• J’avais 18 ans et ma femme Sylvie 18. Après plusieurs essais infructueux pour avoir des enfants, nous avons fait appel à une clinique de fertilité. À la conclusion du premier rendez-vous, nous sommes revenus à la maison, ma femme et moi, avec un peu d’espoir… et un petit contenant vide à remplir de ma semence, pour ensuite l’expédier au labo pour fin d’analyses…

    Je devais envoyer un échantillon de mon sperme pour savoir si mes spermatozoïdes étaient hors de combat. J’avais glissé le mot à Sylvie en lui demandant si on pouvait joindre l’utile à l’agréable, à savoir si elle ne pouvait pas me « donner un petit coup de main » (jeu de mots subtile ici…) pour venir à bout de cette difficile tâche. Elle m’avait répondu qu’on en discuterait un peu plus le moment venu.

    Or, le matin arrivé, comme d’habitude, nous étions à la course. Je devais aller porter mon échantillon avant 8 h 30, qui devait avoir été prélevé dans un délai maximum d’une heure. Le temps de sortir du lit et Sylvie m’annonça qu’elle était déjà en retard pour le travail et ajouta avec un grand sourire moqueur :

    — Tu vas devoir t’arranger seul mon chou, je dois vraiment te quitter. Je suis vraiment désolée et puis, tu devrais savoir comment t’y prendre, je suis certaine que tu as déjà pratiqué, me dit-elle en m’embrassant et me tapotant doucement le sexe.

    Puis, elle fila en coup de vent, me laissant seul avec mon contenant vide. J’en avais l’air idiot et surtout, je n’en revenais pas. Je gardais espoir qu’elle revienne, pour qu’on en rigole et qu’on passe aux choses sérieuses, jusqu’à ce que je la voie passer devant la fenêtre avec sa voiture et disparaître dans la circulation. J’allais effectivement devoir me débrouiller seul. Si au moins j’avais eu quelques minutes pour aller surfer sur le Web, histoire de m’inspirer un peu, mais non, je me devais d’être productif et sur le champ en plus, il était déjà 7 h 25. Et je ne comptais même pas les 15 minutes que je devais sacrifier pour effectuer le trajet jusqu’au labo. Bon, il fallait être rapide.

    7 h 25. Drôle d’heure pour une branlette en solitaire. J’allais monter pour me diriger dans notre chambre, lorsqu’on sonna à la porte. Ah la petite comique ! Elle m’a fait vraiment peur la coquine ! Je me dirigeai à la porte pour ouvrir lorsque j’aperçu Christine, la sœur Sylvie.

    Christine était assez grande, les cheveux longs bruns, avec un corps respectable et des seins vraiment jolis (du moins en apparence), pas trop gros. Bref, comme je les aime. Après les salutations d’usage, Christine me demanda si elle pouvait emprunter notre ordinateur, chose qu’elle faisait régulièrement, car elle n’en possédait pas un chez-elle.

    — Aucun problème, Christine. Tu fais comme chez toi.
    — Merci David, tu es vraiment gentil, j’avais vraiment peur que la maison soit déjà vide.
    — Non, je commence un peu plus tard ce matin, car je dois…

    Et c’est à ce moment précis que je me rendis compte que j’avais encore mon petit contenant vide à la main.

    — Oh, je vois, tu sembles un petit chanceux qui doit apporter un échantillon d’urine, me répondit-elle.

    C’est alors que je me mis à bafouiller en tentant de sauver la face. Bien sûr, Christine se rendit immédiatement compte de mon malaise et ajouta :

    — Attends une minute, me dit-elle, tu n’étais pas sur le point d’aller passer ton spermogramme au moins ?

    (Petit comique que je suis, j’avais évoqué mon spermogramme, quelques semaines auparavant en rigolant – en compagnie de Sylvie, Christine et son copain Alex – que je devais me branler dans un petit contenant en plastique. Je blaguais même sur la grosseur du contenant en le prétendant trop petit, et bla bla bla et bla bla bla).

    Mais là, c’était autre chose. Je ne rigolais plus du tout. J’étais en quelque sorte victime de mes conneries de gars stupide. Christine pouffa de rire. Elle se payait vraiment ma tête.

    — Tu peux bien rire, lui dis-je. Je dois t’avouer qu’au début, je trouvais ça très drôle, et maintenant que je dois le faire, sans Sylvie en plus et dans un temps record, la situation est beaucoup moins comique. Disons que le contexte ne se prête pas très bien à la situation. Je t’avoue que ça ne m’inspire pas du tout.
    — Je vois, me répondit-elle. Tu veux que je t’assiste ?

    Puis, elle se remit à rire à gorge déployée.

    — Je vais te prendre au mot alors, lui répondis-je, mi-sérieux mi-blagueur.

    Un silence suivit. Elle me fixa, toujours un sourire aux lèvres.

    — Tu es sérieux ? me demanda-t-elle.
    — Je dois aller porter mon échantillon de sperme dans moins d’une heure et je suis même pas sûr de pouvoir bander tellement la situation est stressante.

    Christine sembla réfléchir en me regardant. Ses yeux laissèrent mon regard pour se poser sur le contenant vide.

    — Écoute, me dit-elle. Si tu sais rester discret, je peux « t’aider » si on peut dire. Au fond, ce n’est rien de sexuel et si ni Alex, ni Sylvie n’apprennent ce que je m’apprête à te faire, je ne crois pas qu’on puisse classer ça dans la catégorie « infidélité ». Qu’est-ce que tu en dis ?

    Un autre silence s’en suit. Plus long celui là. Alors là, j’étais K.O. J’en revenais pas. Il y a quelques minutes, je croyais devoir me branler seul dans un contenant de plastique, mais voilà que Christine, qui n’était vraiment pas piquée des vers, ma belle-sœur par surcroît, me proposait de me branler pour me venir en aide, si l’on peut dire.

    — Et bien, je ne sais pas trop quoi te répondre, lui dis-je en me remettant à bafouiller.
    — Si je ne me trompe pas, le compteur tourne et chaque minute compte, non ? Je t’offre ce service, sans aucune pensée perverse. Si tu acceptes, rien ne doit transpirer de ce qui va se passer. Tu es d’accord ?

    Je déglutis avant de m’entendre répondre un « d’accord » pas très convaincant.

    — OK… Ben alors, tu attends quoi ? Que je baisse ton pantalon ? Rappelle-toi, il n’y aura rien de sexuel, ça ne sera que mécanique…pour t’aider à sauver du temps.
    — Ça me va.

    Mais je n’arrivais pas à me décider à baisser mon pantalon. Et si ce n’était qu’une blague ? Qu’un fois mon pantalon aux chevilles, Christine allait se rouler par terre en se moquant de moi encore plus qu’elle venait de le faire ?

    — Allez David, tu n’as pas de temps à perdre et moi non plus. Je dois aller taper ce texte à l’ordinateur et comme ce n’est pas ma spécialité, faudrait pas s’éterniser.

    Bon, c’était du sérieux. J’étais sur le point de me faire branler par ma belle-soeur. Plein de choses se bousculèrent dans ma tête.

    — Bon, on va pas rester dans l’entrée, on peut aller à la salle de bain au moins, lui répondis-je.
    — En effet oui, acquiesça Christine.

    Une fois à la salle de bain, je me retournai pour être bien certain que Christine m’avait suivi. Elle était bel et bien là, prête à s’acquitter de sa tâche. Alors, je pris une bonne respiration et baissai mon pantalon, marquai une pose, puis fit descendre mon boxer. Je me retrouvai le pantalon aux genoux, avec une semi érection, car, je dois l’avouer, la situation devenait beaucoup plus excitante que ce qu’elle devait être au départ.

    C’est alors que Christine s’approcha de moi pour venir se positionner à mes côtés et, sans trop attendre, empoigna ma queue pour commencer à me branler avec un léger va-et-vient. Je cessai presque de respirer. Le contact de sa main sur ma queue eut tôt fait de me donner une érection optimale. Une fois ma queue dure comme du bois, elle accentua franchement la cadence, à mon plus grand plaisir.

    Elle portait une camisole serrée blanche et je devinai ses mamelons durcis sous le tissu. La situation semblait ne pas lui déplaire non plus. Mais je n’osai pas m’aventurer sur ce terrain qui pouvait être très glissant, me considérant déjà assez chanceux au moment présent.

    — Tu aimes te faire masser les couilles ?

    Cette question me fit sortir de ma contemplation.

    — Euh, oui beaucoup même, lui répondis-je avec une voix essoufflée.

    Passant de la parole aux actes, Christine commença à me masser les couilles tout en continuant sa branlette. Elle tenait ma queue fermement en me masturbant rapidement, tout en me malaxant les couilles. On aurait dit qu’elle savait ce que j’aimais. Je me demandais même si Sylvie n’y avait pas été de quelques confidences.

    À ce moment précis, cela n’avait aucune importance, car cette masturbation imprévue était divine et je n’en avais pas pour beaucoup de temps avant de tout lâcher. Christine gardait son regard sur ma queue, concentrée sur ce qu’elle avait à faire. Allez savoir pourquoi, cette masturbation mécanique, dépourvue de romantisme, m’excitait au plus haut point. Il fallait que je m’appuie sur quelque chose, car je sentais mes genoux défaillir.

    Je posai une main sur le sèche-linge et commençai à haleter. C’est à ce moment que Christine arrêta de me masser les couilles et me prit le contenant des mains pour l’approcher de mon gland. J’allais oublier le but de l’opération. Recueillir ma semence ! Heureusement que Christine y avait pensé, car j’aurais été vraiment dans de beaux draps ! Sentant venir mon éjaculation, elle posa mon gland à l’entrée du contenant, lui donnant l’inclinaison nécessaire, puis poussa le rythme de sa masturbation à un niveau supérieur. Mais au moment de ma jouissance, un spasme me fit reculer légèrement et la première giclée de sperme éclaboussa la main de Christine qui tenait le contenant.

    Elle rectifia la situation pour presque y faire entrer mon gland à l’intérieur du récipient, tout en ralentissant le rythme. J’éjaculai une deuxième rasade directement au fond du contenant, avec un jet puissant, suivit de plusieurs autres giclées d’un sperme épais. J’étais dans les vapes, toujours pris de violents spasmes, mais Christine continuait de me branler, diminuant le rythme, serrant ma queue un peu plus fort, comme pour me vider jusqu’à la dernière goutte, mais le sperme sortait et sortait en quantité phénoménale.

    Habituellement, je peux éjaculer une quantité de sperme étonnante, mais cette fois-ci, il s’agissait d’une performance digne du Top 10 ! La giclée de sperme qui avait atterri sur sa main commença à dégouliner sur son poignet. Alors, Christine me rendit le contenant, puis s’essuya les mains avec du papier hygiénique.

    — Wow, impressionnant ! me dit-elle. Je n’ai jamais vu autant de sperme ! Mais faudrait pas que tu sois en retard, sinon tout serait à recommencer, dit-elle me faisant sortir de ma transe.
    — Oui, tu as raison, répondis-je. Et euh, bien merci.
    — Plaisir. Mais n’oublie pas, hein ? Tout ça est entre nous deux. Bon, moi, je file sur ton ordinateur, j’ai du travail. Bonne journée !

    Christine me laissa comme ça, le sexe encore raide et maculé de sperme, mon petit contenant à la main.
    Quelques minutes plus tard, je me dirigeais vers le labo avec mon échantillon de sperme bien chaud et tout ça grâce à Christine.
    LE BLOG DE NAYANELLE ET  SHIMYJADINA

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  • ♪ Le blog de Yuki ♫       

    « OH ! je ne savais pas que tu étais à la maison ! » Hélène pousse la porte de son sauna en bois de cèdre et est étonnée d’y trouver, tranquillement assis sur un des bancs, Julien, le meilleur ami de son fils.

    Julien se lève tel un ressort. « je suis désolé Mme Fabbre, je pense que j’aurais du vous demander l’autorisation d’utiliser votre sauna… » répond-il, embarrassé.

    Hélène l’arrête d’un geste de la main. « Je t’ai dit quand tu es arrivé ici pour les deux semaines de vacances que tu vas passer avec Luc et moi, que tu es ici chez toi. Et cela s’applique également au sauna. » Elle commence à esquisser un geste pour sortir. « si tu préfères, je reviendrai quand tu auras terminé. »

    « Oh pas du tout Mme Fabbre, je vous en prie, restez. »

    La femme plus âgée referme la porte. « Bien, c’est toujours agréable d’avoir quelqu’un à qui parler pendant une bonne suée. Mais certains préfèrent leur intimité. »

    « Pas moi, » répond un peu trop nerveusement Julien. Il n’avait pas prévu que la mère de Luc le rejoindrait et qu’il porterait devant elle un petit short de gymnastique.

    « Bon bon, » Hélène rit. « un gentil garçon mignon comme vous n’a rien à cacher. » lui dit-elle avec un clin d’œil.

    Julien se sent rougir et doit lutter pour recouvrer son calme.

    Hélène étale une serviette de bain très colorée sur le banc à côté du garçon. Elle a fait un pas au centre de la petite pièce se tenant presque directement au-dessus du garçon assis. Elle a distraitement délié la ceinture drapée autour de son long peignoir blanc en éponge.

    « En outre, je ne porte pas beaucoup plus de tissu que toi ! » dit-elle en écartant les pans du peignoir. En regardant le garçon en face, elle l’ouvre, exposant alors son corps moulé dans un petit bikini.

    Involontairement, les yeux du garçon s’élargissent en regardant la mère de son ami. Sa bouche s’est ouverte imperceptiblement. Hélène lui fait une moue rieuse pendant quelques secondes, puis retire le vêtement le laissant tomber sur le plancher.

    Son bikini jaune vif met son corps en valeur, la couleur de sa peau légèrement ambrée.

    Bien qu’elle ait 41 ans passés, Hélène fait beaucoup plus jeune. Les traits fins de son visage sont doux, avec des yeux bruns qui pétillent, un nez arrondi presque enfantin et des lèvres pleines, sensuelles. Ses cheveux sont noir jais sans recourir à la moindre teinture. Ils sont courts mais coupés avec art, la rajeunissant de quelques années supplémentaires.

    Avec ses 1m70, elle est un peu plus grande que la moyenne. D’ailleurs, il y a en fait peu de choses au sujet d’elle qui soient moyennes. Admirablement proportionnée avec ses 57 kg, Hélène Fabbre est une femme sexy, avec une taille mince et assez de courbes pour détourner le regard de n’importe quel homme.

    « Tu me sembles bien calme d’un seul coup ! Tu n’aimes pas mon bikini ? Tu trouves qu’il est trop petit ? » Elle lui fait une grimace, passant ses doigts dans ses cheveux, attendant une réponse.

    Julien croise timidement son regard.  » Eeuuhh il est plutôt petit,  » réussit-il à sortir.  » mais il vous va très bien. »

    « Je suis heureuse qu’il te plaise, » répond-elle tout en s’asseyant. « mon mari aime ce bikini, et d’ailleurs il a intérêt ! », puis elle ajoute « de toutes façons il aime tout ce qui met en valeur mes seins » en jouant avec les bretelles du soutien-gorge.

    Julien se demande s’il a bien entendu.

    « Bon, c’est vrai qu’il est l’archétype de l’homme obsédé par les gros seins. » Elle fait une pause. « et si j’en crois tes regards, je te suspecte de lui ressembler beaucoup ! »

    « Mme Fabbre ! »

    Elle ricane gentiment, prend sa serviette et commence à essuyer la sueur sur son visage. Elle étend de nouveau la serviette à côté du garçon et s’assied dessus se penchant vers lui. Elle croise ses longues jambes musclées. Elle tapote doucement son genou. « c’est normal tu sais. La plupart des types aiment les femmes avec de gros seins. Mon fils aussi. Il me l’a même avoué un jour. » Elle s’est penchée plus étroitement pour chuchoter dans son oreille : « Ce sera notre secret. »

    Et elle avait raison. Il jette un coup d’œil sournoisement sur sa grosse paire, mais quel homme aurait pu s’en empêcher. Elle est incroyablement bien dotée. Mais il n’y a pas que la seule taille. Depuis l’adolescence, elle a les seins le plus sensationnellement formés imaginables. Ils ont fait travailler l’imagination des hommes pendant deux décennies.

    En raison de la taille minuscule de son haut de bikini, ils ont certainement pris Julien au piège. Et çà n’est pas que le reste de son corps soit moins exquis : sa taille mince, ses hanches doucement évasées, ses bras et jambes musclés mais si féminins sont un hommage rendu au programme rigoureux d’exercices commencé depuis de nombreuses années.

    Elle tire sur les bretelles de son soutien-gorge pour les positionner confortablement. « Je suis généralement très satisfaite de ma silhouette, mais parfois ces gros globes sont pénibles. Mes soutien-gorges sont invariablement trop petits, particulièrement celui-ci. Ils paraissent m’aller bien, mais parfois il est pénible de les porter. » Hélène grimace de nouveau en tirant sur les bretelles. Elle le regarde. « il me fait vraiment mal. Cà t’ennuie si je le retire ? »

    « Ohh vous ne pouvez pas faire çà Mme Fabbre ! », il bégaie incontrôlablement.

    « OH si, je peux… mais… avec ta permission, » elle le taquine. « ce truc est vraiment douloureux, il me fait mal. »

    « Comme vous voulez, » dit-il, incrédule.

    « Alors allons-y ! » .

    Lentement, délibérément, tout en continuant à le regarder, elle passe les mains dans son dos et dégrafe son soutien-gorge. Ses énormes seins ont jailli presque sauvagement en avant. « A la bonne heure ! Maintenant c’est mieux, » dit-elle avec un soupir de soulagement. Elle fait glisser les bretelles le long de ses bras. Souriante, avec une main, elle l’écarte puis le laissant tomber sur sa cuisse. « allez maintenant en avant et regarde, mais ne te brûle pas la rétine. »

    Les yeux de Julien se posent sans hésitation sur les charmes étourdissants exposés sans scrupule devant lui. « Mon Dieu ! » murmure t’il involontairement. Les globes massifs pointent fièrement en avant comme deux torpilles d’albâtre. Ils sont admirablement couronnés par des mamelons très bruns, fièrement dressés, entourés par leurs aréoles également brunes et larges comme un dessous de verre. Ses yeux restent fixés sur ces gros nichons fermes, lourds.

    Notant le centre d’intérêt, presque hypnotisé de son regard fixe, Hélène étire ses épaules vers l’arrière, bombant le torses, propulsant sa grosse paire en avant. Elle pose ses mains doucement sur ses hanches. « Je pense que vous appréciez. » dit-elle gaiement.

    Le jeune garçon n’a rien dit mais la regarde avec embarras. Elle rit gentiment. Puis, se penche légèrement vers lui. Son visage est soudainement devenu sérieux. Elle regarde vers le bas, ses attributs surdimensionnés. Un film de transpiration s’est formé au-dessus d’eux. Elle les effleure du bout des doigts. « Vous avez bon goût, ils sont naturels vous savez. »

    Elle redresse la tête pour le regarder et se lève. Elle recule un peu. « Il ne faut pas avoir honte de la nudité Julien. C’est une chose très normale. » En disant çà, Hélène glisse ses doigts sous l’élastique de sa culotte, de chaque côté, et la fait glisser sur ses cuisses musclées avant de l’enjamber, découvrant une triangle brun, très fourni. Elle fait un pas pour s’en débarrasser. « comme vous le voyez, je ne suis pas spécialement timide ! » Elle fait un demi-tour permettant au garçon d’avoir un aperçu de son derrière rebondi. Puis termine sa pirouette lui faisant face de nouveau.

    « Je suis sans doute une femme mure, mais je m’entretiens et je suis fière de mon corps. » Elle passe ses doigts dans ses cheveux. « j’ai raison, non ? » demande t’elle ingénument.

    Julien gigote. Personne ne lui a jamais posé une telle question. Il ne peut pas croire qu’elle est nue, offerte, à seulement quelques cms de lui. Mortifié, il sent le début d’une érection puissante dans son short. Il prie pour qu’elle ne s’en aperçoive pas. « Mme Fabbre, vous êtes la femme la plus belle que j’ai jamais vue. »

    Elle est rayonnante. « je suis heureuse que tu penses ainsi. » Elle lui fait un clin d’œil entendu. « çà me fait du bien d’entendre çà de temps en temps. » Elle étire des bras languissamment au-dessus de sa tête. « j’aime être nue. Ça donne la sensation d’être si libre, si vivante. Tu sais Julien, je ne ressens aucune gêne, nue devant toi. Tu peux te sentir libre de me regarder. Ne sois pas embarrassé, puisque je ne le suis pas. »

    « Admettez qu’il faut que je m’habitue un peu. »

    Hélène sourit. « Je crois que je peux comprendre çà. Tu es un jeune homme et je parie que çà doit t’agacer un peu. » Elle s’agenouille devant lui plaçant ses paumes légèrement sur chacune de ses cuisses. « je parie que voir mon corps nu te fait un effet… dressant ! » Elle frotte doucement les cuisses du garçon assis, ses mains dérivant imperceptiblement vers les plis de l’aine. Elle regarde vers le bas le bombement impressionnant évident sous son short. Ses yeux s’élargissent et elle soupire. « vraiment dressant. Julien, je te fais bander dur ! » Elle approche ses mains de l’élastique du short. « A toi de me montrer maintenant ! »

    Le garçon est tout simplement paralysé. Elle le domine. Il lui laisse l’entière responsabilité de ce qu’elle s’apprête à faire.

    Lentement, Hélène commence à tirer le short vers le bas. Soudain, incapable de retenir sa curiosité, elle le descend d’un coup à ses genoux. Le membre palpitant jaillit glorieusement vers le haut, se dirigeant vers le plafond. Ses yeux se sont élargis pendant qu’elle regarde vers le bas, découvrant la grosse queue. Elle sourit et le regarde. « Oohh quel gros membre ! » dit-elle presque révérencieuse.

    « Julien, » elle murmure en regardant son bas-ventre. « les dames vont devoir faire attention avec un tel objet. » Elle glisse son short en bas de ses chevilles.

    Se mettant à genoux toujours devant lui, elle regarde le spécimen étonnant qui innerve ses sens. « C’est irréel, elle murmure. » Elle recherche ses yeux. Elle chuchote admirative, « J’ai toujours pensé que mon mari avait un gros sexe mais c’est juste un enfant comparé à toi ! »

    L’organe turgescent qui palpite la captive. Elle le regarde de nouveau dans les yeux. Elle baisse lentement son visage, approche ses lèvres de l’extrémité de sa virilité, et y dépose un baiser léger.

    Hélène se recule et regarde le mandrin de Julien. Elle regarde le filet brillant de sa salive qui est resté sur l’extrémité du gland. Pour elle, le contact de ses lèvres sur le garçon est comme électrique, un choc qui fait palpiter son corps chaud et nu. « Délicieux, » elle murmure.

    Elle se lève lentement devant lui, plaçant ses mains légèrement sur ses épaules fortes faisant des gestes silencieusement pour qu’il se lève. Julien coopère et se lève. « Viens, » elle commande dans un chuchotement. Elle ouvre la porte du sauna et prend sa main en sueur dans la sienne, l’encourageant à la suivre. La femme, sure d’elle, voluptueuse, plus âgée, guide le garçon timide à l’érection sauvage en haut du vestibule et dans la chambre à coucher principale de la maison spacieuse. Elle le mène à la salle de bains contiguë.

    Ce faisant, ils passent devant un grand miroir intégral de déco d’art. Hélène fait un arrêt devant le miroir et prend des poses. Le garçon regarde la réflexion des deux corps. L’éclat de la sueur qui recouvre leurs corps brille à la pleine lumière du soleil qui a jailli des fenêtres qui bordent la pièce. « nous faisons un beau couple tu ne trouves pas ? » dit-elle en lui tenant la main.

    Julien reste sans voix, jetant un coup d’œil sur la réflexion de son énorme pénis palpitant et douloureux, preuve de l’intense excitation qu’il éprouve.

    « Tu n’as jamais eu de femme Julien ? »

    Il la regarde, nerveux. « hein ? »

    « Tu m’as entendu, » elle rit sous cape. « tu n’as encore jamais fait l’amour, non ? »

    Julien ne répond rien. Il n’y a rien à répondre. Mentir serait inutile. « eeuuh… jamais Mme Fabbre. »

    Elle rit pendant qu’elle l’entraîne dans la salle de bains et fait couler l’eau de la douche.

    « Et ne t’inquiètes pas. Mon mari est trois mille kilomètres. Ce qu’il ne sait pas ne le blessera pas ! »

    De la vapeur s’échappe de la douche.

    « Après toi mon jeune étalon bien monté ! »

    Le garçon fait un pas dans la douche sous le jet d’eau suivi ardemment par le regard d’Hélène. Ils se font face, se regardent dans les yeux.

    Julien est à peu près de sa taille. C’est un beau garçon, mince, montrant à l’évidence des lignes musculaires qui se développeront bientôt. Ses cheveux sont bruns, ses yeux verts. Sa peau est pratiquement exempte de défauts. Et, le pénis embarrassant qui continue de palpiter pendant qu’elle le pousse en avant de ses cuisses n’a clairement besoin d’aucun développement ultérieur !

    A dire vrai, cette femme magnifique fait souffrir Julien. Le fait qu’elle soit la mère de son meilleur ami et soit mariée n’a plus d’importance en ce moment. Il a envie de quelque chose plus qu’il n’a jamais voulu quoi que ce soit de toute sa vie. Il regarde le corps exquis. Il le fait frémir avec ses énormes fiers seins aux mamelons tous droits, à sa taille presque exagérément mince et à ses hanches maternelles larges. Il est fasciné par l’eau de la douche qui glisse sur son corps et se rassemble au niveau du triangle épais entre ses belles cuisses, bien musculeuses.

    Elle le regarde et saisit ses deux coudes très doucement. Elle se penche sur lui et l’embrasse délicatement sur les lèvres. Il répond chaudement. Il sent ses mains se déplacer sur ses bras. Ses lèvres sont en feu pendant qu’il sent sa langue lentement, inexorablement qui pénètre sa bouche. Il la sent venir plus près de lui et inévitablement, ses nichons incroyables frottent légèrement contre son torse nu. La sensation l’électrifie. Les bras d’Hélène l’entourent complètement, collant son corps au sien.

    Julien sent son gros membre qui se glisse entre ses cuisses. Situation embarrassante, mais tellement merveilleuse ! Ils s’embrassent plus fort, plus passionnément. Hélène masse l’outil du garçon entre ses cuisses enchantée de l’extase qu’elle sent monter chez lui. Elle saisit ses mains et les pose sur sa poitrine. « Pelote-les Julien. Pelote bien mes gros seins lourds ! Ils sont pour toi ! » Elle l’implore.

    Ses mains commencent à masser les globes charnus. Il est stupéfait de leur fermeté. Il n’a jamais vraiment touché une fille dans sa vie et la sensation de peloter cette femme mûre le rend fou. Ses mamelons durs et pointus deviennent vivants sous ses doigts. Il entend son gémissement, doucement. Elle éloigne son visage du sien et lui glisse à l’oreille « Il faut que je te suce, » elle chuchote. « j’ai envie de goûter à ton énorme queue. »

    Elle s’éloigne du garçon et se met à genoux devant lui, presque comme devant un autel. Elle saisit le phallus massif avec les deux mains et avec l’eau de la douche coulant au-dessus d’elle, elle la plonge dans sa bouche. Hélène le lèche et joue avec lui. Elle l’embrasse, le mordille. Ses mains sont passées sur les fesses du garçon attirant son bassin vers elle. Elle adore sa grosse bite comme aucune autre.

    Elle sent les cuisses de Julien commencer à vaciller et à trembler. Un gémissement fort émane involontairement du garçon. « Mme Fabbre ! Ah, Mme Fabbre… Je suis… Je vais… » Ses jambes commencent à fléchir. Il se tient aux épaules fortes. Elle ne s’arrête pas. Elle continue de sucer et mordre et lécher son beau mandrin. Et alors… il jouit dans sa bouche ! Plein de sperme. Il gicle à plusieurs reprises encore. Hélène avale le fleuve copieux du sperme voracement. Le jeune garçon tremble dans un paroxysme de plaisir le plus intense qu’il n’ait jamais expérimenté. Hélène retire sa queue hors de sa bouche et la caresse doucement. Elle se masse la joue avec sa tige encore chaude.

    Julien gémit, tient à peine debout.

    Hélène le soutient… « Maintenant tu sais ce qu’est une pipe… çà te plait ? »

    « C’était incroyable Mme Fabbre. C’est si bon ! »

    « Bien. Maintenant tu as un certain travail à faire ! » Disant cela elle lui tend un savon.

    « Je crois que tu devrais m’aider à me laver un peu. » Elle sourit avec une timidité feinte, place ses mains derrière elle, l’empêchant de refuser sa demande.

    Julien, dévoué, fait mousser ses mains avec le savon. Puis, il les applique sur le corps chaud, plantureux. Il passe ses paumes sur ses épaules, son dos, ses gros nibards. Il frotte son ventre ferme, et descend vers ses cuisses. La sensation lui coupe le souffle. Jamais dans sa vie il n’a imaginé l’occasion de toucher un être aussi voluptueux et sensuel qu’elle. Il peut sentir sa peau splendide vivre sous ses doigts. Dans quelques secondes, son pénis va devenir délicieusement raide de nouveau, un fait certainement évident pour Hélène.

    Par la suite, Hélène elle-même prend le savon et commence à masser son jeune amoureux. Tous les deux prennent un grand plaisir en se massant. Ils commencent à s’étreindre, s’embrasser et se caresser sans aucun scrupule. Hélène arrête l’eau et tire Julien hors de la douche.

    Elle essuie le garçon avec une grande serviette. S’émerveille en admirant sa grosse tige déjà entièrement dressée. « Il est temps Julien, » elle murmure. « il est temps que tu me montres ce que cette queue incroyable peut vraiment faire ! » Elle amène habilement le garçon à s’étendre sur le dos au milieu de son lit spacieux, son phallus énorme dressé de façon obscène vers le plafond. La femme nue monte avec élégance sur le lit et se positionne au-dessus de son amoureux, lui écartant les jambes avec les siennes.

    Julien regarde cette femme magnifique, ses seins majestueux pendant au-dessus de son visage. Hélène en prend un dans chaque main et se penche en avant enfouissant sa tête dans son sillon caverneux. « Suce-les chaton. Suce mes grosses mamelles ! » Elle pousse un mamelon dans sa bouche et il le tète voracement. « lèche ce mamelon ! Montre-moi ce que tu peux faire ! »

    Puis elle le ressort de sa bouche, regarde entre ses cuisses. « Oohh tu es prêt bébé ? Es-tu prêt à remplir ma petite chatte chaude avec ton gros monstre ? »

    Julien ne peut que gémir…

    Hélène a placé sa chatte humide et incroyablement excitée au-dessus de la pine énorme. Elle abaisse son bassin au-dessus de l’organe épais et viril. Que le premier contact du gros gland avec sa chatte est divin. Lentement, patiemment et avec grande attention, elle s’enfonce lentement sur l’organe turgescent. Elle s’émerveille de sa taille, son épaisseur, et à quel point il la remplit.

    Elle peut maintenant l’engloutir entièrement. Elle commence à onduler son bassin sur lui. Elle sent sa bite grossir encore dans sa chatte… Elle est de plus en plus mouillée.
    Hélène peut sentir la grosse barre s’enfoncer plus profondément, l’écartant toujours davantage, allant et venant de plus en plus rapidement. Pour Julien, la sensation est hallucinante. Il n’a jamais connu autant de plaisir. La chatte d’Hélène est trempée et bien glissante. Il est sur une route de douleur et de plaisir impressionnant. Son gros membre est comme un piston lourd dans sa chatte. Il a sent une vague d’électricité émaner de son échine et s’emparer lentement de tout son corps. Il se sent sans ressources, emprisonné entre les jambes fortes d’Hélène mais aussi intensément puissant et viril en même temps.

    Le visage d’Hélène reflète la montée de son plaisir.

    Ses coups de rein jusque là des modèles de maîtrise et de modération, sont devenus maintenant sauvages et incontrôlables. Son visage est déformé par le plaisir et une sorte d’agonie. Ses seins massifs et lourds rebondissent d’une manière extravagante, presque menaçante.

    Leurs deux corps commencent à trembler et à frissonner. Hélène gémit de plus en plus fort. Elle sent l’énorme pénis gicler des quantités énormes de sperme dans sa chatte à plusieurs reprises encore. Elle crie au plaisir que ce jeune garçon lui donne. Ils jouissent simultanément, gémissant, se griffant l’un l’autre. Enfin, elle s’effondre sans force sur lui.

    Mais… N’est-ce pas le bruit de la porte d’entrée ?

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  • Prete moi ta femme et joui12r lui defonce le cul

    Comme chaque année, ma famille se réunit pour fêter les anniversaires du mois de mars lors du premier Week-end d’avril. Dans la mesure où mon père ne compte qu’un frère, et que nous ne voyons plus la famille de ma mère, ce genre de réunion est assez chaleureuse. Je m’entends d’ailleurs assez bien avec mes cousins et particulièrement avec ma cousine Ludivine, qui n’est que de deux ans mon aînée. Ces réunions sont souvent l’occasion pour elle de me taquiner gentiment sur ma qualité de puceau, et cette année encore je suis sûr d’y avoir droit pour mon dix-huitième anniversaire. Il est vrai qu’elle a le beau rôle : elle qui a découvert les joies du sexe… et depuis, sa libido semble particulièrement effrénée. Pour m’émoustiller, elle ne se lasse d’ailleurs pas de me raconter ses prouesses sexuelles, constatant avec un œil narquois, combien mon trouble est grand. Il faut dire que pour l’adolescent frustré que je suis, la simple évocation de pipes goulues prodiguées dans les toilettes de la fac, ou encore de parties de jambes en l’air dans le jardin de ses voisins, déclenche immédiatement une puissante érection. J’avoue volontiers m’être masturbé fréquemment en me remémorant ses récits. Elle m’a même avoué s’être faite prendre en levrette sur le lit de ses parents !

    Mais bon, revenons en à nos moutons, ou plutôt à mon dix-huitième anniversaire. Evènement exceptionnel où pas, le protocole familial est quasi-immuable : après les embrassades habituelles, toute la petite famille se met à table pour opérer, lors de l’apéritif, à la cérémonie de remise des cadeaux. Cette année, comme j’atteins la maturité, je suis particulièrement gâté. Fébrilement, je déballe mes paquets, pour m’arrêter sur celui de ma cousine. Il s’agit d’un lot de bandes dessinées qu’elle a accompagné d’un mot. Intrigué, j’ouvre rapidement l’enveloppe :

    Cher cousin, ces bandes dessinées ne sont qu’une diversion : pour l’anniversaire de ta majorité, j’ai décidé de prendre ta vie sexuelle en main. Cette carte fait office de bon à échanger contre une bonne petite pipe d’anniversaire.

    Bisous Ludivine.

    Aoutch, la surprise est de taille !…

    — Ça ne va pas Fab ? T’as les joues toutes rouges ?
    — Hein ? Euh… si, si, c’est bon… t’inquiète pas tonton…

    Je dois avoir une tête d’ahuri. Ma cousine, espiègle, n’a pu s’empêcher de pouffer. Après un instant de perdition, mon esprit cartésien reprend le dessus : il doit s’agir d’une de ces farces destinées à me tourmenter, sinon pourquoi rirait-elle ?… Malgré tout, la perspective, même utopique, de me faire sucer par cette petite garce libidineuse provoque un gonflement caractéristique dans mon pantalon.

    Au cours du repas, cette allumeuse ne manque pas de me narguer discrètement, prolongeant douloureusement mon trouble. Tantôt je la surprends suçant goulûment son majeur plein de sauce en me fixant avec défi, tantôt je devine son air lubrique lorsqu’elle lèche son couteau avec application. Loin de se douter de ce qui se trame, ma tante la réprimande pour ses mauvaises manières, m’octroyant ainsi une revanche bien éphémère !

    Malgré tout, son petit jeu continu, jusqu’à ce que, à l’unanimité, la famille décide de faire une pause entre les fromages et le désert. Tout ce petit monde se disperse entre la terrasse et la cuisine, si bien que je me retrouve coincé à la salle à manger avec ma cousine et une de mes deux sœurs. Au cours de notre conversation, Ludivine semble me guetter comme un félin surveille sa proie. Elle finit par s’absenter quelques minutes, l’air un peu déçu. Que va-t’elle encore inventer ?

    Je la vois revenir d’un air inquiet, d’autant plus qu’entre temps ma sœur a quitté la pièce. Je la dévisage, mais elle fait mine de ne pas s’en apercevoir. Après s’être assise à côté de moi, elle lâche, d’un ton détaché :

    — Tu devrais aller te soulager aux toilettes, tu fais peine à voir !

    Elle joint ses mots de quelques mouvements explicites sur l’accoudoir du canapé, en rigolant. Quelle salope ! Comment veut-elle que j’ai l’air détendu si elle n’a de cesse de me faire bander ! Habile, son autre main profite de mon étonnement pour me glisser un papier dans la poche. J’ai du mal à dissimuler ma gêne. De toute façon, il faut que j’en ai le cœur net. Bien malgré moi, je me conforme à ses conseils en partant m’isoler aux WC. C’est le cœur battant la chamade que je verrouille la porte derrière moi. Ma bite est fortement tendue dans mon pantalon, ce qui finit d’aggraver les saccades de ma respiration. Après deux grosses inspirations, je me décide à déplier la feuille.

    Fab, mon cadeau n’est pas une blague. Après tout, je te dois bien ça, tu ne vas par rester ignorant toute te vie ! Je suis seule à la maison vendredi prochain… tu devrais passer !

    Ludivine.

    PS : bonne branlette !

    J’ai l’impression d’avoir couru un sprint. Mon souffle est court, mes jambes flageolent. Ma queue me fait terriblement mal dans son carcan d’étoffe. Il faut que je me soulage, sinon, c’est sûr, je vais souiller mon pantalon. De façon précipitée, j’extirpe ma queue de sa prison, pressé d’en finir avec cette colère qui bouillonne dans mon cerveau. Cette vicieuse ne perd rien pour attendre…J’entreprends une astiquation au rythme rapide.

    — Mmmf…mmmf…

    Pour me stimuler, je m’imagine en train de la sodomiser sans retenue : quelle belle vengeance se serait d’entendre cette petite libidineuse me supplier d’être moins brutal, de la posséder moins profondément…

    — Mmmf… salope…. mmmh… Tu vas… mmmf… voooiir…

    Une vingtaine d’allers-retours plus tard, je me cambre, suffoqué : une première giclée de foutre s’écrase contre la lunette relevée des toilettes :

    — Raaahhh… Aaahh… mffff…

    Les millilitres suivant s’étalent, en rafale, sur les parois de la cuvette avec un son mat caractéristique.

    Un peu calmé, je rejoins juste à temps la table pour souffler les bougies. Ma salope de cousine me regarde avec un sourire moqueur.

    Heureusement pour moi, la réunion de famille touche rapidement à sa fin, et c’est avec un soulagement certain que je regagne la voiture paternelle avec mes sœurs et mes parents.

    Au cours du trajet de retour, ma mère s’inquiète :

    — Vous n’avez pas beaucoup parlé avec Ludivine aujourd’hui ?… Vous êtes fâchés ?
    — Mais non, c’est juste que nous n’étions pas à côté à table… et puis d’ailleurs, nous devons aller au cinéma ensemble vendredi prochain…

    Tu parles ! Ce qui est vrai en tous cas, c’est que mon insatiable bite s’est déjà redressée. Je passe le reste du voyage à me contorsionner, souffrant le martyre à l’étroit dans mon pantalon.

    — 2/3 —

    Le jour fatidique arrive enfin. Je marque une courte pause devant la porte de la maison de mes cousins. Le doute me taraude toujours : comment se fait-t’il que cette coquine se soit empressé de me confirmer au téléphone notre rendez-vous coquin ? Constatant qu’il n’y a pas de voiture dans l’allée du garage, je me décide à sonner, un peu rassuré.

    — Salut Fabrice !
    — Sss… salut…

    Merde ! Qu’est-ce qu’elle fait là celle-là… Dans l’entrebâillement de la porte, Audrey me regarde, interloquée par mon manque d’entrain à la revoir. C’est la cousine de Ludivine, du côté de sa mère. En d’autre circonstance, j’aurai été ravi de la revoir, mais là, elle contrecarre franchement mes plans. Pourtant, elle fut la première fille dont je suis tombé amoureux : j’avais 10 ans et nous étions partis au ski ensemble. À l’époque, je racontais à tout le monde que c’était aussi ma cousine, ce qui me valait, déjà, les moqueries de Ludivine ! Bien sûr, à cet âge, rien ne s’était passé, mais nous nous revoyons épisodiquement à l’occasion de quelques repas de famille élargie. Depuis toujours, je lui connais une certaine classe. À chaque fois que je la vois, je ne peux m’empêcher de la trouver très belle avec ses yeux verts et ses cheveux blonds. Malgré tout, je lui reconnais quelques défauts : des fesses un peu trop larges ou bien encore des épaules trop marquées par la pratique intensive du tennis. Ces petits détails ne m’ont pourtant jamais empêché de souiller des mouchoirs en m’imaginant avec elle dans des positions inavouables…

    Ludivine apparaît à son tour dans l’embrasure de la porte :

    — Entre Fab, et ne fais pas cette tête là !

    Après nous avoir guidés vers le salon, Ludivine met fin à mes inquiétudes :

    — T’inquiète pas Fab, je ne t’ai pas menti… c’est juste que je trouvai plus sympa de faire d’une pierre deux coups !

    Je ne comprends rien. Ce qui est sûr en tout cas, c’est qu’Audrey a les joues aussi rouges que moi. Ludivine poursuit en s’approchant:

    — Ben oui, toi t’es encore puceau… et Audrey n’est pas très douée pour ce qui est de tailler les pipes… alors je me suis dit…

    Ce ton cru a fait se redresser brutalement mon vit, m’arrachant malgré moi une grimace. Profitant de l’effet de surprise, Ludivine a glissé une main sous ma chemise pour détacher ma ceinture. Elle poursuit en me souriant:

    — Je pense que tu ne verras pas d’inconvénient à ce qu’elle participe ?!

    Ma tête bourdonne. J’ai terriblement chaud. Sans se soucier de notre gêne mutuelle, elle fait glisser mon pantalon sur mes genoux, entraînant dans son geste mon caleçon. Malheureusement, la timidité a eu raison de mon érection, si bien que c’est la queue tombante et la gorge nouée que je me retrouve à moitié nue face à ma cousine, et plus grave encore, face à Audrey. Usant de son talent de comédienne, Ludivine feint l’indignation, les deux mains sur les hanches :

    — C’est tout l’effet qu’on te fait ?

    Elle me pousse sur le canapé, puis reprend :

    — Bon, je vois qu’il va falloir t’exciter, mon gentil petit puceau !

    Elle marque un temps d’arrêt puis se retourne vers Audrey :

    — Il n’y a rien de tel qu’un petit spectacle pour exciter les jeunes garçons lubriques, n’est-ce pas Audrey ?!

    Je n’en crois pas mes oreilles… et mes yeux. Comme si il s’agissait d’une pièce de théâtre, Audrey déboutonne lentement sa chemise, le visage baissé, rouge de confusion. Visiblement, Ludivine a tout manigancé. Captivé, je ne l’ai pas vu passer derrière sa cousine. Lascivement, elle entoure d’un bras la taille d’Audrey, et glisse une main sous le chemisier entrouvert. Rhooo ! C’est pas possible !? Le souffle d’Audrey s’emballe. Pour ne rien arranger, Ludivine commence à lui sucer le bout de l’oreille. Malgré mon émoi, mon bas ventre ne semble pas vouloir réagir.

    Contrarié par ce manque d’entrain, Ludivine accélère ses mouvements sous le tissu de la chemise. Audrey renverse sa tête et laisse échapper quelques râles troublants:

    — Mmmhhh

    Sous les assauts répétés, son chemisier s’est complètement ouvert. Sa belle poitrine si souvent fantasmée est là, devant moi. Deux mains expertes la cajolent, lissant méthodiquement les tétons érigés à travers le soutien-gorge. Il n’y a aucun doute, Ludivine doit savoir y faire, car Audrey gémit de plus en plus fort :

    — Mmmfff… mmmh… mmmh…

    Ses plaintes lancinantes ont raison de ma timidité. Mon sexe reprend de la vigueur, et commence à pointer sous le bas de ma chemise. Ludivine s’en aperçoit, et satisfaite, arrête ses caresses malgré les soupirs appuyés d’Audrey. Elle revient s’asseoir à ma droite et dégage ma virilité de l’étoffe qui la contraint. J’ai un soubresaut lorsqu’elle prend dans sa main ma tige fièrement tendue. Cette fois, c’est sûr, elle ne m’a pas fait de blague…Elle se penche tendrement vers mon oreille :

    — Bon anniversaire, cousin…

    Elle embrasse ma joue, et descend lentement son visage à hauteur de mon gland. Ma respiration s’emballe. Je me tends vers sa bouche, en apnée. Elle ouvre ses lèvres pour baiser l’extrémité de mon sexe. Après un instant qui me paraît une éternité, elle m’embouche totalement le nœud.

    — Mmmh…

    La sentir décalotter mon gland délicatement d’un mouvement de lèvres est un vrai supplice. Que c’est bon ! Ses lèvres charnues épousent parfaitement la forme de mon bâton raidi.

    — Oohhhh…

    Malgré mon plaisir, je me concentre pour ne pas fermer les yeux. Je veux pouvoir contempler ma cousine qui entreprend mon vit entre ses lèvres ourlées. Quelle salope ! D’un mouvement savoureux de la bouche, elle me tête, provoquant des bruits de succion proprement indécents. Ce traitement délicieux m’arrache spasmodiquement des soupirs de contentement :

    — Mmmmmf… aah… aaah

    Visiblement experte, elle joue sur la pression de ses lèvres sur mon gland, alternant les profondeurs de pénétration. Relâchant son étreinte buccale, elle darde sa langue pour léchouiller le frein et tout le tour de mon gland. Je gémis sans retenue :

    — Mmmffff… mmmmh…

    A mon grand désarroi, elle finit cependant par s’écarter. Elle me contemple, les yeux lubriques, manifestement ravie de me voir essoufflé et rougi par ces nouvelles sensations. Sa main me cajole, garantissant la dureté de mon érection. Sa bouche me manque, ma queue palpite. Elle se retourne vers sa cousine:

    — Viens Audrey, t’es pas là pour regarder !

    Audrey s’approche à son tour et s’assied à ma gauche. Ludivine tient toujours ma queue tendue entre ses doigts. Après quelques aller-retour le long de ma virilité, elle en dirige fermement l’extrémité vers d’Audrey. Fébrilement, elle se penche sur mon bas-ventre. Je perçois son souffle irrégulier sur mon méat. Quel délice de voir son beau visage si proche de mon phallus !

    — Commence par le lécher un peu.

    Sa langue, obéissante, vient au contact de mon gland. Reprenant ma bite entre ses doigts, elle s’applique à en lisser le frein contre sa langue. Cette nouvelle caresse, divine, m’électrise l’échine :

    — Oooohhhhh….

    Ludivine l’encourage d’une caresse dans les cheveux.

    — C’est bien Audrey… maintenant, tu peux le prendre en bouche… dis-toi que c’est comme une grosse sucette… ajoute-t’elle espiègle.

    Toujours un peu hésitante, Audrey s’exécute : ses lèvres humides s’ouvrent sur mon gland, puis coulissent vers le bas. Ses mouvements de va-et-vient sont plus désordonnés que ceux de Ludivine, trahissant son inexpérience. Parfois, elle dérape, cognant mon gland contre son palais. Pour autant, les premiers mouvements incontrôlés de mon bassin prouvent que je suis aux portes du septième ciel :

    — Mmmmh… Oohhh…mmmf… mmmfff
    — Attends !

    Surprise par l’intervention de Ludivine, Audrey me libère.

    — Dis donc, cochonne, t’y prends goût on dirait ?! Si tu continues comme ça, il va jouir sur-le-champ !… faut leur ménager des temps de repos, à ces messieurs… ils sont fragiles !

    Sur ces quelques considérations, Ludivine me saisit entre deux doigts, et entreprend de me laper la hampe jusqu’aux bourses. D’une attention délicieuse, elle les léche avec application. Mes tempes sont trempées. Ce n’est qu’après avoir gobé successivement mes deux couilles pleines, qu’elle finit par se redresser :

    — Tu vois Audrey, le secret d’une bonne pipe, c’est de savoir laisser retomber la tension… pour mieux se lancer dans le galop final !

    Ni une, ni deux, elle m’embouche goulûment et entreprend des va et viens frénétiques. Méthodiquement, elle fait aller et venir le bourrelet de ma verge entre ses lèvres serrées. À chaque mouvement de tête, elle enroule sa langue autour de mon bonbon rougi. Mon souffle chavire, je sens la sève s’accumuler irrémédiablement à la base de mon phallus :

    — Aaaah aaaaahhhh…. Mmmh…

    Elle stoppe net son mouvement, me laissant au bord de l’orgasme. Mon bassin s’agite, quémandant la libération. D’un air mutin, elle ajoute :

    — Maintenant, il s’agit de le faire jouir en beauté. Je te laisse faire ?
    — O..oui…oui… Com… Comment j’dois faire ?
    — Pompe lui le bout !

    Audrey s’exécute. Ses lèvres se resserrent, non sans appréhension, à la base de mon gland écarlate. Rythmiquement ses joues se creusent, tiraillant mon bout brûlant. Bon dieu ! Quel délice ! Je lâche pied : je m’arcqueboute sur le canapé, laissant giclé mon foutre avec violence contre son palais. La soudaineté du jet l’empêche de me maintenir entre ses lèvres. La deuxième giclée s’écrase sur sa joue en une longue traînée épaisse, et les suivantes, moins violentes, finissent leur course sur le haut de ses seins, à la lisière de son soutien-gorge.

    — ah… aah… aaah… ooohhhhh… mmmh… ooohhhh… … … ooohhh…

    Mon orgasme, inédit par sa violence, me laisse sans force sur le canapé. Audrey constate, mi-surprise, mi-dégoûtée, le souillage laiteux de sa peau de jeune fille. Ludivine, comblée, lui flatte la cuisse :

    — C’est bien Audrey, il n’est pas près de l’oublier, sa première pipe !

    Malgré le compliment, Audrey se défile. Elle quitte la pièce d’un pas précipité, sous le regard rieur de sa cousine. Celle-ci, visiblement satisfaite de son office, se relève et va s’asseoir en face de moi sur un fauteuil, me laissant savourer cette première jouissance buccale.

    — 3/3 —

    Quand Audrey réapparaît après quelques minutes, elle vient se lover contre Ludivine. L’expression de mon visage doit traduire mon étonnement, car ma cousine commence à expliquer :

    — Ne crois pas que tu sois le premier à qui je fais partager mon expérience, Fab ! Figure-toi qu’Audrey avait les mêmes problèmes que toi !!! Voir même pires…
    — Com… comment ?

    D’un geste délicat, elle lui caresse le front, puis poursuit :

    — Figure-toi qu’il y a encore un an, elle ne s’était jamais doigtée le minou! Tu imagines ? Je ne pouvais pas laisser passer ça!

    Bon dieu ! Quelle salope ! Malgré les propos crus de sa cousine, les yeux d’Audrey la couvrent avec reconnaissance, presque avec amour. Cette fois les deux filles s’embrassent sans retenue, suscitant mon émoi. Après quelques secondes, Ludivine finit par se dégager:

    — Et depuis, elle ne peut plus s’en passer ! ajoute-t’elle goguenarde.

    Je n’en crois pas mes oreilles. Quelles cochonnes ! Sur mon bas ventre, ma virilité trépide. Constatant les effets de ses aveux, Ludivine repousse doucement Audrey qui, du bout de la langue lui lêchouille déjà le cou.

    Elle vient se poster debout devant moi. D’un geste parfaitement indécent, elle trousse sa robe et se débarrasse de sa culotte d’un tortillement de hanche. De la main, elle maintient impudiquement le tissu, m’offrant un point de vue admirable sur une toison aux bouclettes d’un brun magnifique. Je relève mon regard en direction de son visage, interloqué. À en jugé par son sourire, elle est manifestement fière de l’effet qu’elle me fait. Elle s’approche du canapé, puis place ses genoux pliés de part et d’autre de mes cuisses. Je crois rêver. Ma respiration suffoque. Tout en fixant ses yeux dans les miens, comme pour m’hyptnotiser, elle me demande, sûre d’elle :

    — Tu m’offre ton pucelage, mon beau cousin ?

    Je la dévisage, les yeux exorbités. Ma tête tourne. Convaincu de mon acquiescement, elle abaisse son bassin, prenant appui sur mes épaules. Un frisson me parcourt l’échine lorsque je sens mon gland frotter contre sa fente. Implacable, elle saisit ma dureté entre deux doigts et s’écarte les lèvres intimes avec. Sa cyprine, abondante, rafraîchit délicieusement mon gland turgescent. La sensation est exquise. Mon visage se crispe, mon souffle hoquette :

    — Oommfff… mmfff

    Elle me sourit. Après un court instant, elle reprend la délicieuse descente de son bassin, plaçant mon vit au creux de son fourreau. Au bord de l’implosion, je perçois son con, brûlant, qui se dilate pour laisser ma queue glisser naturellement. Comme c’est booon ! Je pose mes mains sur ses hanches de femmes. Elle se fige un instant, puis ferme les yeux. Une grimace de plaisir lui entrouvre les lèvres. D’un mouvement souple et délicat, elle finit de s’empaler, laissant ses fesses reposer sur mes cuisses. Un léger feulement s’échappe de sa bouche entrouverte :

    — Mmmmmhhhh.

    Je ne sais plus où je suis. Tous mes sens sont focalisés sur ce fourreau étroit qui vibre sur mon phallus inflexible. J’ai envie d’hurler mon bonheur. Une petite goutte de transpiration lui parcourt le front. Elle rouvre les yeux :

    — Ça va ? Me demande-t’elle pleine d’attention.

    Je ne peux répondre qu’un vague grognement qui la fait ricaner. Mon dieu qu’elle est belle, ma cousine, embrochée sur moi jusqu’à la garde ! Tendrement, elle commence à onduler son bassin. Elle serre ses bras autour de mon cou, et pose son visage au creux de mon épaule. Du bout des lèvres, elle dépose des baisers fiévreux sur la peau de mon cou. Elle halète en rythme, m’invectivant par de doux encouragements :

    — Oui mon Fab…oui….c’est booonn…ooooh… mmmh…

    Je glisse mes mains sous sa robe pour flatter sa croupe que de fines gouttes de sueur ont rendu moite. Ses ondulations deviennent plus amples. Chacun de ses mouvements le long de ma hampe est accompagnée de râles de plus en plus obscènes. À chaque fois, mon frein s’étire dangereusement, m’arrachant des soupirs de contentement :

    — Oooh… mmmmh…
    — Vas-y Fab… haaannn… baise moi… mmmh… baise mooiiii…

    Elle appuie maintenant ses coups de reins, permettant ainsi à mon gland de la parcourir jusqu’en butée. La violence de ses mouvements contraste avec la douceur de ses lèvres sur ma peau. C’est divin. Mon bassin s’agite impulsivement, secouant ma cousine de façon involontaire. Elle s’est redressée, et plonge son regard dans le mien. Les traits de son joli visage sont tendus par le plaisir. Malgré ma précédente éjaculation, je sens que mes limites sont toutes proches. Elle le sait, et accélère encore sa chevauchée, me faisant presque mal. Cette fois, elle pose ses mains sur mes genoux, derrière ses cuisses. Les bretelles de sa robe sont tombées sur ses bras, découvrant largement son buste. Ses seins, lourds, ballottent juste sous mes yeux. Nos cris se transforment en gémissements presque continus :

    — Oooooooohhhhhhh
    — Mmmmmmfffff

    Je ne peux tenir plus longtemps. Vicieuse, elle accueille par des soupirs appuyés l’abondant nappage que je lui offre :

    — Rhhhhaaaa aaaahhhh aaannnhhh… aannhhh… aaahhh…
    — Oui… Fab… oui… ouiiii… vas-y… mmmh… embaume-moi… oooh… donne moi tout… tooouuut… ouiiiiiiii…

    Nos gémissements s’apaisent. Nous restons un moment lovés l’un contre l’autre. J’ai envie de l’embrasser. Elle précède mon espérance. Des deux mains, elle me saisit délicatement la tête. Ses lèvres s’ouvrent et se posent sur les miennes. C’est sa langue qui vient dans ma bouche, cajolant la mienne de toute sa science, mélangeant nos salives sans retenue. Je sens ma virilité, fourbue, qui désemplit lentement son vagin. D’un geste gracieux, elle me libère de son fourreau, puis se redresse devant moi.

    — J’espère que ça t’a plus ?
    — Mmmh… Bon dieu ! Oui… c’était mieux que tout !
    — Tant mieux… comme ça… j’sais déjà ce que je t’offrirais pour tes vingt ans !
    — Qu… quoi ???

    Prestement, elle relève sa robe sur ses fesses qu’elle a tournées vers moi :

    — Ben oui ! j’te rappelle qu’une fille, ça a trois trous !

    Mon dieu ! Merci de m’avoir offert une cousine aussi délurée !!!

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  •      j'ai plus envie de te parler tu m'envois des point d'exclamations en message c'est totalement stupide !

    tu l'es souvent dis moi !!!

    Je n’avais fait qu’effleurer la question de l’échangisme.il me semblait que c’était le moment ou jamais d’aborder franchement cette forme de relation sexuelle. Je me sentais suffisamment mûre et sereine, encore bien dans mon corps et toujours à l’aise dans ma tête. Restait le plus difficile : convaincre mon mari. Oui, je sais, en général, c’est l’inverse qui se produit. Mais voilà, les femmes ne sont plus ce qu’elles étaient, ma bonne dame et mon bon monsieur !

    Au cours d’une discussion familiale autour d’un poulet du dimanche, en compagnie de mon beau-frère et de ma belle-sœur, le sujet était venu sur le tapis. Je l’avais lancé, un brin provocante, histoire de voir comment mes commensaux allaient réagir. À ma grande surprise, mon beauf et sa femme échangèrent un sourire complice et, après quelques sous-entendus, lâchèrent le pavé dans le poulet :

    — Nous faisons ça depuis pas mal d’années ! Oui, nous allons régulièrement dans un club.

    Mon mari regarda sa sœur, la fourchette en l’air et la bouche bée. Il n’en croyait pas ses oreilles.

    — Toi, tu es échangiste ? Tu baises avec n’importe qui ?
    — D’abord, je ne baise pas avec n’importe qui, comme tu dis, je choisis ! C’est une expérience que je te conseille, ça ne rend peut-être pas intelligent, mais on se sent moins con !

    La discussion embraya sur ce thème. Ma belle-sœur, prénommée Annie, était intarissable. La quarantaine rayonnante, bien installée professionnellement, elle assurait que cette expérience, entamée il y a une dizaine d’années (eh oui !), avait contribué à son assurance. Son mari, Alex, affirmait qu’il avait gagné en virilité. Bref, mon mari et moi, nous nous sentions comme deux ploucs. Surtout moi.

    — Pourquoi ne viendriez-vous pas avec nous un soir ? Cela vous permettrait de vous faire une idée. On n’est pas obligé de forniquer dès le début. On peut grignoter un petit morceau et simplement regarder. C’est même conseillé la première fois, expliqua Annie.

    Un ange passa. Mon mari ne réagissait pas.

    — Moi, je suis partante, lançai-je.

    Mon mari finit par accepter, à condition de bien s’en tenir à un rôle d’observateur. Et que je sois bien sage…

    Deux semaines plus tard, nous entrions dans une belle demeure retirée dans les environs de notre ville, au milieu d’un petit parc. Annie nous avait expliqué qu’il ne s’agissait pas d’une véritable boîte échangiste, mais d’un lieu privé tenu par des hôtes libertins qui ne recevaient que sur parrainage. Dans les faits, cela revenait à peu près au même. Une espèce de majordome à la virilité ostentatoire nous reçut pour nous conduire à un étage. C’était un genre de mezzanine qui faisait le tour d’un patio, au milieu duquel se trouvait une grande piscine équipée de transats et de tapis de sol. Ce patio était couvert, mais ce jour-là, la verrière était ouverte.

    — Tout ça a dû coûter un max, lâcha mon mari, toujours très pratique. Déjà, il avait un peu tiqué sur le prix d’entrée : 60 euros par couple, lunch non compris.

    Annie et Alex nous conduisirent à notre table, qui dominait la piscine. Ils avaient salué pas mal de monde en route. Visiblement, ils étaient comme chez eux. Elle portait une robe fendue jusqu’à la taille et très largement décolletée dans le dos, qui révélait l’absence de soutien-gorge ; lui, une chemise ouverte et un jean. Ils nous avaient conseillé d’adopter une tenue discrète, si nous ne voulions pas être importunés. Moyennant quoi mon homme était en costard et moi en tailleur. On jurait un peu.

    Après avoir grignoté quelques tapas et bu quelques rosés d’Anjou, je me demandais si nous étions dans une soirée mondaine ou dans un lieu conçu pour le sexe. C’est à ce moment que quelques baigneurs firent leur entrée en bas, à la piscine. Entièrement nus. La trentaine, plutôt bien faits. Ils entrèrent avec précaution dans l’eau, nageottèrent, et commencèrent enfin à se toucher. Une autre fille se hissa sur le bord de la piscine et écarta les jambes, invitant un homme à venir la lécher. C’était parti. Les conversations au premier étage s’arrêtèrent. En bas, l’ambiance était aux préliminaires. Une dizaine de personnes se caressaient, se suçaient, se léchaient, s’embrassaient aussi. Puis vint la première pénétration et la piscine se transforma très vite en baisodrome. Certains copulaient dans l’eau dans un grand clapot, d’autres sur le bord, les filles couinaient, les hommes ahanaient.

    — Tu viens, chéri, on y va, glissa Annie à Alex.

    Moi, je commençais à avoir très chaud dans mon tailleur, mais pas question d’aller me joindre à cette orgie aquatique sans mon mari, qui continuait d’observer les débats avec intensité, sans parler. J’avoue que j’avais hâte de voir la sœur de mon mari en action. Mais ils se firent attendre. Je me demandais s’ils ne s’étaient pas arrêtés dans un salon, quand je les vis apparaître avec un autre couple d’âge mûr. Ils avaient dû discuter au rez-de-chaussée. Je remarquai que l’homme qui les accompagnait était déjà en érection. Avait-il été sucé par Annie ? Celle-ci le prit par la main et le conduisit à un transat où elle s’allongea, les jambes largement écartées, offerte. L’homme fourra son museau dans sa chatte et les mains de ma belle-sœur se crispèrent sur sa nuque. À côté de moi, je sentais mon mari de plus en plus nerveux.

    — Mais elle va se faire sauter, là, devant tout le monde ! Allez, on s’en va, j’en ai assez vu.
    — Non ! Reste encore un peu, je veux voir jusqu’où elle peut aller.

    Je cherchai Alex des yeux. Il était dans la piscine avec la femme qui l’accompagnait à l’entrée. Leurs jeux préludaient à l’amour. À côté d’eux, un homme possédait une femme en la collant contre le mur de la piscine. Mais je revenais à Annie et son amant, qui s’apprêtait maintenant à la pénétrer, les bras tendus en appui sur le transat. Quand il fut en elle, une onde de chaleur parcourut mon bas-ventre. Annie verrouilla les reins de son partenaire et lui planta ses talons en haut des fesses pour se le mettre bien profond. C’en était trop pour mon mari, qui se leva et quitta la table, moi lui courant après de peur qu’il me plante là. Dans la voiture, il ne desserra les dents que sur la fin du voyage.

    — Excuse-moi, mais voir ma sœur baiser, je n’ai pas supporté.
    — Bon, je reconnais que c’était pas simple pour toi, mais à part ça, tu as aimé ou pas ?
    — C’est pas mal, mais je me demande si je serais vraiment à la hauteur. Et puis, te voir baiser avec un autre homme, ça demande quand même réflexion.
    — Mais on n’est pas obligé de faire ça comme des bêtes ! On peut aussi nouer des relations avec un couple et y aller progressivement. Annie dit bien que c’est d’abord une question de feeling.

    On en était resté là. Nous nous étions rencontrées quelques jours plus tard avec Annie pour évoquer cette première expérience ratée. Elle me confirma que l’homme avec lequel elle avait fait l’amour était une relation ancienne du couple et qu’ils avaient appris à se connaître avec le temps.

    — Je ne suis pas contre les partouzes, j’en ai même usé et abusé, mais là, ce n’était pas le cas, m’informa-t-elle.
    — Il faudrait que tu expliques ça à ton frère.
    — S’il n’est pas mûr, pas la peine de le forcer. Je te propose un truc : on revient toutes les deux et pendant ce temps-là, Alex emmène ton homme à la pêche ou n’importe où, mais il te fout la paix. Tu verras qu’il y viendra, après, c’est mathématique, je le connais trop bien.

    La proposition me tentait. Avec Annie, je ne risquais pas le coup tordu. C’était aussi un bon moyen d’obliger mon mari à être en accord avec ses idées.

    — Lui qui n’arrête pas de prôner la liberté et l’indépendance de la femme, le voilà mis au pied du mur, rigolai-je.

    En fait, tout se passa beaucoup plus facilement que prévu. Alex avait dû présenter habilement la chose à son « beauf ». Le soir convenu, ils étaient partis voir un match de foot et nous avaient laissées libres. Je n’en revenais pas. Pour un peu, je me serais dégonflée au dernier moment. Mais Annie ne me laissa pas le choix :

    — Tu viens et tu ne discutes pas. D’ailleurs, tu es attendue. Deux couples viennent exprès pour nous. Tu pourras même essayer les femmes, si ça te tente.

    Cette fois, pas question d’un tailleur strict. Annie me fit visiter sa garde-robe et me proposa un délicieux fourreau en soie qui soulignait jusqu’à la raie des fesses :

    — Ce truc se met sans slip et sans soutien-gorge. Avec ça, tu ferais bander un eunuque, me dit-elle.

    Elle opta pour un vêtement semblable, si bien qu’on avait l’air de deux sœurs dévergondées en goguette.

    En entrant dans le parc, j’étais déjà excitée comme une pucelle et Annie fut obligée de me calmer :

    — Si tu montres la couleur d’entrée, tu vas te faire sauter dans le hall… mais c’est peut-être ce que tu veux.
    — Non, surtout pas, je veux y aller progressivement.

    Les deux couples nous attendaient à table. Il y avait l’homme et la femme que j’avais déjà vus à l’œuvre la première fois avec mon beau-frère et ma belle-sœur. La cinquantaine distinguée, parfaitement conservée, à l’image de la femme que je n’avais pas bien observée la première fois, et dont la prestance me rappela une présentatrice connue de la météo à la télé. L’autre couple était dix ans plus jeune. L’homme me plut d’emblée, avec ses cheveux ras, sa barbe finement taillée et ses mains puissantes. La femme, brune aux cheveux coupés au carré, semblait discrète, effacée, presque déplacée en ce lieu. Les deux hommes fixaient mes obus moulés de soie avec une intensité sans équivoque. Je compris tout de suite qu’ils voulaient me baiser.

    Avec sa gouaille habituelle, Annie s’ingénia à détendre l’atmosphère, déjà assez chargée d’érotisme. Les tapas furent vite expédiées. Plutôt que de rester au-dessus de la piscine où les premiers couples apparaissaient déjà, elle proposa de descendre dans un salon où une musique invitait à la danse. Un slow, évidemment. Le plus jeune des deux hommes, prénommé Ivan, m’invita. Ses larges mains se posèrent sur mes fesses charnues, comme pour en apprécier les rondeurs. Après les tapas, les appas. Je le sentis durcir. Moi-même, je n’étais pas sèche et j’imaginais qu’il devait apprécier les deux petites excroissances raidies au bout de mes seins contre son abdomen. Mais l’autre homme, Félix, lui tapa sur l’épaule pour lui demander de laisser la place et me voilà repartie pour un autre tour de piste. Mon regard attrapa Annie qui, assise sur une banquette, s’offrait un jeu de langues avec la femme de Félix pendant que celle d’Ivan (oui, la timide) disparaissait sous la table, la tête entre les cuisses de ma belle-sœur. L’atmosphère devenait chaude, et un autre couple apparut, très intéressé par la scène saphique que je viens de décrire.

    Pour dire les choses crûment, j’avais de plus en plus envie de pénis. Comme les deux hommes se montraient empressés auprès de moi, je voyais même le moment arriver où j’aurais deux phallus pour le prix d’un. L’un d’eux prit le fourreau de soie par en bas, le roula, le replia et le fit passer par-dessus ma tête après m’avoir fait lever les bras. J’étais nue. Totalement nue. Sauf les escarpins. Et mon alliance. J’eus une brève vision de mon mari sur un gradin de stade, au moment où je fus soulevée de terre et déposée avec précaution sur une sorte de lit romain. Une langue agile et chaude prit possession de mon intimité au moment où une queue épaisse, parfaitement décalottée, raide comme une branche, surgit sous mon nez.

    — Suce-moi, ordonna Félix.

    Je suçai, et sans me faire prier en plus. À la seconde précise où j’embouchai ce membre puissant, je devins échangiste. La suite ne pouvait être qu’une confirmation. La langue qui me fouillait au même moment devenait de plus en plus envahissante. Presque comme un sexe. Comme j’ondulais, Ivan sentit que le moment était venu de me pénétrer. Je délaissais la queue de Félix pour me concentrer sur le visage de l’homme qui venait d’entrer en moi, et qui n’était pas mon mari. Je le fixai droit dans les yeux. Peut-être y vit-il une lueur de défi à sa virilité, car ses coups de reins se firent plus profonds, plus denses. Félix avait disparu pour me laisser en tête-à-tête, si l’on ose dire, avec ce mâle puissant, bien décidé à me faire jouir. Il me retourna pour une séance de levrette qui dura un long moment, peut-être justement parce que cette position permettait à mon amant de durer tout en appréciant les rondeurs de mes hanches. Lorsqu’il interrompit son va-et-vient, il était en nage et je ruisselais moi-même. Pas seulement de transpiration. Il s’assit sur le lit, la queue fièrement dressée :

    — Viens t’empaler, j’ai envie de voir ton cul.

    Prenant appui sur ses genoux, face à la petite salle, je me fourrai le pieu sans difficulté dans ma vulve béante et entamai un roulement de hanches. En face de moi, ma belle-sœur chevauchait Félix. Elle allait vers la bite avec une telle ardeur que je pouvais presque entendre le membre viril cogner contre le fond de sa matrice. Ses seins tressautaient à chaque impact, tout son corps vibrait, ses brames emplissaient le lieu. Elle dominait totalement l’homme, lui imposait son rythme, le soumettait aux circonvolutions de son cul en folie. J’enviais la souplesse de ses reins et me mis moi aussi à guider la queue dans les recoins de mon intimité surchauffée. Mon mâle à moi poussait le raffinement jusqu’à doigter mon anus tout en me limant. Je ne m’appartenais plus vraiment.

    — Tu baises comme une reine, souffla-t-il derrière moi.
    — J’adore ta bite, elle me remplit bien, lançai-je à mon tour en tortillant de plus en plus du croupion.

    C’est alors qu’un homme apparut, la queue dressée, face à moi, pour que je le suce. Mais seul Ivan m’importait. Je voulais l’essorer, le vider, avoir ses couilles pour moi seule. Je le pris par la main :

    — Viens à la piscine, j’ai envie de jouir dans l’eau.

    La piscine n’était plus qu’un lupanar aquatique. Des couples s’enfilaient dans un mètre d’eau. Des femmes en suspension buvaient la tasse avant de ressortir la tête en crachant. D’autres femelles s’accrochaient aux échelles pour mieux renvoyer la balle aux boules. La plupart baisaient là où l’eau effleurait les marches d’entrée dans le bassin. Je remarquai que beaucoup de femmes se faisaient doigter. À l’évidence, ces messieurs cherchaient à souffler après avoir éjaculé. Un bac à sable était rempli de préservatifs oblitérés.

    Mon partenaire m’entraîna en me tenant par la main et l’eau me parut un peu fraîche. Il se colla à mon dos pour me réchauffer et je sentais sa queue contre mes fesses pendant qu’il empaumait mes seins, les soupesait, les flattait et titillant leurs pointes durcies. L’homme m’entraîna vers un transat disponible. Nos peaux humides s’appelaient irrésistiblement. Il me fit allonger, me prit les chevilles, écarta mes jambes et se plaça à genoux pour me pénétrer. Ma vulve aspira littéralement sa queue. Je me sentis écartelée mais totalement ouverte et disponible. J’aurais simplement aimé un peu plus d’appui pour mieux riposter mais c’est lui qui menait la danse. Je vis alors que beaucoup de monde nous regardait mais je n’en avais cure. Je voulais baiser, point barre. J’étais venue pour ça. C’est alors que mon partenaire m’imposa de me mettre à quatre pattes :

    — J’ai envie de t’enculer, lâcha-t-il
    — Pas question, je garde mon petit trou pour mon mari.

    À ma grande surprise, il se vexa. Il me laissa tomber comme une vieille bouée et se retourna vers une gamine qui le regardait avec des yeux énamourés et le suça illico. Revers de l’échangisme. J’aurais pu chercher fortune n’importe tout ailleurs mais l’épisode me refroidit. Et d’ailleurs, j’avais un peu froid. Je cherchai Annie. Vannée, elle pionçait sur un lit dans une chambre jouxtant le salon où je m’étais déchaînée, en compagnie d’une rombière qui avait dû dépasser ses propres limites. Toutes deux étaient évidemment à poil. Le lit étant vaste, je les poussai et me laissai aller à mon tour à un petit somme. J’avais besoin de récupérer.

    Ce fut Annie qui me réveilla. Cette fois, elle était rhabillée et m’apportait mon fourreau laissé quelque part à l’abandon :

    — Allez, on s’en va, presque tout le monde s’est barré.

    J’avais dormi trois heures ! Cette frénésie sexuelle n’était visiblement plus de mon âge. De fait, la piscine était vide désormais. Quelques couples s’étaient isolés ici ou là. La gamine qui m’avait piqué mon mec s’ouvrait à un costaud à lunettes, pliée en deux, les talons sur les épaules du mâle :

    — C’est la fille de la maison, m’informa Annie, elle a le feu au cul et se tape tout le monde.

    Dans la voiture, au cœur de la nuit, je me demandais quel accueil allait me réserver mon mari footballeur. Je jouais pourtant la fière :

    — Je te remercie pour ton aide, sans toi, je n’aurais jamais osé. Ce soir, un mec m’a fait vraiment grimper aux rideaux. Il avait un putain de corps, je te dis pas, rien qu’à voir son torse musclé contre moi, je jouissais. Mais je me demande comment ton frère va réagir à tout ça.
    — Tu as pris ton pied, tu n’as plus qu’à assumer, me lança ma belle-sœur.

    Toute fière, elle m’annonça qu’elle avait joui trois fois dans la soirée avec trois partenaires différents :

    — Il y en avait un avec une bite comme je n’en avais jamais vu, très courte et très épaisse. Une bite de pilier de rugby, rigola-t-elle.

    J’admirais sa liberté de corps et d’esprit et je n’étais pas sûre d’échapper à un profond sentiment de culpabilité une fois rentrée chez moi.

    En arrivant, toutes les lumières étaient éteintes, sauf celles de notre chambre conjugale. Mon mari dormait la télé allumée. Il avait dû plonger dans le sommeil en m’attendant. Il dormait nu, comme d’habitude, mais sur le dos, ses copieuses parties génitales bien étalées entre ses jambes écartées. J’étais encore sous l’excitation du plaisir ressenti quelques heures plus tôt et une onde de chaleur me brûla le bas-ventre. À peine déshabillée, je rampai sur le lit, relevai le pénis au repos et entrepris de lécher les couilles bien pleines et si généreusement offertes. Mon mari eut un sursaut mais me laissa faire dans son demi-sommeil. Je jouais avec les bourses et sentis le membre grossir dans ma main pour devenir ce que j’avais appelé depuis longtemps sa « matraque ». Le gland rose et gonflé ne tarda pas à occuper mes joues. Mon mari me tira par les cheveux :

    — Tu n’en as pas eu assez ? Tu en veux encore, hein ? Eh bien, tu vas en avoir, je t’en ficherai, moi, de l’échangisme.

    Cette fois bien réveillé, il se rua en moi comme un faune en rut avec une telle vigueur que je me demandai s’il n’allait pas me transpercer de part en part avec sa matraque.

    — Tiens, prends ça, salope, tu l’aimes, la bite, hein ? Je vais te matraquer, moi, tu vas voir la différence.

    Ce n’était pas la première fois que mon cher et tendre devenait vulgaire en me baisant, mais cette fois son déchaînement dépassait les précédents. Et aussi étonnant que cela puisse paraître, cela me plut. Cela me plut même beaucoup. Je lui griffai les épaules, les flancs, les fesses en couinant de protestation pendant qu’il me ramonait jusqu’à mon tréfonds en me houspillant. Sa virilité féroce me mettait en pâmoison. J’en redemandais et il s’en rendait compte, le salaud ! Il me retourna comme un coussin, mouilla mon anus de son doigt humide et me sodomisa pas tout à fait dans les règles de l’art. Je hurlai de douleur mais accompagnai le mouvement et très vite, je sentis ses couilles battre contre mes fesses. Ce contact me subjugua et un orgasme dévastateur me prit des orteils à la nuque. Il se retira et éjacula copieusement sur mon visage après m’avoir une nouvelle fois retournée. Quelle giclée ! J’en avais jusque dans les cheveux. Je me dis in petto que mon homme avait encore les moyens de procréer, mais la question du moment n’était pas là. Il devint soudain très tendre, comme s’il avait expulsé son agressivité avec le foutre. Il me prit dans ses bras, éteignit la lumière, et on s’endormit ainsi jusque tard dans la matinée.

    Le lendemain, j’hésitai à aborder le sujet échangisme au petit-déj’, encore tout entière à nos ébats torrides de la nuit. Mais comme il m’interrogea, je lui racontai sommairement mon expérience, insistant sur le côté baise aquatique et laissant prudemment de côté la frénésie érotique de sa sœur.

    — Au fond, me dit-il, je crois que tu as bien fait d’y aller sans moi, car ça ne m’aurait pas plu ; et comme ça, tu sais maintenant à quoi t’en tenir. Je vais seulement faire en sorte que tu n’éprouves pas le besoin de t’éclater en groupe.

    Et sur ce, débarrassant rapidement les vestiges du petit-déjeuner, ôtant son peignoir et exhibant son membre tendu, il me prit là, sur la table, pour mon plus grand plaisir…

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  • Autant vous dire que je n’avais plus trop envie de revoir Michel. Il avait abusé de ma femme et de ma secrétaire, sous mon toit et sous mon nez ! Ca ne l’avait aucunement dérangé… Il m’était toujours sympathique mais… j’étais profondément dégoûté. Mais, je savais qu’au fond de moi, j’étais tout simplement jaloux de lui…

    C’est Michel qui me téléphona, quelques semaines après cette fameuse soirée.

    — Alors, on remet ça quand mon petit François ? demanda-t-il.
    — T’es vraiment qu’un porc. Tu ne penses qu’à ça.
    — Eh, oh, du calme, mon vieux ! Qu’est-ce qui se passe ?
    — Tu en as bien profité, mon salaud.
    — Mais de quoi tu parles ?
    — Je te parle de Cynthia.
    — Ah oui, Cynthia, ta secrétaire…
    — Ce n’est plus ma secrétaire !
    — Ah vraiment ?
    — Je l’ai viré.
    — Mais pourquoi tu l’as viré ?
    — Tu veux vraiment le savoir ?
    — Ce n’est pas à cause de moi quand même ?
    — Non… enfin oui et non.
    — Bon, ce n’est pas clair ton histoire, c’est quoi le problème ?
    — Le problème ? Tu veux le savoir, le problème ? Eh bien Cynthia, moi aussi je voulais me la faire… Et depuis longtemps !
    — Ah bah, ça alors ! Tu voulais te la faire. Et tu m’as laissé la baiser devant toi, comme ça, sans rien dire ? Chapeau, mon gars !
    — Je ne pensais pas que tu la baiserais devant nous et qu’elle irait aussi loin…
    — Je suis désolé, vieux, mais si tu m’avais dit ça avant, je n’aurais peut être rien fait… Mais c’était un sacré bon coup cette fille !
    — Oui, merci, je sais, j’étais là ! Amandine ne t’a pas laissé indifférent non plus d’ailleurs…
    — Pourquoi tu dis ça ?

    Il avait fait des trucs dans mon dos, avec ma femme, mais il ne savait pas que j’étais au courant. Par amitié, j’aurais aimé l’entendre faire des aveux de son propre chef, mais en avait-il les couilles ? Je lui avais tendu une sacré perche là. Après un court silence, il sembla embarrassé et changea de sujet…

    — Hum, tu sais, Cynthia cache bien son jeu. Quand je l’ai raccompagné, elle en voulait encore.
    — Hein ? Mais qu’est-ce que tu me racontes ? Je suis sûr que c’est toi qui en voulais encore !
    — Oui, bien sûr… Mais là, ce n’était pas moi le demandeur. Elle m’a caressé l’entrejambe tout le long du trajet. Arrivé en bas de chez elle, je bandais à mort…
    — Et elle t’a sucé ?
    — Oui. Mais après, elle a récupéré mon sperme dans un sac plastique. Elle m’a dit qu’elle voulait s’habituer au goût et s’entraîner à l’avaler tranquillement chez elle avec une copine. Elle m’a fait jouir… trois fois de suite ! J’étais complètement épuisé en rentrant. Une vraie cochonne cette fille, j’te dis !
    — Je ne veux plus rien entendre !
    — Hey, calme-toi ! Je te dis la vérité et tu m’engueules.
    — Tu parles…
    — Et ta femme, elle est au courant ?
    — De quoi ?
    — De ton attirance pour Cynthia…
    — Bien sûr que non. Notre couple exploserait à coup sûr et je n’ai pas envie de divorcer. Même si je pense qu’elle a eu de sérieux doutes lors de la soirée…
    — Écoute, alors voilà, je te propose un deal. Je ne lui parlerais jamais de ton histoire avec Cynthia mais en échange, je ne veux qu’une seule chose, une toute petite chose…
    — Quoi ?
    — Une nuit avec ta femme.
    — Jamais ! Ca ne va pas la tête ?
    — Alors, je vais devoir tout lui dire à propos de toi et Cynthia… Ton petit voyage d’affaires avec elle, car vois-tu, elle m’en a parlé. Je n’avais pas fait le rapprochement mais là… Je comprends mieux pourquoi tu nous as demandé de jouer au faux couple tous les deux…
    — …
    — Je te le répète, accepte mon offre, ça vaut mieux.

    Et il raccrocha. J’étais blanc comme neige, je balançai le téléphone à travers mon bureau au moment précis où ma nouvelle secrétaire entrait. Elle manqua de recevoir l’objet en pleine figure et me regarda avec un air sévère, en me grondant comme si j’étais un petit garçon. C’était mal barré avec elle aussi. Mais je m’en foutais, car je savais que jamais je ne coucherais avec elle : j’avais embauché une vraie lesbienne cette fois…

    * * * * *

    Cela me travaillait, j’avais peur que ma femme l’apprenne par Michel. Me faisait-il marcher ? Et Cynthia, que lui avait-elle raconté ? J’étais inquiet, ma femme était trop jalouse pour éveiller le moindre soupçon…

    Le lendemain, Michel me téléphona au boulot…

    — Salut, François.
    — Ah c’est toi, je n’ai pas trop le temps là…
    — Alors tu as réfléchit ?
    — A quoi ?
    — A ma proposition…
    — Tu blagues ? Écoute, si t’es vraiment en manque, on peut s’arranger. Je connais une fille… Une vraie bombe. Je peux te la présenter…
    — Non. C’est ta femme que je veux.
    — Mais elle n’acceptera jamais. Même si je lui demande à genoux…
    — Ça, c’est ton problème.
    — Mais comment veux-tu qu’elle accepte un truc pareil ?
    — OK, alors voilà ce que je te propose : tu vas l’attacher à ton lit et lui bander les yeux. Ensuite tu partiras et tu me laisseras seul avec elle. Tu pourras revenir le lendemain matin.
    — Et c’est tout ?
    — Oui, c’est tout.

    Cette fois-ci, c’est moi qui raccrocha. Il voulait se taper ma femme et en échange il ne dirait rien, il resterait muet comme une carpe au sujet de mon flirt avec Cynthia… Lui qui avait déjà eu droit à de nombreuses gâteries de la part de ma femme… J’étais désespéré. Après quelques jours et après avoir intercepté à temps une première lettre anonyme adressé à Amandine, où il dévoilait tout, je cédais à son chantage qui devenait de plus en plus pesant…

    Le jour choisi fut un samedi soir. J’avais tout préparé, dîner aux chandelles et champagne à volonté. Les yeux d’Amandine pétillaient de bonheur. Elle ne voyait pas ma souffrance, cachée par ce trop-plein d’alcool qui coulait en moi. Tout fut fait comme Michel le désirait. Elle se retrouva nue, attachée au lit par des menottes, avec un bandeau noir sur les yeux. Elle n’en pouvait plus et n’attendait qu’une chose, c’était mon sexe en elle. Elle rigolait et battait des jambes en attendant cette pénétration tant désirée.

    Malheureusement pour moi, je m’éclipsai et allai ouvrir à Michel qui m’attendait dehors. Je lui remis la clé des menottes et avant que mon poing ne lui fracasse le crâne, je m’éloignai de cette maison où il allait se passer un acte immoral.

    La nuit fut longue, sans doute autant pour elle que pour moi. Je terminai ma nuit dans un bar glauque, qui ressemblait à un lieu de rencontre des désespérés de la vie. Bref, j’étais au bout du rouleau. Je m’endormis un peu et finis par quitter cet endroit à l’aurore.

    À mon retour, j’allai directement dans la chambre. Ma femme était nue, allongée sur les draps, mais sans menottes ni bandeau. Je voyais son corps traversé par un rai de lumière qui entrait dans la chambre. Il y avait une forte odeur de foutre. Il avait dû jouir plusieurs fois, ça sentait encore le sperme. En m’entendant arriver, elle ouvrit doucement les yeux et tourna son visage vers moi.

    — Ah, c’est toi, mon amour ! C’était vraiment bon hier soir, hmm, quel pied ! dit-elle en se blottissant dans son oreiller.
    — Tu as aimé ?
    — Tu plaisantes ! J’ai a-do-ré !
    — Si tu le dis.
    — Et puis, j’étais tellement excitée avec ce bandeau sur les yeux. C’était une très bonne idée de ta part.
    — C’était un de tes fantasmes d’imaginer coucher avec un autre homme que moi, alors j’ai pensé au bandeau.
    — Oui, mais tu es un petit cachotier quand même.
    — Comment ça ?
    — Bah, tu sais de quoi je parle, non ?
    — Hmm, oui… bien sûr, mentis-je.
    — C’était surprenant au début, mais je ne m’attendais pas à ça. J’ai joui comme une folle.

    Mais qu’est-ce qu’elle racontait ? Qu’est-ce qu’il lui avait fait de si spécial ?

    — Qu’as-tu préféré cette nuit ?
    — Je ne sais pas… Peut-être recevoir tout ce sperme qui coulait non-stop… Cela m’excitait d’en avoir partout sur le corps…

    Michel éjaculait toujours autant à priori. Il a dû la sauter plusieurs fois, mais quel étalon ce mec… Pourtant, elle a bien dû s’apercevoir que ce n’était pas moi, je n’éjacule pas comme ça… C’était bizarre…

    — Et ce bandeau ! J’ai voulu l’enlever plusieurs fois mais tu me l’a laissé, petit coquin !
    — C’était pour ton bien, ma chérie, crois-moi.
    — J’entendais parfois des gémissements, voir des grognements de bête… J’imaginais des trucs dans ma tête… C’était vraiment étrange… Mais j’ai juste une question…
    — Ah oui, laquelle ?
    — Ils étaient combien ? Au moins une dizaine, non ? Moi, je n’en ai aucune idée…
    — …
    — Oui, je comprends, tu ne veux rien me dire… Ca restera secret et je suppose que je ne connaîtrai jamais leurs identités… Mais, y’avait de ces fougueux intrépides ! Tu as raison, ne me dis rien, je ne veux rien savoir. Jamais je n’aurais imaginé que tu accepterais de m’offrir à d’autres. J’ai adoré faire l’amour avec tous ces inconnus… Et moi qui pratiquait peu la sodomie, j’ai été servie ! Merci chéri…

    Je n’en croyais pas mes oreilles. Non seulement il avait sauté ma femme par tous les trous mais en plus il avait amené du monde avec lui. Je disparu avant qu’elle ne me voit bouillir de colère. Une fois dans le jardin, j’appelai Michel sur son portable.

    — Alors, tu es content ? Vous étiez combien ?
    — Je ne t’ai jamais dit que je serais seul, dit-il en rigolant.
    — Enfoiré ! C’était qui tous ces mecs, bordel ?
    — Bah, quelle importance ?
    — Si, je veux savoir ! Je veux savoir qui a baisé ma femme ! hurlai-je au téléphone.
    — Comme tu voudras. Je travaille sur un chantier de BTP en ce moment et mes ouvriers immigrés n’ont pas souvent l’occasion de tirer un bon coup, alors je leur ai proposé une petite sortie. Ils ne parlent pas bien français et n’ont pas vraiment la gueule de Brad Pitt, si tu vois je ce que je veux dire. Par contre, certains en avaient dans le pantalon. Ils étaient ravis, surtout quand ils ont vu ton Amandine…
    — Salopards ! Vous allez tous me le payer.
    — Fais pas le con ! En plus ils sont plus balèzes que toi, tu vas te faire mal.
    — Fumier !
    — J’ai même emmené mon neveu qui vient d’avoir dix-huit ans, il était encore puceau. Ta femme a vraiment apprécié sa queue à ce jeune homme : très longue mais fine. Ce crétin ne s’était jamais fait sucé de sa vie et ça lui à fait tout drôle quand il a éjaculé dans sa bouche. Ta femme a tout avalé et semblait surprise par ce goût un peu amer.
    — Espèce de gros dégueulasse ! Je vais te…
    — Tu veux des détails ? Alors je continue. Notre chef de chantier, d’origine Pakistanaise, a une déformation au niveau du sexe, ce n’est pas beau à voir. Il a une bite toute noire et au bout, une sorte de gland marron éclaté avec deux trous. C’est moche et à cause de ça, aucune femme n’a jamais voulu le sucer, ni faire quoi que ce soit d’autre avec lui. Et bien je peux te dire que ta femme a adoré et en plus c’était marrant de voir deux jets sortir simultanément…
    — Tais-toi ! Gros pervers, espèce de malade !
    — Ah oui, j’oubliais : j’ai tout filmé. Alors si j’étais toi, je resterais tranquille à l’avenir !

    Et il raccrocha. Je pleurais et riais en même temps. Mais pourquoi ça n’arrivait qu’à moi ce genre de truc ?

    Je suis retourné dans mon lit, les draps étaient encore humides, je me suis quand même blottis contre elle. Je l’ai serré fort, très fort, tout contre moi, mais quelque chose me dérangeait. C’était cette odeur insoutenable, comment faisait-elle pour dormir ? Las, je me couchais par terre comme un moins que rien… en attendant qu’elle se réveille.

    Pardon?

    JE VEUX PAS DE PUB BORDEL!

    J'aime quoi?

    Désolée mais je ne vois pas de quoi tu parles, alors sois tu t'exprime comme il faut ou soit je te met en liste noire.

    ...Tu ne sais rien de moi alors tu ferme ta gueule.

    Cordialement, une ptite coch*nne qui n'aime pas les connards.

    Apprend à écrire français et on en reparle ok?!

    ...Tu fais pitié...

    Avec tes messages qui font chier tu fait pitié.

    Tu m'harcele de messages limite dégueulasses depuis tout à l'heure.

    Quand on regarde les sujets de tes messages.

    Arrête de m'envoyer des messages toutes les minutes, d'écrire comme un gamin de faire de la pub et on en reparle!

     

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