne sentait que sa culotte devenait toute humide : elle ne se contrôlait plus tout à fait.

    Elle commença à l’embrasser dans le cou, puis elle se pencha pour pouvoir glisser un téton dans sa bouche. Il lui sembla qu’il avait un léger goût de réglisse. Florence continuait de gémir :

    — Suzy ! Suzy…

    Elle n’était capable de rien de plus. Alors, Suzanne s’agenouilla et se retrouva avec le visage à hauteur des fesses de sa nièce. Elle les empoigna pour en éprouver la consistance : c’était parfait, ni trop ferme, ni trop flasque. La peau était douce, les courbes aguicheuses. Elle ne put se retenir de les mordiller. Elle la débarrassa ensuite complètement de son jean pour qu’elle puisse écarter les jambes et lui donner un accès plus aisé à sa vulve. Un instant Suzy contempla le sexe de Florence avec fascination : les chairs étaient tendres, roses, juteuses. Ça lui rappelait sa jeunesse. Elle imaginait la sensibilité de sa nièce et les sensations que ses propres attentions pouvaient lui procurer. Elle y passa alors goulûment la langue en se contorsionnant légèrement. Florence se mit à hurler pour de bon.

    Au même moment, Suzy s’était déboutonnée pour pouvoir glisser une main sur son sexe et se masturber : elle avait la vulve en feu. Ses propres caresses décuplèrent son désir. Il lui fallait plus. Il lui fallait tout. Elle empoigna alors de nouveau les fesses de sa nièce et les écarta pour en exposer l’intimité le plus indécemment possible : son sexe béant, les poils qui couraient le long de sa raie et son petit œillet rose qui trônait au milieu, comme frémissant. Elle trouva cela irrésistible. Elle déposa aussitôt un baiser sur l’anus de sa nièce, puis le lécha avec avidité tout en masturbant le clitoris de la jeune fille, qui frétillait comme jamais sous ces caresses. Alors que Suzy tentait de faufiler sa langue dans le passage étroit, Florence fut agité de spasmes orgasmiques incontrôlables. Elle hoqueta puis s’effondra au sol paralysée par le plaisir. Aussitôt, tout à côté de sa nièce, Suzanne se déculotta complètement puis se masturba avec entrain. Se penchant légèrement en avant, elle glissa même un doigt dans son anus, comme son désir lui commandait de le faire. Elle atteignit rapidement la jouissance, pour s’écrouler enfin contre le corps tiède de Florence. Dans son lit, le vieux était, lui, resté complètement immobile depuis un long moment.

    Ainsi mourut le pensionnaire de la chambre 124… de mort naturelle.

     
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  • LE BLOG DE KAREN KAGAMINE ET AKIKO

    Laissez-moi vous faire par d’un petit vice que je tiens secret, et qui me remplit de joie. Mon prénom est Raoul, j’ai 19 ans, je travaille comme barman dans un établissement parisien très connu, et… j’éjacule dans les cocktails ! Surprenant, non ? Je fais ça depuis des mois, et au vrai, je ne me souviens plus très bien comment ça a commencé. Par hasard sans doute. J’avais dû être excité par une cliente (ce bar est fréquenté par de très jolies femmes) et j’avais dû me masturber furtivement derrière le comptoir. Un peu de sperme est sans doute tombé dans un des verres prêts à servir, etc. Depuis, je guette toutes les occasions de me masturber et d’éjaculer dans les cocktails. Naturellement, je dois choisir le bon moment. Je n’ai pas envie de me faire piquer par un collègue, un des directeurs, ou un client. Ce serait la porte, et sans indemnités encore ! Mais malgré le danger, ou peut-être à cause, je me branle comme je vous l’ai dis, et j’en tire des sensations rares.

    Évidemment, je ne gicle pas dans n’importe quels verres. Seulement les cocktails à base de corps gras, l’Alexandra ou le Porto flip, par exemple. Par chance, ce sont surtout des femmes qui commandent ces boissons, et ma jouissance est intense quand j’en vois une qui boit mon sperme sans s’en apercevoir. Encore que, une fois… Je repérai une très jolie blonde, accompagnée de deux types visiblement bourrés aux as. La fille était vraiment belle, le genre américain. De longs cheveux, des jambes interminables, des yeux sublimes. Plus je la regardais, plus je devenais dingue. Je sais que ce type de fille n’est pas pour moi : ni assez beau mec, ni assez riche… Celle-là m’excitait tellement, que j’ouvris ma braguette, et commençai à masser ma queue, malgré les allées et venues d’un des dirlos qui patrouillait dans le secteur. Je m’activai sur ma bite en regardant la fille, quand son regard croisa le mien. Je ne peux rien affirmer, mais je suis presque sûr qu’elle devina ce que je faisais et en l’honneur de qui. Elle eût un petit sourire qui pouvait passer pour un encouragement.

    Sous le bar, il y avait entre une coupe de champagne et un whisky, un Alexandra que le garçon de salle venait de me commander. En un clin d’œil, je dirigeai mon jet sur le cocktail et mélangeai rapidement avec une petite cuillère. Après quoi, je remballai mes attributs. Il était temps ! Le garçon me présentait son plateau. J’étais déjà assez content de moi, quand j’eus la joie supplémentaire de le voir partir vers la table où s’épanouissait la belle blonde. Se douta-t-elle de quelque chose ? Je me le suis toujours demandé.

    Quand elle goûta son cocktail elle eût l’air surpris et me regarda dans les yeux. Je maniais le shaker avec un maximum de naturel, tout en pensant que si elle donnait l’alerte, ma carrière était fichue. Mais quoi ! Personne ne m’avait v, et c’est elle qui passerait pour une folle. Parce que bien sûr, j’étais farouchement décidé à nier. Mais je me faisais de la bile pour rien. Si elle avait deviné quelque chose, cette nana était assez délurée ou assez vicieuse, pour ne rien dire. Elle me sourit et but son verre d’un air gourmand.

    Mais la plupart des femmes boivent leur truc sans sourciller, et c’est dommage. Sans doute n’ont-elles pas les papilles gustatives et le sens de l’observation aussi développés que cette Amerloque. Mais bah, qu’importe. J’ai déjà pas mal de plaisir à éjaculer dans leurs verres, faut pas trop en demander !

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  • Cela s’est passé il n’y a pas très longtemps. La sœur de ma copine venait s’incruster chez nous pour trois jours. Ça lui arrivait de temps en temps, quand elle était de passage en ville. Mais là, sur une telle durée, c’était assez inhabituel, et heureusement !

    Ce n’est pas qu’elle est méchante, ma belle-sœur, mais elle est quand même assez rapidement irritante avec ses petites manies et sa capacité à être envahissante. Néanmoins, pour faire plaisir à ma petite amie, je m’efforçais de donner le change autant que possible. Le seul point positif, finalement, c’était d’avoir deux femmes sous mon toit. Même symboliquement, je crois que ça fait toujours plaisir à un homme et quelque part, c’est déjà l’ébauche d’un harem. Bon, hélas, la belle-sœur n’était pas non plus un super canon, sans être moche non plus. Aînée de ma copine de trois ans, elle allait tranquillement sur ses 21ans. Petite et toute fluette, elle vivait en couple sans être amoureuse, et c’est pour son boulot qu’elle était parfois amenée à dormir chez nous.

    Bref, elle est arrivée le lundi soir et nous l’avons, comme d’habitude, installée dans notre salon. Au moment de se coucher, il lui arrivait souvent de faire des allers-retours entre la salle de bains et le salon en culotte mais, bon, c’était pas de la lingerie fine et moi, je ne trouvais pas ça tellement excitant. Je ne sais pas pourquoi, ce soir-là, néanmoins, ça a commencé à me trotter dans la tête… Je me suis même surpris à la mater un peu, en prenant bien soin que ma femme ne s’en aperçoive pas, bien sûr. Sur le coup, ce n’est cependant pas allé plus loin : on est tous allé se coucher bien gentiment. Enfin, avec ma femme, on a quand même fait l’amour et j’avoue que, moi, ça m’excitait un peu de savoir que sa sœur était dans la pièce d’à côté et qu’elle nous entendait.

    Après ça, ma femme s’est endormie rapidement et la nuit est devenue silencieuse dans l’appart. J’ai traîné un peu dans le couloir, à poil, en me disant que ce serait marrant que ma belle-sœur se lève à ce moment-là et me surprenne, mais ça n’arriva pas. Alors, je me suis recouché. Quelque dix minutes plus tard, j’ai entendu ma belle-sœur se lever pour aller aux toilettes. J’ai hésité un instant à l’intercepter, mais finalement, je n’ai fait que l’épier par l’embrasure de la porte. Secrètement, j’espérais qu’elle se soit levée à poil mais, non, elle avait bien gardé sa culotte. Elle ferma même la porte de la salle de bains… et elle pissa fort. Ça résonnait dans le couloir. Puis elle est retournée prestement se coucher. En effet, c’était l’heure de dormir.

    Le lendemain, ma femme fut la première à partir, à l’aurore. Quand je me suis levé, ma belle-sœur dormait encore, semble-t-il. Je suis donc allé faire ma toilette avant qu’elle ne squatte la salle de bains. Néanmoins, la nuit n’avait en rien apaisé mes idées déviantes : je me délestai donc de mon caleçon, ne conservant que mon t-shirt qui ne cachait rien de mes attributs virils. Au bout du compte, je faisais ça dans un esprit de déconne, comme par taquinerie mais, évidemment, je trouvais aussi cela excitant. Je m’attardais à plaisir, lorsque j’entendis enfin de l’agitation dans le couloir. Aussitôt, je sortis de la salle de bains et me retrouvai face à elle. Je la vis tout de suite bloquer son regard sur mon sexe qui pendait. Sans être en pleine érection, mon excitation lui donnait des proportions flatteuses. Le plus naturellement du monde, néanmoins, je poursuivis ma route en lui disant bonjour. Elle me répondit d’une petite voix mal réveillée et je m’engouffrai aussitôt dans la chambre : quel bon trip ! Pour le coup, j’en bandais pour de bon.

    A l’abri dans ma chambre, je repris néanmoins mes esprits et fis un peu retomber la pression. Comme toujours dans ces cas-là, j’eus pratiquement tout de suite envie d’aller plus loin. Il fallait que j’y retourne. Elle était dans la salle de bains, porte fermée. Je frappai.

    — Je peux rentrer ?

    Elle ouvre la porte et il m’a semblé que son regard s’était tout de suite porté vers l’essentiel. Cette fois cependant, elle m’accueillit dans un grand sourire, volubile, comme elle était toujours. Elle me demanda si j’avais bien dormi et commença même à me raconter qu’elle avait eu un peu froid, etc. Etrange, parce que j’avais quand même la bite à l’air. Moi, j’avais juste prévu de récupérer une brosse à cheveux, histoire d’avoir un prétexte, même débile, d’être revenu… Pour ça, je devais passer derrière elle. La salle de bains était étroite et elle ne fit rien pour me faciliter le passage. Ce fut un peu vague, mais il me semble bien que mes parties effleurèrent sa jambe à ce moment-là. Là, j’étais presque gêné et je repartis sans demander mon reste.

    Je finis par remettre mon caleçon pour aller petit-déjeuner, parce qu’il fallait quand même pas déconner : petit-déjeuner à poil devant sa belle-sœur, ça ne se fait pas. Elle me rejoignit à la cuisine quelques instants après, toujours en culotte et en t-shirt de son côté, le plus naturellement du monde. Comme d’hab, elle recommença à parler, de choses peu intéressantes, sans s’arrêter. J’essayais de soutenir la conversation pour faire le gars normal, sans plus. Je sentis néanmoins rapidement que son discours était orienté dans un sens bien précis.

    — J’ai vraiment eu froid, cette nuit, avec ma pauvre petite couverture… et encore, j’étais habillée, alors que chez moi, d’habitude, je dors toute nue.

    Là, je me suis retenu de lui dire qu’il fallait pas qu’elle se gêne, alors elle poursuivit toute seule :

    — C’est de famille, je crois. Ma sœur dort nue, aussi, non ?
    — Ça dépend des fois, en fait.
    — Mouais, je crois que c’est plus un truc de fille, ça. Pour les mecs, faut dire que ça doit pas être forcément très pratique avec votre truc qui se balade.

    Elle pouffa alors d’un rire assez enfantin, tel qu’elle faisait toujours quand elle parlait d’un truc en rapport avec le sexe, comme pour signifier que ce n’était pas bien sérieux. Puis elle reprit après un temps d’arrêt, sur le même ton :

    — Surtout que, d’après ce que j’ai aperçu tout à l’heure, le tien a l’air particulièrement… gênant !

    A ce moment-là, j’ai senti mon sang battre dans mes tempes. Avais-je bien compris ce qu’elle venait d’évoquer ? Je ne savais plus trop quoi dire, surtout qu’elle continuait de me fixer en souriant un peu bêtement. Il y eut un blanc avant que je ne prenne mon courage à deux mains. Après tout, avoir l’occasion de parler de ma bite avec ma belle-sœur, c’était une belle occasion à ne pas laisser passer. Je répondis donc un peu timidement :

    — Ben, il a une taille normale…
    — Tu rigoles ? Par rapport à Seb (c’était son copain), je peux te dire que ça n’a rien à voir. M’enfin, j’ai pas non plus regardé en détail.

    Alors, flatté, je parvins à bien me dérider et réussis à mon tour à faire un peu d’ironie :

    — En même temps, j’ai pas trop d’éléments de comparaison : je ne vois pas les bites d’autres gars tous les jours !

    Ça la fit rire.

    — En même temps, je ne suis pas sûre d’avoir très bien vu. Tu ne veux pas me la remontrer pour que je me fasse une idée plus précise ?

    Alors, là, elle allait loin, la coquine ! Bon, en même temps, mon sexe en pleine excitation se sentait déjà à l’étroit dans mon caleçon. Et puis, merde, c’était demandé d’une manière si naturelle que c’était tout aussi naturel que je lui donne satisfaction.

    — C’est bien parce que tu demandes le gentiment…

    Et aussitôt, je sortis ma bite qui se dressa fièrement entre mes jambes, sous le regard admiratif de ma belle-sœur. Pour le coup, elle rapprocha sa chaise pour se mettre à moins d’un mètre de moi et pouvoir observer mon sexe à loisir. Elle s’extasiait sur sa taille, me flattait tant qu’elle pouvait. Moi, je trouvais cette situation très excitante. Je sortis même mes couilles et me sentis complètement à l’aise. Elle aussi commençait d’ailleurs à se lâcher complètement.

    — Tu as vraiment une bite magnifique. Ma petite sœur est une vrai petite veinarde… je peux la toucher ?

    Je n’eus pas le cœur à repousser une si sympathique initiative. Elle s’empara aussitôt de mon chibre tendu à pleine main. Comme elle était assez petite, ça donnait effectivement à mon membre des proportions assez impressionnantes : c’était à peine si elle arrivait à en faire le tour avec ses doigts ! Sans plus de cérémonie, elle se mit à le caresser et à faire des va-et-vient avec ses deux mains. Elle faisait ça très délicatement et j’étais presque sur le point d’exploser. Je ne pus d’ailleurs pas m’empêcher de lui dire :

    — Ouah, dis donc, c’est pas désagréable !

    Elle se contenta de sourire, mais continua de plus belle, tout en me caressant gentiment les couilles. Je lâchai alors un long râle avant d’expulser mon foutre aux quatre vents. Quelques projections échouèrent sur ses jambes et sur les miennes, mais elle retint l’essentiel entre ses mains. Elle paraissait avoir un vraiment bon savoir-faire en la matière et semblait en tout cas ravie.

    — Et bien, et bien… je te confirme que je la trouve magnifique !

    Elle rit de nouveau avec un naturel désarmant :

    — Bon, allez, faut que j’aille nettoyer tout ça avant d’aller bosser.

    Je n’en revenais toujours pas de ce qui venait de se passer. Je restais sur la chaise de la cuisine, le sexe ramolli gisant sur ma cuisse. Ma belle-sœur venait de me branler voluptueusement, comme si c’était tout à fait banal. Mais, après tout, il faut parfois éviter de se poser trop de questions et prendre ce qui vient, comme ça vient. À force de gamberger, j’allais en effet finir par me mettre en retard.
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