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Par JOUIBRULANCE dans LE BLOG DE NESUMI le 27 Janvier 2015 à 01:11
Depuis l’acquisition de notre appareil photo numérique, j’ai pris l’habitude de photographier ma femme en petite tenue. Il a évidemment fallut négocier, mais au fil du temps, elle a fini par y prendre goût et se prête volontiers à une petite séance de pose quand l’occasion se présente. J’ai ainsi accumulé un nombre impressionnant de clichés que je regarde de temps en temps avec bonheur.
Ma dernière marotte a été de lui demander de poser nue dans la nature. J’avais très envie de la photographier sur la plage, sans son maillot. Il faut dire que nous fréquentons une petite station balnéaire un peu bourgeoise ou le topless est presque considéré comme un outrage à la pudeur.
Elle n’avait pas franchement refusé mais n’avait pas non plus montré d’enthousiasme à cette idée. Finalement, j’en étais resté à un « si l’occasion se présente, pourquoi pas ? », avec la ferme intention de faire se présenter l’occasion.
En plein été, c’était évidemment hors de question, les plages de l’atlantique étant bondé toute la saison.
C’est finalement pendant le mois de mai que les conditions se sont réunies. Nous avions pris une petite semaine, entre deux ponts qui, cumulés avec quelques RTT, permettent de prendre quelques vacances sont trop endommager le compte des congés payés. Pendant le week-end à rallonge, nous n’étions évidemment pas les seuls a profiter des beaux jours, et la plage, sans être noires de monde, n’offrait pas l’intimité nécessaire à ma séance photo. Tout au long des kilomètres de plages qui compose cette région, des petits groupes de vacanciers s’étaient répandus et il n’était pas question pour ma femme de laisser tomber son maillot tant que la moindre personne était encore en vue.
Dés le dimanche soir par contre, la situation commença à changer. Les vacanciers du week-end repartaient chez eux, et la petite bourgade se vida. Une promenade sur la plage le lundi matin me confirma ce fait immédiatement. Il ne restait pratiquement plus personne, et il suffisait de marcher quelques minutes au bord de l’eau pour se retrouver pratiquement seuls à perte de vue.
Je proposais donc à ma femme d’essayer l’après-midi. Apres quelques minutes de discussion, elle me promis d’essayer, mais emmènerais quand même son maillot au cas ou nous ne trouverions pas d’endroit tranquille.
Nous voila donc parti en début d’après-midi. Je n’emportais qu’une serviette de bain et un petit sac contenant mon appareil, prêt à l’emploi, ma femme se munissant, elle, de son drap de bain, son maillot étant passé sous ses quelques fringues de plages.
Apres une petite marche dans la dune boisée pour nous écarter de la petite agglomération, l’on trouva un petit sentier menant directement à la plage. Celui-ci semblait éloigné des grands accès avec parking et pourrait convenir.
Effectivement, quelques minutes plus tard, nous étions sur la plage, pratiquement déserte, où seul quelques silhouettes isolées se détachaient sur l’horizon.
Je rappelais donc à ma femme son engagement, et celle-ci, après avoir scrupuleusement inspecté les environs, accepta enfin d’enlever son maillot.
Je découvrais alors son corps, nu, avec ses gros seins bien rond et son sexe parfaitement taillé façon ticket de métro et commençais immédiatement à faire crépiter mon appareil. Puis, après avoir encore scruté de tout côté, elle décida d’aller se tremper dans l’océan. À marée basse, il lui fallait bien parcourir quelques centaines de mètres pour atteindre l’eau et je profitais encore de cet instant pour photographier ses fesses. Enfin, elle entra dans l’eau et je posais mon appareil, histoire de sauvegarder mes batteries le plus longtemps possible, et scrutais à mon tour, afin de la capturer quand elle sortirait.
Tout à coup, j’entends du bruit derrière moi, et en me retournant, je découvre deux jeunes gens, probablement tout juste la vingtaine, qui débarquent du petit sentier que nous avons emprunté plus tôt, et qui s’installent à quelques mètres derrière moi.
Une angoisse me prend alors. Je connais ma femme, et je sais que même si elle se prête avec assez de bonne volonté à nos séances de photos intimes, elle est tout de même timide et risque de me faire payer cher d’être obligé de se montrer nue devant des inconnus. Parce qu’évidemment elle ne va pas avoir le choix. Elle doit parcourir un bon trajet pour revenir vers moi, et je pense que les deux gars vont en profiter largement.
Au bout de quelques minutes, je la vois qui sort de l’eau. Elle n’a pas ses lunettes, et à cette distance, je la sais suffisamment myope pour ne pas voir qu’il y a des intrus derrière moi. Je décide quand même de reprendre mon appareil. Je suis persuadé qu’après cet épisode, il sera très dur de la convaincre de recommencer, alors autant en profiter jusqu’au bout. Je zoom et recommence à photographier. J’entend les jeunes gens qui chuchotent derrière moi, sans arriver à comprendre de quoi ils parlent, je suis tout de même persuadé qu’ils doivent émettre des commentaires à notre sujet.
A une dizaine de mètres de nous, ma femme s’arrête soudain. Elle a du voir que quelque chose ne collait pas, et se demande sûrement comment réagir. Elle s’approche alors à pas rapides, en masquant ses seins de son bras, et empoigne son drap de bain afin de retrouver une pudeur. Elle est rouge comme une pivoine et me lance un regard mêlé de honte et de colère.
Un des deux gars lance alors :
— Ben faut pas vous arrêter pour nous madame !
Et l’autre de renchérir en me désignant du doigt :
— Ouais, regardez, il a l’air tout triste votre homme !
L’air franchement honteux, elle trouve quand même le courage de répondre :
— Oh il en a déjà assez vu !
— Ben lui peut être, mais nous non !Son ami confirme :
— C’est vrai oui, on vous a à peine aperçue, vous êtes jolie c’est dommage de vous cacher comme ça !
Ma femme est toujours debout, cachée dans sa serviette, et esquisse un petit sourire pour remercier du compliment. Elle reste tout de même rouge de honte, et ose à peine lever les yeux pour les regarder.
Les deux compères se rapprochent alors de moi et se posent à mon niveau.
— Moi c’est Fred, et lui c’est Joël.
— Allez, madame montrez-nous encore un peu, c’est rare dans le coin de pouvoir avoir un beau spectacle comme ça !Je me demande alors comment va évoluer la situation. Ma femme est rouge comme rarement je ne l’ai vu, et les deux insistent. Elle ne peut pas non plus remettre son maillot sans risquer de faire tomber la serviette.
— Allez madame, soyez pas timide !
— Ouais, juste vos fesses, vous êtes arrivée de face, on a pas pu voir nous !J’hallucine totalement. Le dénommé Joël vient carrément de demander à ma femme qu’elle leur montre ses fesses. Elle a l’air complètement désemparé et me lance des regards interrogateurs.
Il faudrait que j’intervienne pour la sauver de cette situation légèrement humiliante, mais comme je suis maintenant tout à fait sûr que je ne suis pas prêt de voir se présenter une autre occasion comme celle-la et que je vais pouvoir ranger mon appareil photo pendant au moins un an, je lui dis :
— Bah oui chérie, montre-leur…
Si elle avait pu m’assassiner du regard, je serais mort sur cette plage tout net.
Le Joël insiste encore :
— Ben voyez, vous allez faire plaisir à tout le monde, allez quoi, juste un peu !
— Ouais, pour une belle femme comme vous, c’est criminel de se cacher, montrez-nous !Sans doute vaincu par ce dernier compliment, je vois ma femme se retourner doucement et qui commence à remonter maladroitement sa serviette.
Je ne pensais vraiment pas qu’elle aurait le cran de le faire, mais pourtant elle nous présente ses fesses.
Je me jette sur mon appareil pour immortaliser cette scène, ravi et légèrement excité par l’exhibition que ma femme m’offre ainsi qu’à mes compagnons improvisés.
Joël, sans doute émue par la vision de la paire de fesses lance à la cantonade :
— Ouah quel beau cul !
Elle relâche la serviette, se retourne visiblement énervée et lance :
— Bon ça suffit, vous êtes content ?
Joël, encore lui, de répondre :
— Ben et devant ? On était loin, on a rien vu nous !
Elle est exaspérée, je peux le voir sur son visage. Elle ouvre d’un coup sa serviette, nous dévoilant ses seins et sa chatte.
— Voila, vous êtes content maintenant ?
Et tout aussi brutalement referme la serviette.
— Ben on a rien vu !
— Ouais et puis vous êtes toute énervé, ça compte pas.Elle ouvre des yeux ronds et s’adresse à Fred :
— Comment ça, ça compte pas ? Je me fous à poil devant vous et faudrais en plus que j’aime ça ?
— Ben ouais.
— C’est vrai, détendez-vous, on veut juste regarder nous !
— Ouais faut nous comprendre, on vient à la plage pour bronzer, et on découvre une belle femme toute nue, alors évidemment, on veut regarder, on est des hommes, c’est pas notre faute !Cette dernière phrase semble amuser ma femme qui se détend un peu pour répondre :
— Ben voila, vous avez vu, je vais pas danser quand même !
— Ben nan, on demande pas que vous dansiez, juste de nous montrer un peu plus, c’est tout…Elle réfléchit pendant quelques secondes, puis se relâche :
— Bon d’accord, mais après, c’est fini ok ?
Disant cela, elle écarte les pans de sa serviette, dans un geste bien plus élaboré que la première fois, et se dévoile encore. Moi, je mitraille.
Elle se met en face successivement des deux jeunes gens, les bras en croix tenant sa serviette :
— Ça vous va comme ça ?
— Ouais super ! Tournez-vous encore ?
— Ouais, pour qu’on voit tout d’un coup !Elle laisse alors tomber la serviette à ses pieds, met ses mains sur ses hanches et se retourne, nous offrant pour la deuxième fois une magnifique vue de son postérieur.
— Ah ouais, un super cul !
Cette fois c’est à Fred d’en rajouter :
— Vous savez, vous devriez le faire plus sexy, ça serait mieux.
Elle tourne la tête, lui jette un regard interrogateur et répond :
— Plus sexy ? C’est quoi plus sexy ?
— Ben chais pas moi, vous écartez un peu les jambes, vous mettez vos mains sur les genoux et vous prenez une pose sexy ! tant qu’à faire des photos, autant qu’elles soient réussies non ?Moi qui n’est jamais réussi à lui faire prendre une pose correcte, voila que Fred lui donne des indications précises, et je la vois en train d’essayer de faire ce qu’il vient de lui demander. Elle demande :
— Comme ça ?
Elle est maintenant debout, dos à nous, les jambes légèrement écartées, penchée en avant pour que ses mains reposent sur ses genoux.
De notre point de vue en contrebas, on distingue sa fente très peu poilue entre ses jambes.
— Ouais pas mal… pliez un peu plus vos genoux, remontez vos fesses… ouais comme ça. Et puis regardez-nous aussi, en souriant !
Il lui donne des indications, et je suis stupéfait de voir ma femme obéir comme ça. Stupéfait mais content, car j’en profite pour prendre de très beaux clichés.
— Ah ben voila, super !
Elle garde la pose encore un instant mais au moment ou elle rompt la position, Joël intervient.
— Bon, maintenant, vous vous mettez de face, penchée en avant en prenant vos seins dans les mains.
Elle a l’air d’être sur sa lancée car elle accepte sans broncher cette nouvelle position.
— Plus en avant, et serrez bien vos seins, ouais, non plus encore !
— Ouah vous en jetez madame comme ça !Elle jette un merci gênée, mais son sourire trahit le contentement que lui procure le compliment. Sur de lui, Joël indique une nouvelle position.
— Tenez, mettez vous à genoux là, assise sur vos pieds, et mettez les bras en l’air, ça met en valeur la poitrine.
Encore une fois, elle s’exécute sans broncher et je prends encore quelques très belles photos.
— Maintenant, asseyez-vous face à nous, avec les bras autour des jambes.
Au moment de bouger, j’aperçois assez nettement son entre jambe et sa fente rose. Au regard que s’échange les deux gars, je sais qu’ils l’on vu aussi.
— Penchez vous un peu en arrière, en vous retenant avec vos bras. Ouais parfait !
Elle est maintenant assise face à nous, les jambes pliées et serrées, et les seins pointés fièrement.
Et là, c’est encore Joël qui fait tout basculer.
— Ecartez les jambes.
Elle hésite. Ne sachant pas quoi faire, elle nous interroge tour à tour du regard, mais j’admire et imite la technique de Fred et Joël qui ne réponde rien. Elle reste donc seule à prendre sa décision, et vu ce qu’elle a déjà fait, presque dans l’obligation d’obéir… timidement et lentement elle ouvre alors ses jambes dévoilant son intimité. Elle ose à peine regarder dans notre direction.
— Allez, écartez plus !
Elle ouvre donc ses jambes en grand, et son sexe rose s’ouvre, laissant apercevoir son vagin et le bord de son anus.
Quelque chose se passe à cet instant. En obéissant encore une fois, elle abandonne toute idée de pudeur ou de rébellion. Ces deux types ont réussi à lui faire faire des choses en quelques minutes là où il m’a fallu plusieurs années de persuasion. Elle s’offre sans discuter et attendant qu’ils se lassent. Eux aussi ont senti cette résignation et le ton de Joël change :
— Ouvre ta chatte en grand.
Elle glisse alors sa main et, de ses deux doigts, tente d’écarter ses lèvres.
— Avec les deux mains.
Elle est alors obligée de s’allonger sur le dos et ouvre son sexe en grand devant nous.
— Retourne-toi.
Comprenant ce que veux Joël, car c’est assez évident, elle se retourne et se met à quatre pattes le cul vers nous. Ses jambes sont très légèrement écartées et ses seins pendent sous elle.
— Ah bien ! C’est vraiment un beau cul ça !
— Ouais mais faudrait qu’elle se cambre, ça serait mieux encore.
— Ouais, cambre toi et écarte plus les jambes.Elle s’exécute encore une fois et cette fois, c’est Fred qui en rajoute.
— Ecarte tes fesses aussi.
Elle se retrouve affalé sur la serviette, les fesses en l’air, et semble hésiter à obéir à ce dernier ordre. Fred, sentant l’hésitation, ne lui laisse pas de répit.
— Allez, écarte bien tes fesses, avec les deux mains !
Nous découvrons alors son petit trou du cul brun, ainsi que sa chatte, déformée par la pression sur ses fesses. À l’aide du zoom, j’en profite pour faire quelques gros plans et à ma grande surprise je m’aperçois qu’elle est toute trempée. Sa chatte dégouline littéralement et les deux s’en rendent compte aussi.
— Ah ben voila, ça commence à lui plaire !
— Carrément, la pauvre, on va pas pouvoir la laisser dans cet état !Disant cela, Joël s’approche d’elle et lui enfonce directement son doigt dans la chatte. Je suis certainement aussi surpris qu’elle par son mouvement et vais pour l’arrêter. Autant l’exhibition me plaisait, mais la voir se laisser faire comme ça me provoque une pointe de jalousie. Mais avant que j’ai pu dire quoi que ce soit, j’entends ma femme pousser un petit cri et écarter encore d’avantage ses fesses.
— Oh oui !
Apres tout, c’est entièrement de ma faute si elle est dans cette situation et le plaisir qu’elle semble prendre m’annihile toute volonté d’arrêter cette scène.
D’autant que Joël enchaîne et commence à lui lécher le trou du cul en continuant de lui enfoncer ses doigts dans le vagin.
Je photographie ce type qui doigte ma femme en lui léchant le cul. Elle semble apprécier la situation à sa juste valeur car elle ferme les yeux et commence à marmonner tout en continuant d’écarter ses fesses :
— Encore, oui comme ça, encore…
Joël, relevant la tête, annonce :
— Dis donc, elle est bien large !
Fred, sans doute soucieux de vérifier l’affirmation de son compère s’approche à son tour, et commence à lui glisser un doigt en même temps que son ami.
Elle a maintenant quatre doigts dans la chatte, et Fred qui a glissé une main sous elle lui palpe un sein.
De sa main libre, Joël fait glisser son caleçon de bain et sort un sexe de bonne taille pratiquement en érection. Voyant cela, Fred retire ses doigts et descend également son maillot. Ils ont la ferme intention de la baiser, et voyant que cela ne semble pas la déranger, je laisse faire en continuant de photographier.
Il colle ensuite sa bite contre son sexe et commence à la caresser avec son gland. Fred, lui, n’a pas l’air d’avoir envie d’attendre que l’on s’occupe de lui. Il présente donc son sexe, plus petit que celui de Joël, devant la bouche de ma femme. Celle-ci ne rechigne pas, sort sa langue et commence à le sucer.
Ce petit jeu dure quelques minutes. Joël fait entrer son gland doucement puis ressort, continue de la caresser. Elle semble de plus en plus impatiente et fini par lancer :
— Vas-y prend moi !
Lui n’attendait que ça. Il l’a pénètre d’un coup et commence à la ramoner. Il en profite même pour lui mettre un doigt dans le cul. Je connais ma femme, et je sais que ce genre d’attention lui fait plaisir.
Fred, qui est maintenant bien dur dans sa bouche, demande :
— Bon, à mon tour !
Joël ne semble pas s’offusquer de tout ça et prend donc les choses en main.
— Ok, allonge toi là. Et toi, tu te mets sur lui.
Fred se retrouve donc allongé sur la serviette, la bite dressée, et ma femme l’enjambe et s’empale d’un coup sur lui. Je comprends tout à coup pourquoi Joël s’est laissé remplacer comme ça. Il appuie sur le dos de ma femme, qui se retrouve plaquée contre Fred, et commence à lui doigter le cul. Quand elle lui semble prête, il s’agenouille derrière et entreprend de l’enculer. Comme précédemment, il prend son temps et tourne lentement autour de son anus, se lubrifiant contre le vagin tout proche, lui-même assez sauvagement perforé par Fred. Il attend encore jusqu’à ce qu’elle finisse par craquer et implore :
— Allez, vas-y !
— Vas-y quoi ?
— Encule-moi !Il l’a pénètre alors et commence à la pistonner doucement. De là où je suis, je peux faire des gros plans de ces deux bites dans ma femme, de son anus ouvert et de son visage déformé par le plaisir. Je mitraille tout ce que je peux.
Soudain, Il se désengage d’un coup, et dans un râle, éjacule sur ses fesses. Elle lance alors avec de la déception dans la voix :
— Ben j’ai pas joui moi !
Joël, reprenant son souffle et le contrôle de la situation lui répond :
— On va pas te laisser comme ça, Fred, pousse toi.
En la repoussant, Fred sort à son tour, lançant un regard interrogateur à Joël. Lui non plus n’a pas joui, et il n’a pas l’intention d’en rester là mais Joël donne les indications :
— Met toi là, et toi, suce-le. Comme ça, oui, à quatre pattes.
Ma femme se retrouve une fois de plus avec les fesses en l’air, recouvertes de sperme, et commence à sucer Fred.
Joël commence alors à lui masser le sexe, et fait entrer un à un ses doigts au fond de sa chatte. Au quatrième, je pense qu’il va s’arrêter, mais non, en serrant la main, il fait également entrer son pouce et pousse avec force en crachant des jets de salive afin d’améliorer la lubrification. En quelques minutes, il arrive à faire rentrer sa main jusqu’au poignet, ce qui déclenche un cri de douleur et de plaisir chez ma femme.
Il se retourne alors et me dit :
— Et voila, je savais bien qu’elle était large !
Il commence alors à la pistonner avec force. C’est à ce moment-là que Fred, à bout de course, lâche un grand jet de sperme qu’elle ne peut contrôler. Elle avale une partie et le reste lui atterri sur le visage.
Sûrement motivée par cette inondation faciale, elle jouit à son tour, dans un râle épais et bruyant.
Joël retire sa main, ce qui lui provoque une grimace de douleur. Puis les deux gars se lèvent, remettent leurs shorts et s’en vont.
En ramassant sa serviette de bain, Joël nous regarde et dit :
— Bon ben merci pour le show madame, à bientôt !
Il me tend alors un bout de papier sur lequel est inscrit son numéro de portable et s’en vont comme ils sont venus.
Ma femme reste là, les fesses en l’air, la chatte grande ouverte, les fesses et le visage dégoulinant de sperme.
Au bout de quelques minutes, elle tourne la tête vers moi et me dit :
— Putain, c’était bon, je me suis fait défoncer, faudra refaire des photos plus souvent !
Et effectivement nous en avons refait depuis, mais ce sont d’autres histoires.
?
De quoi encore ?
Non je ne le sais pas
De quoi tu parle ?
Je te suis plus du tout là
Tu recommence
pourquoi tu m'envoi ça ?
tu met juste une virgule a chaque fois
De quoi ?
oulaaa tu pars loin toi
De quoi c'est bien moi ??
Ils sont bizzare tes messages !
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Par JOUIBRULANCE dans LE BLOG DE NESUMI le 27 Janvier 2015 à 01:11
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Par JOUIBRULANCE dans Accueil le 25 Janvier 2015 à 21:59
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Commentaires
Commentaire posté avec succès !
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Par JOUIBRULANCE dans LE BLOG DE NESUMI le 27 Janvier 2015 à 00:50
Un jour à l’école, ayant une grosse envie, je suis allée aux toilettes, mais la porte des filles était fermée. Alors, comme j’avais vraiment trop envie et que je ne pouvais pas attendre, je suis rentrée dans les toilettes garçons. Je me suis enfermée dans un des waters et je me suis soulagée. Avant de tirer la chasse, j’ai entendu quelqu’un entrer. J’étais paralysée, je ne voulais pas être surprise ici. Je regardais par le trou de la serrure. C’était Bernard, le simplet du village. Tout le monde se moquait de lui. C’était un grand maigre aux oreilles décollées. Il avait l’air stupide et son comportement maladroit n’arrangeait rien.
Je ne respirais plus et j’attendais qu’il s’en aille. Au bout de quelques minutes, il n’était toujours pas sorti. J’entendais juste quelques grognements. Curieuse, je regardais par le trou. Et là, un drôle de spectacle m’attendait ! Bernard, le pantalon baissé était en train de se tripoter. Je voyais tout. Il se regardait dans la glace et se tenait au dessus du lavabo. Mais bon sang quel animal ce type. Mais je continuais de le regarder. Il avait un sexe plutôt gros pour son âge. Même très gros. Il était imberbe et ses grosses couilles étaient visibles de loin. Cette situation m’excitait. Jamais j’aurais imaginé qu’il avait été si gâté par la nature. J’avais vu quelques films pornos, ceux de mon père et jamais je n’avais vu un sexe aussi gros. Son gland ressemblait à un champignon. Il bandait bien quand, finalement, il éjacula une quantité impressionnante de sperme dans le lavabo. Une douzaine de jets blanchâtres. A ce moment là, la sonnerie retenti et je sursautais en me cognant la tête dans la poignée de porte. Heureusement qu’il n’avait rien entendu à cause du bruit. Il se rhabilla en quatrième vitesse et disparu par la porte. Je sortais de ma cachette. J’allais être en retard au prochain cours. Mais la curiosité me fit regarder le lavabo. Le cochon en avait mis partout et il n’avait pas eu le temps de nettoyer. On peut dire que ça sentait le sperme ! Vu la dose… Je m’approchais pour regarder la texture de plus près. Et si j’osais ? Personne ne pouvait me voir. Je m’approchais et je respirais cette odeur forte. Je sortais un bout de langue et léchais un peu de sperme sur le rebord du lavabo. Humm pas si mauvais. A ce moment là, j’ai eu la peur de ma vie. La femme de ménage entrait avec son balai et sa serpillère et je me suis redressée comme une flèche. Elle était surprise de me trouver là, mais je lui expliquais que mon envie avait été trop forte. Elle m’expliqua alors que le plombier avait réparé une fuite et qu’elle avait du bloquer les toilettes filles. Maintenant elle pouvait continuer son nettoyage. Et que si je voulais me laver les mains il fallait aller dans le réfectoire car l’eau avait été coupée. Voila pourquoi Bernard n’avait pas pu nettoyer le lavabo. Elle prit un seau vide et se dirigea vers le réfectoire. Elle pensait sans doute que j’irais avec elle mais je ne pouvais pas laisser le lavabo dans cet état. Elle allait sentir le sperme en voulant nettoyer le lavabo et j’allais passer pour une mauvaise fille. Il fallait que je fasse quelque chose. Je regardais autour de moi, rien, aucune serviette. Et cette odeur qui se propageait, il fallait que je réagisse vite. Je commençais par ramasser le sperme avec mes doigts, puis le bord de mes mains pour aller plus vite. Je cherchais désespérément du papier toilette, ou quelque chose mais… rien. Tous les bacs étaient vides. Mince ! Sur mes vêtements ? Oui et j’allais sentir le sperme toute la journée… bonne idée ma grande ! Bon il n’y avait pas mille solutions, je léchais mes doigts. C’était répugnant mais je n’avais pas le choix. J’allais être vraiment en retard maintenant. Je gardais tout ce sperme dans ma bouche en espérant pouvoir le recracher un peu plus loin. Je courrais dans les couloirs. A quelques mètres de la cour de récréation, le surveillant surgit de nulle part et me demanda pourquoi je n’étais pas en classe. Je ne pouvais pas parler, j’avais la bouche pleine. Mais il commença à s’énerver, il croyait que je me foutais de lui. Alors n’ayant plus le choix, j’avalais doucement le sperme de Bernard. Je le sentais couler au fond de ma gorge. J’allais vomir. C’était dégoutant. Je ne voulais pas avaler mais je n’avais pas le choix. J’ouvris enfin la bouche et expliquait au surveillant que je ne me sentais pas bien. Et maintenant c’était vrai. Il me dit alors d’aller immédiatement à l’infirmerie et de lui ramener un justificatif comme quoi j’avais vraiment quelque chose sinon je passerais un sale quart d’heure. Je me retournais et allais vers l’infirmerie d’un pas rapide.
J’arrivais devant l’infirmerie mais l’infirmière n’était pas dans son bureau. J’attendais plusieurs minutes en réfléchissant à ce que j’allais bien pouvoir inventer comme histoire pour avoir ce justificatif. J’étais assise devant l’entrée quand soudain un bruit me fit sursauter. On aurait dit que quelqu’un déplaçait un meuble. Le bruit venait de la porte d’en face. Peut-être que c’était l’infirmière ? Je me levais et je poussais un peu la porte qui était resté entrouverte. Plus j’avançais plus j’entendais parler.
— Allez, suce moi, on n’a plus le temps de baiser.
Je reconnaissais cette voix, c’était celle du prof de sport !
— Bon ok, mais tu te dépêches, je devrais être dans mon bureau à cette heure là.
Et c’était… l’infirmière ! Encore un pas et je distinguais mieux le tableau, l’infirmière à moitié nue allongée sur une table, les jambes grandes ouvertes. C’était une brune assez sexy et de la voir dans cette posture me troublait un peu. Elle n’avait aucuns poils, son minou était tout lisse. A coté d’elle, le prof de sport, les fesses à l’air et la bite à la main. Je faillis pousser un petit cri mais je fermais rapidement les yeux en espérant qu’ils ne m’avaient pas vu. Mais au lieu de faire demi-tour, je reculais un peu et regardais cette scène incroyable.
L’infirmière avait englouti ce membre plutôt épais mais assez court et faisait des aller-retour très rapides. Elle devait vraiment être pressée. Lui, par contre, profitait de son traitement et gémissait de temps en temps. Il avait la tête en arrière et avait posé ses mains sur ses cheveux. Il prenait son pied ça se voyait. Il bougeait la tête de l’infirmière et l’amenait à lui de temps en temps. Elle avait son nez au niveau de son ventre poilu et le sexe du prof était entièrement dans sa gorge. Il l’avait bloqué ainsi quelques secondes et cela semblait lui plaire. Puis, soudain, il éjacula dans sa bouche sans la prévenir et il l’empêcha de se dégager pour respirer. Elle était bien obligée de tout avaler, ce qu’elle fit en gémissant. Puis, elle se dégagea avec fougue et cracha par terre.
— Ah quel salaud, je n’ai jamais dit que je voulais avaler ton sperme… T’es qu’un gros dégueulasse !
— Ah bon ? Haha désolé, je croyais que tu aimais ça.
— Allez dégage, en plus j’en ai jamais reçu autant.
— C’est normal, ça fait deux semaines que je ne me suis pas branlé…. Alors y’avait de la réserve hein ?
— Pouah !Je retournais vite m’assoir à côté du bureau. Encore toute rouge sous le coup de l’émotion. Le prof fut le premier à sortir et regarda dans ma direction. Il fut surpris par ma présence. Mais il ne tarda pas trop, il toussota un peu et se dirigea vers le gymnase. L’infirmière sortit cinq minutes après comme si de rien n’était. Elle me regarda aussi surprise que le prof de sport et paraissait embarrassé par ma présence. Elle me demanda pourquoi j’étais là. Je lui racontais que je ne me sentais pas bien et que j’avais de la fièvre. Elle s’approcha de moi et posa sa main sur mon front. Elle sentait le sperme. Je pouvais sentir son haleine à des kilomètres, mais cela ne semblait pas la déranger. Ou bien était-ce ma propre haleine qui amplifiait cette perception ? Je n’osais lui parler face à face. Elle recula, ouvrit une armoire et mis un comprimé dans un verre d’eau. Elle signa le justificatif et me renvoya en salle de cours. J’avais maintenant un bon quart d’heure de retard et j’allais devoir subir les interrogations de mes petits camarades.
? Je crois que vous vous êtes trompé de personne...
Je suis Wyrda et personne d'autre, point à la ligne.
Pourquoi me posez-vous cette question ? Je vous la retourne.
Je ne connais pas cet/cette Akiko dont vous parlez, tout comme vous.
Quelqu'un parmi cette vaste planète qu'est la Terre.
Et pourquoi donc devrai-je prendre ma main ?
Je ne suis pas sûr de comprendre là où vous voulez en venir.
Comment une main peut-elle être l'amie de quelqu'un si elle n'a pas d'âme propre à elle et de cerveau ?
...
Ecoute, j'ai pas mon temps à perdre à parler avec des kikoolol complètement stupides. Alors sout tu écris correctement et sans sortir de phrases insensées soit je te préviens à Eklablog. On veut pas des emmerdeurs (j'assume entièrement mes propos) comme toi ici.
Mais zut à la fin ! Je suis censé être qui ? Je suis pas Akiko ou je ne sais quoi ! Ecris correctement !
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Par JOUIBRULANCE dans LE BLOG DE NESUMI le 26 Janvier 2015 à 21:28
Bascule avec moi
passe la pluie de danger,
c'est ta fète
et fais ce qui te plais
au saint de l'eau
va ou tu veux,
va ou tu doigts
aux jolies yeux fatiguer -
Par JOUIBRULANCE dans LE BLOG DE NESUMI le 26 Janvier 2015 à 18:55
Tout est parti d’un article, qui semblait anodin, publié dans un cite de Zoophilox...: toi qui disait être allée se coucher seule lors d’une soirée où tu avais un peu trop bu, été rejointe par un homme, et avoir accepté dans un semi-sommeil qu’il lui fasse l’amour, avant de se rendre compte après qu’il ne s’agissait pas de lui !
Moi, ce témoignage me paraissait plausible. Tu as éclaté de rire en me disant que j’étais bien un homme pour croire à de telles élucubrations, qu’une femme reconnaissait son mari à mille détails durant l’amour, et qu’il lui était impossible de se tromper, même s’il ne s’agissait que d’un cunnilingus…
Réflexion faite, elle avait sans doute raison. J’avais été naïf de croire en la véracité de ce témoignage.
Mais parce qu’il n’est jamais agréable d’avoir tort, j’ai quand même mis en doute la capacité d’une femme à reconnaître son mari lors d’un cunnilingus, s’il n’est pas de paroles échangées entre eux, et d’autre contact physique que celui d’une bouche et d’un sexe. C’était peut-être de ma part une réaction de fierté mal placée. Après tout, je suis mal placé pour en juger… Mais d’un autre côté, ma femme a un défaut : elle est souvent trop sûre d’elle.
Elle a insisté, affirmant qu’il existait une mémoire des corps, qu’elle connaissait parfaitement ma manière de la caresser après tant d’années passées ensemble, et qu’elle distinguerait forcément s’il s’agissait d’un autre homme, même dans le noir, sans paroles et sans autre contact physique.La soirée était douce, les enfants couchés. Nous étions seuls dans le jardin de notre maison de vacances. La discussion a tourné au jeu, car nous étions en désaccord, chacun cherchant à convaincre l’autre. Elle m’opposait toujours le même argument : elle était femme, moi pas, donc elle savait ce dont elle parlait tandis que moi je l’ignorais… Alors, pour briser son assurance, j’ai voulu la provoquer :
— Nous faisons une fête à la maison dans trois jours, comme chaque été, avec une vingtaine d’invités. Si, en cours de soirée, tu t’éclipsais dans notre chambre… si je te mettais nue sur le lit, avec un foulard sur les yeux, la lumière éteinte, les mains attachées dans le dos pour que ne tu ne puisses pas toucher l’homme qui viendra te faire un cunnilingus, tu serais incapable de me dire ensuite si c’était moi ou l’un des invités.
Elle a réfléchi un moment avant de me répondre :
— Non, je connais tes mains, ton odeur, ta manière de me caresser, la peau de ton visage. Je saurai si c’est toi.
Elle avait quand l’air moins affirmative. J’ai voulu pousser mon avantage :
— OK, tentons l’expérience ! Tu es jolie femme. Je connais suffisament bien plusieurs des hommes invités pour proposer ce jeu à l’un d’eux, et savoir qu’il ne refusera pas. Mais ce sera peut-être moi qui entrera dans la chambre. Ce sera ensuite à toi de me le dire.
Une nouvelle fois, elle a réfléchi un moment. Elle me regardait, amusée et m’a dit :
— D’accord. Mais je te préviens : tu vas perdre !
Je tiens à préciser que nous ne sommes pas un couple libertin. Libéré oui, mais pas libertin. Notre couple a juste traversé un orage il y a trois ans, après la naissance de notre troisième enfant. Je trouvais ma femme moins disponible, moins portée sur le sexe. J’ai eu une aventure avec une jeune femme rencontrée dans mon milieu professionnel. C’était la première fois que ça m’arrivait en douze ans de mariage. Je crois que j’avais envie de plaire, de prouver que je savais susciter du désir. Ma femme s’est aperçue d’un changement en moi. Je n’ai pas voulu, ou su, lui mentir. Elle m’a posé la bonne question :
— Est-ce que j’étais amoureux de cettte femme ?
La réponse était non. Elle m’a demandé de mettre fin à cette histoire. Ce que j’ai fait.
Elle s’est vengée trois mois plus tard, de manière classique, en me disant qu’elle venait d’avoir elle aussi une aventure, qu’elle en avait besoin pour remettre les compteurs à zéro.
Nous en sommes restés là. Pour autant que je sache, en dehors de cette brève histoire, ma femme ne m’a jamais trompé, ni avant, ni après. Mais ensuite, j’ai noté des changements en elle : elle s’habillait différemment, plus sexy, s’est inscrite dans un club de gym. Chacun de notre côté, nous avons réintroduit de l’érotisme dans nos relations, avons fait plus attention à l’autre, à ses désirs. Et la flamme est revenue. Notre vie sexuelle est pleine, entière, variée. Plus jamais je n’ai éprouvé l’envie d’aller voir ailleurs. Et elle non plus, je crois.Le fameux soir venu, elle m’a demandé si je voulais toujours qu’on tente cette expérience. J’ai répondu par l’affirmative. Elle m’a dit :
— Très bien. Alors, je vais tout faire pour être belle, afin que tu n’aies pas de mal à convaincre ton invité-mystère.
Elle l’a fait ! Jean’s blanc très moulant, mules à talons hauts, une bague en argent sur un doigt de pied, un soutien-gorge pigeonnant, un tee-shirt blanc serré à fines bretelles, court en haut comme en bas, pour laisser apparaître son ventre plat et bronzé, ses épaules, et le haut de ses seins. Elle était magnifique ! Je la trouvais quand même un peu trop charmante avec les hommes, par ses rires, ses attitudes.
Sans doute se demandait-elle lequel d’entre eux serait l’éventuel invité-mystère, s’il en était un. Et dès que je parlais à un homme, elle me regardait, en se demandant sans doute si c’était lui à qui je venais de faire une proposition indécente. À chaque fois, je la regardais en lui faisant non de la tête… et elle riait.Vers 23 heures, nous avons mis de la musique. La nuit était tombée. Les gens dansaient dans le jardin, près du buffet. Les enfants dormaient. Je lui ai dit que l’heure était venue. Elle m’a suivi dans notre chambre, à l’étage. Je l’ai déshabillée, lui ai noué un foulard autour des yeux, attaché les mains dans le dos avec le cordon d’un peignoir, allongée sur le lit et je lui ai demandé d’écarter les jambes, afin que son sexe soit ouvert, offert.
Je l’ai embrassée sur les lèvres en lui disant qu’elle était très belle, que celui qui viendrait aurait bien de la chance. J’ai passé ma main sur son corps. Elle a frissonné. Sa respiration était un peu forte, preuve qu’elle trouvait la situation érotique. J’ai quitté la chambre, en éteignant la lumière.Je suis remonté un quart d’heure plus tard, le temps de lui laisser croire que j’avais trouvé un invité-mystère. Je n’avais aucune intention de laisser un autre homme l’emmener au 7ème ciel avec sa bouche. Dès le moment où elle avait accepté ma proposition, je savais que ce serait moi qui viendrait. Mais j’avais bien préparé mon affaire. Le matin, je m’étais rasé, ce que je fais rarement en vacances, afin qu’elle ne puisse me reconnaître quand mes joues entreraient en contact avec l’intérieur de ses cuisses. En plus, j’avais mis des mocassins assez lourds ce soir-là, afin qu’elle entende le bruit de mes pas. Mais avant de monter, je me suis déchaussé afin qu’elle puisse croire, à l’absence de bruits de pas dans l’escalier et le couloir, qu’il s’agissait d’un autre homme.
Quand j’ai ouvert la porte de la chambre, j’ai fait exprès de tâtonner avec la main avant de trouver l’interrupteur, comme si j’ignorais la disposition exacte des lieux. J’ai éclairé. Elle avait bien tenu la pose. Elle était superbe, jambes repliées et ouvertes, avec son foulard sur les yeux et ses mains dans le dos qui faisaient saillir ses seins. Elle avait la machoire serrée, mais ses seins montaient et descendaient quand elle respirait. Ainsi, la situation l’excitait…
J’en ai eu confirmation quand je lui ai levé les jambes et replié les cuisses de chaque côté de son ventre. Cette position dégageait son sexe, l’écartait encore plus et l’offrait à la vue. Je l’ai regardé longtemps, comme quelqu’un qui le découvrait. J’ai passé l’ongle de mon index le long de sa fente, pour l’ouvrir. Elle a tremblé, et poussé un petit cri : son sexe rose luisait. Cette découverte m’a fait bander, en même temps que je ressentais une pointe de jalousie : elle mouillait, alors qu’elle ne savait même pas si c’était moi ou un autre qui était entré dans la chambre, qui allait poser sa langue sur son clitoris… J’ai passé le dos de ma main sur son sexe, sur l’intérieur de ses cuisses. Elle a frissonné encore. Sa bouche était ouverte, son corps tendu. J’ai pensé que ma femme n’était peut-être pas aussi fidèle que je l’avais cru pour prendre du plaisir, ouvertement, dans une telle situation.Puis, je suis allé éteindre la lumière, comme quelqu’un qui avait pris le temps de repérer les lieux, de profiter sur spectacle de son corps offert. Je suis revenu vers elle dans l’obscurité. Mes yeux se sont vite habitués à la pénombre, car un peu de lumière du dehors filtrait à travers les volets. J’entendais de la musique, des rires. Elle avait reposé ses pieds sur le lit. J’ai posé le bout de ma langue sur sa fente, et je l’ai remontée pour l’ouvrir, exactement comme avec mon ongle plus tôt. Elle a gémi, s’est cambrée, a ouvert encore un peu plus ses cuisses. Elle s’offrait complètement, et son clitoris était dur. Je sais qu’elle aime que ma langue se concentre sur cette zone. J’ai fait l’inverse, j’ai pénétré son vagin, et remonté ensuite ma langue jusqu’à son clitoris, et j’ai recommencé ce mouvement, qu’elle accompagnait d’un mouvement de son bassin. Je tenais à la caresser d’une manière différente. Sa respiration devenait plus rapide, elle haletait presque. De la main, je caressais son anus. Il n’était pas serré. J’ai mis un peu de salive sur un de mes doigts, et l’ai enfoncé légèrement. Elle n’a pas résisté. Avec les hanches, elle s’est même empalée sur mon doigt, qui l’avait pénétrée jusqu’à la deuxième phalange. Ainsi, je la tenais. Je poursuivais mon mouvement ascendant de la langue, depuis son vagin jusqu’à son clitoris. Elle avait reposé ses pieds sur le lit, jambes ouvertes et repliées, et poussait sur ses pieds pour accompagner ma langue. Elle gémissait de plus en plus fort. J’ai raccourci l’amplitude du mouvement de ma langue, pour me concentrer sur son clitoris, de bas en haut. J’ai senti que son anus se contractait autour de mon doigt. C’était le signe annonciateur : aussitôt, elle a joui, dans un gémissement très aigu, tandis qu’avec son bassin, elle tentait d’échapper à la caresse de ma langue. J’ai enlevé mon doigt de son anus, redressé mon visage, et l’ai regardée dans la pénombre. Son corps faisait une tache sombre sur les draps. Elle a serré les jambes, et les a tournées sur le côté. Sa bouche était ouverte. Elle respirait fortement. Mon sexe était dur de désir. J’avais envie de la prendre, mais je ne pouvais pas, sinon elle m’aurait sans doute reconnu. J’étais frustré par ce désir inassouvi, et en même temps en colère contre elle : je lui en voulais en peu d’avoir éprouvé tant de plaisir, peut-être avec un homme dont elle ne savait pas s’il s’agissait de son mari ou d’un autre.
Alors, j’ai profité d’elle, comme je le le fais jamais après un cunnilingus, puisqu’après le plaisir, elle a besoin de tendresse : elle m’attire toujours vers elle et me serre dans ces bras. Là, elle avait les mains liées. Là, je lui ai donné autre chose que de la tendresse… Je lui ai remis les jambes dans la position du départ, repliées, cuisses ouvertes et de part et d’autre de son ventre. J’ai levé ses fesses, les ai écartées, j’ai passé sa langue le long de sa raie, et j’ai pénétré son anus avec le bout de ma langue. Elle ne s’est pas rétractée. Elle a poussé un gémissement aigu, a commencé à frétiller comme pour échapper à ma langue, mais je la suivais bien.
Ensuite, j’ai fait quelque chose dont j’avais envie depuis longtemps mais que je n’avais jamais fait. J’adore les pieds de ma femme. Ils sont bien cambrés, nets, avec des ongles vernis. Depuis que la mode est aux sandales à talons, je les regarde souvent. Alors j’ai embrassé ses pieds, sucé ses doigts dans ma bouche, lentement. J’avais aussi envie qu’elle lèche les doigts de mes mains, de les mettre dans sa bouche. Mais je ne l’ai pas fait, toujours de crainte qu’elle reconnaisse mes mains. J’ai juste passé le dos de ma main sur ses cuisses, son ventre, ses flancs. Son corps semblait électrisé, il frémissait sous ma main. Avant de partir, j’ai pris ses seins dans mes mains, et j’ai serré fort. Elle a crié, de plaisir ou de surprise, je ne sais pas. Je voulais qu’elle croie que j’étais un inconnu qui avait voulu connaître tout son corps avant de la quitter. Et puis je suis parti, la laissant là, inerte.Avant de remonter, j’ai pris mon temps. J’éprouvais toujours les mêmes sentiments : de l’excitation, la satisfaction de l’avoir faite jouir, et en même temps de la colère, de la jalousie. Si elle m’avait reconnu, très bien, il était normal qu’elle ait pris autant de plaisir, que son corps ait été si sensible à mes caresses. Mais si elle ne l’avait pas reconnu ? Alors, elle s’était offerte entièrement à un inconnu, sans la moindre retenue, l’avait laissé goûté son anus, ses doigts de pied, avait joui… J’étais pris à mon propre jeu, et elle aussi peut-être. Ça fait drôle, après tant d’année de vie commune, de découvrir sa femme sur un jour nouveau. Et si j’avais voulu lui faire l’amour après sa jouissance, aurait-elle refusé ? Je n’en étais pas certain. Elle aurait donc laissé un inconnu jouir en elle, peut-être même aurait-elle eu une deuxième orgasme… Je me suis surpris à la traiter de salope. Et en même temps, ce que j’avais découvert d’elle m’excitait.
Je me suis lavé les mains pour enlever toute odeur, j’ai fumé une cigarette et bu un verre pour qu’elle ne reconnaisse pas le goût de son sexe sur ma bouche, j’ai laissé passer une chanson entière, et je suis allé la retrouver. J’avais remis mes mocassins en bas de l’escalier, pour qu’elle entende le bruit de mes pas. Malgré ses mains liées dans le dos, elle avait réussi à se mettre sur le côté, presque en position fœtale, jambes repliées sur le ventre et dos courbé. Je n’ai pas allumé la lumière tout de suite. J’ai dénoué le cordon qui retenait ses mains, ainsi que le foulard qui masquait ses yeux. Elle est venue se blottir dans mes bras, a embrassé ma bouche, a mis son nez dans mon cou. J’ai compris qu’elle essayait de retrouver mon odeur. J’avais gagné, ou perdu, je ne sais pas : elle ignorait qui l’avait faite jouir !
J’en ai eu aussitôt confirmation :
— Il paraît que tu as été très bien. J’ai même entendu des compliments sur toi. Venant d’un connaisseur, ça fait plaisir. Félicitations.
— C’était toi ?
— Non, c’est à toi de me le dire
— Je ne sais pas. J’ai cru reconnaître ton odeur, ta peau aussi. Mais pas ta bouche.
— Tu ne savais pas qui te caressait, mais tu as joui quand même ?
— Oui.Elle semblait désemparée par cette révélation. La pointe de jalousie est revenue en moi. Ma femme s’était livrée totalement, jusqu’à son anus, à un homme dont elle ignorait s’il était son mari ou non… Je croyais maîtriser ce jeu. Je découvrais qu’il était allé bien plus loin que je l’avais cru :
— Donc, ça t’a excité d’être caressée par un homme qui n’était peut-être pas ton mari ?
Elle a acquiescé, et est revenue se blottir dans mes bras, comme prise en faute. Il fallait que je digère cet aveu :
— Rhabille-toi ! Les invités doivent se demander où tu es passée.
Nous sommes redescendus. Ma femme avait repris sa contenance. À ceux qui s’inquiétaient de son absence, elle répondait qu’elle était montée veiller notre petite fille, qui s’était réveillée. J’ai préféré m’éloigner d’elle. Je voulais réfléchir à ce qui s’était passé.
Elle allait de groupe en groupe, tout en me regardant du coin de l’œil. Elle cherchait sans doute auprès de nos invités un signe qui aurait trahi l’un d’eux, et me surveillait, pour voir à qui je parlais. Elle avait l’air désemparé. Son désarroi m’a ému. Après tout, j’étais seul responsable de ce qui était arrivé. Je l’ai invitée à danser, l’ai serrée contre moi, et lui ai dit que je l’aimais, que ce n’avait été qu’un jeu sans importance, qu’elle n’avait rien à se reprocher, que son corps fonctionnait bien, voilà tout. Et que j’avais très envie d’elle, ce qui était la vérité.Nous avons fait l’amour avec lenteur et gravité cette nuit-là, comme un couple qui se retrouve après avoir surmonté un écueil. Je pensais qu’elle me demanderait qui était entré dans la chambre et l’avait caressée. Elle ne l’a pas fait, ni cette nuit, ni au cours des mois suivants. Sans doute préférait-elle garder à cette soirée particulière sa part de mystère. J’ai respecté son silence. Je ne lui ai jamais reparlé de cet épisode. N’empêche qu’il nous a rapprochés physiquement. Comme si nous ressentions une excitation supplémentaire. Moi de savoir qu’elle pouvait se livrer totalement à un inconnu. Elle d’avoir sans doute découvert un aspect trouble de sa sexualité.
Comme chaque année, nous avons loué la même maison, pour le mois d’août. Début juillet, ma femme est revenue pour la première fois sur notre jeu de l’été passé. Nous venions de faire l’amour. La nuit était douce. Je ne m’attendais vraiment pas à sa demande :
— Tu ne crois pas que j’ai droit à une deuxième chance ?
— Comment ça une deuxième chance ?
— L’été dernier, tu m’as proposé un jeu. J’ai accepté et j’ai perdu. Alors cette année, c’est moi qui aimerais t’en proposer un…
— Lequel ?
— Nous allons bien refaire une soirée pour le quinze août, avec les mêmes invités que l’an dernier ?
— Oui.
— Alors, je voudrais recommencer, mais un peu différemment. Laisse moi aller jusqu’au bout s’il te plaît ! Ce n’est pas facile à dire, alors ne m’interromps pas. Ce qui m’a le plus troublée l’an dernier, c’est qu’après avoir joui, je sais que si l’homme avait voulu me faire l’amour, j’aurais accepté. Que ce soit toi ou un invité. J’en avais même envie. Alors cette année, je voudrais être nue sur le lit, en position de levrette et qu’un homme entre et me fasse l’amour… toi ou le même homme que l’an dernier, à toi de choisir ! Et cette fois, je crois que je le reconnaîtrai. Mon corps connaît bien ton sexe, tu sais. Tu me mettras si tu veux un bandeau sur les yeux. Mais ne m’attaches pas les mains. Je te promets que je n’essaierai pas de le toucher pour savoir qui il est. Je n’aime pas avoir les mains attachées pendant l’amour, même avec toi. Ça me met mal à l’aise. J’ai l’impression que ça pourrait aller trop loin. Tu acceptes ?Mal à l’aise… Je n’avais pas eu le sentiment qu’elle était mal à l’aise l’été dernier. Elle avait même accompagné mon doigt quand j’avais pénétré son anus… Mais j’ai dit oui. C’est comme un vertige de découvrir chez sa femme, après tant d’années passées ensemble, une sexualité qu’on ne soupçonnait pas. J’ai quand même posé des réserves, mais pour le principe, comme pour me dédouaner :
— C’est un jeu dangereux. Imagine que ce soit l’un des invités qui entre dans la chambre et te fasse l’amour, que tu reconnaisse à la forme de son sexe ou à autre chose que ce n’est pas moi, mais que tu éprouves quand même du plaisir. Tu ne crois pas que ce serait une pente glissante pour notre couple ?
— Non. Pas si tu m’aimes. Parce que moi, je t’aime.
— Moi aussi.
— Alors, il ne peut rien nous arriver… sauf avoir encore plus envie l’un de l’autre, après.Voilà. Les dés sont jetés. Le 15 août prochain, ma femme, nue sur son lit, couchée sur le ventre, reins relevés et un bandeau sur les yeux attendra la visite d’un homme qui viendra lui faire l’amour. Et elle ne saura pas qui entrera dans la chambre, qui la pénétrera. Peut-être même qu’elle ne saura pas dire, après, si c’est moi ou un autre homme qui lui a fait l’amour.
Quand elle m’a fait cette proposition, c’était évident dans ma tête : ce serait moi, l’invité-surprise, comme l’été dernier. Mais plus j’y pense, plus j’ai envie d’aller au bout de ce jeu, d’offrir son sexe à un autre homme, et de lui offrir le sexe d’un autre homme Je ne saurais expliquer pourquoi, mais cette perspective m’excite. Pour être tout à fait honnête, ce qui me retient, c’est que je m’imagine mal présenter l’affaire à un de mes amis : « Bonsoir, j’ai une proposition à te faire. Tu connais ma femme. En cours de soirée, elle s’absentera, montera dans sa chambre et se mettra nue en levrette sur le lit, les yeux bandés. J’aimerais que tu ailles lui faire l’amour, sans un mot. Ne t’inquiètes pas, elle est d’accord. C’est un pari entre nous. Elle est persuadée de reconnaître s’il s’agit de moi ou d’un autre homme, même si elle ne le voit pas, ne le touche pas. Ça te tente ? »
Pas facile à dire, non ? Et s’il refuse, s’il en parle aux autres ? Pire, s’il accepte, la fait jouir, et en parle ensuite…J’ai quand même passé en revue tous les hommes qui devraient être là. Je les connais bien. J’ai même trouvé en revue un candidat potentiel. Pas un Apollon. Mais je le sais porté sur le sexe, et pas franchement fidèle à sa femme. Je crois qu’il accepterait, et saurait rester discret ensuite. Il me plaît de jouer avec cette idée. Je ne sais pas s’il ne s’agit que d’un fantasme, ou si j’oserai aller jusqu’au bout. Je crois que je déciderai au dernier moment. Et je vous dirai tout à la rentrée…
Karen.
Crétine.
Espèce d'attardée. C'est toi qui me fait iech depuis ce temps? t'as que ça à faire?
Tu veux vraiment que j'aie des ennuis avec tes conneries??
Je savais pas que t'avais autant de temps à perdre, tu m'as ptêt menti sur le fait que t'avais des passions ou que t'étais une bonne élève. J'aurais dû reconnaître ton style...
Franchement je pensais que tu étais une gamine un peu vulgaire mais sympa, mais franchement, je suis déçu et dégoûté.Te fous pas de moi, j'en ai marre. J'ai vraiment cru que tu étais un pauvre attardé à un moment. Mais j'ai fini par t'ignorer.
ça fait pitié sérieux, en plus tu ne prends même pas la précaution de masquer ton eMail ou ton IP.
Je veux des excuses et en attendant, je n'ai plus envie de te parler.
Enméne par2, il y a personne qui t'aime.tu en mets plein d'ennuie a l'oreille